mercredi 27 mars 2024

Jacques halbronn Réflexions sur la dualité autour de l'Astrologie de la transformation de Dane Rudhyar

Jacques halbronn Réflexions sur la dualité autour de l'Astrologie de la transformation de Dane Rudhyar (Ed du Rocher, 1984) L'ouvrage se présente comme la contribution finale à la Pensée Astrologique, terme qui figurera en 1986 dans L'Etonnante Histoire de l'Astrologie de Serge Hutin (Ed Artefact). Map G nous envoie un commentaire à l'une de nos vidéos (Telé de la Subconscience. You tube) : "Bonjour, vous ne citez jamais Rudhyar alors que votre théorie de la limite aux deux valeurs de chaque planète (diurne/nocturne) que vous appliquez en général à Saturne etc.." En 1986 nous publiames peu après la parution de cette édition, un essai intitulé "La pensée astrologique", formulation utilisée par Rudhyar décédé en 1985) dans ce qu'il appelle ici son Testament. *En vérité, Rudhyar et nous ne partageons pas la même idée de l'Astrologie car Rudhyar se complait dans une complexité de facteurs qui est en contradiction avec notre approche minimale. Mais force est de constater que Rudhyar n'oublie pas le principe de dualité, ce qui nous relie, quelque part. D'entrée de jeu, l'auteur ne se référe-t-il pas au Yin et au Yang et n'entend il pas traiter des "deux visages de l'astrologie"? Soit, une "astrologie d'information" face à une "astrologie de compréhension et de signification". Le premier chapitre s'intitule " Les deux manières fondamentales d'envisager la vie". Rudhyar définit ainsi l'astrologie comme une "tentative réussie d"établir un ensemble complexe de corrélations significatives et fiables entre d'une part les mouvements observés des sources de lumière visibles dans le ciel (..) et d'autre part les séries également observables de changements se déroulant dans la biosphère et plus particulièrement dans la vie des êtres humains.". Pour notre part, dans la réédition de Clefs pour l'Astrologie,'ed Seghers nous parlions de remplacer la question de l'information par celle de communication, ce qui signifiait que le praticien devait se servir du rapport de son patient à l'astrologie pour se faire comprendre, nous mettions alors de côté l'information proprement astrologique alors que pour Rudhyar cette information existe bel et bien, ce qui reléve selon nous d'une forme de contre transfert, dès lors que le praticien épouse le fantasme de son patient au lieu de se contenter de l'instrumentaliser! Sur le web ' . Le contre-transfert désigne « l'ensemble des réactions inconscientes de l'analyste à la personne de l'analysé et plus particulièrement au transfert de celui-ci ». C'est donc des réactions inconscientes du superviseur à l'égard du supervisé et du transfert qu'il effectue sur le superviseur." Mais, par la suite, nous avons évolué vers d'autres représentations à savoir qu'ente le Ciel et la Terre, il y avait des intermédiaires qui étaient les "chefs", les "prophétes" que l'Astrologie nous parlait de cette élite. Cela rejoint d'ailleurs Michel Gauquelin quand il travaille sur les élites professionnelles. Cependant, Rudhyar reconnait que nous ne captons pas tous au même niveau les énergies célestes, ce qui implique des lectures appropriées, ce qui se retrouve dans l'Astrologie conditionaliste de Jean Pierre Nicola. Mais revenons sur la définition que Rudhyar de ce qu'est l'astrologie (cf supra). Il n'envisage à aucun momen que l'Astrologie ait été élaborée par des "dieux", c'est à dire des entités très avancées (qu'elle viennent d'un autre espace ou d'un autre temps(passé ou futur). Certes, en pratique, la recherche astrologique est à base de corrélations entre ce qui se passe dans le ciel et sur terre mais cela reléve d'un plan, d'une architecture et non de quelque environnement dans lequel notre Humanité aurait été immergée. Cela explique pourquoi Rudhyar se sera laissé séduire par les découvertes de l'astrologie moderne avec ses télescopes alors que l'astrologie s'adressait à une humanité qui n'en disposait pas, ce qui impliquait d'en rester au stade du visible à la fois céleste et terrestre et le visible terrestre correspondait aux personnages centraux, aux princes programmés en conséquence et non à la masse avec l'infinité de ses micro-activités. Mais Rudhyar ne renonce pas à l'idée que l'astrologie nous impacte tous directement à des degrés divers. On peut y voir la réaction, la tentation d'un Chrétien refusant que Dieu ait opté pour un "peuple élu" à savoir les Hébreux. D'un point de vue ergonomique et économique, il y a une débauche chaotique; kaleidoscopique de données qui ne fait guère sens. Rudhyar parle de recherche de "signification" et il ne veut pas imaginer que l'astrologie reléve d'un plan, d'un ordre préétabli et qui n'a que faire des nouvelles planétes! Là encore,on retrouve l'ambiguité chrétienne qui attend un 'Deus ex machina", qui remettra en question ce qui avait été initialement agencé! Rudhyar instrumentalise l'astronomie moderne pour mener à bien une telle déconstruction de la Tradition! JHB 27 03 24

