jeudi 15 février 2024

Jacques halbronn La main invisible du démiurge

jacques Halbronn La main invisible du démiurge Il n'est certes pas aisé de distinguer l'ordre nouveau de l'ordre ancien. Nous dirons que l'ordre ancien était plus rudimentaire que le nouvel Ordre et sa simplicité même risque de nous égarer. C'est ainsi que la question de la couleur de la peau reléve-t-elle de l'Ordre Nouveau ou de l'Ancien, de l'avant ou de l'après l'Intervention? Nous dirons que les signes trop marquants, offrant trop de visibilité vaut plutôt pour l'Ordre Ancien alors que ce qui est invisible, qui ne se montre pas correspondrait à l'Ordre Nouveau. Si l'on prend le cas du systéme solaire, la Lune est un astre particulièrement "visible" comparé aux "planètes" de notre systéme solaire, elle rivalise avec le Soleil. On les appelle ensemble des "luminaires" Nous verrons donc un clivage entre les dits luminaires et les planétes connues dans l'Antiquité, jusqu'à Saturne/ Michel Gauquelin a montré, il y a 70 ans.à sa façon, que ces astres visibles à l'oeil nu correspondaient à des catégories socio-professionnelles assez bien définies. La phase équinoxaile est celle des nations et la phase solsticiale celle des peuples, les Nations éttant une institution nouvelle par rapport aux Peuples Selon nous la Nation correspond à un orde nouveau Selon nous, l'astrologie véritable constitue une force occulte, une "main invisible" et le cycle planétaire de Saturne, notamment, n'est pas mis à la portée des humains à la diffèrence de la Lune qu'on lui opposé dans le dispositif des "maitrises" . En ce qui concerne la "question juive", nous dirons qu'elle est propre à l'Ordre Nouveau précisément du fait de son invisibilité. On se situe alors dans le champ de la Subconscience. Ce cycle instaure alternativement un temps pour la solution "nationale" et un temps pour la solution "féférale". D'où actuelement, en phase équinoxiale, le refus par Israel d'une solutuon à deux Etat JHB 18 02 24

jacques halbronn Savoir distinguer les notions de "peuple" et de "nation'.

Jacques Halbronn Savoir distinguer les notions de "peuple" et de "nation" Il semble bien que l'on tend de nos jours à utiliser "peuple" et "nation" indifféremment. Or, ces notions sont complémentaires et nullement interchangeables. Nous dirons qu'une nation est composée de plusieurs peuples et qu'un même peuple peut être présent au sein de plusieurs nations. Si l'on considère la question de l'Etat d'Israel (cf Amnon Cohen. Juifs et mulsulmans en Palestine et en Israel. Des origines à nos jours. Ed Tallandier 2016), l'on parlera d'une "nation" palestinienne, circonscrite à un territoire donné face à un peuple juif, débordant tout critère géographique. En ce sens, l'on ne saurait employer la forme "peuple palestinien" comme s'il pouvait faire pendant à "peuple juif" Si l'on aborde l'ouvrage de Théodor Herzl (cf notre ouvrage Le sionisme et ses avatars au tournant du XXe siècle) que penser de l'expression "Etat Juif" (Judenstaat, parfois traduit par "Etat des Juifs"? le mot Etat est-il synonyme de Nation dès lors qu'il y a le projet de déterminer un territoire qui comprendrait entre autre des éléments du "peuple juif"? Il nous semble en effet que la notion d'Etat recouvre largement celle de Nation et nullement celle de Peuple. Au demeurant, Herzl n'envisageait pas d'enfermer le peuple juif au sein de quelque territoire que cela soit et de toute façon, il laissait le choix des lieux (¨Palestine ou Argentine ou encore, à la fin de sa vie "Sinaî", "Ouganda" Or, l'on sait que le mouvement sioniste aura fini par sa polariser sur ce qu'on appelait au début du XXe siècle la 'Palestine",ce qui constituait un territoire susceptible d'accueillir divers peuples. La Nation est une construction juridique avec la fixation de certaines frontières, ce qui implique la mise en place d'une citoyenneté par delà toute considération d'origines, s'ouvrant aux "peuples", aux "religions" les plus variés. D'ailleurs, la Déclaration Balfour de 1917 met bien en évidence la nécessité d'une co-existence entre diverses populations dont un "Foyer" pour les Juifs. L'Etat d'Israel a d'ailleurs fonctionné sur la base d'un certain pluralisme ethnique (terme synonyme de peuple) On parle ainsi "d'arabes israéliens". Autrement dit, une nation peut et doit s'ouvrir à divers peuples alors qu'un peuple est fermé sur lui-même. En ce sens, parler d'un Etat Juif signifie un espace susceptible d'accueillir plusieurs peuples en tant que Nation, un lieu dirigé par des Juifs mais englobant diverses populations, ce qui correspond peu ou prou à l'esprit de la Déclaration Balfour. Quand Mahmoud Abbas déclare qu'il ne veut pas de Juifs dans son Etat, il renonce ipso facto à la notion de Nation pour s'affirmer comme peuple mais l'on sait qu'un peuple peut être "emprisonné au sein d'un Empire-Nation. On dirra que la Nation est le résultat d'une verticalité et celle de peuple d'une horzontalité. Lu dans le Figaro Les vainqueurs de la Grande Guerre ont décrit l'Autriche-Hongrie comme une «prison des peuples» pour mieux légitimer son dépeçage en 1918. Mais l'empire né il y a tout juste 150 ans fut d'abord le lieu d'une brillante civilisation, où ce qui unissait était au moins aussi fort que ce qui divisait". En bref, la Nation englobe, intègre la notion de peuple et lorsqu'elle échoue à le faire, les peuples qui y sont compris tendent à partir. C'"est d'ailleurs ce qui s'est passé à la mort de Salomon, quand les populations du nord qui faisaient partie du royaume davidien ont refusé de poursuivre dans un tel cadre, formant dès lors un autre Royaume dit d'Israel. JHB 15 02 24

