vendredi 29 septembre 2023

Jacques halbronn Le renouveau théologique.

jacques halbronn Le renouveau théologique L'astrologie est chose trop grave pour être confiée aux astrologues tout comme la langue est affaire trop cruciale pour être laissée aux linguistes ou le Droit pour être abandonnée aux juristes et la Bible pour être mise sous la coupe des adorateurs des Ecritures, en paraphrasant Clémenceau. Or, ces différents domaines peuvent se connecter, s'unir, pour préparer le renouveau théologique, sur la base d'une critique approfondie des domaines en question, ce qui conduit à disqualifier quelque consensus les concernant que ce soit tel qu'il peut s'être établi à ce jour. Ces diférents domaines sont tous à la dérive et il revient à la théologie de les réorganiser, des les reformater à condition toutefois que celle-ci se dégage de l'emprise de l'astronomie et de la cosmologie, qui imposent une fausse idée de la genése de notre humanité, de notre monde sublunaire car le Dieu qui nous intéresse ici n'est certainement pas identifiable à la Nature car le Dieu qui est au coeur de notre idée de la théologie, s'inscrit dans une SurNature et en ce sens prend le contrepied de celui présenté par Spinoza qui pensait ainsi fonder une théologie sur la Science alors que pour nous, nous sommes entrés dans le champ de la Technique, certes issue de la Science mais qui la transcende. JHB 29 09 23

Nolween Le Deuc La Guerre froide des étoiles entre astrologues et scientigfiques

Astrologie : la guerre froide des étoiles entre astrologues et scientifiques Nolwenn Le Deuc 11 mai 2023 Astrologues et astronomes partagent le même ciel. Si l’astronomie se base sur des calculs exacts, l’astrologie utilise ses calculs et y ajoute l’interprétation par l’horoscope. L’un est une science, l’autre est une pseudo-science. On chausse des lunettes pour y voir plus clair Sommaire L’astrologie est une pseudo-science L’astrologie est une croyance Faut-il vraiment s’inquiéter quand Mercure rétrograde ? Oui selon les 49% des Français entre 11 et 24 ans qui estiment que « l’astrologie est une science », selon un sondage Ifop. Mais qu’en dit la science elle-même ? L’astronomie et l’astrologie ont longtemps partagé un passé commun. Plusieurs millénaires avant notre ère, elles cherchaient ensemble à mieux comprendre notre ciel. L’astronomie avait pour but de comprendre la physique de l’Univers grâce à des calculs. Et l’astrologie utilisait ces résultats pour expliquer les conséquences des évènements cosmiques sur les évènements de l’humanité. Mais à partir du XVIIe siècle, qui marque la révolution scientifique, astrologie et astronomie se séparent définitivement. L’astronomie est une science, l’astrologie n’en est pas une. Mais aujourd’hui, l’astrologie revendique de toujours s’appuyer sur les calculs des astronomes, à savoir les positions des différents corps célestes (Lune, planètes et même les astéroïdes). Et ce au moment de la naissance d’une personne pour définir ses traits de personnalité et pouvoir « lire » dans l’avenir. Cette supposée influence de l’astrologie sur nos comportements est rejetée par les astronomes. L’astrologie est une pseudo-science Grâce à ses calculs de trajectoire, l’astrologie prend les atours d’une démarche scientifique, ce qui sème le trouble. Pourquoi ? Car elle s’appuie sur l’astronomie, qui elle, est donc une vraie science. Depuis les années 1950, de nombreuses études ont été menées par des scientifiques pour tenter de déterminer la véracité de l’astrologie. Spoiler alert : le résultat est sans appel, aucun d’entre eux n’est parvenu à prouver que l’astrologie était une science à part entière. Ce n’est pas faute d’avoir essayé. Le psychologue et chercheur, spécialisé en astrologie, Michel Gauquelin est même à l’origine du célèbre « Effet Mars » en 1950. C’est le nom donné à une hypothèse selon laquelle il y a un lien entre la destinée des sportifs et la position de Mars au moment de leur naissance. Une théorie qui a conduit à de nombreuses contre-études par la suite. Pascal Bordé, directeur du laboratoire d’astrophysique de Bordeaux (LAB) et professeur d’astronomie et d’astrophysique à l’Université de Bordeaux, précise : « Il n’y a rien de convaincant qui a été montré. Il y a eu des études statistiques qui ont semblé pointer vers certaines choses, mais il n’y a pas de démonstration statistiquement robuste, reconnue largement, qui prouve que l’astrologie, utilisée comme prédiction, fonctionne. » Et comme l’issue de ces recherches n’était pas positive pour eux, les astrologues ont simplement pris le parti de ne pas tenir compte des résultats. L’astrologie est une croyance Quand on parle d’astrologie, ce n’est pas pour étudier les astres au sens pur du terme. Pascal Bordé conçoit que l’astrologie a une influence sur nous mais pas du tout comme l’astrologie veut le faire croire. L’astronome explique : « Les astres ont une influence gravitationnelle qui s’exerce, bien sûr. Il y a le mouvement de la Terre autour du Soleil. Et on est tous influencés par le fait qu’il y a des saisons sur Terre, par le fait que le soleil nous éclaire et qu’on reçoit de l’énergie. Mais en général, quand on parle de l’astrologie, ce n’est pas à ça qu’on pense. L’astrologie s’intéresse plutôt à la vie personnelle sous ses différents aspects. » En fait, l’astrologie permet plutôt de se rassurer, de s’assurer une projection d’un futur heureux. Pour Pascal Bordé, on peut même parler « d’outil d’exploration psychologique. » « Il y a des gens qui trouvent que leur thème astral est tout à fait pertinent. C’est sans doute juste pour eux. Mais ce n’est pas ça qui en fait effectivement une science. Mais ça en fait une croyance. » Nolwenn Le Deuc Avec le soutien du Ministère de la Culture

