mercredi 15 mai 2024

Jacques halbronn Astrologie séquentielle. De la nécessité de périodes pluri-annuelles.

jacques halbronn Astrologie séquentielle. De la nécessité de périodes pluri-annuelles. Une hirondelle ne fait pas le printemps; La prévision astrologique doit passer par l'épreuve de la statistique, ce qui va à l'encontre d'une approche par trop ponctuelle tant au regard des personnes que des événements. Nous appellerons astrologie "séquentielle", une recherche qui passe par une suite de cas, ce qui implique l'établissement de typologies nécessairement plus simples que le matériau factuel de départ. Ce qui implique une décantation, une "réduction", dont nous avons montré toute l'importance dans le champ anthropolinguistique. L'obstacle épistémologique majeur qui empêche beaucoup d'astrologues chercheurs tient tout bêtement à la surabondance, à la profusion des facteurs que l'on serait censé prendre en compte, ce qui conduit fatalement à un extréme saucissonnage, du fait de l'excés de signifiants, au sens linguistique du terme exigeant une multiplicité de signifiés par voie de conséquence. Cela affectera inévitablement l'usage des aspects quant à leur orbe, vu que chaque planéte va devoir cohabiter, dans une certaine promiscuité, avec d'autres au sein d'un même espace. A contrario, si l'on ne se sert que d'un nombre limité de facteurs, de cas de figure, comme nous le faisons en Astrologie EXOLS, l'on pourra découper le temps en périodes relativement longues, notamment de 7 ans! Ce qui aura plombé le travail d'un André Barbault, c'est cette multiplicité qui condamne chaque configuration à la portion congrue, soit tout au plus une durée d'un an car il faudra ensuite laisser la place à la suivante et ainsi de suite! C'est ainsi que Barbault raisonne en termes annuels comme lorsqu'il annonce des décennies à l'avance un moment important pour l'an 1989 alors qu'il est patent que le processus se sera étendu sur plusieurs années, si l'on compte le démantélement de l'URSS dans la foulée! Barbault est ainsi obligé de passer le relais à d'autres configurations pour gérer la suite des événements au lieu de s'en tenir à la même! Mais curieusement, Barbault finira par opter pour des rendez vous espacés, de 36 ans en 36 ans, en ce qui concerne le cycle Saturne-Neptune, négligeant de baliser les temps intermédiaires à commencer par les temps "paradoxaux" allant en sens inverse, ce qui est propre à toute cyclicité marquée naturellement par une dynamique d'alternance. L'inconvénient que certains trouveront à l'encontre d'une telle astrologie "séquentielle", c'est qu'elle s'expose à des démentis. Entendons par là que le cloisonnement des configurations prémunit contre le risque d'une fâcheuse fausse note si jamais la série évenementielle devait comporter des contradictions. On sortirait alors de sa zone de confort et on prendrait des risques. Au bout du compte, les astrologues seront tentés de préférer une astrologie "en miettes", un puzzle qu'il serait décidément vain de vouloir reconstituer et dont les pièces resteraient éparses! JHB 15 05 24

jacques halbronn Réflexions psychanalytiques sur l'Astrologie EXOLS Refoulement et deuil.

Jacques halbronn Réflexions psychanalytiques sur l'Astrologie EXOLS. Refoulemet et deuil Nos recherches en astrologie nous conduisent vers une prise croissante de conscience des rapports entre Astrologie et psychanalyse mais nullement au sens d'André Barault dans son De l'a psychanalyse à l'astrologie" (Ed Seuil 1961) De la psychanalyse à l'astrologie - André Barbault - Seuil GF - Livre Il ne s'agit pas pour nous de partir du thème natal dont Barbault nous dit que sa complexité même légitime, justifie qu'on l'applique à la psyché humaine. Notre astrologie ne passe pas par la carte du ciel prise comme carte d'identité et place en face à face, dans une approche sémiologique, signes terrestres et signes célestes, sur la base du premier verset de la genése; "Elohim créa le Ciel et la Terre," nous avons emprunté à la langue psychanalytiuqe un certain nombre d'expressions comme le retour du refoulé qui illustre fort heureusement le passage de la phase équinoxiale à la phase solsticiale. Nous associons la solsticialité au "ça" et l'équinoxialité au "Surmoi"; Par ailleurs, nous ne négligeons nullement ce qui distingue l'homme de la femme en montrant que les champs sensoriels d'un sexe sont inversés par rapport à ceux de l'autre sexe. C'est ainsi que pour nous une telle sémiologie explique les mouvement qui anime nos sociétés avec un processus de départ, de retour, de séparation et de conjonction; En effet, la différence de sensibilité sensorielle va conduire à une séparation entre hommes et femmes, quant aux valeurs défendues par les uns et par les autres, le ça générant une certaine ivresse et démesure et le Surmoi sous tendant un contrôle, une retenue polarisée sur un certain sens (ouie, vue, odorat, toucher ( cf notre "Astrologie Sensorielle", Cosmopolitan, 1976) Chez les femmes, un défoulement qui passe par la parole et l'apparence, chez les hommes, par le besoin d'un toucher de l'autre et d'une prise de liberté au niveau hygiénique, ce qui conditionne l'accés à telle ou telle activité professionelle, tant positivement que négativement. Nous ajouterons que l'astrologie EXOLS peut aider à s'intéresser aux changements de phase qui peuvent prendre des tours dramatiques puisque la phase équinoxiale conduit à faire des tris (le bon grain et l'ivraie), à se délester d'un certain héritage alors que la phase solsticiale alimentera une forme de nostalgie, d'anamnèse, sur une base plus scientifique que la pratique psychothérapeutique ordinaire; L'astrologie sémiologique, tant terrestre que céleste, peut générer un certain sentiment d'aliénation shizoide, voire de possession (au sens religieux du mot) dans la mesure où il s'agit de "forces" qui nous travaillent sur lesquels nous n'avons que peu de prise.C'est le fameux "je n'ai pas pu m'en empêcher. Il nous faut enfin aborder au prisme de la cyclicité la question du deuil En effet, le passage d'une phase à la suivante, et l'on se référe ici à une séquentialité septennale s'accompagnera de problémes de conscience, au prisme de choix à assumer pour passer d'une phase à une autre. En phase équinoxiale, il sera conseillé d'accepter un certain nombre de renoncements, de "refoulements",donc de deuils. Mais cela vaut aussi en phase solsticiale, avec le "retour du refoulé", ce qui implique de renoncer à un certain statu quo au sein duquel on avait fini par s'inscrire, comme ce fut le cas pour le Brexit, survenu en phase solsticial. On n'échappe donc pas à la problématique du deuil, quelle que soit la phase qui se présente. Au niveau prévisionnel, on ne saurait faire l'économie d'une telle dialectique laquelle devra impérativement se situer à l'arrière - plan de toute projection sur l'avenir, autour de tel ou tel enjeu, dans un sens ou dans un autre. On pourrait donc regretter que Barbault n'ait apparemment pas jugé bon de préciser quand il avance quelque date de quel deuil il sera question, à la croisée des chemins car il va de soi qu'il ne faudrait pas se tromper de stratégie, ce qui pourrait se révéler fatal tant pour l'astrologue que pour ceux qui l'écoutent. On est là face à la question du délestage, ce qui peut camper un certain dilemme! On pense au Rocher de Sisyphe, repensé par Albert Camus (Le mythe de Sisyphe) qui caractérise la phénoméne de la cyclicité et sous tend la sagesse du Livre de l4Ecclésiate autour de la Vanité. Tout est vanité. Il importe, en tout cas que l'astrologie de demain s'en tienne à un certain créneau plutôt que de prétendre toucher à tout. Paradoxalement, c'est en se cantonnant à certaines problématiques qu'elle se fera respecter et que l'on fera appel à elle dans les débats. Ce qui n'est point le cas, présentement. Pour ce faire, il lui faut accepter de pratiquer une cure d'amaigrissement car elle est à l'évidence en excés pondéral, à un stade de saturation et d'inflation. Il importe, notamment, de prendre conscience de la polysémie du langage en ne se contentant pas de formules ambivalentes et ambigues.C'est cela se préter à la réfutabilité au sens de Popper. Celui qui ne léve pas certaines interprétations ne se préte, ne s'expose pas à la critique et se croit en situation d'impunité! Que l'on se méfie notamment des "mots clé" dont certains abusent en s'imaginant que l'on y gagne en précision! Pour aborder sainement une nouvelle phase, il y aura un prix à payer, d'une façon ou d'une autre. Soit l'on devra abandonner certains éléments qui nous tiennent à coeur et qui font partie de notre histoire, de notre identité, apprendre à s'en passer et à les dépasser pour s'ouvrir à un "New Deal" (nouvelle donne), soit l'on fera machine arrière et refusera de les brader à vil prix. Le jeu en vaut il la chandelle? Bien entendu, le psychanalyste se servant de notre outil astrologique - à moins que cela ne soit l'astrologue jouant au psychanalyste- verra son agenda balisé, il sera amené à pointer certaines dates du passé qui auront pu être plus ou moins traumatisantes, d'où un exercice d'anamnèse, vécues comme assez déchirantes, causes de regret ou/et de remord. En phase équinoxiale, on aura pris trop de risques alors qu'en phase solsticiale, on n'en aura peut être pas pris assez. Le mot "plus" est ici de mise: on ne veut plus, on n'en veut plus, on en veut "plus".. L'Ukraine devra faire de concessions comme du temps des Accords de Munich (1938) Inversement, la Guerre d'Algérie se prolongera du fait du passage en phase solsticiale, en réaction à la politique d'un Pierre Mendés France en Indochine et en Tunisie. (Conférence de Genéve) JHB 15 04 24

jacques Halbronn Théologie. Jésus. Sa mission liée au sort du Royaume détruit d'Israel

jacques halbronn Théologie. Jésus; Sa mission liée au Royaume détruit d'Israel. On étudiera les mentions à Israel dans le Nouveau Testament . Rappelons qu'Israel est mentionné en particulier dans l'Ancien Testament a Livre de l'Exode mais déjà, dans le Livre de la Génése, lors du combat de Jacob avec l'Ange. Quelle est donc la véritable portée des références, notamment dans l'Evangile selon Luc (Ch XXIV) et dans les Actes des Apotres ( Ch I verset 6) (cf Yves Christiaen, La mutation du monde. De nouveaux cieux, Une nouvelle Terre, Essai d'une nouvelle conscience historiue! Ed Devvy 197, pp 119 et seq)? On connait le propos de Jésus: "Je suis surtout venu pour les brebis perdues de la Maison d'Israel"(Evangile selon Mathieu)/ Que penser du commentaire de Corinne Charriau, pasteur? "Jésus les envoie (les apôtres) donc en mission mais en mission restreinte en évitant les païens, ce qui signifie les non-juifs, et en évitant aussi les samaritains, frères ennemis des juifs : « allez plutôt vers les brebis perdues de la maison d’Israël » leur dit Jésus. En effet, Jésus a d’abord compris sa mission comme mission auprès du seul peuple d’Israël, son peuple. Alors, les Douze disciples envoyés représentent symboliquement les 12 tribus d’Israël" Notre commentaire D'abord, Jésus n'appartient pas au "peuple d'Israel" pas plus d'ailleurs que son modéle, Moïse (Exode III). Il est "envoyé", cela signifie qu'il va devoir se déplacer et sa destination sera la Galilée, région qui appartenait à l'ancien Royaume d' Israel, fondé à la mort de Salomon pour faire face à celui de Juda. Cet amalgame entre Israel et les juifs est anachronique et est le propre d'un syncrétisme tardif. Que comprendre donc du passage des Actes? Sur le web "Jésus avait déjà parlé de cela à ses apôtres durant les quelques quarante jours durant lesquels il leur était apparu après sa résurrection. Après que ceux-ci lui aient demandé : "Seigneur, est-ce en ce temps que tu rétabliras le royaume d'Israël ? Il leur répondit : Ce n'est pas à vous de connaître les temps ou les moments que le Père a fixés de sa propre autorité. (Actes 1:6 à 8 / Esaïe 62:11) Texte de la Vulgate: 6 Igitur qui convenerant, interrogabant eum, dicentes: Domine, si in tempore hoc restitues regnum Israel? Quel est donc ce Royaume d'Israel, "Regnum Israel". Historiquement, il a bel et bien existé un Royaume d'Israel détruit en -722. Sur le web "931-721 avant J-C l'un des deux royaumes issus de la séparation des douze tribus à la mort de Salomon" Un autre passage, signalé par Christiaen, se trouve dans l'Evangile de Luc: XXIV, 21 au lendemain de la crucifixion, faisant une sorte de bilan: Nos autem sperabamus quia ipse esset redempturus Israhel "Nous espérions que ce serait lui qui délivrerait Israël" Cette délivrance concerne la Galilée, donc au nord, et non point la Judée et c'est en Galilée que Jésus aura fait campagne. Pässons à d'autres versets: Actes des Apotres II, 14-22 Pierre s'adresse successivement aux "hommes de judée" et aux Israélites"Viri Israelitae) C'est à ces derniers qu'il est annoncé " Dieu vous a désigné Jésus de Nazareth en accomplissant par lui, au milieu de vous, des miracles, des prodiges, des signes" Latin 22 Viri Israelitae, audite verba haec: Jesum Nazarenum, virum approbatum a Deo in vobis, virtutibus, et prodigiis, et signis, quae fecit Deus per illum in medio vestri, sicut et vos scitis. Actes X36 Verbum misit Deus filiis Israel, annuntians pacem per Jesum Christum (hic est omnium Dominus). Il a envoyé sa parole aux Israélites On notera que le latin parle des Fils/Enfants d'Israel, ce que la traduction rend par "Israélites" -ou Israelides, terme récurrent dans Exode III Beney Israel, en hébreu.. Sur le web "Israël et Juda au Ier siècle (du temps de Jésus) "Bien que quelques descendants des tribus formant le royaume d’Israël se soient mélangés au royaume de Juda (2 Rois 18:9-13 ; 2 Chroniques 34:9) et vice-versa lors de leurs captivités respectives au Ier siècle de notre ère, on savait toujours qu’il s’agissait de deux groupes distincts de personnes. Étant de la tribu de Benjamin, l’apôtre Paul, par exemple, déclara être à la fois Juif (Actes 21:39) et Israélite (Philippiens 3:5)." JHB 15 05 24

jacques halbronn Astrologie Passage des étoiles royales dans les signes...

