tag:blogger.com,1999:blog-56171184688514238592024-03-18T15:53:55.686+01:00LA REVUE ASTRO-PROPHETIQUEEtudes de Critique biblique, astrologique nostradamiquej et linguistique.Unknownnoreply@blogger.comBlogger4390125tag:blogger.com,1999:blog-5617118468851423859.post-87974654704501842582024-03-18T15:53:00.002+01:002024-03-18T15:53:04.520+01:00Jacques Halbronn Psychosociologie Une mauvaise imitation génére des dys...<iframe width="480" height="270" src="https://youtube.com/embed/bBLKRVcw5jE?si=xEGj_E446DBv8tln" frameborder="0"></iframe>Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-5617118468851423859.post-47249716692081398632024-03-18T15:51:00.002+01:002024-03-18T15:51:17.333+01:00Jacques Halbronn Café philo avec Jésus, Christophe, Jean Marc. les vr...<iframe width="480" height="270" src="https://youtube.com/embed/E3nNFau4azI?si=vLSYqIzkhjd0v-I4" frameborder="0"></iframe>Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-5617118468851423859.post-52034564587197888782024-03-18T15:17:00.001+01:002024-03-18T15:17:02.872+01:00jacques Halbronn Histoire de ses recherches sur la formation de la s...<iframe width="480" height="270" src="https://youtube.com/embed/Dgqn-mXoEJE?si=NLgx4f7h4evQtqui" frameborder="0"></iframe>Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-5617118468851423859.post-51478827760247084672024-03-18T15:16:00.002+01:002024-03-18T15:16:27.174+01:00jacques Halbronn Les fausses continuités des partis et des dirigea...<iframe width="480" height="270" src="https://youtube.com/embed/7_kYOPpyJJc?si=s_FkXcn7cLSTNa5G" frameborder="0"></iframe>Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-5617118468851423859.post-57326849054082023602024-03-18T15:07:00.003+01:002024-03-18T15:07:50.292+01:00Jacques Halbronn Bible. Les mauvaises traductions de 'hébreu 'Adam" ...<iframe width="480" height="270" src="https://youtube.com/embed/WlVJrPCZxzo?si=dVenKjOClorMci4Z" frameborder="0"></iframe>Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-5617118468851423859.post-5085068009697678242024-03-18T15:01:00.004+01:002024-03-18T15:01:41.390+01:00Jacques Halbronn Histoire de l'astrologie. Passage d'une astrologie lar...<iframe width="480" height="270" src="https://youtube.com/embed/ZxqHrOp7dFE?si=0ASLD-Ppz-ZWmi3B" frameborder="0"></iframe>Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-5617118468851423859.post-59074388034969381202024-03-17T18:43:00.003+01:002024-03-17T18:45:26.751+01:00jacque halbronn Théologie et anthropolinguistique. Adam à la ressemblance d'Elohim, son CréateurJacques halbronn théologie et anthropolinguistique; Adam à l'image, la ressemblance d'Elohim, son Créateur
Nos recherches linguistiques nous ont conduit à la description d'une langue idéale - dont se rapproche singulièrement le français- où le genre masculin reformate la féminin notamment en l'abrégeant, ce qui va radicalement à l'encontre de l'idée que le féminin se formerait à partir du masculin ce qui est un contre-sens. Or, ce rôle imparti au masculin rejoint la stature d'Elohim dans le premier chapitre du Livre de la Genése. On y présente Elohim comme celui qui distingue (mavdil) entre (Ben)/
א בְּרֵאשִׁית, בָּרָא אֱלֹהִים, אֵת הַשָּׁמַיִם, וְאֵת הָאָרֶץ. 1 Au commencement, Elohim créa le ciel et la terre.
ב וְהָאָרֶץ, הָיְתָה תֹהוּ וָבֹהוּ, וְחֹשֶׁךְ, עַל-פְּנֵי תְהוֹם; וְרוּחַ אֱלֹהִים, מְרַחֶפֶת עַל-פְּנֵי הַמָּיִם. 2 Or la terre n'était que solitude et chaos; des ténèbres couvraient la face de l'abîme, et le souffle de Dieu planait à la surface des eaux.
ג וַיֹּאמֶר אֱלֹהִים, יְהִי אוֹר; וַיְהִי-אוֹר. 3 Elohim dit: "Que la lumière soit!" Et la lumière fut.
ד וַיַּרְא אֱלֹהִים אֶת-הָאוֹר, כִּי-טוֹב; וַיַּבְדֵּל אֱלֹהִים, בֵּין הָאוֹר וּבֵין הַחֹשֶׁךְ. 4 Dieu considéra que la lumière était bonne, et il établit une distinction entre la lumière et les ténèbres.
ה וַיִּקְרָא אֱלֹהִים לָאוֹר יוֹם, וְלַחֹשֶׁךְ קָרָא לָיְלָה; וַיְהִי-עֶרֶב וַיְהִי-בֹקֶר, יוֹם אֶחָד. {פ} 5 Dieu appela la lumière jour, et les ténèbres, il les appela Nuit. Il fut soir, il fut matin, un jour.
Dans le Livre de la Formation (Sefet Yetsira), on associe l'oeuvre de la Création à l'alphabet, donc à la langue:
Wikipedia
" Le Sefer Yetsirah (hébreu : ספר יצירה « Livre de la Création » ou « de la Formation » ou « de l’Émanation ») est un livre de cosmogonie juive rédigé entre le iiie et le vie siècle, apparemment en terre d'Israël1. Attribué au patriarche Abraham, il relate la formation du monde au moyen des lettres de l’alphabet hébraïque et de leurs combinaisons. Unique par sa langue et son caractère, il a donné lieu à une littérature entière de commentaires, rationalistes ou mystiques, et est actuellement considéré comme relevant davantage de la Kabbale. Le Sefer Yetsirah est à l'origine de la doctrine des Sephiroth"." De même que l'on traduit à tort Adam par "homme", "humanité", de même, traduire Elohim par "Dieu" est source de confusion plus ou moins délibérée dans laquelle beaucoup aiment à se complaire.
Or, Adam est présenté comme étant à l'image d'Elohim et l'on emploie les termes grammaticaux de masculin et de féminin:.
כז וַיִּבְרָא אֱלֹהִים אֶת-הָאָדָם בְּצַלְמוֹ, בְּצֶלֶם אֱלֹהִים בָּרָא אֹתוֹ: זָכָר וּנְקֵבָה, בָּרָא אֹתָם. 27 Elohim créa Adam à son image; c'est à l'image d'Elohim qu'il le créa. Masculin (Zakhar) et féminin (Neqéva) furent créés à la fois.