Jacques halbronn Linguistique. la foinction morphologique des diphtongues. Les marqueurs de temps

jacques halbronn Linguistique. La fonction morphologique des diphtongues. Les marqueurs de temps. Nous avons insisté sur l'importance des diphtongues en tant que marqueurs. Cela signifie qu'il s'agit d'étudier leur rôle avant tout dans la conjugaison des verbes alors qu'en ce qui concerne les noms, cela reste un point assez secondaire. C'est ainsi que si l'allemand a su préserver la prononciation du "ai", du "eu", ces formes ne semblent jouer grammaticalement aucun rôle à la différence du français où leur présence des marqueurs de temps est déterminante. Prenons le cas du verbe avoir. En français, la première personne du singulier se dit "ai", ce qui impacte le futur j'aurai, le conditionnel , j'aurais, je ferai, je serai mais aussi le passe composé: j'ai mangé. Un cas extréme est la forme "j'ai eu". En outre à l'imparfait, on trouve, je mangeais, ils mangeaient. Rien de comparable en allemand comme si le "ai" allemand était déconnecté de toute fonction grammaticale. Ajoutons le rôle également incontournable de la diphtongue "on" comme marqueur de pluriel: ils ont, ils font, ils seront mais aussi nous avons, nous faisons, nous serons. La question qui se pose alors est d'ordre phonologique. Comment prononcer le 'ai" alors que pour le "on' nous avons déjà la réponse. En effet, la prononciation "é" du "ai" est irrecevable car on ne saurait obtenir le même son pour le participe passé "mangé" et pour le passé simple 'mangeai (s)". On a noté que l'allemand proposait pour "ai" le son 'aille" que l'on trouve en français quand 'ai" est suivi de la lettre "l" dans "où que j'aille", 'qu'il faille, vaille que vaille pour s'en tenir au seul domaine du verbe. Cette régle n'est pas connue en allemand et il est possible que l'allemand ait perdu le recours au "l" pour rendre le 'ai". on fera la même observation pour la diphtongue "eu" si l'on a joute le "l", qu'il veuille (voir au niveau des noms, qu'il veuille, seuil, deuil, écureuil etc); On pourrait en dire autant pour la diphtongue ou" suivi de "il" , mouille, souille; C'est dire que le français aura bel et bien préservé ces sonorités en aille, ouille,euil.(que l'on trouve également dans oeil) Mais force est de constater que dans bien des cas, le français n'aura pas maintenu la lettre "l" pour produire la diphtongue comme dans les cas cités plus haut, j'ai, j'aurai, je ferai etc, cette consonne "l" jouant un rôle comparable à la consonne "n" pour les nasales. Faudrait-il alors prononcer "je ferai" comme un "je feraille" vis à vis d'un 'nous ferons", je pourrai, "je pourraille" etc? Ainsi, on ne pourrait confondre "j'ai chanté et je chantaille". Si l'on considéré le cas de l'imparfait, quelle en serait l'oralité pour je chantais, tu chantais, il chantait? Cela donnerait "je chantaille, tu chantailles, il chantaille comme au futur on prononcerait l'écrit je chanteraille. On conclura que le français aura appauvri son capitale de marqueurs pour sa conjugaison et dispose d'un écrit en jachère. Venons en au cas de l'anglais avec sa forme en 'ay" prononcé sans diphtongaison à la française: day, say, may etc alors qu'il rend de façon "mouillée' la forme "oy' comme dans 'royal" restituant ainsi dans cet emprunt au française le son original de cette diphtongue comme dans boy., oysters mais on trouve même 'avoid avec le "oi" prononcé comme un "oy". Le français distinhgue le "oi" et le "oy" et passe de l'un à l'autre dans sa morphologie: j'ai/ayez, voie/dévoyer, emploi/employer, essuie, essuyer, crois, croyez, joie/joyeux etc alors que l'anglais dans ses emprunts au français remplace joie par joy à partir de joyeux, comme il le fait, comme nous l'avons déjà signalé, alilleurs avec real au lieu de réel à partir de realité, active au lieu d'actif à partir d'activement, evacuate au lieu d'évacue à partir d'évacuation et ainsi de suite.(cf notre mémoire Epistémologie de l'erreur, linguistique populaire). Plus largement, noius observons que la présence de diphtongues en anglais comme en allemand ne sous tend aucune fonctionnalité morphologique et passe à côté de leur mode d'emploi approprié. JHB 29 09 23

