mercredi 8 mars 2023

Jacques halbronn Epistémologie de l'Histoire. La Science de demain comme clef des origines. L'astrologie comme Fil d'Ariiane.

jacques halbronn Epistémologie de l’Histoire. La Science de demain comme clef des origines. L’astrologie comme Fil d’Ariane. Selon nous, la Science a vocation à combler les lacunes de la documentation conservée dans les musées et les bibliothèques En aucune façon, elle ne nous déconnecte du passé, comme d’aucuns tendent à le faire accroire. En effet, ce qui s’observe ici et maintenant n’est pas né d’hier.. Au regard de l’astrologie, les travaux actuels, dès lors qu’ils offrent une certaine validité, ne nous mettent ils pas en rapport avec un passé fort éloigné, voire oubli, bien antérieur aux documents qui nous sont parvenus. En ce sens, la science historique doit se soumettre aux avancées de la Science et reconsidérer son narratif. En d’autres termes, la Surconscience doit céder le pas à la Subconscience car ce qui reléve de la Surconscience est fragile, corruptible et bien imparfait tant dans le temps que dans l’espace. C’est ainsi que l’intérêt d’un projet comme celui de Robert Hand et du « Project Hindsight, projet lancé en 1993 visant à la traduction en anglais de textes anciens (en grec notamment) d’astrologie » (notice Wikipedia) comme si le passé de l’astrologie deviendrait pleinement accessible de la sorte. Il y a là une illusion qui conduit à boucher notre horizon rétrospectif, cette littérature conservée étant perçue comme une sorte de terminus ad quem. L’Ecole française d’astrologie,depuis les années trente, notamment avec Dom Néroman ( alias Maurice Rougie, décédé en 1953) aura choisi une autre voie que l’on peut qualifier de « structurelle ».(cf notre ouvrage La vie astrologique. Années 30 50, ed de la Maisnie,1995) ce qui s’apparente à une « archéologie du savoir » (Michel Foucault)https://fr.wikipedia.org/wiki/ L%27Arch%C3%A9ologie_du_savoir) On peut parler d’une approche critique des textes qui se donnerait les moyens de progresser plus en amont à partir des incohérences décelées. En effet, dès lors qu’un texte comporte quelque forme de corruption, il est censé nous renseigner sur l’existence d’un état qui lui est antérieur. C’est ainsi que nous avons pu aborder la Tétrabible de Ptolémée et notamment son tableau des Dignités planétaires avec un autre regard., ce qui nous aura conduit à la conviction selon laquelle les noms des dieus n’y renvoyaient pas à des planétes mais à des signes zodiacaux. D’où la mise en évidence d’une dérive. Or, quand on examine une telle répartition des dieux entre les signes, rien ne nous autorise à penser qu’il y est question des rapports entre planétes et signes, comme on n’aura cessé de l’affirmer, des siècles durant. C’est bien dans cet esprit que nous entendons parvenir aux origines de la pensée astrologique. De la même façon, si l’on parvient à restituer une astrologie authentique, cela ne saurait être indifférent pour la science historique car la cyclicité qui se voit ainsi mise en évidence est en mesure de constituer le soubassement de la dite science, soit le savoir dont la Nouvelle Histoire reconnaissait avant la Seconde Guerre Mondiale, avoir un cuisant besoin pour se constituer comme véritable science. (.https://enseignants.lumni.fr/fiche-media/00000001155/cinquante-ans-de-nouvelle-histoire.html) L’astrologie ne fut pas mentionnée parmi les solutions. il est vrai qu’elle n’était pas encore prête pour cela, n’ayant pas encore accompli sa « révolution » épistémologique- ce qui nous semble désormais être acquis en ce XXIe siècle. Dès lors, la science historique nouvelle manière devrait être en mesure de mettre les événements du passé en perspective grâce à ce fil d’Ariane et être en mesure, par voie de conséquence, de reconstituer virtuellement des pans perdus en évitant en tout cas de se contenter de romancer les pièces disponibles comme on a pu l’observer en ce qui concerne Nostradamus et les Centuries qui lui sont attribuées. On a pu ainsi signaler à quel point le manque de critique bibliographique affectait le propos biographique de ceux qui furent bien imprudemment chargés par des éditeurs – illustrant ainsi le principe d’incompétence de Peter- de célébrer le 500e anniversaire de la naissance de Michel de Nostredame (1503-2003).

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Jacques halbronn à propos d' compte rendu sur l'ouvrage d' Yves Thieffry L'astrologie dans la société contemporaine (1977) Retour au fascicule Yves Thieffry, L'astrologie dans la société contemporaine, s.l., Le Centurion, 1977 sem-linkMolet Louis Revue d'Histoire et de Philosophie religieuses Année 1984 64-2 pp. 199-200 Page 199 doc-ctrl/page/rotate-ccw doc-ctrl/page/rotate-cw Nous ne suivrons pas Yves Theffry, sur la nécessité de "serrer au plus près la réalité astronomique" pas plus d'ailleurs que sur le bon usage du thème natal. Ce sont là des voies qui ont l'une et l'autre fait long feu. Quant à la modernisation de l'astrologie (cf J.P. Nicola qui publiait en cette même année "Pour une astrologie moderne" (Ed Seuil), nous ne croyons pas un instant à la prise en compte de planétes inconnues des Anciens car pour nous l'astrologie est une loi incarnée et révélée, voilà des millénaires,et qui est constitutive, consubstantielle au passé de notre Humanité; Quant à la condamnation par l'astrologue bruxellois des rubriques consacrées aux 12 signes, elle nous parait jeter le bébé avec l'eau du bain car l'astrologie n'a pas à prétendre étudier l'individuel mais le collectif. On est donc là face à un auteur qui défend un certain savoir faire au niveau interprétatif, qui reléve plus de la divination -quoi qu'il s'en défende- que d'une approche scientifique et statistique. JHB 09 03 23

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