dimanche 5 février 2023

jacques halbronn Retour sur son premier manuel d'astrologie daté de 1935

jacques halbronn Retour sur son premier manuel d'astrologie daté de 1935 C'est en 1967 que nous avons ouvert pour la première fois un manuel d'astrologie lequel figurait dans la bibliothèque familiale en partie constituée de celle du second mari de notre grand mère maternelle, l'auteur-éditeur Florian Parmentier. C'est tout le mérite de cet ouvrage paru de MAurice Privat, chez Grasset sous le titre 'L'astrologie scientifique à la portée de tous" d'avoir su faire sauter certains blocages acquis au cours de notre scolarité concernant tout ce qui concernait les "maths" 20 ans plus tard, André Barbault, chez le même éditeur, publiera une Défense et Illustration de l'Astrologie. En 1995, soixante ans après la parution du manuel de Privat, nous avons rendu hommage à Maurice Privat dans La vie astrologique années trente cinquante, de Maurice Privat à Dom Néroman (Ed Trédaniel). Il est assez étrange que nous ayions rencontré l'astrologie par le biais d'un ouvrage déjà relativement ancien, datant de l'Entre Deux Guerres et fortement impacté par la toute récente découverte de Pluton, en 1930. L'épithète "scientique" était alors volontiers accolé à Astrologie, ce qui cessera d'être le cas dans les années cinquante.. Dès 1951, était paru dans la collection Que Sais je (n°503) un volume sur l'Astrologie, dû à Paul Couderc, astronome. https://www.amazon.fr › Lastrologie-Que-sais-je-N°-508 Nous mêmes , en 1976, nous publierons dans la collection" Clefs pour" le volume consacré à l'Astrologie (n°47) Ce qui nous fut d'une grande aide dans l'ouvrage de Privat, aura tenu probablement à la reproduction dans l'ouvrage des outils de travail de l'astrologue, à commencer par des pages d'éphémérides et nous allions assez vite nous en procurer des volumes entiers. A l'évidence, l'astrologie s'appuyait sur la mythologie et ne pouvait que se louer de voir les astronomes s'en servir pour baptiser les nouvelles planétes découvertes au sein du systéme solaire, ce qui créait une solution de continuité. Le mot clef ici est probablement l'analogie à telle enseigne que les noms mythologiques constituaient la base du savoir astrologique. C'est ainsi que pour Pluton, Privat n'hésite pas à écrire: "ses significations incontestables, d'après notre expérience, sont conformes à ce que nous avons appris touchant le Dieu des Enfers" (p. 250) Dans l'ouvrage, les étoiles fixes ne sont pas oubliées alors qu'on tendra par la suite à les évacuer des manuels. leur présence marquée dans notre thème nous avait impressionné, notamment la conjonction d'Antarés avec notre conjonction Soleil Jupiter en Sagittaire et nous continuons à penser que l'ascendant ne fait sens que par rapport aux étoiles fixes. Privat écrivait (p. 268): " On ne saurait, par exemplen expliquer la carrière d'Adolph Hitler, le maitre tout puissant de l'Allemagne, sans leur collaboration" Privat ne traite pas des "transits" et -comme Roger Hequet de nos jours, il traite des directions qui tiennent compte de la dynamique interne du thème plus que ne le font les transits lesquels relévent davantage d'un ciel en mouvement. Nous ne démentirons point Privat quand il conclut" L'astrologie mondiale est indispensable aux Gouvernements" (p. 295) Mais plus de 80 ans plus tard, c'est bien à 'une toute autre astrologie que nous pensons; Ce qui nous frappe chez la plupart des astrologues, c'est qu'ils relient l'astrologie au savoir assez primaire de l'homme de la rue, ce qui est inévitable dans la mesure où c'est au nom d'un tel savoir que l'astrologie sera jugée, outre les références mythologiques qui en constitue la culture de base/ A partir du moment où les élites ont abandonné l'astrologie, celle-ci n'avait d'autre choix que de s'appuyer sur les représentations de la masse.. JHB 05 02 23