Jacquess Halbronn L'qstrologie : apprenons à exploiter la capital techno...

jacques halbronn Les économistes sont les plus concernés par les erreur...

jacques halbronn Critique d' d'Aquarius ou la Nouvelle Ere du Verseau (1979à son Collectif astrologique jamais égalé.

Jacques halbronn "Aquarius ou la Nouvelle Ere du Verseau" (1979), son Collectif astrologique jamais égalé . Amazon.fr - Aquarius ou la nouvelle ere du Verseau - Sous la direction de Jacques Halbronn - Livres Il y a 46 an, nous avons organisé un Colloque à Paris, au FIAP (Foyer International d'Accueil de Paris), avec le soutien de la revue Autre Monde de Roger Faloci et de la Nouvelle Acropole, France de l'Argentin Fernand Schwarz (avec lequel nous organiserons en 78 un colloque international sur l'enseignement de l'astrologie, à la Porte Maillot) qui donne lieu en 1979 à cet Aquarius. Nous en reprenons ici la Table des matières et sa division en deux volets: Le Vase (en écho avec l'amphore du Verseau) quasiment plein et le Vase quasiment vide. le titre "La nouvelle ère du verseau" laissait entendre un nouveau regard sur la question. La page de couverture est ornée d'un sphinx, correspondant à la valeur 4: le taureau, le lion, l'aigle et l'homme (Adam) , tétramorphe que l'on retrouve dans le Livre d'Ezéchel et d'ailleurs notre avant propos avait pour titre "Le sphinx des astrologues" Premier volet Le Vase quasiment plein I Le Ciel sur la Terre ou du Mythe à l'Histoire II L'entrée en Verseau, sa symbolique et ses interprétations Second volet Le Vase quasiment vide I Crise de l'astrologie? Le vase qui fuit II L'âge d'or est hors du temps ou du 'faux" probléme au "vrai" Mythe. On perçoit aussi la dimension dialectique de cet ouvrage (de plus de 400 pages) réunissant une certaine élite du milieu astrologique, autour du MAU, le Mouvement Astrologique Universitaire. Il y a certes des absents, non pas qu'ils n'aient pas été invités mais qui n'entendaient pas participer à sa dynamique, comme le novice Denis Labouré qui présidait alors le GERAS (Groupe d'Etude et de Recherche en Astrologie Scientifique) ou le vétéran André Barbault, lequel venait d'être condamné pour diffamation par voie de presse à propos d'un compte rendu dans sa revue L'Astrologue, de notre ouvrage Clefs pour l'Astrologie -Ed Seghers. Avec le recul, ces Clefs nous apparaissent comme un chef d'oeuvre dont nous pouvons être assez fier, achevé en 1975, à la veille de nos 28 ans.(réédition 1993) Reprenons le texte de la quatriéme de couverture. un Barbault qui, de son côté attendait une Troisiéme Guerre Mondiale pour le début de la décennie à venir, sur la base de son "indice cyclique"; 'Une vingtaine d'astrologues - c'est à dire de personnes familières du langage astrologique s'interrogent à travers ce livre sur la naturede l'un de leurs concepts les plus importants; celui des ères en général; de l'Ere du Verseau en particulier; C'est la première fois que l'on présente un tel kaléidoscope de réflexions, de projets. On a l'impression qu'on est en train