Le Sefer Yetsira casse es 22 lettres de l'alphabet hébraiqe en trois groupes::
" vingt deux lettres de fondement, dont trois « mères », sept « redoublées » et douze simples. " Ce classement connecte les lettres avec une structure astrologique sept planétes et 12 signes mais nous avons montré, dès 1976 Clefs pour l'astrologie, qu'à l'origine, on devait avoir 6 + 4+ 12 et non 7+ 3 +12, le 4 correspondant aux 4 éléments et au tétramorphe Ezékiel) On aura voulu englober le Soleil, d'où le passage du 6 au 7. Le six englobe Mercure, Vénus, Mars, Jupiter, Saturne et la Lune, Saturne étant ici l'astre le plus lent (28 ans) et la Lune l'astre le plus rapide 28 jours
JHB 17 3 24Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-5617118468851423859.post-47092670553337284022024-03-17T15:55:00.005+01:002024-03-17T15:55:31.447+01:00jacques halbronn Que nous enseigne réellement la prophétie de Jérémie ...<iframe width="480" height="270" src="https://youtube.com/embed/AdGFbofMdLs?si=V7iLDpOqa8lyh0fI" frameborder="0"></iframe>Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-5617118468851423859.post-32514526579492195642024-03-16T21:18:00.003+01:002024-03-16T21:18:45.495+01:00jacques halbronn Sur la technique des aspects et des cycles en Astrologie. Une para-épi astronomioe, Conjonction/Co,nstellation/ Horoscope. Le cas Barbaultjacques halbronn La technique des aspects et des cycles en astrologie, une para-épi-astronomie/ Conjonction/constellation/horoscope Le cas Barbault
Il apparait que l'astrologie francophone des années soixante flirtait tant avec la psychanalyse qu'avec l'Histoire, sous la houlette d'André Barbault, auteur d'une part De la psychanalyse à l'astrologie (Seuil, 1961) et des Astres et l'Histoire (Ed pauvert 1967) Or, avec le recul, on est amené à penser que ce faisant, elle s'égarait doublement. Nous pensons, en effet, que l'épistémologie de l'Astrologie se situerait bien plutôt dans le champ de la sociologie et de la politique, au sens de gouvernance de la Cité; Par ailleurs, l'astrologie aurait eu plus à gagner d'une alliance avec la Religion qu'avec une "Science" dure, telle que l'Astronomie. L'on comprend assez bien pourquoi les choses ont évolué de la sorte, cela tient probablement au bagage délivré à l'école, avec l'accent mis sur le narratif et le roman, ce qui conduit à former une culture de base, historique et psychologique. Le cas le plus remarquable est probablement celui de l'histoire de l'astronomie laquelle fascinera et excitera les astrologues quand on découvrire en l'espace de 150 ans, trois "nouvelles" planétes, à savoir Uranus (1781), Neptune (1846) et Pluton (1930), constituant ainsi les bases de l'astrologie "contemporaine". Or, pour nous, en tant qu'historien (thèse d'Etat Université Paris X, 1999), l'Histoire n'est jamais qu'un épiphénoméne assez aléatoire et il aura été mal venu pour l'astrologie de chercher à s'y appuyer! Mais reconnaissons que le mariage des dates relevées par l'histoire avec celles fournies par l'astronomie peut être tentant; Mais de quelles dates l'astronomie nous gratifie-t-elle? A cette question, André Barbault répond que les rencontres entre planétes peuvent servir de matériau, à commencer par les "conjonctions", quand deux astres se trouvent à une même longitude sur l'écliptique, à tant de degrés de tel signe zodiacal. En ce sens, astronomie et Histoire se partagerait un même langage "chronologique". Il est vrai que de telles informations sont relativement faciles à rassembler et à amasser. Par ailleurs, en matière de dates, on dispose également de celles des naissances, conservées par l'état civil et là encore, l'on peut étudier la disposition du ciel à ces moments là, en vue d'une étude psychologique. Face à une telle accumulation de données "objectives", la sociologie apparait comme un parent pauvre, somme toute assez démuni, se rapprochant plus de l'abstraction de la philosophie avec ses catégories, ses structures sociales, mises en évidence par un Karl Marx. La sociologie ne dispose pas de la même précision chronologique que l'Histoire événementielle et la Nouvelle Histoire d'un Marc Bloch se sera d'ailleurs rapprochée de la Sociologie. Certes, la politique fournit-elle des calendriers électoraux qui varient d'un pays à l'autre, ces calendriers se projettent dans le futur, sur la bases des diverses constitutions avec des mandats variant le plus souvent entre 4 et 7 ans. Il est clair, pour nous, que les aspects planétaires relévent d'une para/épi-astronomie puisque les rapports planéte-planéte ne font guère sens pour la science astronomique à la différence des rapports planété-étoile, Soleil Lune, ou soleil-axes saisonniers. On peut certes, observer le moment d'une Nouvelle Lune, soit la conjonction des luminaires qui sert à marquer le début des mois dans certains calendriers. En fait, les conjonctions de planétes sont des constructions aussi arbitraires que les constellations ou ensemble d'étoiles. . sur Internet Les conjonctions "Les conjonctions sont simplement dues à notre perception, mais elles ne possèdent pas de symbolique en particulier (même si l’astrologie peut leur en attribuer, mais ce n’est pas une science). On peut les décrire comme une « rencontre » ou un « rapprochement » d’astres, toutefois ce n’est qu’apparent". Sur Internet Les constellations "Par une belle nuit d’été à la campagne, il est surprenant de constater combien le ciel est couvert d’étoiles: il y en a des milliers! Malgré ce fait, il est possible d’identifier la plupart de ces étoiles grâce à l’apprentissage des constellations. "Il y aurait environ 7646 étoiles visibles pour les deux hémisphères et donc, pour notre hémisphère, la moitié de ces étoiles serait visible. Toutefois, l’on ne voit que 2600 étoiles à cause de la forte absorption de la lumière des astres près de l’horizon et à cause également de la pollution lumineuse. "Mais de quoi sont donc constituées les constellations et à quoi ressemblent-elles? Ce sont tout simplement des groupements d’étoiles reliées par des lignes imaginaires. On a donné des noms aux constellations selon leur forme d’humain, d’animal ou d’objet et ces noms proviennent très souvent de la mythologie grecque." Dès 1976, dans Clefs pour l'Astrologie, nous avons refusé de combiner les planétes entre elles et opté pour les rapports planéte-axes saisonniers qui étaient bel et bien opérationnels du moins en ce qui concerne le Soleil. En 1979; dans Aquarius ou la Nouvelle Ere du Verseau (Ed Albatros) s'était posé la question du rapport entre le point vernal de l'hémisphère nord et la série des constellations dites zodiacales, car articulées par rapport à l'écliptique. Mais nous rejetions également le thème natal, considérant que la "carte du ciel" était également une fiction articulée sur la disposition des astres à un moment donné. Certes, dans ces trois cas de figure, il y a bien visuellement une certaine forme de réalité mais l'astrologie courante lui accorde une importance tout à fait indue car l'on peut tout à fait envisager une astrologie qui n'y aurait point recours. Dans le cas de Barbault, ces différentes combinaisons sont au centre de son travail, de ses recherches à tel point que l'on pourrait définir une telle astrologie comme une combinatoire planétaire tant en astrologie mondiale qu'en astrologie individuelle. Il s'agit là d'une déviance par rapport à la science astronomique qui étudie les astres séparément sans chercher à les mélanger même si l'on sait qu'il y a une interférence gravitationnelle laquelle aura présidé à la découverte d'une planéte comme Neptune. (1846) Sur Internet
"La découverte de Neptune est la première découverte d'un objet céleste réalisée grâce au calcul mathématique avant de l'être par l'observation. Longtemps objet de débats quant à sa paternité, elle est aujourd'hui attribuée sans conteste à l'astronome français Urbain Le Verrier, qui a prédit mathématiquement l'existence et la position de la planète. Les résultats de Le Verrier, publiés fin août 1846 après deux ans de calculs à partir de la trajectoire et des caractéristiques d'Uranus, conduisent l'astronome allemand Johann Gottfried Galle, assisté par son compatriote Heinrich Louis d'Arrest, à observer dans la nuit du 23 au 24 septembre 1846 à l'Observatoire de Berlin la planète à moins d'un degré de la position théorique déterminée par Le Verrier." Pour notre part, on l'aura compris, vouloir bâtir une astrologie sur les aspects entre planétes est une tentation à laquelle l'astrologie contemporaine n'aura pas su résister. Par conséquent, l'indice cyclique traite d'un ciel artificiel, en porte à faux avec le phénoméne de la révolution sidérale.
Sur Internet
"Dans le système solaire, la période sidérale d'un astre désigne couramment la période de révolution sidérale, c'est-à-dire le retour à la même position sur l'orbite solaire relativement aux étoiles, notion distincte de la période de rotation sidérale définie ci-dessus." Il s'agit donc ici d'une conjonction planéte/étoile et quand on parle du temps de révolution d'une planéte, il s'agit du retour de celle-ci par rapport à un point du ciel fixe, à savoir une étoile dite "fixe". Or, quand Barbault note qu'il faut 36 ans pour qu'une nouvelle conjonction se forme entre Saturne et Neptune, il substitue en quelque sorte celle ci à la vraie révolution de 28 ans propre à Saturne!
Lu sur le site Echelle Humaine
"Prenons le cas du cycle Saturne – Neptune. Plaçons-les au même endroit sur un cercle. Tandis que Saturne effectue son cycle de 30 ans, Neptune, plus lent d’une centaine d’années (;..) , chemine a son allure. Lorsque Saturne revient à sa position initiale, Neptune est un peu plus avancé dans le cycle. Il faudra quelques années à Saturne, 6 ans, pour rattraper Neptune à un autre point du zodiaque et former ce qu’on appelle une nouvelle conjonction. À ce moment-là, un cycle de 36 ans est terminé. Les astrologues, qui observent ces cycles en les rapportant aux événements terrestres, constatent que ce manège correspond à des évolutions géopolitiques mondiales."