jacques halbronn Réflexions sur La Mutation du Monde d'Yves Christia...

mardi 14 mai 2024

jacques halbronn Astro. Phase' équinoxiale. 2024 Israel veut en fini...

jacques halbronn L'organisatation du Ciel ay quatriéme jour de la Création

Jacques halbronn L'iorganisation du Cilel au 4e jour de la Création Genése I La Création au sens biblique est marquée par une certaine finalité, une ergonomie. Les choses ne sont pas crées en vain. Il faut que cela serve, remplisse une fonction pour l'Humanité. D'où la répétition dans la traduction du "pour" dans le sens de 'en vue de". Il y a là la marque d'un dessein intelligent" bien différent de l'idée d'une nature "sauvage". Il est question au verset I, 16, au 4e jour, des "Kokhavim", ce qui désigne aussi bien les étoiles que les planétes, tout comme en français d'ailleurs, d'où la distinction entre "planétes" (errantes) et fixes. On y traite notamment du jour (Yom et Soleil) et de la nuit:*(Layla et Lune) יד וַיֹּאמֶר אֱלֹהִים, יְהִי מְאֹרֹת בִּרְקִיעַ הַשָּׁמַיִם, לְהַבְדִּיל, בֵּין הַיּוֹם וּבֵין הַלָּיְלָה; וְהָיוּ לְאֹתֹת וּלְמוֹעֲדִים, וּלְיָמִים וְשָׁנִים. 14 Dieu (Elohim) dit: "Que des corps lumineux apparaissent dans l'espace des cieux, pour distinguer entre le jour et la nuit; ils serviront de signes pour les saisons, pour les jours, pour les années; טו וְהָיוּ לִמְאוֹרֹת בִּרְקִיעַ הַשָּׁמַיִם, לְהָאִיר עַל-הָאָרֶץ; וַיְהִי-כֵן. 15 et ils serviront de luminaires, dans l'espace céleste, pour éclairer la terre." Et cela s'accomplit. טז וַיַּעַשׂ אֱלֹהִים, אֶת-שְׁנֵי הַמְּאֹרֹת הַגְּדֹלִים: אֶת-הַמָּאוֹר הַגָּדֹל, לְמֶמְשֶׁלֶת הַיּוֹם, וְאֶת-הַמָּאוֹר הַקָּטֹן לְמֶמְשֶׁלֶת הַלַּיְלָה, וְאֵת הַכּוֹכָבִים. 16 Dieu fit les deux grands luminaires: le plus grand luminaire pour la royauté du jour, le plus petit luminaire pour la royauté de la nuit, et aussi les étoiles. יז וַיִּתֵּן אֹתָם אֱלֹהִים, בִּרְקִיעַ הַשָּׁמָיִם, לְהָאִיר, עַל-הָאָרֶץ. 17 Et Dieu les plaça dans l'espace céleste pour rayonner sur la terre; יח וְלִמְשֹׁל, בַּיּוֹם וּבַלַּיְלָה, וּלְהַבְדִּיל, בֵּין הָאוֹר וּבֵין הַחֹשֶׁךְ; וַיַּרְא אֱלֹהִים, כִּי-טוֹב. 18 pour régner le jour et la nuit, et pour séparer la lumière des ténèbres. Dieu considéra que c'était bien. יט וַיְהִי-עֶרֶב וַיְהִי-בֹקֶר, יוֹם רְבִיעִי. {פ} 19 Le soir se fit, le matin se fit, - quatrième jour.

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jacques halbronn Réflexions sur le processus cyclique (2013)

Nouvelles réflexions sur le processus cyclique Par Jacques Halbronn Posté par nofim le 15 septembre 2013 On ne peut pas ne pas admettre qu’il y a une « descente » et une « remontée » suivie à son tour d’une nouvelle baisse de régime et ainsi de suite. Nous avons eu récemment un débat avec Guy Taillade sur la question de savoir si le cycle avait pour fin un aboutissement ou bien au contraire se terminait par une forme d’extinction. Il s’agit là d’un faux débat. En astrologie, on distingue entre un aspect « approchant » et un aspect « séparant (cf. notamment dans le cas des directions d’une planéte vers une autre mais aussi pour les transits sans parler du thème natal lui-même) En astrocyclologie, il est clair que la conjonction est précédée par une configuration se mettant peu à peu en place, donc en progression puis une fois la conjonction atteinte, s’amorce un processus de déclin. Entre le moment de la séparation et celui de l’approche du nouveau signal conjonctionnel que se passe-t-il ? On peut admettre un temps de transition que l’on peut qualifier de disjonctionnel, quand le futur est encore imprécis et le passé de plus en plus flou. Ce temps de transition peut mathématiquement et statistiquement, en toute probabilité, se situer dans le tiers du milieu, soit entre 30° et 60° d’intervalle entre Saturne et les étoiles fixes royales. Les 30 premiers degrés après la conjonction et les 30 dernies degrés avant la conjonction correspondent à une dynamique conjonctionnelle croissante puis décroissante, avec entre les deux un passage à vide que l’on peut qualifier de temps « B ».. Alors que les deux autres temps seraient A et A’. En aucun cas le temps B ne saurait être égal à la somme de A et A’. Il convient cependant de rappeler que les quatre fixes royales ne forment pas un quadrilatère parfait avec des écarts de 90° entre chacun des dites étoiles. Le recours à cette terminologie à base 30/60/90 est purement indicatif. En pratique entre Aldébaran et Regulus, on a environ 80°, entre Regulus et Antarès, près de 100°, entre Antarès et Fomalhaut, à nouveau 80 et entre Fomalhaut et Aldébaran, à nouveau près de 100°./ En astrocyclologie, en effet, on n’accepte pas les projections qui permettent de découper le ciel en tranches égales mais avec des diviseurs invisibles et dénués de corporéité : d’où le refus du zodiaque et de tout ce qui relève du cycle saisonnier, quand bien même le dit cycle saisonnier peut avoir une valeur heuristique ou matricielle mais sans plus. La grande erreur des historiens de l’astrologie, qui se sera répercutée sur le savoir astrologique, aura été de confondre symbolisme et réalité astronomique. Le passage du virtuel au réel, c’est d’avoir à se confronter à la matière et cette matière quand elle n’est pas à portée de main, comme chez le sculpteur, ne peut être modifiée, même si elle peut être interprétée. Le signifié peut se greffer sur le signifiant mais il n’est pas le signifiant, il fait avec. Les 4 étoiles fixes royales sont le signifiant de l’astrologie tout comme la Lune ou Saturne. Il sont ce qu’ils sont par eux-mêmes, telles sont les limites de l’instrumentalisation….Au niveau du signifié, l’astrologie peut décider de diviser en 4 le parcours de Saturne mais elle doit le faire avec les moyens du bord, c’est-à-dire les 4 étoiles fixes royales – c’est le principe de « réalité »- quand bien même celle-ci ne formeraient-elles pas un carré parfait et quand bien même les conjonctions de Saturne avec les dites étoiles seraient très approximatives, du fait que la planéte n’appartient pas au même « système » que les étoiles, elles-mêmes dispersés aux 4 coins du firmament. Rappelons que les constellations zodiacales sont également un pis-aller. Elles ne comportent pas nécessairement toutes des étoiles de grande intensité, ce qui explique que l’on a dû aller chercher Fomalhaut dans la constellation du poisson austral faute de trouver une étoile intéressante dans la constellation du verseau. Encore, une telle présentation peut-elle prêter à confusion. En effet, au moment où ces quatre étoiles fixes furent choisies parmi tant d’autres, il n’y avait pas nécessairement de constellations au sens où nous l’entendons actuellement. Dès lors, le débat sur la question de savoir dans quelle constellation se situait Fomalhaut nous semble assez décalé. Ce n’est qu’ensuite qu’il se trouva que l’on plaçât Fomalhaut dans la constellation du poisson austral et non dans celle du Verseau. Il n’est même pas certain que la notion de bande zodiacale de 8°30 autour de l’écliptique ait été bien établie à une certaine époque. Evitons les anachronismes ! En dépit de cette réalité ne correspondant qu’approximativement aux schémas géométriques de départ, le référentiel stellaire comporte des avantages insignes puisque nous obtenons ainsi des conjonctions se produisant toujours aux mêmes endroits du ciel- au nombre de 4 (et non de 12 comme pour les conjonctions soleil-lune et en nombre à peu près infini pour les « cycles planétaires ». En outre, Saturne conserve son analogie avec la Lune au niveau numérique (4×7=28), ce qui n’est pas le cas quand on le combine avec d’autres planètes, à commencer par Jupiter qu’il rencontre tous les 20 ans et non tous les 28 ans comme pour chaque étoile fixe royale.. Il est clair qu’avec un système aussi simple d’emploi, de conception et de perception, l’astrologie avait un profil initial extrêmement accessible qui s’est détérioré progressivement et sans parvenir à se recentrer. Ce qui est pourtant le but de toute cyclicité. Le rapport de l’astrologie à l’astronomie s’en trouvait très simple d’emploi. La complexité qui s’est produite par la suite aura paradoxalement conduit à faire que l’astrologie décrocha d’avec l’astronomie, se limitant désormais à une affaire d’observation du ciel au moment de la consultation (ou de la naissance, dans les cas de lignages princiers), complété par la technique artificielle des directions. Cette mode des directions aura été peu à peu rejetée dans la seconde moitié du XXe siècle avec la vogues des transits, ce qui était précurseur de l’astrocyclologie actuelle. Rudhyar correspond à un stade intermédiaire (cf. notre étude récente autour d’un texte de Ruperti) qui panache le transit de Saturne et les directions du thème natal. Mais, il reste à franchi bien évidemment le pas de la réintégration des étoiles fixes dans le « canon » astroloique d’où elles ont été éjectées au cours du dernier demi-siècle : on a jeté le bébé avec l’eau du bain. La technique des cycles planétaires lancée par les frères Barbault, notamment au lendemain de la Seconde Guerre Mondiale, aura été un solution bancale qui aura fait perdre beaucoup de temps à la recherche astrologique avec toute la problématique des combinaisons symboliques (le dieu de chaque planéte concernée plus les signes d’accueil successifs de la conjonction), au lieu de comprendre que les planètes et les découpages ne sont pas porteurs de sens. Ce qui compte, c’est le déroulement du cycle (cf. supra). Barbault, lui-même, en 1967 avait remis en question le cycle planétaire en proposant à la place une simple indication de « concentration » des planètes, sans tenir compte ni de la « personnalité « de la planéte ni même du signe où cette concentration se produisait, ce qui lui permettait de ne pas avoir isolé chaque cycle en lui conférant une signification spécifique. Faute de réintégrer les fixes, Barbault n’avait d’autre issue que de constituer une « résultante » de toutes les « lentes », sans d’ailleurs parvenir à mettre en place une cyclicité unique, régulière et égale à l’échelle d’un siècle et encore moins à l’échelle d’une vie humaine comme le permet l’astrocyclologie….A la fin du premier millénaire, Albumasar avait déjà engagé l’astrologie sur une voie de garage avec sa théorie des Grande Conjonctions Jupiter-Saturne en observant que cette conjonction se produisait sur 2 siècles environ dans l’un des Quatre Eléments pour passer ensuite à un autre, ce qui découpait en 4 un cycle complet de plus de 800 ans. Il importe de situer ces entreprises comme des tentatives non abouties, tout comme l’idée au XIXe siècle d’intégrer les planètes au-delà de Saturne, invisibles à l’œil nu et inconnues des Anciens, ce qui allait contribuer à l’expulsion des fixes, bien à tort. Il est temps de corriger le tir. Mieux vaut tard que jamais. JHB 05. 09. 13

jacques halbronn L'astrologie alpha-omégfa. Le vrai paradigme poiyr le monde de demain (2016)

