samedi 9 mars 2024

jacques halbronn L'astrologie apporte des causes subjectives et non pas objectives

jacques halbronn L'astrologie apporte des causes subjectives et non pas objectives On connait l'adage « Point n'est besoin d'espérer pour entreprendre ni de réussir pour persévérer. » Mais on peut aussi inverser la formule ; point n'est besoin d'échouer pour renoncer. .. Ce sont ces deux cas de figure qui, selon nous, sont la clef de la prévision astrologique et mettent en évidence toute sa spécificité, à savoir que le monde spirituel pése plus lourd que le monde matériel. Nous avons déjà évoqué la fin de la Guerre d'Algérie laquelle n'est pas la conséquence d'une défait militaire mais à un changement de valeurs et de motivation lié au passage de Saturne en phase solsticiale, laquelle est plus dans les enjeux à court terme qu'à long terme, avec un certain manque d'envergure à la clef et l'on pourrait en dire autant de la fin de l'URSS, ce qui correspond à un "découragement", on n'a plus littéralement de "coeur à l'ouvrage". Mais pour en revenir à notre adage, l'on peut tout à fait se lancer dans une opération qui ne semble pas vraiment vouée au succés et s'acharner à persévérer. Puis, à un certain moment, on va baisser les bras, parce que Saturne nous aura fait passer de la mentalité équinoxiale à la mentalité solsticiale. Autrement dit, le propre de l'astrologie serait de l'ordre de l'improbable et il n'y aurait guère de mérite à annoncer ce qui est dicté par les faits concrets, dans un sens ou dans un autre. De même, que vaut un "voyant" qui parlerait comme le premier journaliste venu en déballant des "évidences" de "bon sens". Or on aura compris que l'astrologie se situe au delà du "bon sens", vertu sur laquelle Descartes ironisa tant elle semblait la mieux répandue. Il est clair, à nos yeux que l'on n'acquiert un certain pouvoir qu'en allant à contre courant car c'est là qu'on se révéle indispensable et inversement, celui qui se limite à des banalités, à des platitudes, risque de ne pas faire long feu dans l'arène. Ainsi, cela nous conduit à ne pas exagérer la portée d'une défaite ou d'une réussite car cela tient à des processus qui ne sont pas ceux que l'on croit, ce qui éviterait les narratifs surréalistes où l'on s'imagine que l'on aura vaincu l'autre alors que c'est l'autre qui se sera vaincu lui même, se tirant une balle dans le pied. Et inversement, l'on peut s'imaginer que telle personne aura réussi grâce à nos encouragements alors que c'est une nouvelle énergie qui aura circulé en elle et déclenché un sursaut! JHB 09 03 24

jacques halbronn Une bonne gouvernance doit assumer/gérer la dualité ...

Jacques halbronn Astrologie et théologie biblique versus Astrologie...