JHB 16 03 24Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-5617118468851423859.post-91872858596611584032024-03-16T21:15:00.001+01:002024-03-16T21:15:04.718+01:00jacques halbronn Réflexions sur son texte de 1992 "Influence et transmission des caracrères acquis (post face des Personnalités planétaires de Michel Gauquelinjacques halbronn Réflexions sur son texte de 1992 "Influence des astres et transmission des caractères acquis" Post face des PErsonnalités planétaires de Michel Gauquelin
En 1992, au lendemain du décés de Michel Gauquelin, allait paraitre, à titre posthume, un ouvrage dont il nous avait confié la publication, "Les personnalités planétaires" (co-édition Trédaniel- La Grande Conjonction). Dans le cadre d'une postface intitulée "Etudes sur l'oeuvre et la pensée de l'auteur par Guy Le Clercq et Jacques Halbronn", nous avions formulé un certain nombre de jugements, d'appréciations qui déplurent à la famille du défunt. Revenons trente ans plus tard, sur les textes incriminée et notamment sur celui que nous avions pondu "Influence des astres et transmission des caractères acquis" (pp 333 et seq). En cet essai de quelques pages, on s'interrogeait sur la stratégie de communication adoptée par l'auteur lequel ne serait pas parvenu à exploiter optimalement ses "résultats". En 1977, nous avions publié le diptyque astrologique d'Abraham Ibn Ezra (1089-1164) lequel comportait d'une part un manuel et de l'autre un commentaire, chapitre par chapitre, de ce qui y figurait.( Le commencement de la sapience des signes et le Livre de Fondements;, Bibliotheca Hermetica (dit René Alleau), Ed Retz, Préface de G. Vajda)
Notre texte de l'époque, n'envisageait pas encore le rôle des extra-terrestres dans la mise en place d'un certain ordonnancement et nous en restions encore à la thèse de l'instrumentalisation, exposée en 1986 dans notre essai "La pensée astrologique" (paru avec la réédition de l'Histoire de l'Astrologie de Serge Hutin, Ed Artefact), lequel s'articulait en partie sur les travaux de Gauquelin dont nous cherchions à comprendre ce qu'ils impliquaient au niveau anthropologique, dès lors que l'on en admettait la valeur factuelle. Nous envisagions une projection des structures sociales sur notre systéme solaire, puisque Gauquelin travaillait sur les catégories socio-professionnelles, les corporations voire les castes, ce qui aurait pu/dû le rapprocher de la démarche d'un Georges Dumézil, sur la Triade. à moins qu'un tel découpage ait été déterminé par des "dieux" lesquels auraient ainsi façonné, programmé notre humanité terrestre. Gauquelin insistait sur un certain élitisme puisque son corpus de dates de naissance était en partie issu d'annuaires de personnalités s'étant illustrées dans leurs domaines respectifs (sport, science, littérature, politique notamment) Et de fait, nous pensons que l'astrologie est la science de la "chefferie" (en franglais du leadership)., de ceux qui ont mission de guider les humains, en quelque sorte jouant le rôle d'interface entre le Ciel et la Terre, d'où leur caractère hybride, de demi-dieux, à l'instar d'un Jésus, dont on célébre la nativité, c'est à dire justement le moment de sa naissance, soit un temps crucial pour les recherches de Gauquelin.
Pendant les 30 ans qui suivirent cette parution, nous étions mal à l'aise face aux résultats Gauquelin avec ses 5 astres que nous ne parvenions pas à accorder avec les nôtres, axés sur la seule planéte Saturne jusqu'au jour où nous avons compris que le systéme de Gauquelin venait compléter celui que nous avions fait apparaitre. (cf L'astrologie selon Saturne, 1994). Il nous fallut relier cette dualité à celle exposée dans le Livre de Jérémie, à propos des deux Alliances, l'ancienne et la nouvelle(ch XXXI) et convenir que l'astrologie centrée sur Saturne correspondait à la première alliance ( Ancien Testament) alors que celle exposée par Gauquelin reflétait la Nouvelle Alliance, prônée par Jésus à destination des non Hébreux. Le texte ci dessous s'affirme bien plus contraignant pour ce qui est de la Nouvelle Alliance et correspond de la part des "dieux" à une nouvelle forme de gouvernance.
ל הִנֵּה יָמִים בָּאִים, נְאֻם-יְהוָה; וְכָרַתִּי, אֶת-בֵּית יִשְׂרָאֵל וְאֶת-בֵּית יְהוּדָה--בְּרִית חֲדָשָׁה. 30 Voici, des jours vont venir, dit le Seigneur, où je conclurai avec la maison d'Israël et la maison de Juda une alliance nouvelle,
לא לֹא כַבְּרִית, אֲשֶׁר כָּרַתִּי אֶת-אֲבוֹתָם, בְּיוֹם הֶחֱזִיקִי בְיָדָם, לְהוֹצִיאָם מֵאֶרֶץ מִצְרָיִם: אֲשֶׁר-הֵמָּה הֵפֵרוּ אֶת-בְּרִיתִי, וְאָנֹכִי בָּעַלְתִּי בָם--נְאֻם-יְהוָה. 31 qui ne sera pas comme l'alliance que j'ai conclue avec leurs pères le jour où je les ai pris par la main pour les tirer du pays d'Egypte, alliance qu'ils ont rompue, eux, alors que je les avais étroitement unis à moi, dit le Seigneur.
לב כִּי זֹאת הַבְּרִית אֲשֶׁר אֶכְרֹת אֶת-בֵּית יִשְׂרָאֵל אַחֲרֵי הַיָּמִים הָהֵם, נְאֻם-יְהוָה, נָתַתִּי אֶת-תּוֹרָתִי בְּקִרְבָּם, וְעַל-לִבָּם אֶכְתְּבֶנָּה; וְהָיִיתִי לָהֶם לֵאלֹהִים, וְהֵמָּה יִהְיוּ-לִי לְעָם. 32 Mais voici quelle alliance je conclurai avec la maison d'Israël, au terme de cette époque, dit l'Eternel: Je ferai pénétrer ma loi en eux, c'est dans leur coeur que je l'inscrirai; je serai leur Dieu et ils seront mon peuple.
לג וְלֹא יְלַמְּדוּ עוֹד, אִישׁ אֶת-רֵעֵהוּ וְאִישׁ אֶת-אָחִיו לֵאמֹר, דְּעוּ, אֶת-יְהוָה: כִּי-כוּלָּם יֵדְעוּ אוֹתִי לְמִקְּטַנָּם וְעַד-גְּדוֹלָם, נְאֻם-יְהוָה--כִּי אֶסְלַח לַעֲוֺנָם, וּלְחַטָּאתָם לֹא אֶזְכָּר-עוֹד. {ס} 33 Et ils n'auront plus besoin ni les uns ni les autres de s'instruire mutuellement en disant: "Reconnaissez l'Eternel!" Car tous, ils me connaîtront, du plus petit au plus grand, dit l'Eternel, quand j'aurai pardonné leurs fautes et effacé jusqu'au souvenir de leurs péchés.
Précisons aussi tôt que le texte de Jérémie traite d'enjeux bien antérieurs au temps de Jésus, ce que nous qualifierons de "post-datation", de prophétie "réchauffée" car il est clair,pour nous, que l'astrologie du thème natal n'aura pas attendu Jésus pour se mettre en place.
Sur Internet:
" Les premiers horoscopes individuels, basés sur les 12 signes du zodiaque, auraient été écrits au Ve siècle avant notre ère. On en trouve des traces dans des textes découverts à Babylone."
JHB 16 03 24Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-5617118468851423859.post-58883667996083310292024-03-16T21:10:00.002+01:002024-03-16T21:11:48.838+01:00jacques halbronn Réflexions autour de Retour sur l'accord du particioe passé et autres bizarreries de la langue franaisejacques halbronn Reflexions autour de 'Retour sur l'accord du participe passé et autres bizarreries de la langue française" (2006) par Martine Rousseau, Olivier Houdart, Richard Herlin (Flammarion, 2016)
On note que les auteurs négligent totalement les problémes de prononciation, c'est à dire de passage de l'écrit à l'oral. Ils signalent certes les cas d'homophonie entre infinitif et participe passé voir de deuxiéme personne du pluriel (en ez) sans indiquer que si l'on n'écrit pas manger avec er, on ne passe pas au futur qui en dépend. Les auteurs d'ailleurs ne s'arrêtent guère sur la question des accents sur le "e", en oubliant de signaler que l'accent se substitue à un "s" qui ne doit pas s'entendre. Or, la régle du e qui gomme la consonne qui le suit n'est pas énoncée! A propos du participe passé qui est mentionné au titre de leur ouvrage, les auteurs ne signalent pas l'occultation de la finale en "ed" par le biais de l'accent, alors qu'ils auraient pu se référer au "ed" de l'emprunt de l'anglais au français! Une approche prenant en compte la linguistique comparée aurait également conduit au finale en "ado" de l'espagnol; Nous ne partageons pas la thèse des auteurs quant à l'évolution des langues et préférons parler de leur corruption. Dans le développement sur la "féminisation", les marqueurs de genre, il est clair que des formes en "ée" sont à bannir et à remplacer par "ede, étant entendu que le du masculin français ne se prononce pas, ce qui a d'ailleurs aboutit à l'usage malheureux de l'accent! Par ailleurs, nos auteurs véhiculent une contre vérité selon laquelle on passerait du masculin au féminin par l'adjonction d'un "e" alors que c'est l'inverse, c'est le masculin qui abrége le féminin. Enfin, les auteurs se plaignent de ce que le français adopte des usages propres à l'anglais du lexique français, ce qui est selon nous un mauvais procés qui occulte les vrais enjeux! La question lexicale, au demeurant, selon nous, est moins déterminante que celle d'une mauvaise oralisation de la langue, donc d'un usage dissonant, ce qui est grave puisque la prononciation d'une langue équivaut à celle d'une partition musicale; A propos de participes, les auteurs semblent tout ignorer de ce que nous appelons le participe "futur" en "ble" faisant pendant au participe passé et au participe présent. On ne peut pas être élu si l'on n'est pas d'abord éligible ni être vu si l'on n'est pas d'abord visible.