L’astrologie alpha-oméga, le vrai paradigme pour le monde de demain par Jacques Halbronn L’astrologie peut fournir un nouveau paradigme mais cela ne passe pas par l’attente de l’ère du Verseau mais bien par une réforme interne de l’Astrologie et cette réforme a désormais un nom: Alpha-Oméga. Ces deux lettres sont la première et la dernière de l’alphabet grec et elles symbolisent deux temps essentiels de tout cycle, celui de la conjonction, c’est à dire d’un nœud, ce que représente la lettre alpha (en cursive), dérivé du Aleph des alphabets sémitiques et celui de l’opposition , c’est à dire le point d’équilibre, la lettre Oméga évoquant la forme d’une balance. Et de fait le signe du bélier a un glyphe qui évoque la lettre alpha et celui de la balance un autre qui évoque la lettre Oméga. Ces deux signes (le ier et le 7e) sont précisément et diamétralement opposés dans le Zodiaque, L’astrologie Alpha-Oméga – termes que l’on retrouve chez Teilhard de Chardin et dans le christianisme – a une dimension géométrqiue, car l’Oméga est en fait une stylisation du triangle et un triangle exige pour se former trois points d’ancrage. Mais Oméga est aussi une balance.laquelle comporte deux parties: le fléau qui correspond aux deux plateaux de la balance et l’axe, qui se situe à leur « mi-point ». Pour l’Astrologie Alpha-Oméga, le fléau est constitué par quatre étoiles fixes royales (Aldébaran, Regulus, Antarés, Fomalhaut, cf nos textes à ce sujet). alors que l’axe correspond à une planéte, Saturne laquelle passe -comme une abeille – d’une étoile à la suivant – ces 4 étoiles formant une sorte de carré divisant l’écliptique en 4 fois 90° environ. On notera que Saturne est traditionnellement (cf la Tétrabible de Ptolémée) associé à deux signes du zodiaque, le Capricorne et le Verseau, deux signes d’hiver (dans l’hémisphère nord). et l’on place , toujours dans la Tétrabible, les luminaires dans les signes opposés du cancer et du lion. Le soleil est en lion et en face de lui on a le verseau, un des signes -on l’a vu- attribué à Saturne, l’astre le plus lointain du systéme solaire jusqu’à ce que William Herrschel ait découvert en 1781 Uranus (père de Saturne)/. Le soleil est une étoile comme le sont les 4 fixes royales sus mentionnées. L’astrologie Alpha-Oméga remplace le couple Soleil-Lune par le couple Etoiles Royales (le lion est d’ailleurs considéré comme royal)-Saturne, qui est plus fonctionnel.Mais Saturne a les mêmes chiffres que la Lune, sinon que dans un cas ce sont des années et dans l’autre des jours. Or, le signe du Verseau est très intéressant si l’on sait qu’il représente l’échanson, celui qui sert à table – le « verseur d’eau » et pour servir les convives l’un après l’autre, il doit en faire le tour, la table- elle-même carrée- représentant ici le carré stellaire (les 4 étoiles fixes royales). Paul Le Cour l’avait relié à Ganyméde l’échanson servant à la table des dieux, dans l’Olympe. Autrement dit, Saturne est un serviteur, un domestique, dimension dont on n’avait jusque là pris toute la mesure et la machine aussi rend des services. Nous laissons méditer ce point aux partisans de la théorie des ères précessionnelles et notamment de l’ère du Verseau Pour l’astrologie alpha-oméga, la dialectique entre le maître et sa « maisonnée » est cruciale – c’est le cas de le dire. La conjonction (Alpha) crée de la confusion entre le maitre et la maisonnée dont fait partie le verseau, comme on l’a vu alors que l’opposition (mais en fait cela correspond à un aspect de 45° soit 180/4 puisque l’écliptique est divisé en 4 quadrants) ne permet plus de confondre les deux pôles, ce qui correspond à l’axe situé au centre du fléau de la balance, on est ainsi passé d’alpha à oméga, en l’espace de 3 ans 1/2 environ, soit 28/8) Pour l’astrologie alpha oméga, les seuls aspects utiles entre Saturne et les étoiles fixes royales tout au long de sa révolution sont 0°, 45°, 90°, 135°, 180° et-en sens inverse pour boucler le cercle, ce qui donne 8 secteurs de 45°. On ne tient évidemment aucun compte du demi-sextile, du sextil et du trigone qui correspondent à une division de l’écliptique non pas en 4 mais en 3 (360/3, 360/6 et 360/12). On peut penser que cette division paralléle à l’autre correspond à une autre tradition et que la combinaison des deux divisions ne fait pas sens. Cette division en 3 semble d’ailleurs directement issue de l’adoption des 12 signes alors que la divisiion en 4 est d’essence binaire (360/2; 360/4; 360/8) L’astrologie alpha oméga n’utilise pas le thème astral, sous aucune forme car cette figure correspond à une astrologie primitive qui ignorait jusqu’à la durée des révolutions des planétes et s’en tenait à un systéme de directions et de progressions, sans rapport avec la réalité astronomique. Paradoxalement, cette astrologie primitive encore très prisée de nos jours se sert abondamment du symbolisme que l’astronomie -on dit bien l’astronomie:! – a emprunté à la mythologie et à l’iconographie des mois de l’année, ce qui ne fait pas partie intégrante du savoir astronomique et en revanche, elle ne se sert pas des données proprement astronomiques des révolutions planétaires puisqu’elle les remplace par des repéres fictifs! JHB 01 °09 16

Bibllographie astrologique (Article "Astrologie" Wikjipedia)

Bibliographie Ouvrages généraux 1951 à 2005 : plusieurs éditions de L'Astrologie dans la collection « Que sais-je ? » des Presses universitaires de France (PUF). version 1951 : Paul Couderc (multiples rééditions actualisées jusque dans les années 1980, épuisée) avec une approche scientifique attaquant l'astrologie (en relation avec l'Union rationaliste). version 1989 : Suzel Fuzeau Braesch (retirée de la vente) avec une approche pro-astrologie. version 2005 : Daniel Kunth et Philippe Zarka. Le texte rappelle quelques définitions et évidences et montre ainsi que l'astrologie, par sa méthode, se place en dehors du domaine scientifique. 1971 : Edgar Morin (sous la direction de), Philippe Defrance, Claude Fischler, Lena Petrossian, Le Retour des astrologues, Les Cahiers de l'Obs, 1971 (enquête sociologique). 1982 : Edgar Morin (sous la direction de), Philippe Defrance, Claude Fischler, Lena Petrossian, La Croyance astrologique moderne, diagnostic sociologique, nouvelle édition revue par Claude Fischler, éditions L'Âge d'Homme, 1982. 1986 : Wilhelm Knappich, Histoire de l'astrologie, préface d'André Barbault, éditions Vernal/Philippe Lebaud, 1986, (ISBN 978-2-86594-022-6). 2009 : Nicholas Campion (en), (en) A History of Western Astrology Vol. 1, The Ancient World, Continuum, 2009, (ISBN 978-1-84725-214-2) (first published as The Dawn of Astrology: a Cultural History of Western Astrology Volume 1, Continuum, 2008). 2009 : Nicholas Campion, (en) A History of Western Astrology Vol. 2, The Medieval and Modern Worlds, Continuum, 2009, (ISBN 978-1-84725-224-1). 2013 : Arnaud Esquerre, Prédire : L'astrologie au xxie siècle en France, Fayard, 2013, (ISBN 978-2-21367-856-6). Astrologie grecque 1899 : Bouché-Leclercq, L'Astrologie grecque, Paris E. Lerous, 1899 [archive] Auguste Bouché-Leclerq, L' astrologie grecque, Lulu.com, 2013 (ISBN 978-0-557-25414-9, lire en ligne [archive]) 1945 : Dom Emmanuel Amand, Fatalisme et liberté dans l'Antiquité grecque, Louvain, 1945. 1993-1994 : (en) Vettius Valens, The Anthology (Book I), Berkeley Springs (Virginie-Occidentale, États-Unis), Project Hindsight, 1993 1993-1994 : (en) Vettius Valens, The Anthology (Book II, Part I), Berkeley Springs (Virginie-Occidentale, États-Unis), Project Hindsight, 1994 1993-1994 : (en) Vettius Valens, The Anthology (Book IV), Berkeley Springs (Virginie-Occidentale, États-Unis), Project Hindsight, 1993 2003 : Les Pères de l'Église et l'Astrologie, Migne, 2003. Astrologie romaine 1897 : Auguste Bouché-Leclercq, in Revue historique, 1897, tome 659 1954 : F. H. Cramer, Astrology in Roman Law and Politics, Philadelphie, 1954. 1995 : Béatrice Bakhouche, Alain Moreau et Jean-Claude Turpin, Les astres, tome I : Les astres et les mythes. la description du ciel. Actes du Colloque international de Montpellier (23-25 mars 1995), Publications de la Recherche, Université Paul Valéry - Montpellier III, 320 p. (ISBN 978-2-905397-96-6). 1995 : Béatrice Bakhouche, Alain Moreau et Jean-Claude Turpin, Les astres, tome II : Les correspondances entre le ciel, la Terre et l’homme. Les « survivances » de l’astrologie antique. Actes du Colloque international de Montpellier (23-25 mars 1995), Publications de la Recherche, Université Paul Valéry - Montpellier III, 296 p. (ISBN 978-2-84269-024-3). 1996 : Béatrice Bakhouche, Les textes latins d’astronomie : un maillon dans la chaîne du savoir. Louvain : Peeters, 1996, 347 pages, (ISBN 978-2-87723-292-0). 2002 : Béatrice Bakhouche, L’astrologie à Rome. Louvain : Peeters, 2002, 241 p. (ISBN 978-2-87723-632-4). Astrologie occidentale 1573 : Speculum astrologiae. Quod attinet ad judiciariam rationem nativitatum atque annuarum revolutionum: cum nonnullis approbatis Astrologorum sententiis. Rerum catalogum sequens pagina indicabit. [Avec :] - Compendium de stellarum fixarum observationibus. Opus mathematicae studioso utilissimum.- Tabulae resolutae astronomicae de supputandis siderum motibus, secundum observationes Nicolae Copernici, Prutenicarumque Tabularum. Lyon, Phillipe Tinghi (imp. par Pierre Roussin), 1573. Ce « Miroir de l'astrologie » de Francesco Giuntini est, selon Maurice Caillet, « un des plus célèbres et le principal monument de l'Astrologie ancienne ». Ce traité très complet, outre une défense de l'astrologie, donne les nativités de très nombreux personnages célèbres et des tables astronomiques selon Copernic. 1974 : Daniel Verney, Fondements et avenir de l'astrologie, Fayard, Paris, 1974. 1983 : Charles Vouga, Astrologie expérimentale, Édition du Rocher. Une approche « non causale » des « phénomènes astrologiques ». 1991 : Richard Pellard, Manuel d'astrologie universelle, Éditions Dervy 1991. Une approche « rationnelle » et conditionaliste de l'astrologie contemporaine. 1993 : Jacques Vanaise, L'Homme-Univers, éditions Le Cri, Bruxelles, 1993 1996 : Charles Vouga, Une astrologie pour l'Ère du Verseau, Édition du Rocher 2006 : Jean-Patrice Boudet, Entre science et nigromance. Astrologie, divination et magie dans l'Occident médiéval, xiie – xve siècle, Paris, Publications de la Sorbonne, 2006. Astrologie non occidentale 1962 : Marguerite Rutten, La Science des Chaldéens, coll. « Que sais-je ? », Paris, Presses universitaires de France, 1962. 1985 : Jacques Halbronn, Le Monde juif et l'astrologie, histoire d'un vieux couple, Milan, Archè, 1985, 433 p. 1996 : Jean Bottéro, L'astrologie mésopotamienne : l'astrologie dans son plus vieil état, dans Béatrice Bakhouche, Alain Moreau et Jean-Claude Turpin, Les Astres. Les astres et les mythes, Montpellier, 1996, tome I, p. 159-182. 2007 : (en) Roger Beck, A Brief History of Ancient Astrology, Blackwell (2007). Analyse critique 1944 : Marcel Boll, L'Occultisme devant la science, collection Que sais-je ?, Paris, Presses Universitaires de France, 1944. 1975 : (en) Bart J. Bok, « A critical look at astrology », dans The Humanist, septembre-octobre 1975 (le « manifeste des 186 »). 1982 : Michel Rouzé, La Néo-astrologie au banc d'épreuve, cahier AFIS no 125, septembre, p. 1, 1982. 1983 : Jean-Claude Pecker, 5 réponses à un amateur d'astrologie [archive], L'astrologie et la science, dans La Recherche, no 140, janvier 1983, p. 118 (voir aussi le numéro 142, p. 371-372 ; Astrologie : le débat continue, réponses à G. Preschoux et M. Gauquelin). 1985 : (en) Shawn Carlson (en), A double-blind test of astrology, dans Nature, 318, p. 419-425, 1985. 1986 : Michel Rouzé, « L'astrologie mesurée par le physicien », dans Science et Vie, no 825, juin, p. 62, 1986. 1987 : Évry Schatzman, « La croyance en l'astrologie et l'honneur de la presse », dans Le Monde, 4-5 janvier 1987, p. 30. 1988: R. Culver & P. Ianna, Astrology: true or false ?, Prometheus books, New York, 1988. 1991 : Henri Broch, Au cœur de l'extra-ordinaire, Éditions Book-e-book152. Ouvrage consacré aux pseudo-sciences et croyances erronées, avec un long chapitre consacré à l'astrologie, ses principes, ses failles de raisonnement et ses aberrations. 1991 : Frédéric Lequevre, Astrologie : art, Science ou Imposture ?, coll. « Zététique », Horizon Chimérique, Bordeaux, 1991 (ISBN 978-2-907202-25-1). 1991 : D. 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Dossier critique sur les questions gênantes que devraient poser prochainement les nouvelles planètes naines à l'astrologie : technique, méthodologie, génération d'un symbolisme astrologique. 2009 : Arkan Simaan, « Ces astronomes-astrologues du passé [archive] », article paru dans Science et pseudo-sciences, revue de l'Association française pour l'information scientifique. 2019 : Daniel Kunth et Philippe Zarka, L'astrologie est-elle une imposture ?, CNRS éditions, 2019. non daté : L'article astrologie de la Revue encyclopédique remise édité par le collectif remise153. Document de synthèse présentant un historique détaillé et sourcé sur la controverse (présentation accessible au discours sceptique). (en) Shawn Carlson, « Astrology » in Experientia, vol. 44, p. 290 (1988). (en) Shawn Carlson, « A Double Blind Test of Astrology » in Nature, vol. 318, p. 419 (5 Dec. 1985). (en) Geoffrey Dean, "Does Astrology Need to be True?" in Skeptical Inquirer, Winter 86-87, p. 116; Spring 1987, p. 257. (en) Geoffrey Dean & Ivan Kelly, "Does Astrology Work: Astrology and Skepticism 1975-2000" in Kurtz, Paul, ed. Skeptical Odysseys. 2001, Prometheus Books. (en) Ivan Kelly, "Modern Astrology: A Critique" in Psychological Reports, vol. 81, p. 1035 (1997). (en) Ivan Kelly, « Why Astrology Doesn't Work » in Psychological Reports, vol. 82, p. 527 (1998). (en) Paul Kurtz & Andrew Fraknoi, « Scientific Tests of Astrology Do Not Support Its Claims » in Skeptical Inquirer, Spring 1985, p. 210. (en) Paul Kurtz et al., « Astrology and the Presidency » in Skeptical Inquirer, Fall 1988, p. 3. (en) Lovi, G. « Zodiacal Signs Versus Constellations » in Sky & Telescope, Nov. 1987, p. 507.