jacques halbronn et le texte de Patrice guinard : les faux Nostradamus italiens des annnées 66-67

Jacques Halbronn et le texte de Patrice Guinard « Les faux Nostradamus italiens des années 66-67 : il vero Giuditio, il vero Pronostico, li Presagi et Pronostici) » (2014) Posté par nofim le 5 février 2023 jacques halbronn et le texte de Patrice Guinard « Les faux Nostradamus italiens des années 66-67 : il vero Giuditio, il vero Pronostico, li Presagi et Pronostici) » (2014) Patrice Guinard (qui ne signale pas notre article de 1991 dans la revue Réforme humanisme Renaissance) ne mentionne pas la réédition de l’Epitre au Pape Pie IV parue au début du XXe siècle et qu’il importe de comparer aux éditions italiennes. En tout état de cause, Nostradamus a bien situé la naissance d’un Antéchrist en 1567 et cela explique les quatrains VIII 76-77 relatifs à une échéance au bout de 27 ans. Par ailleurs, la mention d’un « macelin » dans VIII 76 ne se comprend qu‘en rapport avec l’epitre à Pie IV comme nous l’avons expliqué ailleurs. Jeu sur Marcelin et Macelin. Le fait que ce texte figure dans le second volet nous invite à penser que c’est l’épitre à Pie IV qui aurait du ouvrir le second volet car elle comporte la clef des quatrains 76 et 77, elle aura été remplacée par une pseudo Epitre à Henri II, reprise d’une première épitre datant de 1556 (cf nos Documents Inexploités sur le phénoméne Nostradamus, Ed Ramkat 2002) 76. Plus Macelin que roy en Angleterre, Lieu obscure nay par force aura l’empire: Lasche sans foy sans loy saignera terre, Son temps s’approche si presque je soupire. 77. L’antechrist trois bien tost annichilez, Vingt et sept ans sang durera sa guerre: Les heretiques mortz, captifs, exilez, Sang corps humain eau rogi gresler terre. « Après la mort de Nostradamus en juillet 66, la belle vie commence vraiment pour les usurpateurs de tous poils, imposteurs et faussaires des oeuvres et du patronyme du prophète salonnais, dont un certain Michel Nostradamus le Jeune qui signe aussi Mi. de Nostradamus (cf. CN 180). Une floraison de pronostics divers, mis au nom de Nostradamus, commence à envahir les foires et les étals de libraires, à commencer par deux pronostications italiennes parues dans diverses éditions, Il vero et universale giudicio et Li Presagi et Pronostici. 179A Il vero et universale giudicio sopra le quattro stagioni, di M. Michele Nostradamo Astrologo Eccellentissimo, Et Medico di Salon di Craus [sic] di Provenza, Nel qual si vede brevemente quanto mostrano le stelle, & Pianeti di mese in mese, & di quarto in quarto, dell’anno 1566 … Tradotto fidelmente di Francese iu [sic] Italiano. Trino (Trento), [Giovanni Francesco et Giolito de Ferrari ?], « con licentia de Superiori », 1566, in-4, 4 ff. (vignette au frontispice) ° BC Trento: t-G 2-op f 60 Il vero et universale giudicio sopra le quattro stagioni Il vero, et universale Giuditio 179B Il vero, et universale Giuditio di M. Michiele Nostradamo, astrologo Eccell(entissimo) & Medico di Solon [sic] di Craus [sic] di Provenza, nel quale si vede brevemente quanto mostrano le stelle, & Pianeti di mese in mese, & di quarto in quarto dell’anno 1566 … Deo semper laus, & gloria Trino (Trento), [Giovanni Francesco Giolito de Ferrari], « con licentia delli Superiori » (A4v), [1566], in-4, 4 ff. (pas de vignette) ° BN Marciana Venise: MISC 1339. 