JHB 16 03 24Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-5617118468851423859.post-35585424227751684762024-03-16T16:42:00.001+01:002024-03-16T16:42:40.054+01:00Jacques halbron Réflexions autour de son texte de 1992 "Influences des astres et transmission des caractères acquis"jacques halbronn Réflexions sur son texte de 1992 « Influence des astres et transmission des caractères acquis »
En 1992, au lendemain du décés de Michel Gauquelin, allait paraitre, à titre posthume, un ouvrage dont il nous avait confié la publication, « Les personnalités planétaires » (co-édition Trédaniel- La Grande Conjonction). Dans le cadre d’une postface intitulée « Etudes sur l’oeuvre et la pensée de l’auteur par Guy Le Clercq et Jacques Halbronn », nous avions formulé un certain nombre de jugements, d’appréciations qui déplurent à la famille du défunt. Revenons trente ans plus tard, sur les textes incriminée et notamment sur celui que nous avions pondu « Influence des astres et transmission des caractères acquis » (pp 333 et seq). En cet essai de quelques pages, on s’interrogeait sur la stratégie de communication adoptée par l’auteur lequel ne serait pas parvenu à exploiter optimalement ses « résultats ». En 1977, nous avions publié le diptyque astrologique d’Abraham Ibn Ezra (1089-1164) lequel comportait d’une part un manuel et de l’autre un commentaire, chapitre par chapitre, de ce qui y figurait.( Le commencement de la sapience des signes et le Livre de Fondements;, Bibliotheca Hermetica (dit René Alleau), Ed Retz, Préface de G. Vajda)
Notre texte de l’époque, n’envisageait pas encore le rôle des extra-terrestres dans la mise en place d’un certain ordonnancement et nous en restions encore à la thèse de l’instrumentalisation, exposée en 1986 dans notre essai « La pensée astrologique » (paru avec la réédition de l’Histoire de l’Astrologie de Serge Hutin, Ed Artefact), lequel s’articulait en partie sur les travaux de Gauquelin dont nous cherchions à comprendre ce qu’ils impliquaient au niveau anthropologique, dès lors que l’on en admettait la valeur factuelle. Nous envisagions une projection des structures sociales sur notre systéme solaire, puisque Gauquelin travaillait sur les catégories socio-professionnelles, les corporations voire les castes, ce qui aurait pu/dû le rapprocher de la démarche d’un Georges Dumézil, sur la Triade. à moins qu’un tel découpage ait été déterminé par des « dieux » lesquels auraient ainsi façonné, programmé notre humanité terrestre. Gauquelin insistait sur un certain élitisme puisque son corpus de dates de naissance était en partie issu d’annuaires de personnalités s’étant illustrées dans leurs domaines respectifs (sport, science, littérature, politique notamment) Et de fait, nous pensons que l’astrologie est la science de la « chefferie » (en franglais du leadership)., de ceux qui ont mission de guider les humains, en quelque sorte jouant le rôle d’interface entre le Ciel et la Terre, d’où leur caractère hybride, de demi-dieux, à l’instar d’un Jésus, dont on célébre la nativité, c’est à dire justement le moment de sa naissance, soit un temps crucial pour les recherches de Gauquelin.
Pendant les 30 ans qui suivirent cette parution, nous étions mal à l’aise face aux résultats Gauquelin avec ses 5 astres que nous ne parvenions pas à accorder avec les nôtres, axés sur la seule planéte Saturne jusqu’au jour où nous avons compris que le systéme de Gauquelin venait compléter celui que nous avions fait apparaitre. (cf L’astrologie selon Saturne, 1994). Il nous fallut relier cette dualité à celle exposée dans le Livre de Jérémie, à propos des deux Alliances, l’ancienne et la nouvelle(ch XXXI) et convenir que l’astrologie centrée sur Saturne correspondait à la première alliance ( Ancien Testament) alors que celle exposée par Gauquelin reflétait la Nouvelle Alliance, prônée par Jésus à destination des non Hébreux. Le texte ci dessous s’affirme bien plus contraignant pour ce qui est de la Nouvelle Alliance et correspond de la part des « dieux » à une nouvelle forme de gouvernance.
ל הִנֵּה יָמִים בָּאִים, נְאֻם-יְהוָה; וְכָרַתִּי, אֶת-בֵּית יִשְׂרָאֵל וְאֶת-בֵּית יְהוּדָה–בְּרִית חֲדָשָׁה. 30 Voici, des jours vont venir, dit le Seigneur, où je conclurai avec la maison d’Israël et la maison de Juda une alliance nouvelle,
לא לֹא כַבְּרִית, אֲשֶׁר כָּרַתִּי אֶת-אֲבוֹתָם, בְּיוֹם הֶחֱזִיקִי בְיָדָם, לְהוֹצִיאָם מֵאֶרֶץ מִצְרָיִם: אֲשֶׁר-הֵמָּה הֵפֵרוּ אֶת-בְּרִיתִי, וְאָנֹכִי בָּעַלְתִּי בָם–נְאֻם-יְהוָה. 31 qui ne sera pas comme l’alliance que j’ai conclue avec leurs pères le jour où je les ai pris par la main pour les tirer du pays d’Egypte, alliance qu’ils ont rompue, eux, alors que je les avais étroitement unis à moi, dit le Seigneur.
לב כִּי זֹאת הַבְּרִית אֲשֶׁר אֶכְרֹת אֶת-בֵּית יִשְׂרָאֵל אַחֲרֵי הַיָּמִים הָהֵם, נְאֻם-יְהוָה, נָתַתִּי אֶת-תּוֹרָתִי בְּקִרְבָּם, וְעַל-לִבָּם אֶכְתְּבֶנָּה; וְהָיִיתִי לָהֶם לֵאלֹהִים, וְהֵמָּה יִהְיוּ-לִי לְעָם. 32 Mais voici quelle alliance je conclurai avec la maison d’Israël, au terme de cette époque, dit l’Eternel: Je ferai pénétrer ma loi en eux, c’est dans leur coeur que je l’inscrirai; je serai leur Dieu et ils seront mon peuple.
לג וְלֹא יְלַמְּדוּ עוֹד, אִישׁ אֶת-רֵעֵהוּ וְאִישׁ אֶת-אָחִיו לֵאמֹר, דְּעוּ, אֶת-יְהוָה: כִּי-כוּלָּם יֵדְעוּ אוֹתִי לְמִקְּטַנָּם וְעַד-גְּדוֹלָם, נְאֻם-יְהוָה–כִּי אֶסְלַח לַעֲוֺנָם, וּלְחַטָּאתָם לֹא אֶזְכָּר-עוֹד. {ס} 33 Et ils n’auront plus besoin ni les uns ni les autres de s’instruire mutuellement en disant: « Reconnaissez l’Eternel! » Car tous, ils me connaîtront, du plus petit au plus grand, dit l’Eternel, quand j’aurai pardonné leurs fautes et effacé jusqu’au souvenir de leurs péchés.
Précisons aussi tôt que le texte de Jérémie traite d’enjeux bien antérieurs au temps de Jésus, ce que nous qualifierons de « post-datation », de prophétie « réchauffée » car il est clair,pour nous, que l’astrologie du thème natal n’aura pas attendu Jésus pour se mettre en place.
Sur Internet:
» Les premiers horoscopes individuels, basés sur les 12 signes du zodiaque, auraient été écrits au Ve siècle avant notre ère. On en trouve des traces dans des textes découverts à Babylone. »
JHB 16 03 24
Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-5617118468851423859.post-45965834123479550922024-03-16T13:55:00.002+01:002024-03-16T13:55:27.659+01:00Jacque halbronn Réflexions autour de "Psychology of the planets" de Franiioose (Schneider) GauquelinnJacques halbronn Réflexions autour de "Psychology of the planets" de Françoise Gauquelin (1982)
L'ouvrage paru en français sous le titre " Psychologie des planétes" se présente (4e de couverture) comme rassemblant les découvertes les plus significatives du siècle" On y insiste notamment sur les recoupements entre les données astro mythologiques traditionnelles et les résultats statistiques. L'auteur entend intégrer (conclusion : pp 65 et seq) les recherches des Gauquelin dans l'arsenal de l'astrologue moderne. Or, selon nous, ces travaux n'épuisent en aucune façon le champ de l'investigation astrologique et correspondent à une astrologie primitive fondée sur le mouvement diurne et ne tenant aucun compte de la diversité des cycles planétaires, ce qui caractérise une astrologie bien plus tardive qui, elle, reléve de ce qu'on appelle l'Astrologie "Mondiale". Cette astrologie "gauquelinienne" vient -dont acte- conforter la pratique du thème natal de astrologues, et les attributions qu'ils admettent pour certaines planétes, lors de leur passage à l'horizon et au méridien des naissances, sur la base d'une synergie planétes-mythologie. Nous sommes bien là en présence d'une projection d'un organigramme social sur le ciel - ce que nous qualifierons d'instrumentalisation (cf notre essai de 1986 "La pensée astrologique" avec la mise à jour de l 'Histoire de l'Astrologie de Serge Hutin (Ed Artefact). Le seul défaut des résultats Gauquelin, c'est qu'ils correspondent à un état archaique de l'astrologie et Françoise Gauquelin a bien tort de croire que cela épuise et clot le dossier de l'Astrologie! Ces résultats seront d'ailleurs le soubassement de l'astrologie du thème natal laquelle, syncrétiquement, intégrera par la suite les positions planétaires sur l'écliptique, divisé en 12 secteurs, terra incognita pour le couple Gauquelin. Une astrologie aux bases astronomiques rudimentaires qui ignore tout des cycles astronomiques et de leur diversité - on est loin de la Loi de Bode- s'en tenant au seul passage quotidien des planétes dans le ciel, où toutes les planétes sont réduites au même régime, de la plus rapide à la plus lente! Et en ce sens, Nicola a raison de lui opposer son systéme RET basé sur les cycles respectifs. On ne saurait contester pour autant les travaux de Gauquelin qui correspondent à un état premier des rapports entre les hommes et les astres mais qui évacuent toute forme de périodicité. Décidément, les astrologues ne vivent pas tous sur la même planéte!. Le reproche que l'on peut adresser à Michel Gauquelin, décédé en 1991, c'est de n'avoir pas cherché à formuler un cadre théorique à son travail (cf notre postface à ses Personnalités planétaires, Ed Trédaniel; 1992, pp. 329 et seq). C'est ainsi que s'il n'aboutit à aucun résultat probant au delà de Saturne, cela tient au fait que l'astrologie est faite par les hommes ou par les hommes, ce qui implique l'existence d' une visibilité à l'oeil nu. L'Humanité devait forcément se limiter, dans son processus d'instrumentalisation, à des objets visibles dont on pouvait suivre la course à l'oeil nu quand bien même aurait-on tout iignoré quant à leur véritable nature intrinséque.