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lundi 13 mai 2024

jacques Halbronn sur le "stellarisme" par Pierre Alain Gouanvic (2011)

WIKIPEDIA Section Critiques (Halbronn) J'ai ôté cette section : == Critiques == {{Référence insuffisante|Les travaux de [[Jacques Halbronn]] signalent une lacune grave dans la détermination des configurations considérées, du fait que l'on ne tient aucun compte des aspects entre planètes et étoiles fixes.(voir Journal de bord d'un astrologue, site teleprovidence.Com)}} Raison : comparez avec ce qu'Halbronn dit vraiment : Au cours de la première décennie, l’on vit apparaître en France ce que l’on a parfois appelé le « stellarisme », autour de certaines étoiles fixes, notamment les quatre appelées « royales » qui divisaient le zodiaque selon une sorte de quadrilatère. C’est ce qu’on a appelé quelquefois « L’Astrologie Quatre Etoiles » (2). L’intérêt du stellarisme tenait notamment au fait que l’on ne tenait pas compte d’un quelconque découpage du zodiaque , dans la mesure où ce qui comptait était fonction de certains aspects entre planètes (en fait Saturne, principalement) et étoiles. Mais la voie du stellarisme allait aboutir à une impasse (3), dans la mesure où les résultats sur le terrain étaient par trop décalés par rapport au modèle, ce qui impliquait d’accepter des orbes excessives, au-delà desquelles les repères ne font plus guère sens. Or, il est apparu que le passage d’une phase à l’autre coïncidait étrangement avec l’ayanamsa généralement estimé à 24-25°, soit le décalage entre les deux zodiaques. Source : Jacques HALBRONN - Le Retour du sidéralisme au cours de la deuxième décennie du XXIe siècle En fait, Halbronn considère que l'échec de ce stellarisme (aspects étoiles-planètes) prouve le sidéralisme. Dommage quand même qu'il ne soit pas question des aspects étoiles-planètes avec des étoiles qui ne sont pas, contrairement à Pléiades-Aldébaran-Régulus-Antarès (je suppose que c'est de ça qu'on parle), à proximité de l'écliptique. Existe-t-il des astrologues qui se posent la question de l'aspect réel entre, disons, Sirius, qui est bien loin de l'écliptique, et les planètes? --Pierre-Alain Gouanvic Ubuntu! 9 août 2011 à 05:53 (CEST)

Jacques Halbronn Astrologie . Gauquelin et le parcours nocturne des planétes. Présence stellaire et Shabbat

jacques halbronn Astrologie Gauquelin et le parcours nocturne des planétes; Présence stellaire et Shabbat Le shabbat débute et se termine avec l'apparition des trois premières étoiles dans le ciel" On comprend pourquoi le Shabbat débute le vendredi soir, à la tombée de la nuit et se termine dans les mêmes conditions, le lendemain. Cela nous rappelle que le Ciel étoilé dépend de la nuit, ce qui relativise quelque peu l'importance accordée au lever et à la culmination d'un astre si l'on admet la nécessité d'une interaction (instrumentalisation) délibérée entre les hommes et les astres. Dès lors, nous sommes enclins à penser que si les sociétés de notre Humanité terrestre ont pu s'accorder avec le ciel, cela aura plutôt été la nuit que le jour. Si certains rituels ont pu s'organiser en rapport avec un certain totem planétaire, il y a fort à parier que cela eut lieu dans la période nocturne du mouvement diurne. On peut dès lors penser que la position d'une planéte à son coucher (descendant) serait plus significative qu'à son lever (ascendant) Il ne semble pas que Michel Gauquelin ait abordé une telle problématique ( cf nos études in Les Personnalités planétaires, Ed Trédaniel, 1992) du jour et de la nuit. Il reste que la pratique shabbatique témoigne de cette prédominance de la nuit sur le jour comme marqueur du temps planétaire.. Cela dit, Gauquelin englobe dans ses statistiques des " zones astronomiquement privilégiées (lever, culmination et points opposés) donc également le parcours nocturne, qui selon nous serait le plus significatif".C'est dire que l'on ne saurait dissocier l'étude des planétes de la présence stellaire. Archives Wikipedia 'La havdalah (en hébreu : הבדלה) est une prière juive dite le soir de shabbat par les Juifs et qui exprime la séparation du kodesh (saint) et du 'hol (ordinaire), c'est-à-dire le passage du shabbat aux jours normaux de la semaine. Cette prière se dit dès la « sortie » de shabath, c'est-à-dire à la fin du jour du shabbat, à l'apparition des trois premières étoiles dans le ciel ou 20 à 120 minutes (selon les traditions communautaires) après le coucher du soleil. La prière est suivie de chants et psaumes. Ces bénédictions ont pour mission de consoler du départ de la sainteté de la reine Shabbat." JHB 13 05 24

jacques halbronn Critique biblique et Astrologie. Abraham et les étoiles. Le syncrétisme Elohim/ Yahwé

jacques halbronn Critique biblique et Astrologie. Abraham et les étoiles, Le syncrétisme Elohim/Yahwé. Les promesses divines faites à Abraham(Genése XV et XXVI) nous font probléme. En effet, notre idée de la présence juive au monde n'est pas liée à la quantité représentée par l'immensité étoilée! Il y a là une idéologie d'en bas et non d'en haut, celle des Israélites et non celle des Hébreux. L'idée de "peuple élu' ne correspond pas à une telle métaphore. Cela vient confirmer nos soupçons quant à une empreinte massive du monde israélite, notamment lors de son repli vers le Royaume de Juda, à la suite de la destruction au VIIIe siècle avant JC, du Royaume sécessioniste du Nord. genése XV ה וַיּוֹצֵא אֹתוֹ הַחוּצָה, וַיֹּאמֶר הַבֶּט-נָא הַשָּׁמַיְמָה וּסְפֹר הַכּוֹכָבִים--אִם-תּוּכַל, לִסְפֹּר אֹתָם; וַיֹּאמֶר לוֹ, כֹּה יִהְיֶה זַרְעֶךָ. 5 Il (Dieu) le (Abraham) fit sortir en plein air, et dit: "Regarde le ciel et compte les étoiles: peux-tu en supputer le nombre? Ainsi reprit-il, sera ta descendance." Genése XXVI ד וְהִרְבֵּיתִי אֶת-זַרְעֲךָ, כְּכוֹכְבֵי הַשָּׁמַיִם, וְנָתַתִּי לְזַרְעֲךָ, אֵת כָּל-הָאֲרָצֹת הָאֵל; וְהִתְבָּרְכוּ בְזַרְעֲךָ, כֹּל גּוֹיֵי הָאָרֶץ. 4 Je multiplierai ta race comme les astres du ciel; je lui donnerai toutes ces provinces et en ta race s'estimeront bénies toutes les nations du monde: D'ailleurs dans Exode III, ce dieu qui s'adresse à Moise ne revendique-t-il pas le lignage "Abraham, Isaac, Jacob"? Ce Jacob qui se trouvera affublé, dès le Livre de la Genése, du surnom d'Israel, référence revendiquée par les peuplades du Nord, à la mort de Salomon lesquelles seront d'ailleurs désignées comme Beney Israel, fils, enfants d'Israel; כח וַיֹּאמֶר אֵלָיו, מַה-שְּׁמֶךָ; וַיֹּאמֶר, יַעֲקֹב. 28 Il lui dit alors: "Quel est ton nom?" Il répondit: "Jacob." כט וַיֹּאמֶר, לֹא יַעֲקֹב יֵאָמֵר עוֹד שִׁמְךָ--כִּי, אִם-יִשְׂרָאֵל: כִּי-שָׂרִיתָ עִם-אֱלֹהִים וְעִם-אֲנָשִׁים, וַתּוּכָל. 29 Il reprit: "Jacob ne sera plus désormais ton nom, mais bien Israël; car tu as jouté contre des puissances célestes et humaines et tu es resté fort." טו וַיֹּאמֶר עוֹד אֱלֹהִים אֶל-מֹשֶׁה, כֹּה-תֹאמַר אֶל-בְּנֵי יִשְׂרָאֵל, יְהוָה אֱלֹהֵי אֲבֹתֵיכֶם אֱלֹהֵי אַבְרָהָם אֱלֹהֵי יִצְחָק וֵאלֹהֵי יַעֲקֹב, שְׁלָחַנִי אֲלֵיכֶם; 15 Dieu (Elohim) dit encore à Moïse: "Parle ainsi aux enfants d'Israël: ‘L'Éternel (Yahwé), le Dieu de vos pères, le Dieu d'Abraham, d'Isaac et de Jacob, m'envoie vers vous.’ Etrangement, dans le texte hébreu, il y a un distingo au verset 15, C'est Elohim qui s'adresse à Moïse qui demande à Moise de parler au nom de Yahwé "le dieu de vos pères"! Mais aux versets 4-6, on alterne Yahwé et Elohim. On est en plein syncrétisme! Tout se passe comme si les "faussaires" avaient voulu jouer sur les deux tableaux, en donnant des gages à l'intention des deux camps comme dans la formule "Yahwé Elohénou" que l'on trouve en tête du Shma (Ecoute) Israel. ד וַיַּרְא יְהוָה, כִּי סָר לִרְאוֹת; וַיִּקְרָא אֵלָיו אֱלֹהִים מִתּוֹךְ הַסְּנֶה, וַיֹּאמֶר מֹשֶׁה מֹשֶׁה--וַיֹּאמֶר הִנֵּנִי. 4 L'Éternel (Yahwé) vit qu'il s'approchait pour regarder; alors Dieu(Elohim) l'appela du sein du buisson, disant: "Moïse! Moïse!" Et il répondit: "Me voici." ו וַיֹּאמֶר, אָנֹכִי אֱלֹהֵי אָבִיךָ, אֱלֹהֵי אַבְרָהָם אֱלֹהֵי יִצְחָק, וֵאלֹהֵי יַעֲקֹב; וַיַּסְתֵּר מֹשֶׁה, פָּנָיו, כִּי יָרֵא, מֵהַבִּיט אֶל-הָאֱלֹהִים. 6 Il ajouta: "Je suis la Divinité de ton père, le Dieu d'Abraham, d'Isaac et de Jacob..." Moïse se couvrit le visage, craignant de regarder le Seigneur (Elohim) JHB 13 05 24

jacques halbronn Linguistique Le modéle cyclique ternaire : long, bref, long, féminin masculin-pluriel.

