mardi 26 avril 2022

Jacques Halbronn Réflexions autour du "mliracle" de la Résurrection de Jésus.

jacques Halbronn Réflexions autour du « miracle » de la Résurrection de Jésus On est en droit de regretter que Jésus soit mort si tôt – à 33 ans, dit-on et ce pour plusieurs raisons. D’une part, parce qu’il n’aura pas eu le temps de faire ses preuves au cours d’une durée « normale » de vie. Ces preuves se situent sur un temps qui nous semble trop court, ne permettant pas de récurrence, c’est à dire de « retour », de « come back » après une période suspensive, une parenthèse comme dans le cas de De Gaulle. Or, la crucifixion survenue alors interdisait, du fait de la mort -même si l’idée de résurrection réfutait celle de mort-une continuation du ministère de Jésus. Il nous semble, en effet, que la condition humaine s’inscrit dans une certaine durée qui donne du temps au temps, c’est à dire, selon notre Astrologie EXOLS, un certain nombre d’alternances de périodes de 7 ans.(cf le Songe de Pharaon sur les vaches). On reste donc quelque peu sur sa faim face au récit des Evangiles car épistémologiquement, nous avons besoin que les choses se reproduisent à certains intervalles, ce qui est selon nous un des principes du Plan Divin. Il est donc assez dérangeant de noter que cette mort inopinée détone par rapport à un certain ordre des choses. JHB 26 04 22

Jacques Halbronn. Théologie et "Intelligent design"

jacques Halbronn Théologie et « intelligent design » autour de la Nouvelle Alliance Selon nous, la moindre des choses est de considérer les entités que l’on appelle « Dieu » à l’instar des auteurs d’une Constitution, dans l’esprit de la fin du XVIIIe siècle mais aussi comme des architectes, des ingénieurs, respectant une certaine ergonomie. On ne saurait confondre cependant les savoirs des pères des dites Constitutions avec ceux de ces « dieux ». Dans un cas, il s’agit d’une oeuvre humaine et dans l’autre d’une oeuvre divine et une oeuvre divine ne saurait dépendre des humains. Il y a certes dans le Livre de Jérémie (XXXI, 31) l’idée selon laquelle les dieux pourraient modifier leurs plans en cours de route. C’est le fameux passage de l’Ancienne à la Nouvelle Alliance, où l’on nous explique qu’une certaine désobéissance aux lois divines va contraindre à prendre des mesure plus rigoureuses de sorte que la désobéissance ne sera plus possible. ל הִנֵּה יָמִים בָּאִים, נְאֻם-יְהוָה; וְכָרַתִּי, אֶת-בֵּית יִשְׂרָאֵל וְאֶת-בֵּית יְהוּדָה–בְּרִית חֲדָשָׁה. 30 Voici, des jours vont venir, dit le Seigneur, où je conclurai avec la maison d’Israël et la maison de Juda une alliance nouvelle, לא לֹא כַבְּרִית, אֲשֶׁר כָּרַתִּי אֶת-אֲבוֹתָם, בְּיוֹם הֶחֱזִיקִי בְיָדָם, לְהוֹצִיאָם מֵאֶרֶץ מִצְרָיִם: אֲשֶׁר-הֵמָּה הֵפֵרוּ אֶת-בְּרִיתִי, וְאָנֹכִי בָּעַלְתִּי בָם–נְאֻם-יְהוָה. 31 qui ne sera pas comme l’alliance que j’ai conclue avec leurs pères le jour où je les ai pris par la main pour les tirer du pays d’Egypte, alliance qu’ils ont rompue, eux, alors que je les avais étroitement unis à moi, dit le Seigneur. לב כִּי זֹאת הַבְּרִית אֲשֶׁר אֶכְרֹת אֶת-בֵּית יִשְׂרָאֵל אַחֲרֵי הַיָּמִים הָהֵם, נְאֻם-יְהוָה, נָתַתִּי אֶת-תּוֹרָתִי בְּקִרְבָּם, וְעַל-לִבָּם אֶכְתְּבֶנָּה; וְהָיִיתִי לָהֶם לֵאלֹהִים, וְהֵמָּה יִהְיוּ-לִי לְעָם. 32 Mais voici quelle alliance je conclurai avec la maison d’Israël, au terme de cette époque, dit l’Eternel: Je ferai pénétrer ma loi en eux, c’est dans leur coeur que je l’inscrirai; je serai leur Dieu et ils seront mon peuple. לג וְלֹא יְלַמְּדוּ עוֹד, אִישׁ אֶת-רֵעֵהוּ וְאִישׁ אֶת-אָחִיו לֵאמֹר, דְּעוּ, אֶת-יְהוָה: כִּי-כוּלָּם יֵדְעוּ אוֹתִי לְמִקְּטַנָּם וְעַד-גְּדוֹלָם, נְאֻם-יְהוָה–כִּי אֶסְלַח לַעֲוֺנָם, וּלְחַטָּאתָם לֹא אֶזְכָּר-עוֹד. {ס} 33 Et ils n’auront plus besoin ni les uns ni les autres de s’instruire mutuellement en disant: « Reconnaissez l’Eternel! » Car tous, ils me connaîtront, du plus petit au plus grand, dit l’Eternel, quand j’aurai pardonné leurs fautes et effacé jusqu’au souvenir de leurs péchés. Il convient ici de souligner qu’il s’agit ici exclusivement du « peuple élu » et non pas de l’Humanité toute entière. Certes, il est question dans ce texte d’un temps à venir: »Mais voici quelle alliance je conclurai avec la maison d’Israël, au terme de cette époque, dit l’Eternel ». Jésus a pu penser que le temps était venu de l’avénement de cette « nouvelle alliance » annoncée par Jérémie (texte repris dans l’Epitre aux Hébreux, dans le Nouveau Testament) mais la « désobéissance » que mettent en avant les Chrétiens pour affirmer que les Juifs ne sont plus dans le cadre de l’Alliance prévue par « Dieu » reléve d’un contre sens. A aucun moment Jérémie n’envisage de changer d’interlocuteur. Par ailleurs, la mise en oeuvre de cette « Nouvelle Alliance » n’est nullement à la portée des humains. Est-ce pour cela que l’on aura voulu que Jésus ait une dimension divine, ce qui lui aurait permis, d’instaurer la dite Nouvelle Alliance? En fait, il conviendrait de situer à quelle époque le texte véhiculé par le Livre de Jérémie se situer. Selon nous, l’existence même de l’astrologie serait la marque de cette Nouvelle Alliance, de par la dimension « mécanique » de l’astrologie. Autrement dit, nous serions déjà depuis longtemps dans le temps de cette Nouvelle Alliance et le texte de Jérémie replacerait dans un futur plus ou moins lointain une échéance déjà atteinte. Ce cas de figure nous est assez familier (cf Le Texte prophétique en France. Formation et Fortune, Presses Universitaires du Septentrion, 1999) JHB 26 04 22