017 → Giuseppe Dondi & Marina Bersano Begey, Le cinquecentine piemontesi, vol. 3, Turin, 1966, p.241, n.1373 → Chomarat, 1989, n.78 La première pronostication existe en deux versions : l’une avec un vignette au frontispice et dite traduite du français, l’autre sans vignette et au titre et précisions modifiés au frontispice. Elle contient les quartiers lunaires sommairement commentés pour chacun des douze mois de l’année avec un faciebat controuvé de Nostradamus, et un commentaire de l’éclipse lunaire d’octobre 1566 dans un contexte italien. Les données des quartiers ne correspondent pas à celles de l’Almanach de Nostradamus pour l’année 1566. Il s’agit d’un faux, probablement concocté après la mort de Nostradamus, peut-être traduit d’une version française perdue. Le texte ne présente aucun intérêt. 179C Il vero Pronostico calcolato dall’eccell(entissi)mo astrologo, et filosofo M. Michel Nostradamo Francese. Il qual narra diligentemente tutte le perverse calamità, che deve incorrere l’Anno 1566 come per ragioni Astronomiche lo dimostra. Bologna, Alessandro Benatio, « Con licentia delli Superiori », 1566, in-4, 4 ff. ° BNF Paris: Rés V 1196 → Leoni, 1961, p.87 → Chomarat, 1989, n.77 → Benazra, 1990, p.77 → Brind’Amour, 1993, p.492 → CAT Ruzo-Swann, Avril 2007, n.9 (vendu 390 $ avec d’autres fac-similés) Cette seconde pronostication est à rattacher à la première par les données astrométriques similaires pour l’éclipse lunaire du 28 octobre 1566 : à 23 h 50 et 15° Taureau, durée 3 h 40 (Giuditio, A4v) vs 24 h 50, durée 3 h 40 (Pronostico, A2v). L’introduction sur un feuillet (incipit « Il divino Mosè nel Sesto del Genesi » ; explicit « o gli effetti nelle cose inferiori ») cite en seconde page une série d’autorités en matière astrologique : le chapitre 4 du second livre du Tetrabiblos de Ptolémée, Hali Rodoan, Albumasar, Messahalla, Almansor, et un astrologue du nom de Pierre Maynard (Pietro Mainardo). Suivent un aperçu de l’année 1566 (avec un faciebat controuvé de M. « Nostrodamus »), un descriptif de l’éclipse lunaire du 28 octobre 1566 (A2v), et des présages attribués à Nostradamus et adressés au duc d’Orléans (le futur Henry III). Il vero Pronostico calcolato Li Presagi et Pronostici di M. Michele Nostradamo Li Presagi et Pronostici di M. Michele Nostradamo Francese 179D Li Presagi et Pronostici di M. Michele Nostradamo, Quale principiando l’anno 1565 diligentemente discorrendo di Anno in Anno fino al 1570. Chiaramente ci dimostra tutto quello che gl’influssi Celesti dinotano, tanto di bene, quanto di male, si delli raccolti boni, quanto delli rei. Genova, S.n. [Antonio Bellone ?], « con licenza de superiori » (A4v), « 1564″ (A4v) [1567 ?], in-4, 4 ff. ° BNF Paris: Rés V 1195 ; BM Lyon: Rés A 508196 179E Li Presagi et Pronostici di M. Michele Nostradamo Francese. S.l. [Genova ?], S.n., S.d. [1567 ?], in-4, 4 ff. (vignette aux deux astrologues au titre) ° BNF Paris: Rés V 1194 (page de titre manquante) ; BN Marciana Venise: MISC 2636. 061 → Leoni, 1961, p.87 → Chomarat, 1989, n.62 (sous 1564) et n.67 (sous 1565) → Benazra, 1990, p.67-68 (les 2 versions, sous 1564) → Brind’Amour, 1993, p.491 → CAT Ruzo-Swann, Avril 2007, n.9 (vendu 390 $ avec d’autres fac-similés) Au moins deux autres éditions antidatées du précédent texte ont été imprimées vers 1567 (ou plus tardivement) avec un titre totalement remanié. Un exemplaire de la BNF précise la nationalité de l’auteur falsifié : « Francese ». Ces éditions ne précisent pas le nom de l’imprimeur, peut-être Antonio Bellone qui exerçait à Gênes à cette date, à supposer qu’il s’agisse bien d’impressions génoises (cf. Gedeon Borsa, Clavis typographorum librariorumque Italiae, Baden-Baden, 1980). Le texte est prétendument dit traduit d’un original français. L’introduction commençant par une référence à la Genèse est reprise de l’édition précédente, avec