jacques halbronn Linguistique Le modéle cyclique ternaire: long-bref-long, féminin-masculin-pluriel. Pour nous, la grammaire obéit à une logique cyclique, donc circulaire Dans notre modéle ternaire, on passe du féminin -long- au masculin- abrégé- puis au pluriel (ou à un dérivé) - long. Exemple: grande,gran (d), grandement . constante, constan (t), constamment. Dans le cas de national, on commencera par le féminin "nationale" puis on passera au masculiin où la L final est occulté: nationa(l) en trosiéme position, celle du pluriel : nationaux Se pose la question du marqueur de genre dans la conugaison. Les formes "Je mange", "tu manges" ne précisent pas (ou plus) le genre du locuteur ou de l'interlocuteur. En revanche, le verbe être associé à un participe verbal marque le genre sauf dans le cas du participe passé de la conjugaison du premier groupe (aimée/aimé au lieu de aiméde/aime(d). On peut dire je suis aimant, aimante mais j'aime, en revanche ne l'indique pas, et cela vaut aussi pour le pronom personnel de la première et deuxiéme personne du singulier et du pluriel , alors que la troisiéme personne distingue entre il et elle, ils et elles. Rappelons que pour nous, contrairement à l'enseignement ordinaire du français, on ne passe pas du masculin au féminin mais bien du féminin au masculin, ce qui sous tend notre modéle circulaire. JHB 13 05 24

jacques halbronn Astrologie et demi-cycle planétaire. Les biais cognitifs d'André Barbault

jacques halbronn Astrologie et demi-cycle planétaire. Les biais cognitifs d'André Barbault Place de l'opposition. Il importe de démarquer l'astrologie et l'astronomie en ce qui concerne la question cyclique. La grande erreur des frères Barbault (Armand et André) vient d'une incompréhension de la logique des aspects. C'est ainsi qu' André Barbault n'aura pas compris que l'opposition était parfaitement assimilable à la conjonction en ce qu'elle enclenche un demi-cycle en toute symétrie. Or, dans la formulation de son indice cyclique, à la suite de Gouchon, Barbault propose que la conjonction entre deux planétes 'lentes" fasse descendre la courbe alors que l'opposition tendrait à la faire "remonter", ce qui est d'ailleurs d'autant plus étrange que l'opposition n'est nullement qualifiée en astrologie d'aspect harmonieux. Cette bévue s'explique du fait d'un biais cognitif à savoir la volonté d' expliquer les deux guerres mondiales par la mise en évidence d'un "dénominateur commun", au niveau céleste, à savoir les amas planétaires en recourant à l'image commode d'un déséquilibre zodiacal sur les plateaux d'une balance.Comparaison n'est pas raison! En fait, il nous faudrait parler en termes de "demi-cycles" et donc, dans le cas de Saturne, au coeur de l'Astrologie EXOLS, de cycles de 14 ans et non de 28 ans, chaque cycle de 14 ans se décomposant en deux temps de 7 ans, en lien avec les équinoxes et les solstices, eux mêmes en double exemplaire. Autrement dit , le cycle Saturne-Neptune n'est pas de 36 ans mais de 18 ans, sur la base de l'alternance conjonction/opposition. Et Barbault ne se saura guère intéressé à une telle échéance et aura pointé les seules conjonctions, ce qui, épistémologiquement, est irrecevable et d'ailleurs on sait quelle fut sa déconfiture au début des années 80. Mais cela tien à cette idée de configuration de deux planétes alors que la seule conjonction est celle entre une planéte et une étoile fixe équinoxiale ou solsticiale, déterminée sur la base de la précession des équinoxes. JHB 13 05 24

jacques halbronn Astrologie. La dialectique oubliée: étoiles-planétes

jacques halbronn Astrologie La dialectique oubliée étoiles-planétes . La plupart des traités d'astrologie n'abordent pas la question des étoiles "fixes" et en tout cas ne trouvent pas dans cette différenciation au regard du ciel matière à réflexion. Ce qui est fort dommage et dommageable! Selon nous les étoiles, par leur nombre infiniment supérieur à celui des planétes sont à mettre en analogie avec la masse, la foule alors que les planétes, du fait de leur rareté, concernent une certaine élite socio-professionnelle, socio-culturelle. D'un côté, des étoiles sans nom, regroupées au sein d'ensembles appelés "constellations", c'est à dire assemblages d'étoiles, de l'autre des planétes qui ont chacune reçu un nom, pris dans le corpus mythologique. Sociologiquement, force est de constater que sur terre, se manifeste la même dualité entre une population (vulgum pecus) anonyme et instrumentalisable, dont l'identité ne tient pas à ce qu'elle est en soi mais bien au rôle, à la fonction qui lui sont assignés et entre une élite, au caractère bien affirmé qui ne se laisse pas manipuler. Sur le plan astrologique, nous avons souligné que le rôle des étoiles était de marquer les axes "tropiques" (les deux solstices, les deux équinoxes), ce qui implique, au prisme de la précession des équinoxes, un certain roulement, telle étoile pouvant servir à un instant T et être remplacée un peu plus tard par une autre étoile, éventuellement de la même constellation. La détermination des "ères" en rapport avec la position du point vernal est assez floue, puisqu'il n'y est pas question d'un rapport entre le point vernal et une étoile précise mais de son prolongement au sein d'un tel ensemble stellaire. En ce sens, on parlera d'une personnalité "stellaire" pour désigner un individu assez quelconque,qui n'existe que par ce qu'on lui aura assigné face à une personnalité "planétaire", beaucoup mieux dessinée et une telle dualité n'est pas signalée dans la littérature astrologique, ce qui passe à côté d'un enjeu sociétal crucial. Paradoxalement, les personnalités les moins structurées seront attitrées par la notion de thème natal alors que celles qui ont une forte "personnalité" préféreront s'intéresser à l'astrologie mondiale. JHB 13 05 24

dimanche 12 mai 2024

jacques halbronn Astrologie des personnes versus Astrologie des périodes

jacques halbronn Astrologie Le zodiaque est un continuum, les planéte...

jacques halbronn Astrologie et psychosociologie. Solutions spatiales et temporelles.

jacques halbronn Astrologie et psychosociologie. Les solutions spatiales et temporelles. En cas de conflictualité sociale, il existe, selon nous, deux "solutions", l'un s'inscrit dans le temps, l'autre dans l'espace. La première correspond au principe de l'alternance, tel qu'il est mis en avant par le droit constitutionnel, lequel prévoit des élections déterminant des mandats à intervalles réguliers (entre 4 et 7 ans, notamment) Cela vise à reporter telle attente à une certaine échéance fixée par avance car on ne peut traiter tous les problémes "en même temps". La seconde, qui n'a pas été formalisé comme l'a été la première, consiste à séparer les populations concernées par une certaine conflictualité, à ne pas les obliger, les contraindre à cohabiter au sein d'un même espace, ce qui peut s'assimiler à une forme d'apartheid en termes d'habitat. Astrologiquement, en phase solsticiale (EXOLS),les dirigeants seront tentés par la voie de la mise à l'écart de populations jugées incompatibles avec les valeurs historiques, traditionnelles alors qu'en phase équinoxiale (EXOLS), de telles valeurs apparaitront comme un héritage pesant du passé qu'il importe de dépasser, dont on devra se délester; C'est dire que les deux solutions évoquées plus haut sont vouées à se combiner. Comme dit le livre de l'Ecclésiaste, il y a un temps pour chaque chose. JHB 12 05 24

Jacques halbronn Fonctions respectives des signes, maisons et planétes en Astrologie

jacques halbronn Fonctions respectives des signes et des planétes en Astrologie La lecture de l'Astrologie Universelle, Le Zodiaque comme vous ne l'avez jamais vu (présentation Françoise Hardy; 1986) est l'occasion de faire le point sur le risque de redondance entre ces deux séries. Selon nous, on peut parler de type planétaires mais non de types zodiacaux. La première série a été repertoriée par Michel Gauquelin, il y a 70 ans (l'influence des Astres, 1955), cela couvre la Lune, Vénus, mars, Jupiter et Saturne et c'est fonction du mouvement diurne et non du cycle de la planéte sur l'écliptique. La seconde série correspond à un état sensiblement plus tardif dans l'histoire de l'astrologie, lorsque l'on a abordé le passage des planétes au travers des étoiles fixes (regroupées en constellations) ces dernières servant à calculer la révolution sidérale des planétes du systéme solaire. La précession des équinoxes exigeait que l'on changea de repére stellaire régulièrement pour que les étoiles puissent désigner les axes saisonniers et notamment le point vernal. Mais le Zodiaque doit être appréhendé dans sa dynamique évolutive à l'instar des saisons, il doit servir à suivre et à baliser le parcours cyclique d'un astre et non pas jouer un rôle à la naissance comme dans le cas des planétes et du mouvement diurne. Voilà pourquoi, tous les travaux liés au zodiaque au moment de la naissance relévent d'une erreur quand à son mode d'emploi. La première série planétaire vise à organiser la population de base en divers métiers (cf Gauquelin) alors que la seconde ne concerne que les "leaders", l'élire (cf Gauquelin à nouveau) qui sont en mesure d'évoluer dans leur programmation au fur et à mesure que le curseur passe d'un signe à l'autre. Ces leaders ne sont pas attachés à une activité cloisonnée. Nous avons montré que ce curseur, c'est la planéte Saturne (cf L'Astrologie selon Saturne) dans une fonction bien différente de celle qui lui est assignée au premier stade décrit plus haut. En ce qui concerne la série des maisons, cela reléve du mouvement diurne (cf Gauquelin). A la base, on a les axes horizon-méridien et ce sont ces "angles" qui sont opérationnels; le passage à 12 maisons (trisection) est purement ergonomque et ne saurait faire sens dans l'interprétation du thème natal en dehors du critère des angularités tout comme l'on ne saurait mettre sur le même pied les signes "cardinaux" et les autres, qui en dérivent, ce que semble bien effectuer l'ouvrage en question. JHB 12 05 24

samedi 11 mai 2024

JACQUES halbronn Astrologie et politique. Le probléme des subdivisions de l'écliptique et du mouvement diurne.