Cela dit, la question du passage du culturel au génétique fait probléme. Faut-il supposer un processus de prières adressées au totem céleste de chaque groupe socio-professionnel; en présence de l'astre se levant à l'horizon: encore un critère de visililité qui vaut également pour son passage sur le méridien du lieu concerné? A force, un certain conditionnement pavlovien aurait ainsi programmé génétiquement les membres de chaque "tribu", de chaque corporation, ce qui aura permis des siècles plus tard d'effectuer les observations et recoupements que l'on connait.
François Gauquelin s'interroge (p. 65) sur l'absence de résultats statistiques pour le Soleil, lequel n'aurait donc pas servi de marqueur céleste pour notre Humanité. Elle déclare que les planétes au delà de Saturne ne figurent pas dans leur tableau de chasse en raison de leur éloignement alors que le critère semble bien plutôt être celui de la visibilité! Elle signale sans nous citer notre édition des traités astrologiques d'Abraham Ibn Ezra (p. 39) pour son corpus, pour montrer que les descriptions des types planétaires des Gauquelin se retrouvent dans le dit corpus. En fait, une telle astrologie - que nous relions à la notion de "Nouvelle alliance" (Prophéte Jérémie ch. XXXI)- est selon nous une oeuvre qui échappe à l'humanité mais qui ne la détermine (Triade selon Dumézil), la structure, pas moins. La connaissance du moment de naissance n'était nullement une priorité dans l'Antiquité ou au Moyen Age, ce qui fait que l'astrologie gauquelinienne peut être qualifiée d'ésotérique.. Les gens ne pouvaient en aucune façon choisir une telle date. Autrement dit, cette astrologie échappe à la volonté humaine, par son caractère fugace à l'encontre de notre Astrologie EXOLS qui s'étale sur des périodes de 7 ans et qui fut la première à être instaurée, contrairement à ce que nous avons pu formuler antérieurement.
JHB 16 03 24
Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-5617118468851423859.post-14265612745501617122024-03-15T19:04:00.003+01:002024-03-15T19:05:42.834+01:00jacques halbronn autour des "Prévisions astrologiques pour le Troisiéme Millénaire" d'André Barbault (Dangles, 1999 ) jacques halbronn autour des "Prévisions astrologiques pour le Troisiéme Millénaire" d'André Barbault (Dangles, 1999 )
A la veille de l'An 2000, Barbault rendait dans son livre un hommage à Halley et à la Comète qui porte son nom dont le dernier passage datait de 1986 (cf notre communication au Colloque de Bayeux sur les cométes) Voilà qui montre l'allégeance de Barbault à la réalité astronomique, que l'on retrouve, sous une autre forme, chez un Jean-Pierre Nicola avec son RET. Il est clair que pour ces deux maîtres à penser astrologiques de la seconde moitié du siècle dernier, les astronomes, avec leurs découvertes successives, ont démontré qu'ils possédaient la clef de l'avenir de l'astrologie, d'autant qu'ils sont nés à l'astrologie ( respectivement en 1921 et 1928) sous les auspices de la découverte de Pluton (1930). En ce qui nous concerne, en revanche, après avoir suivi cette voie dans notre première édition des Clefs pour l'Astrologie (Seghers 1976), nous avons rompu avec une telle fascination en prônant une 'Astrologie selon Saturne" (1993-1995) laquelle non seulement s'arrêtait à Saturne mais en outre n'entendait nullement tenir compte du Septénaire dans son intégralité. Il nous apparut que l'on pataugeait dans la redondance et le double ou triple emploi en disposant de deux claviers, celui des dieux-planétes et celui des dieux-signes alors que le bon sens aurait voulu que face à ce clavier il y eut un curseur unique, jouant alternativement et successivement sur telle ou telle note. Rappelons en passant notre goût pour l'improvisation pianistique (cf Musimprovision, blogger). D'ailleurs, n'existait il pas une astrologie articulée sur un tel schéma, mais vilipendée par les tenants de l'heure de naissance (cf le Grand Livre des Prévisions de Nicola, Tchou), avec pour seul curseur le passage du soleil sur tel ou tel signe. C'est d'ailleurs cette astrologie qui reste encore de nos jours la plus populaire: sous quel signe êtes vous né?, demande-t-on couramment et d'ailleurs Barbault, en 1957, s'était illustré par la production collective de 12 petits volumes zodiacaux alors que Nicola, participera dans les années 80 à la série des Grands livres du Zodiaque chez Tchou, nous mêmes contribuant à celui sur le Sagittaire sans parler de la collection chez Solar, à la même époque..
Barbault aura préféré, dès les années 40-50, le polyplanétarisme en Astrologie Mondiale, ce qui ne faisait guère sens pour les astronomes qui n'apprécient guère la notion de conjonction entre deux planétes (et encore moins davantage) hormis la question des luminaires qui est un cas particulier propre à notre satellite , la Lune. Donc déjà cette notion de conjonction de planétes n'était pas recevable astronomiquement! Quant à se servir d'astres inconnus des Anciens, tout au long de l'Histoire de l'Humanité, jusqu'à la fin du xVIIIe siècle cela n"était pas anthropologiquement, et ne collait pas avec l'Inconscient Collectif jungien et avec une idée d'imprégnation céleste sur la longue durée.Autrement dit, les 3 dernières planétes, Uranus, Neptune et Pluton détronaient en quelque sorte Saturne et son cycle sidéral de 28 ans. Etrangement d'ailleurs, le cycle Saturne Neptune (cette planéte découverte en 1846!) cher à Barbault et ses 36 ans ne différait guère en durée de celui du seul Saturne, astre repéré de façon immémoriale. Qu'est ce qui allait empêcher Barbault de se centrer raisonnablement sur Saturne pour baliser le temps de nos sociétés? Barbault serait happé par une boite à Pandore! Gouchon sera le grand tentateur avec au sortir de la Seconde Guerre Mondiale, son "euréka" consistant à prendre un groupe de 5 planétes "lentes", de Jupiter à Pluton, lequel se serait formé par la voie conjonctionnelle, au cours des deux Guerres mondiales. La méthode, la recette étaient la suivante: vous prenez deux événements appelés "guerres mondiales" et vous observez ce qu'ils ont astronomiquement en commun et vous constatez donc les amas conjonctionnels dans les deux cas, ce qui devait conduite Barbault à nous annoncer - jamais deux sans trois- une troisiéme guerre mondiale pour le début des années 80, laquelle n'eut pas lieu, comme chacun sait. Nous pouvons témoigner de l'existence d'une telle attente dans le milieu astrologique bien plus forte que pour l'An 2000! Ainsi, Barbault raccrocherait l'astrologie d'une part à une astronomie qui n'en demandait pas tant et à un narratif historique qu'il prendrait pour argent comptant, négligeant une approche proprement astrologique!