de bâtir une cathédrale d'espérance. A ceux qui passent leur temps à s'interroger sur demain, il convenait de donner la possibilité de préciser, par cette enquéte, leurs positions et finalement, peut être, de prendre rendez vous avec l'avenir; Nous ne nous sommes pas cantonnés à la France, nous avons voulu aller voir aux Etats Unis et aux Indes comment l'idée d'Aquarius faisait son chemin. Il y a en effet une" Cité" astrologique, une Communauté qui tranche avec l'idée trop répandue de l'astrologue solitaire; L'Ere du Verseau, parait il, approche, elle est peut être déjà là/ Elle se confond un peu avec la peur de l'An 2000; des hommes tributaires d'une tradition séculaire se sont regroupés pour faire le point; Ils attendent pour la plupart la venue d'Aquarius. Ils comparent et soupésent les étapes précédentes de l'Humanité, ils scrutent les signes du ciel avec parfois quelque perplexité; Et par delà le cycle perpétuel des révolutions des planétes, ils entrevoien ce point Oméga qui devrait être la fin du monfde" En tout cas, on est loin de la description de chaos qu' Yves Lenoble s'est complu à proposer sur les années en question! Cela dit, nous ne saurions, avec le recul, entériner la théorie des ères précessionnelles laquelle alimentait un certain millénarisme, sous la forme d'un découpage entre constellations. En revanche, nous avons accordé toute son importance au point vernal (cf L'astrologie selon Sature, 1994) sur laquelle nous avons articulé notre Astrologie Mondiale. Mais il importe d'associer le point vernal à une étoile fixe laquelle peut changer du fait de la précession des équinoxes et en outre, il faut faire intervenir une planéte, ce constitue une triangulation. Le passage de Saturne sur l'étoile fixe vernale, déterminée par le point vernal est à la base de notre Astrologie mais il nous faut considérer 4 étoiles, correspondant aux deux équinoxes et aux deux solstices, ce qui divise le cycle de Saturne en 4 temps de 7 ans. L'on peut penser que les 4 étoiles fixes royales (Régulus, Antarés, Fomalhaut et Aldébaran ont pu être liées à ces axes à une certaine époque. Rudhyar pour sa part s'intéressa à Régulus/ Nous avons écrit ailleurs "On notera en effet que Campanella - et Rudhyar à sa suite- ne part pas d'un espace (un signe, une constellation) mais d'un point (une étoile). Or, pour les astrologues modernes, l'espace zodiacal, quel qu'il soit, a effacé le point stellaire alors que la réalité d'une étoile est bien plus tangible et visible, au regard de l'astronomie concréte, que celle d'une constellation ou d'un signe qui ne sont que des modes de localisation interchangeables et arbitraires, ce qui n'est évidemment pas le cas d'une étoile. De même une conjonction - ou si l'on préfére un alignement - entre une planéte et une étoile est bien plus "visible" que l'entrée d'une planéte dans un signe ou dans une constellation" . L .. JHB 28 09 23

jacques halbronn Astrologie. Phase solsticiale Du génocide arménine à la Shoah versus Phase équinoxiale Pologne, liban, Rwanda.