jacques halbronn Astrologie et politique . le probléme des subdivisions de l'écliptique et du mouvement diurne L'Allemagne et l'Italie auront réalisé tardivement leur " Unité", dans la seconde moitié du XIXe siècle. On sait que la France fut déchirée par ses divisions territoriales internes, notamment durant la Guerre de Cent ans, aux dépens de la royauté (cf Charles VII, le "roi de Bourges") De telles situations sont le fait de subdivisions administrative ou familiales./ On sait que la "Cour", sous Louis XIV notamment, visait à unifier la France et donc à relativiser les découpages provinciaux . Ne pourrait-on se demander si l'astrologie n'aura pas souffert de ses subdivisions et s'il est légitime de parler des 12 signes du zodiaque -ou des 12 constellations- alors qu'il existe une base 4, en forme de croix (équinoxes/solstices, horizon/méridien) qui a des fondements autrement plus valables que toute division en 12? On a donc le droit de déplorer la présentation des 12 signes comme autant d'entités comparables, mélangéant ainsi celles qui sont radicales et celles qui n'en sont que les prolongements Il est vrai que le dispositif des maitrises pousse dans ce sens, chaque signe ayant droit à une partie du spectre mythologico-astronomique, ce qui tend à occulter la structure quaternaire de base. Et il en est de même pour la division en 12 maisons en dépit des travaux de Michel Gauquelin, lesquels mettent en évidence le lever et la culmination de certaines planétes. On ira encore plus loin au sujet des planétes du systéme solaire, lesquelles n'ont pas des rôles, des fonctions du même ordre. Bref, force est de constater un triple nivellement quant aux signes, maisons, planétes mais un tel diagnostic vaut aussi pour les aspects, car les conjonctions, carré et opposition devraient jouir d'un statut supérieur à celui des autres intervalles (sextile, trigone, demi-sextiles, quinconces, quintile (72°) ! Il importe de distinguer les subdivisions de temps et celles d'espace,.On note que l'on aura sacrifié les premières aux secondes, et donc les valeurs masculines de mouvement aux valeurs féminines de diversité. JHB 11 04 24

jacques halbronn Astrologie EXOLS Equinoxialité On exorcise le pas...

jacques halbronn Astrologie EXOLS . D'une diabolisation à l'autre, au ...

jacques halbronn Astrologiie EXOLS Israel face à la logique équinoxia...

jacques halbronnn Les Juifs recherchés en phase équinoxiale Gabriel...

vendredi 10 mai 2024

jacques halbronn Réflexions autour de "Astrologie. Profitez de la sagesse des astres au quotidien de Carole Taylor

jacques halbronn Réflexions autour de "Astrologie. Profitez de la sagesse des astres au quotidien de Carole Taylor (2020 First Editions, traduit de l'anglais) L'autrice parle d'un équilibre entre le corps et l'esprit. Pour nous, il s'agit de la Terre et du Ciel. Elle veut voir le monde d'en bas refléter celui d'en haut/ Or, pour nous, ce sont deux ensembles tout à fait différents, certes complémentaires mais non point symétriques, pas plus que les gens d'en bas de l'échelle sociale peuvent tout au plus imiter, singer,ceux d'en haut; Pour nous, il convient de toujours essayer de faire apparaitre une dualité au sein de tout ensemble. C'"est ainsi que le systéme solaire n'est pas d'une seule pièce, indivisible, unidimensionnelle. Il comporte une partie active et une partie passive., l'une génére du mouvement, l'autre le balise, le structure le dit système.C'est donc une erreur de vouloir considérer les diverses planétes du systéme comme autant de vecteurs actifs! De même, en ce qui concerne les signes zodiacaux, on ne saurait mettre sur le même pied les deux axes centraux et leurs diviseurs pas plus que pour les maisons également centrées sur des axes -horizon et méridien, avec des subdivisions secondaires, impliquant de la trisection (passage du 4 au 12) Nous ne nous opposons pas à de telles subdivisions qui constituent des graduations et nous avons insisté dans certains de nos textes,sur l'interdépendance des saisons, du fait même de la cyclicité. Mais le mieux est l'ennemi du bien et il est inacceptable que l'on nous présente des secteurs cloisonnés, où l'on passerait brusquement d'un secteur à un autre,à quelques minutes ou degrés près! Bien évidemment, nous récuserons le modéle du thème natal réunissant en vrac toutes les planétes du systéme solaire, indifféremment. Quant aux planétes/divinités associées aux signes zodiacaus, nous avons montré que les Gémeaux et la Vierge correspondaient à une symbolique vénusienne et non pas mercurienne; C'est ainsi que la balance est un outil commercial par excellence et donc relevant du dieu Mercure, le dieu du commerce (cf l'étymologie) Pour ce qui est des aspects, il nous semble logique, d'un point de vue cyclique de considérer que nous devons trouver en nous une certaine diversité d'énergies pour traverser les saisons, ce qui explique que les doubles domiciles sont construits autour d'aspects dissonants, demi-sextile (30°), carré (90°) et quinconce (150°), à 60° d'intervallle. L'autrice n'accorde aucune importance au sexe comme facteur psychologique déterminant. Elle voudrait que nous soyons des entités uniques au lieu d'accepter que nous puissions nous regrouper en 'familles", en "tempéraments", une position étrangère à l'esprit de l'Astrologie et empruntée à une philosophie karmique, "spiritualiste" plaquée sur celle-ci comme c'est souvent le cas chez les astrologues "anglo-saxons", marqués par la théosophie. Finalement, l'Astrologie qui nous est ici proposée ressemble à un kaléidoscope, en constante évolution alors que celle-ci a mission d'offrir au monde un modéle simple, intelligible, accessible tant pour identifier le passage d'une planéte centrale dans l'une des quatre grandes divisions saisonnieres que pour prendre conscience que le monde des hommes n'est pas celui des hommes. Vouloir substituer à ce clivage sexuel les usines à gaz horoscopiques, c'est vouloir brouiller les signaux qui nous sont adressés! JHB 10 05 24

Jacques Halbronn Café philo Mcdo Séparer le bon grain de l'ivraie a...

jacques halbron Il y a une astrologie du céleste et une autre du terrest...

jacques halbronn AStrologie. Le thème natal est féminin, l'astrologie m...

jacques halbronn Alterner polygamie solsticiale et monogamie équinoxia...

jacques halbronn Un temps pour avaler, un temps pour digérer et évacue...

jacques halbronn L'astrologie doit maitriser tant les signes célestes (...

jacques halbronn A quoi peut bien servir l'astronomie si elle n'est ...

jacques halbronn Linguistique Le calque, un emprunt déguisé et souve...

Jacques halbronn De magnifiques gravures bibliques (Sylvestre de Sacy...

jacques Halbronn En astrologie sérieuse, il n'y rien de nouveau sous ...

jeudi 9 mai 2024

jacques halbronn Les aléas d'une astrologie conditionaliste

jacques halbronn Les aléas d'une astrologie conditionaliste. A l'occasion du récent décés de JEan Piere Nicola (21 octobre 2022), on reviendra sur son "héritage", terme que lui même affectionnait/ Le probléme avec l'astrologie dite conditionaliste, c'est qu'elle n'établit une fronrière claire entre ce qui reléve de l'astrologie et ce qui n'en reléve point. Sur le web "L'astrologie conditionaliste est un courant de l'astrologie française. Pour ce mouvement, l'homme est influencé par l'hérédité, appelé l'héritage terrestre, et par le système solaire, appelé l'héritage céleste". Mais qu'est ce donc que cet "héritage terrestre"? Quand nous mêmes nous opposons signes terrestres et célestes, nous proposons deux systémiques bien définies dont nous avons la maitrises, dans un cas comme dans l'autre, au sens où cela résulte également de nos travaux. En revanche, sous l'expression "héritage terrestre", "hérédité", c'est la boite de Pandore! Si encore, une telle astrologie était capable de présenter un modéle bien clair et univoque, l'on serait quelque peu rassuré mais force est de constater que Nicola n'est pas parvenu à "vertébrer" l'astrologie en dépit de son "RET' car dès que l'on passe à la pratique, à l'application, c'est la bouteille à l'encre. Une astrologie donc trop "féminine", attrape tout, bien vague voire inconsistante, opportuniste, flexible au demeurant dans sa praxis. D'un côté, on nous présente un dispositif offrant une certaine rigueur et qui ,en quelque sorte, se suffirait à lui même, comme le pensait un Patrice Guinard. JHB 09 04 24

Jacques halbronn Réflexions psychanalytiques sur l'astrologie;

Jacques halbronn Réflexions psychanalytiques sur l'Astrologie EXOLS. Nos recherches en astrologie nous conduisent vers une prise croissante de conscience des rapports entre Astrologie et psychanalyse mais nullement au sens d'André Barault dans son De l'a psychanalyse à l'astrologie" (Ed Seuil 1961) Il ne s'agit pas pour nous de partir du thème natal dont Barbault nous dit que sa complexité même légitime, justifie qu'on l'applique à la psyché humaine. Notre astrologie ne passe pas par la carte du ciel prise comme carte d'identité et place en face à face, dans une approche sémiologique, signes terrestres et signes célestes, sur la base du premier verset de la genése; "Elohim créa le Ciel et la Terre," nous avons emprunté à la langue psychanalytiuqe un certain nombre d'expressions comme le retour du refoulé qui illustre fort heureusement le passage de la phase équinoxiale à la phase solsticiale. Nous associons la solsticialité au "ça" et l'équinoxialité au "Surmoi"; Par ailleurs, nous ne négligeons nullement ce qui distingue l'homme de la femme en montrant que les champs sensoriels d'un sexe sont inversés par rapport à ceux de l'autre sexe. C'est ainsi que pour nous une telle sémiologie explique les mouvement qui anime nos sociétés avec un processus de départ, de retour, de séparation et de conjonction; En effet, la différence de sensibilité sensorielle va conduire à une séparation entre hommes et femmes, quant aux valeurs défendues par les uns et par les autres, le ça générant une certaine ivresse et démesure et le Surmoi sous tendant un contrôle, une retenue polarisée sur un certain sens (ouie, vue, odorat, toucher ( cf notre "Astrologie Sensorielle", Cosmopolitan, 1976) Chez les femmes, un défoulement qui passe par la parole et l'apparence, chez les hommes, par le besoin d'un toucher de l'autre et d'une prise de liberté au niveau hygiénique, ce qui conditionne l'accés à telle ou telle activité professionelle, tant positivement que négativement. Nous ajouterons que l'astrologie EXOLS peut aider à s'intéresser aux changements de phase qui peuvent prendre des tours dramatiques puisque la phase équinoxiale conduit à faire des tris (le bon grain et l'ivraie), à se délester d'un certain héritage alors que la phase solsticiale alimentera une forme de nostalgie, d'anamnèse, sur une base plus scientifique que la pratique psychothérapeutique ordinaire; JHB 09 04 24

Jacques halbronn Réflexions autour des trois éditions du Que sais je l'Astroloie, sur 50 ans