quelques rares modifications, par exemple l’ajout de la mention « si per certo, & non men della Noetica » (bas de A1v), l’ajout d’un numéro : « differenza 8″ pour « differenza » (A2r), etc. Au présage sommaire (« Presagio somario » pour « Presagio, et sommario »), on se contente de changer l’année 1566 en 1565 et de corriger la mention fautive « Nostrodamus ». Le reste du texte est inchangé. Les dates et données de l’éclipse lunaire sont modifiées en conséquence : l’éclipse du 28 octobre 1566 est remplacée par celle du 17 novembre 1565 : une donnée erronée puisque l’éclipse lunaire de 1565 a eu lieu le 7 et non le 17 (cf. Cyprian Leowitz, Eclipsium omnium ab anno Domini 1554 usque in annum Domini 1606, Augsburg, Philipp Ulhard, 1556). En outre, et c’est la preuve de la supercherie, l’ensemble du commentaire sur l’éclipse de 1566 reste inchangé pour le faux daté de 1565 : par exemple la position du Soleil dans la 8e maison (« il Sole nell’ottava mansione »). Ci-suivent le thème de l’éclipse lunaire de 1566 dans le traité de Leovitius, le même thème calculé pour la latitude d’Augsburg à environ 16 heures 16, et un autre proche des données (approximatives) du Pronostico de Benatio : recalculé à environ 13 heures 53 avec le FC à 16° en Gémeaux comme indiqué au texte (« se ne oscurera punti 16 & particelle dieci sotto il duplicato segno di Gemini ») et le Soleil et Mars au milieu de la maison VIII selon la domification de Regiomontanus. thème de l'éclipse Leowitz thème de l'éclipse 16 h 16 thème de l'éclipse Benatio Dans la dédicace, on remplace le duc d’Orléans par le pape Pie IV, ainsi que quelques formulations relatives au nouveau dédicataire et à l’année visée : on transforme par exemple l’expression « circa l’Anno 1566″ en « circa 1565 & 1566″, mais pas la suite du texte « che sarà l’anno il quale per la revolutione … » – ce qui contredit les propos du texte puisqu’il est toujours question de l’année 1566 alors que la pronostication concerne 1565 ! De même « 1566″ est remplacé par « 1565 tenendo per l’anno 1566″ (A3v). A la page précédente, l’expression « qualche grandissimo danno che non passeranno quelle annà [sic] de 1566 et 1567″ devient « qualche gran matrona che non passeranno quelli anni de 1566 et 1567″ (A3r). Dans l’édition non datée du même texte, la « gran matrona » est remplacée par « grande dame » (en français). La régente Catherine de Médicis semble visée, et la seconde mouture de 1565 pourrait avoir été concoctée dans les cercles de mécontents liés à François d’Anjou (cf. infra). Bien sûr c’est surtout le prestige de l’astrologue et conseiller royal qui est visé par la dédicace réorientée sur le pape Pie IV, décédé le 9 décembre 1565. Il s’agit donc d’une version trafiquée d’un faux, destinée à discréditer Nostradamus, le protégé de Catherine de Médicis. On attribue au mathématicien et humaniste italien Francesco Barozzi alias Barocius (1537-1604) le premier commentaire d’un texte de « Nostradamus », à savoir un commentaire de cette pronostication controuvée. Francesco Barozzi 179F Pronostico universale di tutto il Mondo Il qual comincia dal principio dell’ anno 1565 & finisce al principio dell’ anno 1570. Raccolto dalli Presagi del Divino Michiele Nostradamo, & dalli Pronostici di molti altri Eccellentissimi autori : & con brevi annotationi illustrato Bologna, « Alla libraria del Mercurio » [Giovanni Rossi ?], « Con Privilegio del Rever. Mons. Bossio Vicelegato », « Con licentia de Superiori », « 1566″ [1567 ?], in-4, 12 ff. ° BNF Paris: Res V 1193 ; Mazarine 4° Res 15954-1 → Chomarat, 1989, n.79 → Brind’Amour, 1993, p.496 Barozzi, Pronostico universale di tutto il Mondo Le texte tient en 7 