jacques halbronn Astrologie. Phase solsticiale; Du génocide arménien à la Shoah 1915-1942. versus Phase équinoxiale Pologne Liban Rwanda (1939 1982 1994) On distinguera deux cas de figure, le solsticial où l'action reléve d'une puissance agissant seule et l'équinoxial où il y a conjonction, complicité entre puissances. En aucun, cas l'astrolohgie n'a vocation, comme le croyaient Gouchon ou Barbault, à annoncer des guerres, lesquelles ne sont que la conséquence éventuelle de configuration conduisant alternativement à l'isolement des entités en présence ou à leur synergie sous la forme d'alliances. "La guerre selon Clausewitz est la guerre « entre États » : c'est la « continuation de la politique selon d'autres moyens ». En effet, selon lui, la guerre revêt une dimension politique car c'est un moyen d'action pour les États, qui leur permet de promouvoir leurs intérêts ou de répondre à une agression." I Arménie - Shoah Phase solsticiale Ces deux génocides du XXe siècle sont nés sous une même configuration saturnienne, à 28 ans de distance. sur l'axe Gémeaux-Cancer. wkipedia Le génocide arménien, ou plus précisément le génocide des Arméniens, est un génocide perpétré d'avril 1915 à juillet 1916, voire 1923, au cours duquel les deux tiers des Arméniens qui vivent alors sur le territoire actuel de la Turquie périssent du fait de déportations, famines et massacres de grande ampleur1 "À partir de l'année 1941, la « Solution finale » marqua l'ultime phase de la politique raciale du Troisième Reich : l'extermination systématique des Juifs d'Europe centrale et orientale. Plus de 2 700 000 Juifs périrent en 1942, soit environ la moitié de toutes les victimes de la Shoah []Raul Hilberg, La Destruction des Juifs d'Europe, Paris, Fayard,…. Il fallut de longs mois aux Alliés pour prendre conscience de cette tragique réalité, et pour la reconnaître officiellement. De 1941 à 1943, leurs gouvernements furent progressivement informés des intentions nazies et eurent accès à des preuves incontestables relatives au génocide des Juifs d'Europe alors en cours. La « Solution finale » fut donc révélée, et les Alliés ne pouvaient plus nourrir aucun doute sur la politique d'extermination nazie. La Grande-Bretagne fut l'un des États européens les mieux informés : en 1942, les dirigeants du pays en savaient suffisamment pour comprendre qu'il était urgent d'agir, même s'ils n'avaient pas encore conscience de la dimension génocidaire des massacres." Au prisme de notre astrologie EXOLS, de quelle façon peut-on situer ces deux massacres dans un climat "solsticial"?Il est clair que notre comparaison relativise le phénoméne de la Shoah, ce qui est d'ailleurs le role de la démarche astrologique forcément relativiste. Nous dirons que le point commun semble tenir à un hypernationalisme à forte connotation xénophobique , le rejet de l'étranger visant à souder l'Etat Nation chaque fois en temps de guerre (première et seconde guerres mondiales) II Pologne Liban-Rwanda Phase équinoxiale A Le pacte germano-soviétique est signé en août 1939. Il ouvrira la voie à l'invasion et à l'occupation commune de la Pologne par l'Allemagne nazie et l'Union soviétique en septembre.6 juil. 2022 B "Le massacre de Sabra et Chatila a été perpétré du 16 au 18 septembre 1982 envers des Palestiniens du quartier de Sabra et du camp de réfugiés palestiniens de Chatila situés à Beyrouth-Ouest par les milices chrétiennes des phalangistes lors de la guerre civile libanaise et l'intervention israélienne au Liban."" La question de la responsabilité du premier ministre israélien, Ariel Sharon, dans les massacres des camps de réfugiés palestiniens de Sabra et Chatila, en septembre 1982 au Liban, a été relancée par une émission – vivement contestée en Israël – de la télévision britannique BBC. Quasi simultanément, une plainte a été déposée en Belgique par un avocat libanais au nom de vingt-trois rescapés desdits massacres." "Le Génocide des Tutsis au Rwanda en 1994 est source de controverses et de débats tant à l'intérieur qu'à l'extérieur de la France et du Rwanda. La coopération militaire entre les deux pays remonte à 1975. La France a apporté un soutien militaire, financier et diplomatique au gouvernement Hutu du président rwandais Juvénal Habyarimana contre le Front patriotique rwandais (FPR), créé par les exilés Tutsis, pendant la guerre civile rwandaise débutée en 1990. La France est soupçonnée d'avoir poursuivi ce soutien pendant le génocide des Tutsis au Rwanda, déclenché par l'attentat du 6 avril 1994 qui coûta la vie aux présidents rwandais Juvénal Habyarimana et burundais Cyprien Ntaryamira1. L'ampleur de ce soutien et son impact sur le génocide firent l'objet de vives controverses, en particulier entre les gouvernements français et rwandais et continuent d'influencer les relations diplomatiques entre les deux pays. Le gouvernement français a, jusqu'en 20212, rejeté toute responsabilité dans le génocide, tout en admettant à partir de novembre 2017 que des « erreurs politiques » avaient pu être commises qui ont empêché de prévenir ou d'arrêter le génocide. Plusieurs rapports indépendants, dont celui de la mission d'information parlementaire sur le Rwanda (à partir de 1998) et des travaux de recherche universitaires ont permis de préciser le rôle joué par la France durant cette période." "Le président français, Emmanuel Macron, s'est vu remettre, vendredi 26 mars,(2017) un rapport très attendu sur le rôle joué par la France avant, pendant et après le génocide des Tutsi au Rwanda en 1994. Rédigé par une commission de quatorze historiens, ce document de plus de 1.000 pages pointe de multiples responsabilités françaises dans le massacre. " JHB 28 09 23