jacques halbronn Réflexions autour des trois éditions du Que Sais je astrologie En 50 ans, trois éditions se seront succédé sous les plumes de Paul Couderc (1951), un habitué puisque ayant déjà fait paraitre dans la même collection des Presses Universitaires de France cinq autres volumes, de Suzel Fuzeau Braesch (1989) et Daniel Kunth et Philippe Zarka (2005) Nous observerons les constantes entre ces trois moutures et apporterons notre contribution à une nouvelle édition éventuelle, au prisme des recherches menées depuis vingt ans et plus, ayant nous même publié en 1976 et 1993 dans la Collection encyclopédique "Clefs pour " (Ed Seghers)/. Pour Paul Couderc, "l'astrologie est loin d'être une doctrine monolithique (..) Cependant un fond commun demeure dont la Tétrabible de Claude Ptolémée (...) demeure le Code" (p.24) Nous avons apprécié son propos sur le Zodiaque , les signes " sont attachés aux quatre éléments (..)aux quatre humeurs(...) tout signe est associé à une planète avec laquelle il est en harmonie, en résonance" Couderc ne croyait pas si bien dire puisque nos travaux nous auront conduit à expliciter le dessin des signes en raison des planétes-dieux qui leur furent attribués, et notamment à quatre d'entre elles, Mercure, Vénus, Mars et Jupiter, ne servant pas du fait de leurs mouvements mais en tant qu'indicateurs d'une division en 4 du parcours de Saturne. Couderc a donc le mérite de signaler l'importance du 4 comme facteur structurant pour l'astrologie, ce qui vaut tant pour la Lune '(28 jours divisés par 4) que pour Saturne (28 ans divisés par 4) En fait, l'astrologie n'a nul besoin de toutes les planétes connues, à un moment donné, pour fonctionner.(cf notre Astrologie selon Saturne, 1994), Selon nous, l'astronomie se limite à cataloguer le ciel alors que l'astrologie a pour fonction de sous tendre la gouvernance, ce qui n'exige que la prise en compte d'une planéte dont la révolution soit suffisamment longue, ce qui ne vaut que pour les trois plus lentes, mars, Jupiter et Saturne, mais c'est finalement Saturne qui aura été élue, ce qui donne 4 périodes de 7 ans. C'est ainsi que nous lisons le dispositif transmis par Ptolémée, lequel place Lune et Saturne aux extrémités et le quatuor Mercure, Vénus, Mars, Jupiter, au centre, autour de la Terre. Pour Suzel Fuzeau Braesch; 'l'érection du thème est la base de toute l'Astrologie", ce qui nous apparait comme une postulat fort discutable. Il est vrai que l'autrice entendait décrire "la technique astrologique occidentale". Selon nous, l'astrologie mise en évidence par Gauquelin aura servi de matrice au thème natal mais au départ, comme le montrent les résultats de ce chercheur, cela n'impliquait pas les signes ni même l'écliptique- mais seulement les "maisons", sur la base du mouvement diurne quotidien, soit une connaissance très limitée propre à une astronomie primitive.. Pour Kunth et Zarka, il s'agit de décrire par le menu "la technique astrologique moderne" (p. 2) et leur intention était de montrer qu'il ne s'agit point là "d'un mode de connaissance qui reléverait de la Science". Ils notent en particulier dans leur réquisitoire que l'astrologie ne fournit "aucune explication théorique de l'influence des astres" (p.56). Ils expliquent certains résultats statistiques la possibilité que "les parents adhèrent à l'astrologie" (p. 92) De fait, nous pensons que l'astrologie reléve d'un processus transgénérationnelle et que les pratiques rituelles liés à l'adoration de planétes (Vénus, mars, Jupiter, Saturne) auront à la longue génére une sensibilisation à leur présence dans le ciel chez les nouveaux nés. Le thème natal n'était pas aussi central qu'il est le plus souvent asséné et l'on pouvait choisir une date pour l'inauguration d'une ville ou le commencement de telle ou telle entreprise. La naissance n'était pas un moment déterminant pour les cultures mais elle le devient du fait d'un certain conditionnement enregistré par le corps, à un niveau subconscient et nous préférons dire que le moment de la naissance est épiphénoméne au plein sens du terme. On est ici en présence d'un processus d'instrumentalisation de l'environnement bien plutôt que d'influence de celui-ci. De fait, comme le notèrent Kunth et Zarka, les explications auront fait défaut, y compris chez Gauquelin. Nous pensons que la notion d'instrumentalisation exposée en 1986 dans notre essai "la Pensée Astrologique" (in L'Histoire de l'Astrologie de Serge Hutin) contribuait à décharger les astres de leur rôle actif pour les cantonner à un rôle passif, hormis leur présence visuelle de même que l'accent que nous mettons sur des pratiques sociales bien au delà du moment de naissance lequel ne pouvait guère être déterminé à la différence de toutes sortes d'entreprises. Gauquelin a -t-il jamais envisagé la possibilité que l'influence astrale puisse être activée à différents moments de l'existence et non pas seulement de façon ponctuelle, celui de la naissance. Il est ici question d'astrologie élective ou d'élection dont on n'aura pas mesuré tout l'impact. On notera que le dernier Que Sais je répond au Manifeste de Patrice Guinard.(décédé en 2022) Revenons à présent sur le Que Sais je de Kunth et Zarka , parue il l y a une vingtaine d'années, qui engage une certaine forme de dialogue avec les chercheurs en astrologie et qui soulève toute une série de problèmes également abordés par Guinard (pp; 120 et seq), à sa façon Ainsi est il acceptable qu'au nom d'un principe d'analogie, l'astrologie applique ce qui vaut pour le soleil à toutes les planétes du systéme solaire; A cette objection nous répondrons que pour nous l'astrologie ne reléve pas de la nature mais de la technique et que l'on a pris pour matrice le modéle saisonnier, de façon certes tout à fait arbitraire mais ce qui est coutumier dans le champ sémiologique. C'est dire que pour nous, il n'est pas approprié pour les défenseurs de l'astrologie de la présenter comme le produit de quelque environnement cosmique. Les auteurs citent également Yves Haumont (p; 121) qui reconnait la nécessité pour l'astrologue ordinaire d'avoir à gérer "un gigantesque lexique de mots" Et précisément, il convient de s'intérroger sur le caractère toxique des rapports entre Astronomie et Astrologie, l'astronomie saturant l'astrologie, laquelle se sentirait dans l'obligation de démontrer que la travail de collecte effectué sans relâche par l'astronomie n'est pas vain et que tout est "bon" pour l'astrologie dans ce que délivre la recherche astronomique; or, selon nous, 'l'astrologie doit se demander ce qui peut servir, être utile dans ce que fournit l'astronomie et répliquer à celle-ci que l'on ne peut en garder qu'une partie restreite à un seul astre au sein du systéme solaire; l'astronome répliquera qu'il n'y a pas de raison d'opérer une telle sélection; Et nous lui déclarerons alors que l'astrologie représente les intérêts de la Société et a vocation à filtrer et décanter tout ce qui traine, est en circulation, mettant en avant un processus d'instrumentalisation et d'épigénétique; JHB 09 05 24

jacques halbronn Réflexions sur Les aspects astroloiques" de Bernard Blancher. La logique des doubles domiciles;

jacques halbronn Réflexions sur Les aspects astrologiques (1982, Ed AERA Dissonnance) de Bernard Blanchet. La logique des doubles domiciles;. L'auteur ne prend même pas la peine de rappeler quels sont les catégories d'aspects. Il semble croire que cette répartion est parfaitement consensuelle et se contente de discourir sur la gestion des dissonances et des harmonies bien que son maître, Jean Pierre Nicola, ait théorisé cette distinction(cf R. Pellard, La théorie conditionaliste des Aspects/Histoire des Aspects" 111e Jean-Pierre Nicola et la première théorie des Aspects "En résumé , rappelle Pellard, autre disciple de Nicola, l y a la conjonction qui contient dans sa marge d’effet tous les harmoniques des aspects dissonants et consonants, et il y a la suite des dissonants obtenus par les diviseurs 2, 4, 8 puis la suite des consonants obtenus par les diviseurs moyens des précédents : 3 (trigone) étant la moyenne de 2 plus 4, comme 6 est la moyenne arithmétique de 4 plus 8.” Cette théorie astronomique, au plan de l’émetteur, est complétée au plan du récepteur humain par une théorie sur les fondements réflexologiques des Aspects. Or, ce courant de l'Astrologie conditionliste ne prend pas en compte les Maitrises planétaires; Laissons à nouveau la parole à Richard Pellard: L’idée que chaque Signe du zodiaque est “naturellement” associé à un astre qui le gouverne est pour la plupart des astrologues une telle évidence que pratiquement aucun d’entre eux ne songe même à en préciser ou en rappeler les fondements. Ainsi, quelles que soient les différences d’approche qui les caractérisent et les philosophies parfois antagonistes qui les sous-tendent, la quasi-totalité des écoles d’astrologie est-elle d’accord sur au moins deux dogmes : la nature Élémentaire des Signes et l’intangibilité des Maîtrises planétaires. Le postulat selon lequel chaque astre du système solaire gouvernerait une portion de zodiaque n’a pourtant rien d’évident. Un astrologue du XXe siècle, à l’esprit critique et rationnel, soucieux de fonder l’astrologie sur de sérieuses bases astronomiques, est en donc en droit de s’interroger sur la nature de la relation astre-Signe en général et sur la pertinence du système des Maîtrises traditionnelles en particulier. C’est ce que cet article se propose de faire. Dans un premier temps, il m’a paru nécessaire d’effectuer un retour dans le passé, afin de retrouver les sources de la théorie des Maîtrises ; dans un deuxième temps, d’exposer les arguments astronomiques qui plaident contre la réalité des Maîtrises ; et dans un troisième temps, de démontrer à quel point l’utilisation de ce système peut être pernicieux, tant dans la théorie que dans la pratique astrologique." Toujours selon pellard à propos du Tableau des Maitrises : il se limite aux Planètes connues avant la découverte d’Uranus. Les Planètes sont en “dignité” lorsqu’elles se trouvent dans leurs Signes de Domicile (celui qu’elles “maîtrisent”) et d’Exaltation, et en “débilité” dans leurs Signes d’Exil et de Chute. Il n’y a aucune logique interne ni externe à ces attributions. On se limitera ici à la critique des seules “Maîtrises”, ce qui est suffisant pour démontrer que ce système est incohérent, irrationnel et sans fondement." Notre réponse: ce tableau est en fait le fondement même de la bonne théorie des aspects, à savoir que les "doubles domiciles" prévoient que chaque planéte puisse fonctionner sur deux plans, au cours de sa révolution au travers du zodiaque; Nous avons montré dès 1976 (Clefs pour l'astrologie; Ed Seghers) que les positions en domiciles étaient liées aux aspects de semi-sextile (saturne avec deux signes conjoints, le capricorne et le verseau, etc) de carré (Mercure en gémeaux et vierge, jupiter en sagittaire et poissons) ou en quinconce ( Vénus en taureau et en balance, Mars en scorpion et béilier). Cela signifie, tout de même quelque chose qu'il ne s'agirait pas d'ignorer, à savoir qu'une planéte doit pouvoir fonctonner sur plusieurs registres, faute de quoi elle ne serait pas opértionnel; Il est étrange que Pellard n'ait pas relevé ce principe récurrent qui est en contradiction avec la pratique des aspects harmoniques et dissonants, telle qu'évoquée fugacement par Blanchet; La théorie des aspects selon Nicola vient valider un tel dispositif : "Dissonants obtenus par les diviseurs 2, 4, 8 puis la suite des consonants obtenus par les diviseurs moyens des précédents : 3 (trigone) étant la moyenne de 2 plus 4, comme 6 est la moyenne arithmétique de 4 plus 8". Contrairement, donc, à ce qui est généralemet impliqué, il n'est pas "bon" qu'une planéte soit cantonnée aux signes pairs (féminins) ou aux signes impairs (masculine). L'aspect de trigone est donc en décalage avec une cyclologie viable tout comme celui d'opposition qui connecte deux signes pairs ou deux signes impairs sans parler de la conjonction où le même signe occupe tout le terrain. Nous n'avions pas à l'époque une telle incongruité mais mieux vaut tard que jamais. En astrologie EXOLS, Saturne passe alternativement par des signes en carré,comme le sont les solstices et les équinoxes (ex Bélier et balance, capricorne et balance) JHB 09 04 24

mardi 7 mai 2024

jacques halbronn Réflexions autour du Manuel de l'Astrologie holistique de Pierre Lassalle (2005)

jacques halbronn Réflexions autour du Manuel de l'Astrologie holistique de Pierre Lassalle ( Ed de Mortagne, Québec, 2005) avec la collaboration de Brigitte Maffray. L'ouvrage s'ouvre sur cette question" Qu'est ce que l'Astrologie?' Sa réponse est la suivante:"Dans les temps antiques, les astrologues qui étaient clairvoyants entraient en relation avec des entités spirituelles habitant des mondes suprasensibles dont les planétes ou les étoiles du zodiaque servaient de balises ou de repéres dans le ciel"(..) Un moyen d'interpréter la volonté des dieux (entités spirituelles qui guidaient les civilisations antiques (..)Les astrologues conseillaient le pouvoir généralement théocratique, en place.(...) L'astrologie (..) connaissance sacrée (..) Les astrologues (..) ont peu ou pas de connaissances astronomiques (..) Le Zodiaque utilisé en astrologie tropicale est parfaitement scientifique (..)Les positions des planétes dans les signes du zodiaque sont également déterminées par l'astronomie" Pierre Lassalle affirme" Le domaine d'étude de l'astrologie est celui de l'individualité et non celui du collectif. Chaque individu dispose d'une destinée particulière, placée sous la responsabilité de son ange gardien' (..) L'astrologie s'exprime par un langage symbolique dont la source est mythologique. (..) Le symbolisme des signes du Zodiaque se retrouve dans le cycle de la nature, chacune ds quatre saisons se développe en trois phases, soit douze signes et douze mois de l'année" L'astrologie holistique se caractérise par la recherche de certaines figures formées par la répartition des planétes dans le thème natal. Nos commentaires. Cette présentation de l'astrologie est donc articulée sur la carte du ciel perçue comme un tout à décoder et à structurer. La dimension spirituelle affichée explique l'idée d'une astrologie individuelle, karmique. Or, nous ne pensons pas que l'astrologie doive s'inspirer d'une telle doctrine qui lui est étrangère. Selon nous, l'astrologie traite d'une élite et non pas de tout un chacun. Les travaux statistiques de Michel Gauquelin mettent en évidence le passage de la masse à l'élite. Quant à l'astronomie, elle n'est qu'un répertoire d'objets célestes qui ne saurait s'imposer dans sa globalité à l'astrologie, notamment en produisant la carte du ciel. Certes, nous sommes d'accord pour accorder à l'astrologie une origine supra-humaine, en raison même du substrat technologique qui est censé l'avoir mise en place, et nous pensons que le systéme solaire aura été reformaté en conséquences. En ce sens, l'astrologie ne relève pas de la Nature mais d'une SurNature. En ce qui concerne enfin le discours sur le symbolisme zodiacal, nous réfutons l'explication proposée par l'auteur qui n'a pas constaté, comme l'a montré Rudolf Steiner, que certaines permutations s'étaient produites qu'il convenait de corriger. Le Zodiaque tel qu'on le connait actuellement ne correspond pas à aux maitrises planétaires : la Balance n'est pas un symbole vénusien pas plus que la Vierge un symbole mercurien et d'ailleurs les 4 planétes qui entoutrent la Terre (Mercure et Vénus, d'un coté, Mars et Jupiter de l'autre) n'ont pas de fonction cyclique mais mettent en avant la division en 4 du cycle de Saturne qui est la seule planéte agissante, ce qui disqualifie définitivement la notion "holistique" de thème natal. Nous ajouterons la necessité d'une représentation diachronique de l'astrologie, à savoir que le rapport des hommes aux astres aura connu des stades successifs; un premier stade mis en évidence par Gauquelin, articulé sur une astronomie réduite au seul mouvement diurne de planétes visibles à l'oeil nu, un second stade lié à la connaissance des cycles planétaires calculés sur la base des étoiles fixes (on parle de révolution sidérale) sur l'écliptique, balisé par une symbolique mythologico-zodiacale Bien évidemment, il n'est pas question d'attacher la moindre importance aux planétes invisibles à l'oeil nu puisque l'astrologie s'adresse à notre Humanité et donc doit se conformer à ses facultés sensorielles.. JHB 06 04 24

