mercredi 27 septembre 2023

Jacqyes halbronn Anthropologie. La confusip, signifiant-signifié les femmes, les juifs, les calendriers, les langues

jacques halbronn Anthropologie. La confusion signifiant-signifié. Les femmes, les Juifs, les calendriers.les langues Il régne, reconnaissons le, un certain flou - plus ou moins orchestré d'ailleurs- au sujet de l'identification des structures que nous avons abordées. I Les femmes, Tout le monde sait distinguer physiquement les deux sexes, c''est à dire les "signifiants" qui les désignent à notre attention. Mais les choses se compliquent quand il s'agit de passer au niveau des "signifié" dès lors que l'on nous affirme qu'il y aurait égalité entre les sexes, ce qui rendrait en quelque sorte caduc notre repérage. II Les Juifs Pour ce qui est des Juifs, on a une idée assez nette de ce que sont les Juifs en tant que signifié . En revanche, leur identification physique, anatomique, génétique , c'est à dire sur le plan du signifiant, pourrait laisser à désirer. III Les calendriers Pour le marquage du temps politique, l'on dispose de calendriers liés à des échéances électorales mais l'on est conscient qu'un tel agencement est bien aléatoire. Par ailleurs, avec l'astrologie, l'on pourrait penser se servir des cycles cosmiques mais cette "science" est qualifiée de "pseudo science" et l'on ne saurait, dit-on, s'y fier. IV les langues On dispose de l'anglais comme langue mondiale de communication mais l'on est bien conscient qu'il s'agit là d'un ensemble hybride guère satisfaisant pour un esprit rationnel. Certes, il y aurait le français qui semble mieux structuré et qui aura largement essaimé , un support plus cohérent mais il s'agit d' une langue assez peu accessible en raison de sa phonologie étrange que seuls les francophones maitrisent pleinement entre eux.. En conclusion, il y a toujours quelque chose qui fait probléme, à un niveau ou à un autre et cela tient à un certain retard voire une incurie dans l'organisation de la recherche en sciences sociales. JHB 27 09 23

Jacquee halbronn L'anthropocosmologie au prisme de la dialectique Jupiter Saturne

