jeudi 18 avril 2024

jacques halbronn Réflexions autour d'une préface de Raymond Abellio à un ouvrage d'astrologie

jacques halbronn Réflexions autour d'une préface de Raymond Abellio à un ouvrage d'astrologie En 1977 parut chez Dervy (Collection La Roue Céleste") "l'Astrologie rencontre la Science" de Jean Barets avec une préface d'Abellio (pp; 7-11). En 1979, nous avions fait paraitre dans Aquarius ou la Nouvelle Ere du verseau (ed Albatros), un entretien qu'Abellio nous avait accordé. l'ouvrage de Barets traitait d'une certaine approche statistique de l'astrologie. Pour Abellio, cela doit "servir à des fins de vérification et non de découverte". Faut il comprendre qu'il y aurait un savoir astrologique opérationnel institué à valider et non pas une théorie venant s'appliquer à partir d'observations sur le terrain? Pour Abellio, le foisonnement des données brassés par l'astrologie serait le garant même de sa vocation. Rappelons qu'André Barbault avait publié en 1955 sa Défense et Illustration de l'Astrologie, aux Ed. Grasset, dans une collecion dirigée par le dit Abellio. Dans de La Psychanalyse à l'astrologie (Ed Seuil, 1961); Barbault détermine la vocation de l'astrologie personnelle à l'aune d'un tel foisonnement , comme si l'infini de l'astronomie et donc de l'astrologie devait conduire a explorer l'infini de la psyché humaine/ Abellio met en garde contre toute approche réductionniste que favoriserait l'usage de la statistique alors que, précisément, pour nous, le salut de l'astrologie passe justement par une telle décantation, à l'instar du travail d'un Michel Gauquelin! 18 04 24

jacques halbronn Anthropolinguistique. L'astronomie féminine, l'astrologie masculine

jacques halbronn Anthropolinguistique. L'astronomie féminine, l'astrologie masculine Nos travaux d'ordre linguistique auront mis en évidence une certaine alchimie, consistant en un processus de décantation, de "réduction", d'abréviation comme la production de diphtongues. Or, il apparait que les rapports entre Astronomie et Astrologie peuvent tout à fait être analysés, décryptés à partir d'un tel modéle, ce que les historiens de l'astrologie, dans leur immense majorité devraient tôt ou tard finir par intégrer. Ceux -ci nous expliquent que l'astronomie est venue enrichir l'astrologie du fait de ses découvertes (cf Rencontre avec Frédéric Louvet pp. XXIX Les dossiers de l'Histoire, 1985 sur l'Astrologie. 1986) Nous dirons que l'astrologie est à considérer comme une lecture de livre ouvert qui obéit aux régles de la linguistique telles que nous les avons définies; A savoir, au commencement, comme dit le livre de la Genése, un matériau (tohubohu) demandant à être structuré, modelé. Ne pas comprendre cela, c'est assimiler l'oral à l'écrit, alors que l'oral est la transcendance de l'écrit, sa sublimation. On lit trop souvent sous la plume d'astrologues "sérieux", qu'il faudrait ne rien "jeter" de ce qui s'offre à nous au niveau cosmique, s'engager à tenir compte de tout ce qui nous est donné à voir, tant à l'oeil nu que par le biais de la lunette ou du télescope. D'où le mépris affiché à l'encontre de ceux qui oseraient simplifier, donc appauvrir, le clavier céleste alors même que les astronomes s'offriraient à l'étendre indéfiniment. Ces bonnes âmes ne comprennent pas à quel point elles font fausse route et nuisent terriblement à la cause astrologique de la même façon que ceux qui n'ont pas appris à respecter l'écrit de la langue française pour en tirer la substantifique moelle. Sur le web: "Extraire « la substantifique moelle » de quelque chose, c'est en retenir ce qu'il y a de meilleur, de plus précieux ou de plus profond". C'est donc séparer le bon grain de l'ivraie/ En ce sens une astrologie qui ne garderait comme moteur qu'un seul et unique astre obéirait à cette logique de la décantation qui sous -tend le systéme électoral, passant du quantitatif au qualitatif, ce qui est aussi la question de la Royauté, d'un Jésus entouré de ses apôtres; De nos jours, les astrologues traitent le soleil comme un astre parmi d'autres, lui accordent un signe zodiacal comme aux autres. Enorme contre-sens! JHB 18 04 24

