mercredi 6 décembre 2023

jacques halbronn Réflexions sur ses deux éditions de Clefs pour l'astrologie 1976 et 1993 (Ed Seghers)

jacques halbronn Réflexions sur ses deux éditions de Clefs pour l'Astrologie. 1976 et 1993. (Ed Seghers) Plus de 16 ans s'écoulèrent entre les deux éditions et il nous a paru intéressant de nous demander d'étudier ce qui les distingue. En 1993, nous avions adopté une approche, celle de la cosmothérapie, laquelle présentait l'astrologie non point tant comme un mode d'information que comme un mode de communication. Entendons par là que le praticien devait recourir au langage choisi par son client sans avoir à y adhérer en tombant dans le contre-transfert. En ce sens l'enseignement de l'astrologie consistait à maitriser le langage astrologique et à savoir relier son ressenti face au client avec les données de son thème natal. En 1991, nous avions publié "L'Astrologue face à son client. Les ficelles du métier" qui sera traduit en anglais par Geoffrey Dean. En ce qui concerne l'astrologie mondiale, en revanche, nous proposions un modéle opérationnel dans un tout autre état d'esprit sous le titre de "paradigme universel", et nous l'exposerions en 1994 dans une brochure intulée "L'astrologie selon Saturne" ce qui consistait à en une étude sur deux siècles, de 1789 à 1995, ponctuée par le passage de Saturne sur le point vernal. En 1993, année où nous publions notre article Astrologie dans l'Encyclopaedia Universalis, nous mettions l'accent sur le passage de Saturne sur les axes équinoxiaux et solsticiaux Une "table des phases de Saturne pour le XXe siècke" était fournie (p. 135) commentée par "Le cycle saturnien au XXe siècle" Nous y faisions la critique de l'indice cyclique qui ne permettait pas un découpage en périodes de durée identique. Nous résumions notre lecture cycle ainsi: (p. 134): "deux cas de figure, la phase équinoxiale qui était déclenchée par le passage de Saturne sur l'un des deux points équinoxiaux (0° béliet; 0° Balance faisait diminuer le nombre d'entités indépendantes tandis que la phase solsticiale (...) provoquait leur augmentation. Chaque phase correspondait à 7 années". Les événements de 1989-1991 dans le monde communiste attestaient de cette lecture du fait de le démantélement solsticial de certains ensemble politiques. Mais venons en à la première édition de 1976 dotée de plusieurs graphiques (pp 148-157) autour de 4 planétes, Mars, Jupiter, Saturne et Uranus. La même année, dans la revue Cosmopolitan, nous produisions un gros dossier intitulé "L'astrologie sensorielle", articulé sur ce même quatuor (auquel nous renoncerons par la suite comme on a pu le noter). Nous y proposions une batterie de tests autour des "sens" et l'appartenance à telle catégorie sensorielle déterminait la dépendance par rapport à un certain cycle planétaire. Mais ce n'est que récemment que nous avons établi une connexion non plus entre les sens et les planétes mais entre les sens et les deux sexes, dans le cadre d'une anthropocosmologie reliée à la psychanalyse et aux topiques freudiennes.(cf nos "topiques sensorielles") Nous utilisions alors dans nos premières Clefs (traduites en espagnol dès 1978) les codes M pour Multiplicité et U pour Unicité, ce qui reprenait étrangement le sigle de notre association fondée en 1975, le MAU, Mouvement Astrologique Universitaire. Alors, nous proposions deux courbes, une grande, pour la relation planéte/axes saisonniers et une petite pour la rencontre annuelle planéte/soleil. On voit donc qu'entre 1976 et 1993, nous avions opté pour une seule et unique planéte, Saturne et ce fut là en effet une avancée épistémologique majeure. Entre ces deux dates, rappelons qu'en 1986 (ed Artefact), nous avions publié "La pensée astrologique" en préambule à une réédition de l'Histoire de l'Astrologie de Serge Hutin(1968, ed Marabout) En 1983, nous avions publié nos Mathématiques Divinatoires (Préface de Jean Charles Pichon, Ed Trédaniel - La Grande Conjonction) qui reprenait notre étude de 1976 sur les "maitrises planétaires". A cette occasion, nous montrions que la tradition astrologique avait été largement corrompue., ce qui n'empechait nullement les praticiens de s'en satisfaire. Nous nous interrogions également sur le décalage entre la séquence de l'alphabet hébraique et son commentaire dans le Livre de la Création (pp; 192 et seq) En fait, nous nous découvrions un certain talent pour restituer la cohérence interne de toutes sortes de dispositifs "traditionnels" dont on avait perdu les "clés". En vérité, nos Clefs constituaient une réforme de l'astrologie et nullement son rejet pas plus que sa "défense" apologétique. Il ne convenait pas de jeter le bébé avec l'eau du bain, par un nettoyage par le vide. Cela dit, 30 ans plus tard, nous ne présenterions plus les choses comme dans le dernier quart du siècle dernier, en particulier parce que nous avons pu montrer que les axes déterminant les changements de phases correspondaient aux signes mutables et non aux signes cardinaux, ce qui ressortait déjà en 1994 dans notre Astrologie selon Saturne, où nous situions le changement périodique non pas sur le point vernal mais dans le signe des poissons . Par ailleurs, notre lecture du tableau des Maitrises conduit à mettre en avant le couple Lune-Saturne dans leurs rapports avec les axes saisonniers. Il s'agissait pour l'astrologie de couper les ponts avec l'astronomie en rejetant l'idée selon laquelle toute planéte du systéme solaire constituait ipso facto un facteur cyclique à intégrer; Dès 1976, nous avions (dé)montré que l'exaltation de la Lune devait être fixée au bélier et non au taureau, ce qui la plaçait en face de Saturne exalté en balance, soit au carré des domiciles des deux astres, respectivement en cancer et en capricorne. Nous parlions déjà en 76 d'une astrologie des carrés, autour du 4 (360/4) et déjà la question des axes équinoxiaux et solsticiaux neutralisait l'argument des deux hémisphères dès lors que l'on équivalait les deux équinoxes d'une part et les deux solstices de l'autre. En 1993, nous présentions l'astrologie comme foncièrement humaine, résultat de l'instrumentalisation du ciel par les humains de même que notre cosmothèrapie évitait la question de la réalité astrologique en en faisant un objet transactionnel. Trente ans, plus tard, nous nous situons aux antipodes d'une telle doctrine en reliant, alliant astrologie et théologie et en plaçant les Juifs au coeur d'un "plan divin" JHB 06 12 23