Barbault en sera resté à l"idée, au credo d'une astrologie née de l'évolution sauvage-darwinienne- de la Nature et non, comme nous le pensons, manifestation d'un 'Intelligent Design" c'est à dire d'un plan, d'une architecture avec la régularité qui doit caractériser sa structure: égalité des périodes, ce qui n'est pas le cas de son "indice cyclique", ce qui était inévitable du fait même de ce mélange de planétes. Son graphique baroque avec ses hauts et ses bas, en dents de scie (cf pp 98,103, et 176) ne respecte pas une telle exigence sinusoïdale de cohérence mathématique, ce qui va à l'encontre du jardin à la française avec son impeccable géométrie versaillaise! Il nous faut parler d'ergonomie, à savoir penser une astrologie pour l'homme sinon par l'homme et donc de visibilité car un objet que l'on ne voit tant individuellement que collectivement perd de son utilité, ne peut servir et cela vaut notamment pour l'adoption par les astrologues, tout à fait inopportune, de planétes transsaturniennes vu que les astronomes n'ont pas, quant à eux, à penser le rapport du Ciel aux sociétés humaines. On observe que Barbault ne prend pas appui sur les données terrestres mais uniquement sur les célestes, et il ignore royalement le cycle des saisons dans son astrologie mondiale au profit de planétes invisibles. Il fait de l'astrologie "hors sol", celle des astronomes et non pas celle des astrologues qui ont les pieds sur terre! Pour notre part, nous ne croyons guère à une astrologie qui émanerait de la "Nature" mais bien plutôt en tant que résultat de l'instrumentalisation conduite par des intelligences humaines ou supra-humaines.
JHB 15 03 24Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-5617118468851423859.post-73611689758200262242024-03-15T16:59:00.003+01:002024-03-15T16:59:48.869+01:00jacques halbronn L'astrologie doit offrir une certaine ergonomie pour...<iframe width="480" height="270" src="https://youtube.com/embed/8UJ5M--fVGY?si=KUoOW5L6FFX6qD43" frameborder="0"></iframe>Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-5617118468851423859.post-16883748329818884682024-03-15T12:36:00.004+01:002024-03-15T12:36:20.793+01:00jacques halbronn Astrologie. EXOLS Les astres agissent par l'intermé...<iframe width="480" height="270" src="https://youtube.com/embed/bqqrSYzUKb4?si=UxmevhTpUee7DiUw" frameborder="0"></iframe>Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-5617118468851423859.post-38355082916575743962024-03-15T12:19:00.002+01:002024-03-15T12:19:59.880+01:00jacques halbronn L''astrologie ne peut fonctionner sans la visibilité...<iframe width="480" height="270" src="https://youtube.com/embed/Jfw6oVBzhRU?si=7D_J6uo3meX6Dmy5" frameborder="0"></iframe>Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-5617118468851423859.post-44435850304563663562024-03-12T16:49:00.005+01:002024-03-12T16:51:53.879+01:00jacques halbronn Linguistique nouvelles réfelxions sur la problématique des marqueurs en français.
jacques halbronn Linguistique nouvelles réfelxions sur la problématique des marqueurs en français.
Il est souhaitable pour son image que le français se montre exemplaire en matière de gestion de la langue. Dans ce sens, il importe qu'il respect rigoureusement une régle qu'il a certes établie mais qui souffre de beaucoup trop d'exceptions à savoir celle de l'occultation de la consonne finale laquelle d'ailleurs est un marqueur de genre et caractérise le passage du féminin au masculin alors que l'on enseigne souvent que l'on passe du masculin au féminin tout comme on passerait de l'oral à l'écrit, soit autant d'énormités au regard de la science linguistique telle que nous entendons la restituer. Le français oral, quand on le compare à l'hébreu péche en ce qui concerne la conjugaison de ses verbes , laquelle ne marque par le genre. Je mange, tu manges s'écrivent et se disent pareillement au masculin comme au féminin.
Toutefois, le français se rattrappe dès qu'il s'agit des adjectifs et des participes (passé, présent) vu que ces derniers sont en prise avec la conjugaison , j'écris, écrit, écrivant. Il apparaitrait donc nécessaire de préférer dans la mesure du possible l'usage des participes en lieu et place des formes verbales dont on abuse; Plutôt que de dire j'écris, ne vaudrait il pas mieux de dire "je suis écrivant(e)" d'autant que cela va dans le sens de l'écriture dite inclusive Rappelons que l'anglais ne respecte même pas les marqueurs propres aux adjectifs et aux participes à la différence de son "modéle" français; On devrait donc utiliser systématiquement les verbes auxiliaires à commencer par le verbe être.
Toutefois force est de constater une grave détérioration et incurie de la forme féminin des participes passés en français, en raison de l'usage de l'accent en lieu et place de la con-sonne finale. L'anglais a gardé le "d" du participe que le fran-çais aura fini par perdre complétement dans le cas de la pre-mière conjugaison. mangé au lieu de manged (avec un d muet mais qu'il faut noter), ce qui donne au féminin mangée! On est donc en présence d'une série de barba-rismes en "ée", empêchant de distinguer le genre à l'oreille sinon à l'écrit avec le double "ee" Cela vaut aussi pour des participes nominaux comme "une entrée", "une fessée" etc alors que les autres langues latines ne sont pas coupables d'une telle dérive avec leur usage du 'ado", et du "ata" pour leurs participes. Entrada. Uscita etc Cela dit, ces langues et cela vaut aussi pour l'hébreu recourent à des sur marqueurs de genre, ce qui atteste de leur volonté de marquer nettement la distinction masculin , féminin, assez mal respectée en français, comme on l'a montré. En revanche, dans le cas des adjectifs, le français semble bien irréprochable comme petite qui devient au masculin, selon un principe d'abréviation que nous avons formulé ailleurs, "petit" avec occultation du "t" On notera cependant qu'il existe un troisiéme type de participe que l 'on qualifiera de "virtuel", c'est le "signifiable" condition nécessaire à la dialectique signifié /signfiant, chère à Saussure. Ce participe ne comporte pas de marqueur de genre en français. Possible se dira ainsi pareillement pour les deux genres tout comme dans les autres langues latines. En hébreu, il est en revanche possible de faire la différence.
La question des marqueurs de nombre (s et x) fait-elle exception à la régle des consonnes finales en français? Ré-flexion faite, il ne semble pas que l'on puisse se permettre en français de ne pas marquer le pluriel au nom de la non-prononciation des consonnes finales. Cela signifie qu'au bout du compte, les hispanophones auraient raison de prononcer le "s" de "los", de "otros", de 'amigos", de "buenas tardes/noches" etc La réalisation du marqueur de nombre échappe donc à la dite régles. Ce qui est déjà le cas pour les "liaisons" comme dans la Marseillaise "Allons enfants de la patrie" où le son "z" s'impose, ce son servant aussi pour les pluriels en "s". Prenons le cas de l'adjectif na-tional, qui devient au pluriel "nationaux", avec disparition du L selon la régle de l'abréviation qui remplace la consonne L par la voyelle U. Faut-il ici prononcer le "x" de nationaux avec ou sans liaison laquelle en tout état de cause, donnera le son "z" et non "x" Est ce que la regle de la liaison, très souvent à l'oeuvre dans le cas du pluriel, intervient à son tour pour contourner la régle en question?.
Nous avons exposé un modéle ternaire, de type thèse/antithèse.synthèse On part du féminin, on abrége au masculin et on allonge au pluriel et pour former un substan-tif. Belle donne beau et beau donne beauté., donc on est dans une séquence long-bref-long. On aura donc le pluriel beaux doté d'un marqueur de genre avec une finale "x" qui n'est pas occultée, contrairement à la régle de la consonne finale non suivie d'un "e". Prenons le cas de "nationale" au féminin, on passe au masculin à nationa (l), avec un l qui s'écrit mais ne doit pas se prononcer puis à nationaux, qui prolonge et allonge nationa(l), le L n'étant finalement réalisé qu'au féminin, qui est le point de départ de la série. Le "x" de nationaux doit il s'"entendre même quand il n'y a pas liaison avec ce qui lui fait suite? Il nous semble raisonnable de réserver la prononciation du marqueur de genre aux cas de liaison: Les z amis, Les z autres. On pourrait même concevoir un signe diacritique spécifique comme pour l'accent et l'apostrophe
JHB 12 03 24
Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-5617118468851423859.post-47216392752407984712024-03-11T20:54:00.002+01:002024-03-11T20:54:41.891+01:00Jacques halbronn sur l'ouvrage de John Gray Les hommes viennent de Mars, les femmes de Vénusjacques halbronn sur l'ouvrage de John Gray Les hommes viennent de Mars, les femmes viennent de Vénus (Ed d'origine 1992)
Cet ouvrage aborde de front la question du genre, encore si taboue en France au nom d'une présumée, prétendue égalité qui dispenserait de mener à bien une telle investigation. La relecture de l'ouvrage de Gray met en évidence ce qui nous rapproche mais aussi nous sépare de cet auteur.
Certes, en signalant que les hommes ont tendance à voir plus haut "les choses importantes" que les femmes, Gray fournit une précieuse clef . Mais il semble ne vouloir 'aborder la psychisme masculin que sous l'angle de son rapport aux femmes, dans le cadre de la vie du couple. Or, nous avons montré que les femmes ont vocation à encourager les hommes à "réussir" au plus haut niveau et qu'elles sont attirées par les spéciméns les plus prometteurs, sur lesquels, elles parient, en quelque sorte. Elles sont dans la sphère du local alors que les hommes habitent la sphère du global. Et le désamour d'une femme tient surtout au fait qu'un homme en arrive à les décevoir et non parce qu'il les négligerait. Il importe que la femme reconnaisse ses limites et ne cherche pas à imiter l'homme et il ne faut pas non plus que l'homme s'efforce de faire comme la femme. Il y aurait là confusion des genres..