Jacques Halbronn Pour une redéfinition du "zodiaque" au regard de l'astrologie.

Jacques Halbronn Pour une redéfinition du « zodiaque » au regard de l’astrologie. Wikipedia: »Le zodiaque (prononcé [zo.djak] en français) est une zone circulaire (de 360 degrés de long et 17 degrés de large) de la sphère céleste, dont l’écliptique occupe le milieu (l’écliptique prolonge dans l’espace l’orbite de la Terre autour du Soleil)1. Le zodiaque est aussi la zone dans laquelle, à nos yeux de Terriens, les planètes du système solaire effectuent leur course apparente autour de notre planète. Il y a une différence d’acception du terme zodiaque : zodiaque astronomique (zodiaque de treize constellations que le Soleil semble traverser en une année) et zodiaque astrologique (zodiaque des douze signes astrologiques de trente degrés chacun que le Soleil semble aussi traverser en une année). » Selon nous, il ne convient pas de situer le Zodiaque du côté du « firmament », en tant que lieu de passage des planétes mais de le replacer dans le cadre du cycle saisonnier. Cela permet de respecter, de mettre en évidence, une certaine dualité entre ce qui reléve du Ciel et ce qui reléve de la Terre. Or, le Zodiaque appartient à la sphère de cette dernière et la définition mentionnée plus haut prête certainement à confusion. Or elle est largement véhiculée par les astrologues. Il conviendra donc de rappeler que le dispositif zodiacal, sur le plan symbolique, s’articule autour des axes équinoxiaux et solsticiaux, ce que tend à occulter la division en 12 secteurs ou encore le découpage en quadruplicités (signes cardinaux fixes, mutables), où chaque saison se voit divisée en trois. A l’origine du symbolisme zodiacal, nous avons (cf les Très Riches Heures du Duc de Berry), pour chaque saison, trois « scénes » censées illustrer la vie rurale et les coutumes sociales y correspondant. C’est ainsi que le mois de mai est celui des amours dans l’iconographie des moeurs. Il y a certes, une dimension météorologique dans ce découpage mais il ne faudrait pas en exclure les représentations éthnologiques. Selon nous, le Zodiaque est centré sur les dits axes équinoxiaux et solsticiaux, les autres découpages étant tout à fait secondaires. Or, cette dimension équinoxiale et solsticiale nous apparait comme réduite à peu de choses dans la doxa astrologique à telle enseigne que ces expressions d’équinoxiale et de solsticiale, n’y sont guère employées et commentées sauf dans le cas du « point vernal » pour les « ères précessionnelles » (cf toutefois l’article en langue anglaise de Maria DeSimon, « Equinoxes , Solstices and Astrology »). Or, pour nous, cette terminologie est matricielle en astrologie en ce qu’elle s’appuie sur des phénoménes bien définis à la difference du découpage en 12 (souvent associé aux 12 rencontres soli-lunaires et aux mois de l’année. JHB 26 04 22