jacques halbronn Le Juif adamique comme syntnèse du Moi, du ça et du Surmoi

jacques halbronn Le Juif adamique comme syhtnèse du Moi, du ça et du Surmoi Il se pourrait que k'on puisse définit le Juif adamique comme maitrisant les trois topiques freudiennes alors que l'Humanité ordinaire ne pouyrrait en maitriser qu'une partie. C'est l'occasion pour nous de repréciser les dites topiques. Nous avons indiqué dans de précédentes études en science comportementale, que les femmes étaient écartelées entre le ça et ke Surmoi, c'est à dire entre les pulsions primotives et compulsives, dont elles controlent mal les effets et le reccours à des savoird "obejectifs" censés ne pas dépendre d'elles. Les femmes n'auraient pas accés au "Moi".Le "Je" auquel elles se référent leur serait en quelque sorte extréieur, tel un phénoméne à observer, à décrire et non comme une pleine expression d'elles mêmes. Au fond, la femme ne s'assumetait ni dans le ça, ni dans le Surmoi qui feraient obstacle à l'accès à son Moi. Les hommes, quant à eux,manifesteraient pleinement leut Moi mais aux dépends de la dialectique àa/Sutmoi. ILs ne pouttaient s'appuyet que sur une conscience immanente, avec un duble déficit aussi bien en matière d'information dont ils ne souhaiterait pas se charger que dans celui des pulsions spontanées. A contrario, le Juif adamique serait capable de gérer conjointement les trois topiques,

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