Par ailleurs, nous avons montré dans nos travaux sur les "topiques sensorielles" que le ça et le Surmoi des deux sexes différaient singulièrement, tout en étant, globalement, complémentaires. Il reste que la question du rapport à la parole n'est pas du même ordre et Gray reléve que la femme a plus besoin de déballer ses sentiments que l'homme. L'homme est plus sensible à la qualité des propos et trop de relâchement en ce domaine du fait des indiscrétions, du manque de contrôle quant à ce qui peut ou ne peut pas se dire, peut tout à fait poser probléme. Quand au relâchement masculin, il se situe dans une sensibilité olfactive moins développée ., mais cela peut aussi conditionner le rapport physique, l'homme ayant besoin de toucher la femme, ce qui peut l'indisposer si celle-ci n'en a pas pris son parti.
JHB 11 03 24Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-5617118468851423859.post-21994987542685555642024-03-11T17:03:00.002+01:002024-03-11T17:03:17.601+01:00jacques halbronn Astrologie. De Gaulle (46 et 69); Chirax (76 et 97), et François Hollande (2016) Etude de cinq reversacques halbronn Astrologie . De Gaulle (46 et 69), Chirac (76 et 97) et François Hollande (2016) Etude de cinq revers
Quand on fait le compte des démissions ou des renoncement entre 1946 et 2016, trois renoncements viennent immédiatement en mémoire, celui de De Gaulle en 1946, de Chirac en 1976 et celui de Hollande en 2016. Du côté des entreprises hasardeuses, l'on pense au référendum de 1969, voulu par de Gaulle et à la dissolution de l'Assemblée Nationale, conduisant à de nouvelles élections législatives en 1997, à 28 ans d'intervalles, donc avec des positions de Saturne indentiques, en phase équinoxiale.
Cela fait longtemps que nous avons émis l'hypothèse que la fin d'un conflit tenait à une forme de démotivation chez les protagonistes. Au prisme de notre nouvelle interprétation des phases de l'Astrologie EXOLS nous dirons que la phase solsticiale est marquée par une forme de dégonflement, de repli face à des perspectives jugées par trop ambitieuses. On pense à un mariage qui au dernier moment ne se fera pas, du fait d'une certaine angoisse de ce que peut réserver le futur. D'où une reculade devant l'obstacle, une renonciation, une déclaration de forfait qui sera ressentie comme décevante. Sur Internet "Élu président de la République en mai 2012 (voir L'élection de François Hollande à la présidence de la République en 2012), François Hollande annonce le 1er décembre 2016 qu'il renonce à briguer un second mandat. "J'ai décidé de ne pas être candidat à la présidentielle, au renouvellement de mon mandat", déclare-t-il en direct à la télévision au terme d'une allocution télévisée d'une dizaine de minutes prononcée depuis le palais de l'Élysée. Malgré une impopularité record, la décision de François Hollande surprend. Ce retrait est en effet sans précédent sous la Ve République: jamais, depuis 1958, un président de la République n'avait renoncé à se représenter après un seul mandat. Hormis Georges Pompidou, décédé pendant son septennat en 1974, tous les prédécesseurs de François Hollande s'étaient représentés à l'issue de leur premier mandat: le général de Gaulle en 1965, Valéry Giscard d'Estaing en 1981, François Mitterrand en 1988, Jacques Chirac en 2002 et Nicolas Sarkozy en 2007. Parmi tous les présidents ayant cherché à se faire réélire, seuls Valéry Giscard d'Estaing et Nicolas Sarkozy avaient été battus." Saturne est passé en Sagittaire, donc sur l'axe solsticial qui, selon notre nouvelle grille de lecture, risque de conduire à une mise en retrait non justifiée, ce qui ouvrira la voie à Emmanuel Macron. Dans le cas de De Gaulle, ce qui se produisit en 1969, reléve d'une phase équinoxiale et non solsticiale. Le général se sera acharné à proposer un référendum dont le résultats se révélait incertain. Sur Internet; Le 25 avril, le premier président de la Ve République souligne dans une ultime allocution radio-télévisée l'enjeu de la consultation s'agissant de son propre avenir : "Votre réponse va engager le destin de la France, parce que si je suis désavoué par une majorité d'entre vous, solennellement, sur un sujet capital, et quels que puissent être le nombre, l'ardeur et le dévouement de l'armée de ceux qui me soutiennent, et qui, de toute façon, détiennent l'avenir de la patrie, ma tâche actuelle de chef de l'Etat deviendra évidemment impossible". Fortement ébranlé par la révolte étudiante et les grèves de mai-juin 68, malgré la victoire gaulliste écrasante aux législatives de la fin juin, de Gaulle, qui a alors 78 ans, ne réussira pas à rassembler son camp dans cet ultime combat politique. Quinze jours avant le referendum, il pressentait l'échec, selon son entourage." Contraste entre ces deux moments: Hollande renonce à ce qui pouvait à sa portée, en phase solsticiale tandis que de Gaulle va dans le mur, par défi. En 69 on est en phase équinoxiale, en 2012 en phase solsticiale Abordons à présent le cas de Jacques Chirac, sous Giscard.
Sur Internet "Le 25 août 1976, au prétexte de ne pas disposer des moyens nécessaires à sa politique, il donne donc sa démission. Il est le premier Premier ministre à démissionner sous la Cinquième République. Raymond Barre, ministre du Commerce extérieur depuis le 12 janvier 1976, lui succède à Matignon." On note que la démission de Chirac suivit de 7 ans celle de De Gaulle, et elle correspond à des contextes opposés. En revanche, elle est du même type que celle de Hollande, à 40 ans de distance, en phase solsticiale..
Sur Internet
En octobre 1945 ont lieu les premières élections législatives de l’après-guerre. Le Parti communiste (PCF) en sort vainqueur, suivi du Mouvement républicain populaire (chrétiens-démocrates, MRP) et de la Section française de l’Internationale ouvrière (socialistes, SFIO). La nouvelle assemblée penche donc largement à gauche, mais de Gaulle est reconduit à la tête du gouvernement. Il n’y reste pas longtemps, car ses rapports avec la chambre des députés se brouillent vite. De Gaulle pense que sa démission le 20 janvier 1946 agira comme un électrochoc qui amènera le MRP à le rappeler. Or, il n’en est rien, car le MRP s’accommode de son départ et s’entend avec le PCF et la SFIO pour gouverner et mettre en place de nouvelles institutions"
Ce départ du général en janvier 46 eut lieu avec Saturne en Cancer, donc en phase solsticiale tout comme pour Chirac et Hollande En fait 30 ans avant celui de Chirac en 76. De Gaulle n'était pas obligé de partir, cela tient à un processus intérieure, un probléme de conscience..
A son tour Chirac va jouer le tout pour le tout, en 1997, en phase équinoxiale (Saturne en bélier)
Sur Internet
'Le 21 avril 1997, à l'étonnement général, le président de la République annonce la dissolution de l'Assemblée nationale et la tenue d'élections générales les 25 mai et 1er juin suivants. Jacques Chirac ne dispose-t-il pas d'une énorme majorité à l'Assemblée ?
Pour Jean-Jacques Becker, le décalage entre le discrédit dans lequel, en si peu de temps, l'exécutif était tombé et l'impossibilité pour l'opinion de trouver un porte-parole dans la représentation parlementaire, où l'opposition était réduite à une portion extrêmement congrue, avait été probablement aussi une des causes profondes de la crise de 1995. La rue seule permettait de se faire entendre. En outre, poursuit J-J Becker, la contrepartie de la stabilité gouvernementale de la Ve République était qu'en cas de crise, il n'y avait pas de valve de sécurité. De sorte qu'en 1996, après la secousse de 1995, il n'y avait eu aucun changement à la tête du gouvernement.
Pourquoi ne pas attendre les élections législatives, qui devaient avoir lieu en 1998 ?"
Chirac va perdre, comme on sait, son pari comme cela avait été le cas en 1969 pour de Gaulle.
JHB 11 03 24Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-5617118468851423859.post-90984300763931484062024-03-10T13:04:00.000+01:002024-03-10T13:04:01.462+01:00jacques halbronn Astrologie. Le cycle, l'alternance des tentationsjacques halbronn Astrologie, le cycle, l'alternance des tentations.
Sur Internet:
" Dans la nouvelle traduction du "Notre Père", validée par le Vatican, la supplique "ne nous soumets pas à la tentation", datant de 1966 et donnant à penser que Dieu tentait le fidèle pour l'éprouver, deviendra "ne nous laisse pas entrer en tentation".
et
"L'Evangile selon Marc (...) mentionne la tentation de Jésus au désert d'une simple phrase : « Durant quarante jours, au désert, il fut tenté par Satan. Il était avec les bêtes sauvages et les anges le servaient ».