Jacques halbronn Psychosociologie. Le démon de la liberté et les invertis

jacques halbronn Psychosociologie Le démon de la liberté et les invertis La problématique sensorielle est un marqueur social fondamental au prisme de l'anthropolinguistique en ce que cela distingue très nettement les hommes et les femmes, tout en mettant en évidence un troisiéme type "neutre" qui couvre le monde des "invertis". L'homme inverti est marqué par un "ça" féminin, avec une liberté de parole et un manque de (re)tenue, un laisser aller caractéristique du ça de l'ouie et de la vue.. En revanche, son rapport à la propreté du corps et du vetement sera impacté par le Surmoi de l'odorat et du toucher propres aux femmes. En ce qui concerne le toucher, il ne faut pas compter sur l'homme inverti pour agir librement, sans prévenir, sans s'assurer du consentement de la femme, en raison d'une certaine timidité. Autant de points qui seront perçus comme positifs par les femmes qui se plaignent tant du viol et des odeurs de mâles! Cet homme inverti sera mal vu par ses congénéres "normaux" et aura tendance à faire groupe avec ses pareils vu que ses manières ne plaisent guère à ces derniers. Cet homme sera mieux en phase avec des femmes "normalement" constituées. Quid de la femme invertie? Elle sera appréciée par les hommes "normaux" en ce qu'elle n'a pas les défauts des femmes "normales". Elle ne laisse pas libre cours à sa parole et elle n'est pas trop maniaque côté propreté. En ce sens, les femmes "normales" ne l'apprécieront guère. C'est dire que les libertés des uns ont un effet répulsif et se heurtent à des allergies sensorielles si bien que le couple nous apparait comme la solution idéale pour les invertis dans les conditions exposées plus haut. JHB 18 04 24

jacques halbronn Linguistique comparée . L'ésotérisme de la prononciation de l'écrirt français

jacques Halbronn Linguistique comparée L'ésotérisme de la prononciation de l'écrit français La langue française comporte une dimension initiatique qui passe par l'apprentissage de combinatoires de voyelles d'une part, de consonnes de l'autre. Et l'on voit que les langues qui empruntent au français ou les locuteurs étrangers qui veulent parler cette langue buttent sur la réalisation des dites combinatoires. C'est ainsi que l'anglais ne parvient pas à prononcer "possible" ou "centre" qu'il va rendre sous la forme orale ou écrite "possibel" (à la place de possible), "center" (à la place de centre) Cela correspond à des marqueurs de genre que le français d'ailleurs n'exploite plus correctement d'où le caractère prétendument neutre de "possible" alors que "possibel " est féminin et possible masculin, ce dernier étant plus bref et c'est cette réduction qui exige un certain entrainement Cette série en "ble" correspond à ce que nous appelons "participe futur". Quant à l'allemand, dans ses emprunts au français, il va buter sur les diphtongues, le "un" du français est à opposer au "ein" de l'allemand lequel ne parvient pas à éliminer à l'oral le 'n" et est contraint par marquer le genre à prononcer le "e" final -eine' ce qui est un contre sens puisque, en français, le e final ne s'entend pas et permet de réaliser la consonne finale : grande/grand, là encore on voit que le masculin est plus ramassé, plus contracté, que le féminin. Il apparait que certains codes se sont perdus en route et que pour les réactiver l'on aura recouru à des surmarqueurs comme l'apostrophe et l'accent mais aussi au double ll venant s'intercaler entre le I et le E (mouie /mouille) ou le Y qui remplace le IE comme on le voit en anglais avec city retrouvant au pluriel le IE avec cities Le français joie, donne joyeux et l'anglais le rend par "joy" JHB 18 04 24