jacques halbronn L'Anthropocosmologie au prisme de la dialectique Jupiter Saturne Le réflexe de la plupart des astrologues quand il est question des dieux, c'est de se référer d'office aux planétes. Le passage de la mythologie à l'astronomie se fait automatiquement et c'est cela que nous entendons remettre en question.Déjà chez Manilius, certaines divinités se trouvaient associées à des signes zodiacaux alors même qu'elles n'avaient pas été associées à des astres et pour cause, vu que l'on ne connaitra jusqu'à la fin du XVIIIe siècle que quelques dieux servant pour désigner des planétes en raison même du nombre limité de celles-ci que l'on avait pu répertorier. Les asrologues actuels ont une facheuse tendance à oublier ce qu'il en était autrefois, eux qui jonglent avec Uranus, Neptune, Pluton, Cérés et compagnie. Nous avons, pour notre part, montré que l'on pouvait se contenter d'un seul curseur pour faire fonctionner l'astrologie et d'ailleurs n'en est il pas ainsi quand on dit être né sous tel ou tel signe? A quoi donc pouvaient servir tous ces dieux si on ne leur accordait pas quelqie "demeure"/domicile? Faute de planétes, il fallut même d'ailleurs leur accorder à chacune deux signes (si on laisse de côté la question des luminaires dont il a déjà été traité ailleurs) Mais même le septénaire - ou le sénaire - n'était ce pas déjà trop? Fallait il vraiment mobiliser six ou sept planétes pour faire marcher l'astrologie? La linguistique nous enseigne qu'il y a deux registres, celui du singulier et celui du pluriel. Or, quand on a affaire à un ensemble, il convient d'en déterminer l'articulation binaire, ce qui est au centre et ce qui est à la périphérie, sachant au dans un cas, on s'inscrit dans le singulier et dans l'autre dans le pluriel, selon le principe du harem. Comme il a été exposé plus haut, le modéle de l'astrologie solaire doit faire référence avec d'un coté un astre et de l'autre les 12 signes. Dans la Tétrabible, d'ailleurs, si on l'aborde sans idée préconçue, chaque secteur est associé à une divinité qui se trouve correspondre à une planéte Mais ce n'est point là une nécessité. La planéte peut servir à caractériser un signe et d'ailleurs c'est ce qui se passe quand on dit que le Bélier est martien ou le Cancer Lunaire. Au fond, on n'a pas du tout besoin de la symbolique zodiacale pour que le systéme fonctionne. Ce serait mêùe redondant et en trop. D'autant que la terminologie planétaire est plus cohérente que la zodiacale, on en conviendra et l'on peut tut à fait en faire abstraction. Il faut donc se faire à l'idée que les noms des dieux n'ont pas à référer à des planétes mais ont une portée purement symbolique; Que désignent-ils alors? Tout simplement notre Humanité, ce qui d'ailleurs convient fort bien à la formulation mythologique et nous la rend particulièrement accessible. Par conséquent, quand nous parlons d'une relation Jupiter Saturne, cela ne signifie pas pour autant qu'il s'agit de la conjonction entre deux planétes comme on est généralement prompt à le faire, de nos jours! Ne confondons pas le singulier et le pluriel ne serait-ce qu'en ce qui concerne les 4 Saisons qui sont activées par le seul Soleil, dans les deux hémisphères/Approche donc économique et ergonomique. Pour nous, l'astrologie est une anthropocosmologie, ce qui sous entend une dualité. Ainsi, nous pensons qu'en dehors du couple Lune-Saturne, qui est un vecteur moteur actif, un curseur, les 4 planétes du milieu, Mercure, Vénus, mars et Jupiter, symbolisent la structure de notre monde "sublunaire", Certes, Saturne impactera ce qui se passe sur terre mais cela ne pourra se faire que par le relais humain lequel servira de "canal"; de courroie de transmission. La mythologie nous enseigne que Jupiter est le maitre de l'Olympe, et l'on sait que le qualificatif de "jupitérien' peut être amené à signifie en termes d'autorité, de charisme. D'un point de vue théologique, la Création de notre monde exige en effet que certaines responsabilités soient attribuées à certaines populations dans la longue durée et non à tel ou tel personnage providentiel forcément voué à ne durer qu'un temps, ce qui selon nous disqualifie le personnage d'un Jésus mais valorise l'idée de peuple élu, le singulier devant s'aligner sur le pluriel. En ce sens, on s'intéressera tout particulièrement au TSADIQ dont il est notamment question dans le Livre de la Genése à propos du sort de Sodome. Le Tsadiq, v'est le Juste et Jupiter,dans la Kabbale, c'est Tsedeq. Et c'est en ce sens que nous pensons la dialectique Saturne Jupiter, Saturne dépendant de Jupiter, du Tsadiq d'où le sens du dialogue d'Elohim avec Abraham. Genèse: כו וַיֹּאמֶר יְהוָה, אִם-אֶמְצָא בִסְדֹם חֲמִשִּׁים צַדִּיקִם בְּתוֹךְ הָעִיר--וְנָשָׂאתִי לְכָל-הַמָּקוֹם, בַּעֲבוּרָם. 26 Le Seigneur répondit: "Si je trouve à Sodome au sein de la ville, cinquante justes, je pardonnerai à toute la contrée à cause d’eux" Nous associons Elohim à Saturne et les Justes à Jupiter et non à la planéte Jupiter. S'il n'y a pas le bon compte de Justes, l'Humanité est mal partie/ On peut en effet se faire une juste idée d'une situation en recensant ses forces vives, ses équipements publics etc qui sont les garants de la viabilité d'une société , de la santé morale d'une génération. Et pour nous, la condition des juifs apparait comme un critère déterminant JHB 27 09 23

Jacques Halbronn La dialectique des frères dans la Bible au prisme du ...