vendredi 8 mars 2024

jacques halbronn Linguistique comparée. Ce que le français peut apporter à l’hébreu moderne

Sur Internet "Un shewa est un signe diacritique de l'alphabet hébraïque. Il sert à noter : soit une voyelle très brève [ə], analogue à un e « muet » en français (« maintenant »). Dans ce cas, il est appelé shewa mobile"."ségol. Formé de trois points placés sous une consonne, le ségol produit le son « é » comme dans « été ». tséré. Les deux points du tséré ajoute le « é » à une lettre. sh’va. Placé sous une consonne, le sh’va ajoute le son « e »." jacques halbronn Linguistique comparée. Ce que le français peut apporter à l’hébreu moderne Nous pronons une approche dualiste des langues, ce qui signifié que tout concept doit comporter un double aspect. Dans le cas des langues, la distinction entre consonnes et voyelles est absolument centrale, pivotale. Le français, comme nous avons eu l'occasion de le montrer agit sur ces deux plans, favorisant tantot le pôle voyelles, tantot le pôle consonnes, ce qui est en accord avec l'esprit du premier chapitre du Livre de la Genèse , sur une création façonnée à l'image de son Créateur. Le français dispose de la lettre 'e" qui par elle même n'est ni une consonne ni une voyaele mais structure alternativement ces deux plans selon que cette lettre se place devant ou derrière une consonne. Quand elle est avant, elle occulte celle-ci, quand elle vient après, elle renforce la présence de la dite consonne. Si l'on compare avec la condition actuelle de l'hébreu, le "sheva" conduit à occulte les voyelles au profit des consonnes. Ainsi, kotev (écrire) donne likhtov, avec disparition du son "o", ce qui crée une combinatoire de consonnes, le kaph et le thav, qui n'aurait pas eu lieu autrement En revanche, l'hébreu moderne ne respecte pas le princioe inverse visant à renforcer le pôle voyelles. Pernons le cas du verbe medaber (parler) le resh ne devrait pas être prononcé, comme dans le cas de l'infinitif français manger, avec le E devant le r, lequel évacue le son "r".En revanche, au futur, je mangerai, le e permet à l'oral de relier les consonnes g et le r., On trouve dans les grammaires actuelles: . — Je parle hébreu, Ani médabér ivrit, אֲנִי מְדַבֵּר עִבְרִית. Je parle, Ani médaber / médabérète, אֲנִי מְדַבֵּר / אֲנִי מְדַבֶּרֶת. Je dis, Ani omer / omérète Dès lors que l'on prononce le resh final en hébreu, on est obligé pour marquer le féminin de recourir à un "sur-marqueur" de genre, en "ete" alors que le bon usage devrait être medabe(r) au masculin et medaber au féminin sur le modéle du français, ce qui vaut aussi pour d'autres voyelles comme "" petit, avec un t non oralisé /petite.. On rencontre le même probléme pour les adjectifs et cette fois le sur-marqueur de l'hébreu est en "a" comme gadol/guedola au lieu de gado(l)-gadol! Il y aurait donc ici une asymétrie en hébreu entre le traitement des voyelles, qui permet le rapprochement entre consonnes alors que le traitement des consones ne pemet pas au pole voyelles de s'affirmer de son côté. Il conviendrait donc de renforcer le ségol face au sheva. pour que l'hébreu retrouve la cohérence structurelle du français! JHB 08 03 24

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