jacques halbronn Anthropolinguistique Le ternaire femmes -juifs- neutres (non juifs)

jacques halbronn Anthrop(kinguistique . Le ternaire: femmes- juifs- neutres (non Juifs). Nous avons insisté sur le caractère ternaire des combinatoires linguistiques. On appliquera un tel modéle à l'anthropologie en reprenant, à notre sauce, la dualité proposée par Antoinette Fouque génitalité/génialité en nous demandant en quoi consiste le troisiéme Elément. Nous relevons que le point commun entre génitalité et génialité est la Gratuité, ce qui est une notion économique centrale, à nos yeux, celle du Don. A l'opposé de ce binome, on parlera de Neutralité pour désigner ceux qui ne sont ni chargés d'accoucher les enfants ni d'accoucher les esprits, à savoir la population masculine en dehors des génies et la population féminine ménopausée. Dans nos travaux d'ordre linguistique, la ternarité (thèse/antithèse/synthèse) commence avec le genre féminin, décanté, abrégé, réduit, reformaté en genre masculin et se poursuit avec le substantif (dérivé de substance). Exemple: Belle; beau/beauté, le dernier terme correspondant à l'idée abstraite du Beau, ce qui implique une certaine distanciation platonicienne. Si. les deux premiers termes sont marqués par un besoin interne de donner, le troisiéme - neutre- non génial, non génital - fait appel à des facteurs externes du fait d'un certain vide. On dira qu'il parasite les deux premiers et s'en nourrit, vit à leurs crochets.. JHB 23 03 24

Jacques halbronn Sociolinguistique. Quelle véritable fonction de l'em...

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Jacques halbronn Le Juif est un catalyseur pour une génération donn...

jacques halbronn Linguistique française Traitement de OI, AI. Rôlz du sur-marqueur Y

Jacques halbronn Linguistique française: traitement de OI, AI,. Rôle du sur-marqueur Y Ces formes sont à gérer de la même façon que les diphtongues, à savoir que suivi d'une voyelle, et pas seulement de la lettre "e", elles se dissovent. On connait le cas de ON suivi d'un e: bon/bonne, avec disparition de la diphtongue dans le second cas. Mais cela vaut aussi pour les formes OI, AI, OU. On dit "moi" mais loi suivi d'un a dans loyal, voit disparaitre le son "OI". En revanche, le son "oi" se maintient dans voiture parce que le OI" est suivi d'une consonne et non pas d'une voyelle. Dans le cas de "Roi", le son "OI" est respecté car la forme n'est pas suivi d'une voyelle mais "royal" devrait se prononcer à l'anglaise "ro-yal" avec disparition du son "OI" qui n'est pas équivalent à "OA" mais dispose d'une sonorité qui lui est propre. Si l'on prend la forme "AI" du français, elle se prononce "é" dans aile, mais alors que suivi d'un L, elle disparait: vitrail, rail, bail, maille Ce qui indique que la lettre L a un statut spécial qui "casse" la forme "AI" à la différence de gaité où le son de AI occulte le son "A" alors qu'avec le L, c'est le son A qui se maintient suivi du son "ye". comme dans travail. Il conviendrait donc de corriger certaines prononciations du français actuel comme "royal" qui doit se rendre "ro-yal à cause du L qui fat suite à OI. Ce qui correspond à la prononciation à l'anglaise.(cf supra) On saisit bien la différence entre le AI du mois de Mai et le AI de travail. Intérressons-nous au rôle de la lettre Y qui fait partie des dernières lettres de l'alphabet avec le W, le X et le Z dont le statut reste à préciser. Selon nous, le Y ferait partie des surmarqueurs comme l'accent et l'apostrophe, censés guider le lecteur pour passer à l'oralité et qui n'en maîtrise pas les codes. Le Y intervient quand la forme OI est suivie d'un A. Ainsi , on passerait de roi à roial puis de roial à royal, pour indiquer la dissolution de la forme O que l'on peut classer dans la catégorie des diphtongues quant à son traitement. Pour le lecteur qui ne sait pas que OI suivi d'une voyelle se décompose en O + I à la différence de sa position devant une consonne, l'on aura jugé bon, à un certain moment, de recourir au Y (l'upsilon du grec). Mais le probléme, c'est que les locuteurs ont continué à prononcer le OI comme si de rien n'était, ce qui fait que royal Toutefpse prononce incorrectement roi-yal. au lieu de ro-yal.Toutefois, en anglais, c'est la forme ro-yal qui a été adoptée ^par l''emprunteur et c'est cette forme qu'il conviendrait de réinstaurer en français car alors le Y retrouverait sa raison d'être ou encore l'on peut revenir à roial, à condition que la régle de lecture soit apprise, ce qui dispenserait de l'usage du Y On a là un bel exemple du régime de dualité et d'alternance du français en matière de pivotage dont on trouve la trace dans les lettres doubles de l'hébreu (Beith; Guimel, Daleth, Kaph; Péh; Thav) articulée sur la présence ou l'absence du "daguesh" (point/accent placé au milieu de la lettre). JHB 27 03 24