jacques halbronn Epistémologie Touite catégorisation se heurte au double obstacle cu miémétisme et de la cyclicité

Jacques Halbronnn Epistémologie. Toute catégorisation se heurte au double obstacle du mimétisme et de la cyclicité On rencontre divers obstacles à l'établissement de toute description catégorielle, classificatoire, ce qui encourage au déni de toute tentative de ce type. Le premier obstacle tient au phénoméne du mimétisme, à savoir qu'un groupe peut déteindre sur un autre, qu'un groupe peut s'aligner sur un autre. Une nation peut vouloir se prétendre "peuple", une classe peut revendiquer les mêmes droits qu'une autre, la droite récupérer un programme de gauche et vice versa, ce qui est susceptible de décourager la recherche. Le second obstacle est d'ordre cyclologique. Au regard de l'Astrologie EXOLS, par exemple,au cours de toute période de 7 ans, les esprits sont tous impactés dans le même sens, tout le monde devient alternativement équinoxial et solsticial, toutes tendances confondues. On conçoit que là encore un tel phénoméne puisse générer une certaine perplexité. Cela dit, on a comme contre partie le fait qu'au cours d'une certaine période, les esprits évoluent, passent par un même climat psycho-sociologique, ce qui vient faciliter la prévision astrologique en relativisant le rôle des acteurs. Si l'on prend le cas de 2002 avec la défaite de Lionel Jospin n'arrivant même pas au second tour des présidentielles., on ne se donnera pas les moyens d'appréhender ses causes sans l'aide de notre modéle astrologique. Satiurne est passé en Gémeaux, donc selon notre doctrine, sur l'axe solsticial, ce qui vient changer les priorités, le local prenant alors sa revanche sur le global , ce qui conduit majorité parlementaire à s'éparpiller, les considérations de chapelle ('Chevénement, Taubira etc) l'emportant sur l'intérêt général. Or, les commentateurs ne disposent toujours pas à ce jour pour rendre compte d'une telle situation qui juré avec l'esprit des années précédentes sous le signe de l'équinoxialité. JHB 15 02 24

jacques halbonn La place centrale du Pardon pour la Christianisme

jacques halbronn La place centrale du Pardon dans le Christianisme On connait la formule récurrente dans la liturgie catholique du "pardon des offenses" / Plus largement, l'on se demandera si ce qui attire le grand nombre vers le " Nouveau Testament" ne serait pas une certaine "mauvaise conscience", d'où les notions de repentance, de confession qui sous tendent toute une partie de la sensibilité chrétienne, avec notamment la question du "péché originel". En fait, il faut remonter au schisme, à la sécession survenus à la mort du roi Salomon, révélant d'ailleurs une dualité éthnique ayant toujours existé. Un thème récurrent dans les livres des Prophétes et le pardon à accorder à ceux qui ont rompu avec la maison dominante de Juda, du fait du développement d'un culte dissident. Jésus d'ailleurs évoque les "brebis perdues de la Maison d'Israel", ce qui ne vise absolument pas les Juifs di Royaume du Sud mais bien les populations serves du Royaume du Nord, s'étant approprié le nom d'Israel, qui désigne une "terre". Jésus se donnera pour mission d'intégrer ces populations du Nord au sein d'un néo-judaisme. Mais il faut rappeler que le Pentateuque, du moins tel que nous le connaissons, aura été largement impacté par les descendants du Royaume d'Israel, et notamment avec le livre de l'Exode tout entier articulé sur les "fils d'Israel". Autrement dit, ce qui attire le public vers le Nouveau Testament serait d'abord une problématique existentielle de la faute à réparer, de l'acte à se faire pardonner; JHB 15 02 24