vendredi 3 mars 2023

Jaxques Halbronn L'astrologie EXOLS et la fragilitré des empires.

jacqyes Halbronn L’Astrologie EXOLS et la fragilité des empires Posté par nofim le 3 mars 2023 jacques Halbronn L’Astrologie EXOLS et la fragilité des empires Nous avions signalé que 1989-1991 et la décomposition du bloc communiste et de l’URSS relevait d’une phase solsticiale de Saturne. Mais il aurait convenu d’insister davantage sur le caractère négatif d’un tel phénoméne puisque pour nous cette phase profite de certaines faiblesses. On se souviendra de la Guerre de Cent Ans durant laquelle le Royaume de France avait souffert de son morcellement ainsi que de la folie du Roi Charles VI, ce qui fera de son fils, le dauphin, le « roi de Bourges ». Wikipedia » Contesté par les Bourguignons et par les Anglais, Charles VII devient le souverain d’un royaume en proie à la guerre civile entre Armagnacs et Bourguignons, compliquée d’une intervention militaire anglaise victorieuse depuis la bataille d’Azincourt (1415). Allié au parti des Armagnacs, replié au sud de la Loire dans son duché de Berry, surnommé par dérision « roi de Bourges », par ses ennemis, le dauphin ». La phase solsticiale SOLEX serait ainsi caractérisée par un certain caractère de prédation, profitant de la fragilité matérielle, morale, en abusant de la générosité, de la confiance excessive de la part de certains. Mais cet état de choses ne saurait se prolonger indéfiniment car le systéme a prévu des garde fous empechant de dépasser certaines limites. Au delà d’une certaine échéance, le sablier va se retourner et suivra obligatoirement une phase EXOLS. laquelle sera mue par un certain complexe de culpabilité, alimenté par le souvenir d’une ingratitude que l’on aura infligée à autrui, ce qui se soldera par des remords, par le sentiment d’avoir fait preuve d’iniquité.. C’est le lot de ceux qui arrivent après, que de se trouver confronté àde telles situations tout comme le solstice fait suite à l’équinoxe. L’héritier est condamné à s’approprier ce qui n’est pas son oeuvre. Cela pose notamment le probléme des rapports entre christianisme et judaisme et de l’opposition Nouveau Testament/. Ancien Testament avec une alternance de déni et de reconnaissance de ce qui le christianisme a emprunté au judaisme. (cf Vatican II et les juifs . Actes du colloque organisé par l’École française de Rome en collaboration avec l’Université de Lille III, l’Istituto per le scienze religiose de Bologne et le Dipartimento di studi storici del Medioevo e dell’età contemporanea de l’Università di Roma-La Sapienza (Rome 28-30 mai 1986) par Jean-Marie Delmaire. Publications de l’École Française de Rome Année 1989 113) Wikipedia » Le IIᵉ concile œcuménique du Vatican, plus couramment appelé concile Vatican II, est le XXIᵉ concile œcuménique de l’Église catholique. Il est ouvert le 11 octobre 1962 par le pape Jean XXIII et se termine le 8 décembre 1965 sous le pontificat de Paul VI. » A partir de 1964, Saturne passe en phase équinoxiale et il serait intéressant d’examiner dans quelle mesure cela aura pu affecter la tonalité des débats en faveur d’une certaine reconnaissance de la place des Juifs. JHB 03 03 23

jacques halbronn La culpabilité, la faute et leur corollaire la réparation, le pardo comme moteu de la cyclicité EXOLS