Nous rapprocherons ces textes du " errare humanum est. Persverare diabolicum" et de "il n'est point besoin d'espérer pour entreprendre ni de réussir pour persévérer"
On proposera ici une nouvelle lecture de la cyclicité telle que définie en Astrologie EXOLS,, ce qui présentera l'alternance sous un tout nouveau jour sur le plan théologique et théocratique. L'astrologie, désormais, nous apparait comme le cycle des échecs et des défis auxquels nous sommes confrontés et cela sous deux formes/tentations contraires.
En phase solsticiale, le risque est d'abandonner une action, un projet , une entreprise qui aurait pu et dû se poursuivre, par découragement, par peur de l'avenir.
En phase équinoxiale, le risque inverse sera de persévérer, de s'acharner contre toute évidence, dans une direction aventureuse, hasardeuse au lieu d'y renoncer au moment opportune.
Dans le cas de De Gaulle, par exemple, on peut parler d'un double fourvoiement entre 1961 et 1969: gestion malheureuse de l'indépendance de l'Algérie et bradage de l'empire colonial africain (AOF etc) suivie 7 ans plus tard d'un référendum problématique qui le conduira en 1969 à démissionner. Dans un cas, tentation "solsticiale", dans l'autre tentation "équinoxiale". Et l'on comprend mieux l'injonction du Notre Père.
Qu'en penser sur le plan théologique? Est ce la par du diable auquel Dieu permettrait de nous tenter, de nous mettre en tout cas à l'épreuve ou bien est ce là une sorte de chemin initiatique, de purification, de catharsis par lequel nos existences devraient passer, l'épreuve du feu?
Toujours est-il que l'on cerne mieux ce qui pourrait être la fonction de l'astrologie, à savoir de nous accompagner dans ce parcours du combattant lequel fait alterner des enjeux opposés, de sept ans en sept ans.
La consultation/coaching astrologique, notamment à l'intention des chefs, consistera donc à leur éviter certains écueils, de les prévenir, dans tous les sens du terme, à savoir éviter et être averti ("un homme averti en vaut deux")
JHB 10 03 24Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-5617118468851423859.post-45181586365139541642024-03-09T21:30:00.002+01:002024-03-09T21:30:29.535+01:00jacques halbronn L'astrologie apporte des causes subjectives et non pas objectivesjacques halbronn L'astrologie apporte des causes subjectives et non pas objectives
On connait l'adage « Point n'est besoin d'espérer pour entreprendre ni de réussir pour persévérer. » Mais on peut aussi inverser la formule ; point n'est besoin d'échouer pour renoncer. .. Ce sont ces deux cas de figure qui, selon nous, sont la clef de la prévision astrologique et mettent en évidence toute sa spécificité, à savoir que le monde spirituel pése plus lourd que le monde matériel. Nous avons déjà évoqué la fin de la Guerre d'Algérie laquelle n'est pas la conséquence d'une défait militaire mais à un changement de valeurs et de motivation lié au passage de Saturne en phase solsticiale, laquelle est plus dans les enjeux à court terme qu'à long terme, avec un certain manque d'envergure à la clef et l'on pourrait en dire autant de la fin de l'URSS, ce qui correspond à un "découragement", on n'a plus littéralement de "coeur à l'ouvrage". Mais pour en revenir à notre adage, l'on peut tout à fait se lancer dans une opération qui ne semble pas vraiment vouée au succés et s'acharner à persévérer. Puis, à un certain moment, on va baisser les bras, parce que Saturne nous aura fait passer de la mentalité équinoxiale à la mentalité solsticiale.
Autrement dit, le propre de l'astrologie serait de l'ordre de l'improbable et il n'y aurait guère de mérite à annoncer ce qui est dicté par les faits concrets, dans un sens ou dans un autre. De même, que vaut un "voyant" qui parlerait comme le premier journaliste venu en déballant des "évidences" de "bon sens". Or on aura compris que l'astrologie se situe au delà du "bon sens", vertu sur laquelle Descartes ironisa tant elle semblait la mieux répandue.
Il est clair, à nos yeux que l'on n'acquiert un certain pouvoir qu'en allant à contre courant car c'est là qu'on se révéle indispensable et inversement, celui qui se limite à des banalités, à des platitudes, risque de ne pas faire long feu dans l'arène.
Ainsi, cela nous conduit à ne pas exagérer la portée d'une défaite ou d'une réussite car cela tient à des processus qui ne sont pas ceux que l'on croit, ce qui éviterait les narratifs surréalistes où l'on s'imagine que l'on aura vaincu l'autre alors que c'est l'autre qui se sera vaincu lui même, se tirant une balle dans le pied. Et inversement, l'on peut s'imaginer que telle personne aura réussi grâce à nos encouragements alors que c'est une nouvelle énergie qui aura circulé en elle et déclenché un sursaut! JHB 09 03 24Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-5617118468851423859.post-84871869433022453412024-03-09T16:43:00.003+01:002024-03-09T16:43:53.604+01:00jacques halbronn Une bonne gouvernance doit assumer/gérer la dualité ...<iframe width="480" height="270" src="https://youtube.com/embed/aGqJ6PlvQmI?si=zRNsBiPrxHBo2W8h" frameborder="0"></iframe>Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-5617118468851423859.post-63405993510290535232024-03-09T16:36:00.002+01:002024-03-09T16:36:53.406+01:00Jacques halbronn Astrologie et théologie biblique versus Astrologie...<iframe width="480" height="270" src="https://youtube.com/embed/Y1SzfmYBoSU?si=2NoBdemhwFPOTcta" frameborder="0"></iframe>Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-5617118468851423859.post-7642490629041795852024-03-08T17:20:00.011+01:002024-03-08T17:58:39.333+01:00 jacques halbronn Linguistique comparée. Ce que le français peut apporter à l’hébreu moderne Sur Internet
"Un shewa est un signe diacritique de l'alphabet hébraïque. Il sert à noter : soit une voyelle très brève [ə], analogue à un e « muet » en français (« maintenant »). Dans ce cas, il est appelé shewa mobile"."ségol. Formé de trois points placés sous une consonne, le ségol produit le son « é » comme dans « été ».
tséré. Les deux points du tséré ajoute le « é » à une lettre.
sh’va. Placé sous une consonne, le sh’va ajoute le son « e »."
jacques halbronn Linguistique comparée. Ce que le français peut apporter à l’hébreu moderne
Nous pronons une approche dualiste des langues, ce qui signifié que tout concept doit comporter un double aspect. Dans le cas des langues, la distinction entre consonnes et voyelles est absolument centrale, pivotale. Le français, comme nous avons eu l'occasion de le montrer agit sur ces deux plans, favorisant tantot le pôle voyelles, tantot le pôle consonnes, ce qui est en accord avec l'esprit du premier chapitre du Livre de la Genèse , sur une création façonnée à l'image de son Créateur. Le français dispose de la lettre 'e" qui par elle même n'est ni une consonne ni une voyaele mais structure alternativement ces deux plans selon que cette lettre se place devant ou derrière une consonne. Quand elle est avant, elle occulte celle-ci, quand elle vient après, elle renforce la présence de la dite consonne. Si l'on compare avec la condition actuelle de l'hébreu, le "sheva" conduit à occulte les voyelles au profit des consonnes. Ainsi, kotev (écrire) donne likhtov, avec disparition du son "o", ce qui crée une combinatoire de consonnes, le kaph et le thav, qui n'aurait pas eu lieu autrement En revanche, l'hébreu moderne ne respecte pas le princioe inverse visant à renforcer le pôle voyelles. Pernons le cas du verbe medaber (parler) le resh ne devrait pas être prononcé, comme dans le cas de l'infinitif français manger, avec le E devant le r, lequel évacue le son "r".En revanche, au futur, je mangerai, le e permet à l'oral de relier les consonnes g et le r., On trouve dans les grammaires actuelles:
. — Je parle hébreu, Ani médabér ivrit, אֲנִי מְדַבֵּר עִבְרִית. Je parle, Ani médaber / médabérète, אֲנִי מְדַבֵּר / אֲנִי מְדַבֶּרֶת. Je dis, Ani omer / omérète Dès lors que l'on prononce le resh final en hébreu, on est obligé pour marquer le féminin de recourir à un "sur-marqueur" de genre, en "ete" alors que le bon usage devrait être medabe(r) au masculin et medaber au féminin sur le modéle du français, ce qui vaut aussi pour d'autres voyelles comme "" petit, avec un t non oralisé /petite.. On rencontre le même probléme pour les adjectifs et cette fois le sur-marqueur de l'hébreu est en "a" comme gadol/guedola au lieu de gado(l)-gadol! Il y aurait donc ici une asymétrie en hébreu entre le traitement des voyelles, qui permet le rapprochement entre consonnes alors que le traitement des consones ne pemet pas au pole voyelles de s'affirmer de son côté. Il conviendrait donc de renforcer le ségol face au sheva. pour que l'hébreu retrouve la cohérence structurelle du français!
JHB 08 03 24Unknownnoreply@blogger.com0