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lundi 6 mai 2024

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jacques halbronn Astrologie et Géométrie Sacrée

Jacques halbronn Astrologie et Géométrie Sacrée Dans son ouvrage, Géométrie Sacrée (Ed Albin Michel "Les clés de l'ésotérisme", 2020) Bernice Cocaram consacre quelques pages à l'astrologie (pp 132 et seq): "Astrologie et figures géométriques". Il y est surtout question des aspects qu'elle aborde au prisme des Eléments qu'elle ne cherche pas à connecter entre eux. Pour elle, soit c'est le même élément (trigone), soit ce sont des éléments différents; Toutefois, pour le sextile (ou hexagramme);, l'autrice note qu'il y a compatibilité entrele feu et l'air, et entre la terre et l'eau sans expliquer qu'il y a des signes masculins et impairs - si l'on compte à partir du Bélier - (feu, air) et féminins et pairs (eau terre). En revanche, pour l'aspect d'opposition qui a le même profil, sur ce plan, que le sextile, elle s'en tient à la différence d'éléments. A ce propos, il eut été heureux de réhabiliter, à cette occasion, l'opposition qui associe un signe de feu et un signe d'air ou un signe de terre et un signe d'eau. Pour l'aspect de carré, l'on nous explique qu'il s'agit d'élements différents mais aussi de genres différents. Le carré se situe à mi chemin entre la conjonction et l'opposition en position d'antithèse masculine. Notons que les équinoxes et les solstices sont en carré alors que l'opposition connecte deux signes situés sur le même axe, donc alignés (syzygie) Par ailleurs, l'autrice ne s'intéresse pas à la question du Temps au regard de la "Géométrie Sacrée". On est là encore dans le registre des aspects mais sur un autre plan que celui de l'Espace. Elle semble ignorer la dimension cyclique de l'Astrologie qui est à la base de la prévision. On a la division de l'année en mois, en semaines de 7 jours : on pense au Shabbat hebdomadaire mais aussi la division en périodes de 7 ans, ce qui est évoqué dans le Songe de Pharaon avec les vaches maigres mangeant les vaches grasses, ce qui est interprété par l'Hébreu Joseph comme une suite de "semaines " de 7 années, à caractère très différent (gras/maigre) Tout se passe comme si pour l'auteur, seule la carte du ciel natal devrait être prise en compte alors que selon nous, c'est une géométrie du temps plus que de l'espace qui constitue le processus astrologique; Rappelons que Kepler avait mis en avant des polygones dans son discours sur l'astrologie (.- cf KEPLER et la recherche d’une explication géométrique de l’Univers D’après Mysterium cosmographicum (Le secret du monde) publié en 1596) En vérité, le véritable intérêt qu'offre l'astrologie réside dans son balisage et balayage du temps et selon nous le terme "sacré" est ici tout à fait approprié JHB 04 05 24

jacques halbron L'Astrologie comme ingéniérie sociale.

jacques halbronn L'Astrologie comme Ingéniérie sociale. Il importe que l'on comprenne bien comment fonctionne une Société tout comme l'on batit une cathédrale comme Notre Dame : savoir quels en sont les parties les plus importantes qui soutiennent l'ensemble et qu'il faut renforcer et protéger en priorité. Dès qu'il y a péril en la demeure, il est essentiel de préserver ce qui a le plus de valeur tant sur le plan matériel que spirituel; C'est ainsi que l'on va mettre à l'abri les collections de musées. Mais en est-il de meme pour les personnes à privilégier du fait de leur génie? Il ne nous semble pas qu'en France, notamment, on ait songé à conférer des conditions particulières aux personnes les plus précieuses au regard d'une ingéniérie sociale? D'où des dépenses exorbitantes quand elles s'appliquent sans discernement, sans tri. D'où une exposition hasardeuse d'éléments particulièrement doués en temps de guerre et d'épidémie notamment avec des perte irréparables. Tout se passe comme si les gouvernants se refusaient à classer, à recenser la population en vertu de certains critères de rareté. Or, économiquement, il est bien moins couteux de protéger une élite de personnalité repérables qu'une masse anonyme. L'astrologie est concernée par une telle détection en amont car selon nous, cette discipline vise avant tout une population réduite impactée par certains mouvements célestes, laquelle population joue un rôle moteur. et mobilisateur. Il importe donc qu'une ingéniérie sociale s'intéresse de près à cet ensemble clef et notamment quand il s'agit d'une génération vieillissante et donc d'autant plus vulnérable, d'où l'importance des conditions de vie qui doit lui être réservée. Le probléme tient notamment au fait que les personnages les plus en prise avec le fonctionnement global du monde ne sont pas nécessairement celles qui se soucient le plus de leur bien être personnel et c'est là un paradoxe qu'il s'agit de maitriser en ne se contentant pas de considérations administratives et bureaucratiques. Comme en anatomie, une société doit s'assurer de la bonne proportion de globules et doit faire son check au niveau du corps social et pas seulement physique. JHB 04 05 24

jacques halbronn Réflexions autour de l'Astrologie devant la Science de Michel Gauquelin; La naissance comme épiphénoméne

jacques halbronn Réflexions autour de L'Astrologie devant la Science de Michel Gauquelin (Ed Planète c 1964) La naissance comme épiphénoméne; Dans nos études accompagnant les Personnalités planétaires, ouvrage paru au lendemain de son décés (1991) nous déplorions une insuffisance de l'auteur quant à l'explicitation de ses résultats, ce qui aura probablement nui à leur réception. En 1986,nous avions tenté de contribuer à une telle attente ( La pensée astrologique, préambule à la réédion de l'Histoire de l'Astrologie de Serge Hutin. Ed Artefact) mais ce n'est que récemment que nous pensons être parvenus à élaborer un modéle viable pemettant de décrire de façon plausible les statistiques proposées en 1955 dans son "Influence des astres" (Ed du Dauphin). Selon nous, la connexion de telle planéte avec le moment de naissance est un épiphénoméne, c'est à dire la conséquence d'une pratique nullement axée sur le dit moment pour des raisons aisées à comprendre vu que ce moment là est à l'évidence difficile à controler. D'un point de vue anthropologique, si l'on admet que des sociétés marquées par un division du travail, ont pu souhaiter se connecter, selon leurs diverses spécialisations, à des planétes visibles à l'oeil nu, comme Mars, Jupiter et Saturne, c'était dans le cadre d'une astrologie d'élection et non d'une astrologie généthliaque, natale; Sur le web "L'astrologie élective est une branche spécifique de l'astrologie, et l'une des plus anciennes. Il s'agit de choisir (élire) un moment auspicieux, en prenant en compte divers facteurs" Autrement dit, chaque groupe se référant à une planéte donnée,devait déterminer son agenda quotidien par rapport au passage de celle-ci au niveau de l'axe d'horizon et de l'axe du méridien, la journée étant découpée ipso facto en 4 parts égales de 6 heures. Cela signifie qu'au cours de la vie de la dite population, à plusieurs reprises, la connexion aura été actée. En ce sens, Gauquelin aurait du s'attaquer à une certaine cyclicité et certainement pas seulement à l'heure de naissance, montrant ainsi que certains événements dans la vie du sujet coincidaient avec le passage de la planéte considérée sur les axes horizon- méridien. Cette astrologie élective, limitée au mouvement diurne quotidien, était bien plus opérationnelle que celle du moment de naissance exigeant des archives, dans la mesure où on allait du futur vers le passé A la page 106, l'auteur écrit " Chaque jour, il naissait un grand nombre d'enfants auxquels il fallait attribuer un futur différent, les planétes et étoiles face au zodiaque n'y suffisaient pas. Alors, les astrologues s'attachèrent à l'heure de naissance en elle -même" Nous ne partageons nullement une telle projection car pour nous, il aura existé une proto-astrologie articulée sur le seul mouvement diurne, dans l'ignorance des révolutions sidérales des planètes, celle justement exhumée par les travaux de Gauquelin; Ce n'est que par la suite que l'astrologie put compter sur ces nouvelles données astronomiques à savoir le parcours des planétes sur l'écliptique, ce qui donnera naissance à une nouvelle ère marquée par un rapport à une autre échelle que celle du mouvement diurne; JHB 05 05 24

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samedi 4 mai 2024

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jacques hakvronn Astrologie et Géométrie Sacrée

Jacques halbronn Astrologie et Géométrie Sacrée Dans son ouvrage, Géométrie Sacrée (Ed Albin Michel "Les clés de l'ésotérisme", 2020) Bernice Cocaram consacre quelques pages à l'astrologie (pp 132 et seq): "Astrologie et figures géométriques". Il y est surtout question des aspects qu'elle aborde au prisme des Eléments qu'elle ne cherche pas à connecter entre eux. Pour elle, soit c'est le même élément (trigone), soit ce sont des éléments différents; Toutefois, pour le sextile (ou hexagramme);, l'autrice note qu'il y a compatibilité entrele feu et l'air, et entre la terre et l'eau sans expliquer qu'il y a des signes masculins et impairs - si l'on compte à partir du Bélier - (feu, air) et féminins et pairs (eau terre). En revanche, pour l'aspect d'opposition qui a le même profil, sur ce plan, que le sextile, elle s'en tient à la différence d'éléments. A ce propos, il eut été heureux de réhabiliter, à cette occasion, l'opposition qui associe un signe de feu et un signe d'air ou un signe de terre et un signe d'eau. Pour l'aspect de carré, l'on nous explique qu'il s'agit d'élements différents mais aussi de genres différents. Le carré se situe à mi chemin entre la conjonction et l'opposition en position d'antithèse masculine. Notons que les équinoxes et les solstices sont en carré alors que l'opposition connecte deux signes situés sur le même axe, donc alignés (syzygie) Par ailleurs, l'autrice ne s'intéresse pas à la question du Temps au regard de la "Géométrie Sacrée". On est là encore dans le registre des aspects mais sur un autre plan que celui de l'Espace. Elle semble ignorer la dimension cyclique de l'Astrologie qui est à la base de la prévision. On a la division de l'année en mois, en semaines de 7 jours : on pense au Shabbat hebdomadaire mais aussi la division en périodes de 7 ans, ce qui est évoqué dans le Songe de Pharaon avec les vaches maigres mangeant les vaches grasses, ce qui est interprété par l'Hébreu Joseph comme une suite de "semaines " de 7 années, à caractère très différent (gras/maigre) Tout se passe comme si pour l'auteur, seule la carte du ciel natal devrait être prise en compte alors que selon nous, c'est une géométrie du temps plus que de l'espace qui constitue le processus astrologique; Rappelons que Kepler avait mis en avant des polygones dans son discours sur l'astrologie (.- cf KEPLER et la recherche d’une explication géométrique de l’Univers D’après Mysterium cosmographicum (Le secret du monde) publié en 1596) En vérité, le véritable intérêt qu'offre l'astrologie réside dans son balisage et balayage du temps et selon nous le terme "sacré" est ici tout à fait approprié JHB 04 05 24