jacques halbronn La culpabilité la faute, et leur corollaire la réparation, le pardon comme moteur de la cyclicité EXOLS L’alternance des phases EXOLS et SOLEX- selon notre nouvelle terminologie (Solex: passage du solstice à l’équinoxe EXOLS, passage de l’ »équinoxe au solstice) ne se concevrait pas sans l’idée de réparation que l’on trouve dans la Kabbale avec le » Tikoun ». wikipedia « Le tikkoun olam, (…), est un concept issu de la philosophie et de la littérature juive, recouvrant en grande partie la conception juive de la justice sociale ou de réparation dans les courants libéraux, réformateurs et sécularisés, et celui de restauration, d’homéostasie ou d’intégrité dans les courants juifs orthodoxes. » Nous dirons que la phase solsticiale est celle de la tentation – l’occasion fait le larron- de profiter de la faiblesse d’autrui alors que la phase équinoxiale sonne le temps du repentir, du remord, du complexe de culpabilité, ce qui débouche sur un impératif de réparation, de dédommagement. Sans un tel sentiment de la faute, c’est tout le processus cyclique qui serait en panne. D’où l’importance dans la Bible accordée au « péché » (originel) et au pardon des offenses (dans la liturgie catholique) En phase équinoxiale, nous sommes animés par un besoin de régler nos comptes, de compenser et de récompenser; de reconnaitre nos dettes. En ce sens, celui qui vient après sera toujours tenté, à un moment ou à un autre, de nier ce qu’il doit à celui qui le précéde, dans tous les sens du terme tout comme le solstice vient après l’équinoxe, l’Eté après le printemps. Dès lors, l’on peut penser que c’est la mémoire qui sera -au niveau des aires cérébrales- suractivée en phase équinoxiale (EXOLS) et désactivée en phase solsticiale(SOLEX). Au cours de notre vie, à savoir tous les 15 ans environ, nous aurons à traverser une phase EXOLS, constituant un examen de conscience,un besoin de se confesser, d’avouer. JHB 03 03 23

jacques halbronn Astrologie EXOLS La vie de Jésus comme paradigme de la condition cyclique juive

jacques halbronn Astrologie EXOLS. la vie de Jésus comme paradigme de la condition cyclique juive La condition juive est objectivement marquée par un processus de cyclicité, de renversement de tendance mais ne peut-on voir dans le personnage de Jésus, à plus d’un titre, une certaine exemplarité de la judéité? En quoi,dès lors, ce personnage serait unique en son genre, dans le temps et dans l’espace? Il arrive bien souvent que l’on s’aperçoive que l’on aura exagéré la singularité d’un certain sujet. C’est ainsi, qu’un certain apprentissage de l’arabe nous aura conduit, dans les années 70 à relativiser ce qu’il convenait de penser de l’hébreu, tout comme celui qui s’initie au français percevra tout autrement l’anglais. Dans le cas de Jésus, au prisme de notre Astrologie EXOLS, on reconnait aisément que celui-ci sera passé par des phases fort contrastées,si l’on en croit ce que nous en disent les Evangiles, entre l’engouement qu’il suscite en Galilée et sa condamnation en Judée, à Jérusalem, où le peuple aurait préféré sauver Barabas que Jésus, en présence de Ponce Pilate. Quant à l’image de Sauveur associée à Jésus, l’on peut penser que la mission des Juifs sur cette Terre s’inscrit dans cette dimension salvatrice. Or, pour nous, une telle mission ne saurait être ponctuelle en raison même du processus de cyclicité qui implique une relance répétée en raison de sa dialectique interne d’alternance tout comme celle du jour et de la nuit. Chaque fois, il faudra recourir à une recharge, et selon nous, c’est tous les 14/15 ans que cela doit avoir lieu. Par conséquent un individu, aussi puissant serait-il, ne saurait assumer à lui seul toute une dynamique si ce n’est symboliquement. D’où l’opposition entre un christianisme axé sur un événement unique dans le temps et dans l’espace et un judaisme qui couvre un champ beaucoup plus étendu, plus ample, sur la base de l’idée de peuple élu, la notion de peuple étant bien plus en adéquation avec les conditions exposées ci-dessus. On nous présente Jésus comme le Sauveur (en grec Soter) et c’est effectivement la mission des Juifs que de « sauver’ l’Humanité de la corruption et de l’erreur, ce qui implique une constante vigilance, tous azimuts qui ne saurait être imputée à un seul homme avec ses limites de temps et d’espace/ JHB 03 03 23

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