chapitres, précédés d’une préface (en A2r) et d’annotationi après les chapitres 2 et 4. La préface, adressée aux académiciens bolognais, est datée de Bologne le 20 janvier 1566 (ancien style, i.e. 1567 ?). Le texte cité et commenté par Barozzi n’est ni celui du « Vero Pronostico » ni celui des « Presagi et Pronostici », mais un texte intermédiaire mentionnant (en C1r) l’éclipse lunaire du 28 octobre 1566 avec une lune correctement positionnée à 16° du Taureau (comme dans la version bolognaise), et l’allusion au décès d’une « gran Matrona » (comme dans la version génoise). Il est probable que le modèle utilisé soit une autre version du même texte. Il n’est fait aucune allusion à une dédicace au duc d’Orléans ou au pape Pie IV. Et les données de l’éclipse sont celles de l’Almanach authentique de Nostradamus : à 23 h 45 apres midy (horloge) ou 4 h 39 apres midy à 15° Tau, durée 3 h 45, points lunaires éclipsés 17 et 22 minu. (Nostradamus, Almanach pour 1566, A2v) versus à 23 h 45 (horloge) ou 4 h 39 à 16° Tau, durée 3 h 45, points lunaires éclipsés 17 et 22 minu. (Barozzi, C1r). Il faut donc attribuer ce commentaire à Barozzi et le dater du début de l’année 1567 (nouveau style) en raison du sérieux des données formulées, et écarter je crois l’hypothèse d’une contrefaçon tardive (ca. 1616) qui suit et que je soumets au lecteur sans conviction : en effet Barozzi, poursuivi et condamné par l’inquisition en 1583 et 1587 pour des motifs obscurs, pourrait avoir été la victime d’une contrefaçon tardive — mais quel enjeu à cette date ? : Justifier les décisions inquisitoriales au moment où les défenseurs de Barozzi demandent des comptes dix ans après sa mort ? et/ou renforcer le dispositif des contrefaçons mis en place un demi-siècle auparavant, grâce au crédit d’un érudit prestigieux et dont on connaît les intérêts pour les matières occultes ? — par la confusion entretenue entre les Bossi ou Bossio, tous deux vice-légats bolognais à cinquante ans d’intervalle : Francesco Bossi en 1566 et Girolamo Bosio en 1616, d’autant plus qu’à Bologne les héritiers de Giovanni Rossi continuaient à imprimer à cette époque (cf. par exemple Al direttorio monastico di canto fermo, Bologna, heredi Giovanni Rossi, Con licenza de superiori, 1615). 179G Pronostico di Michele Nostradamo tradotto dallo francese in lingua italiana nel 1565 – incipit : « La variacione de tempi, secondo Hipocrate, é causa dell’ infermita, di modo, che quanto piu questa variatione sia frequente … » ° Biblioteca Ambrosiana, Milano: N 263 sup (Vol. 23 degli inventari), ms. de 24 ff. Batta, Pronostico tradotto nel 1565, p.1 Batta, Pronostico tradotto nel 1565, p.2 Batta, Pronostico tradotto nel 1565, p.6 Batta, Pronostico tradotto nel 1565, p.45 Traduction manuscrite d’un texte mis au nom de Nostradamus, traduite en italien en 1565, et répertoriée par Mario Gregorio en 2006 dans son Répertoire, n.1563-003 [sic] au lieu de 1565-004. Le texte est précédé d’une dédicace du traducteur au gouverneur de Milan Gabriel de la Cueva y Girón (1515-1571) datée du 22 décembre 1564 et signée Giovanni Batta (?) Il s’agit d’une traduction italienne sur 45 pages d’un faux non identifié incluant de nombreuses mentions à des auteurs classiques, notamment Hippocrate, Galien, Aristote et Avicenne. Il contient un discours sur les 12 signes zodiacaux (Discorso dei dodeci segni, p.35) et une recette contre la peste (Rimedis ottimi, generali, et universali contra la peste, p.44), à rapprocher de la traduction anglaise du pseudo-traité de Nostradamus sur la peste (cf. CN 32). La traduction est datée in fine de Milan, le 12 janvier 1565. Mantova, 9 Febbraio 2014

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