Etudes de Critique biblique, astrologique nostradamiquej et linguistique.
dimanche 20 octobre 2024
jacques halbronn Bible . Le Dieu des Hébreux (Elohim) préfére les sacrifices de sang aux idoles de terre
jacques halbronn Bible. Le Dieu des hébreux préfére les sacrifices de sang aux idoles de terre.
Dans le Livre de la Genése, dès les premiers chapitres, Dieu distingue entre les offrandes, acceptant celle qui vient d'Abel, rejetant celle qui vient de son frère Caïn. De même, Dieu appréciera qu'Abraham soit prêt à lui sacrifier son premier né (Ismaël ou Isaac selon les traditions) et cela vaut aussi, éventuellement, dans le cas de Jésus. De telles réflexions nous permettent de jeter un nouveau regard sur le rejet de l'idolatrie laquelle apparait comme un substitut au sacrifice voire un subterfuges.
D'une certaine façon, nos civilisations tendraient à préferer les idoles, un Jésus statufié (avec le crucifix) plutôt qu'un Jésus immolé de son vivant. Quand Cain refuse d'offrir à Dieu les "premiers nés" de son troupeau, alors qu'Abel avait accepté, au fond, nous nous sentirions plus proches de Caïn selon nos valeurs actuelles. Le sacrifice des premiers nés (que l'on retrouve dans les 7 plaies dEgypte) accorde aux femmes un rôle qui ne leur est plus imparti quand il s'agit de fabriquer des objets.
Il nous revient de réfléchir sur l'inspiration des chapitres II à IV du Livre de la Genése, qui comportent la Création de la femme, la mère de Cain et d'Abel. Ces passages sont favorables aux sacrifices humains. Jésus sera également sacrifié et l'eucharistie évoque son sang (par le vin) mais il ne s'agit plus là d'un sacrifice humain mais d'un produit de la terre, Ce passage du sang vers le vin relève d'une forme de substitution propre à l'idolatrie; pour les juifs, seul le sang compte comme avec la circoncision laquelle ne saurait être remplacée par le baptéme;
Genése IX Alliance noachide et la sacralisation du sang
ךְ-בָּשָׂר, בְּנַפְשׁוֹ דָמוֹ לֹא תֹאכֵלוּ. 4 Toutefois aucune créature, tant que son sang maintient sa vie, vous n'en mangerez.
ה וְאַךְ אֶת-דִּמְכֶם לְנַפְשֹׁתֵיכֶם אֶדְרֹשׁ, מִיַּד כָּל-חַיָּה אֶדְרְשֶׁנּוּ; וּמִיַּד הָאָדָם, מִיַּד אִישׁ אָחִיו--אֶדְרֹשׁ, אֶת-נֶפֶשׁ הָאָדָם. 5 Toutefois encore, votre sang, qui fait votre vie, j'en demanderai compte: je le redemanderai à tout animal et à l'homme lui-même, si l'homme frappe son frère, je redemanderai la vie de l'homme.
ו שֹׁפֵךְ דַּם הָאָדָם, בָּאָדָם דָּמוֹ יִשָּׁפֵךְ: כִּי בְּצֶלֶם אֱלֹהִים, עָשָׂה אֶת-הָאָדָם. 6 Celui qui verse le sang de l'homme, par l'homme son sang sera versé car l'homme a été fait à l'image de Dieu.
JHB 20 10 24
jacques halbronn La véritable genése de l'Astrologie; La femme matricielle
jacques Halbronn La véritable genése de l'Astrologie. La femme matricielle
Selon nous, les dieux nous auront laissé des signes nous permettant de décrypter leur plan, de fil en aiguille. Nous allons tenté de reconstituer le parcours depuis le commencement.
Premier stade La menstruation propre aux femmes est la marque d'une cyclicité de 28 jours.
Deuxième stade Rapprochement entre le cycle féminin et celui de la Lune, qui connecte le vivant terrestre au plan céleste
Troisième stade On découvre que la planéte (qui prendra le nom de Saturne) a une révolution de 28 ans, ce qui la met en résonance avec les 28 jours de notre satellite gravitant autour de notre Terre.
Quatrième stade On observe que la Lune passe par quatre états successifs, nouvelle lune, demi -lune ascendante, pleine lune- demi lune descendante. *, ce qui donne 4 fois sept jours;
Cinquième stade On rapproche le cycle saisonnier des 4 phases de la Lune
Sixième stade On divise le cycle de Saturne en 4 périodes de 7 ans, sur la base du passage de Saturne sur les axes équinoxiaux et solsticiaux.
Septième stade La boucle est bouclée. Saturne apparait comme le seul et unique vécteur céleste, découpant notre temps en 4 x 7 ans ou 8 x 3 ans et demi, ce qu'atteste l'intervalle de 1260 jours/Ans.(3x 360 + 180)
Bibliogtaphie personnelle.
Jacques halbronn Réflexions sur l’oeuvre de Jean Sendy.
Ils’agira ici de déterminer l’influence qu’a exercé sur nous la pensée de Sendy, (Saint-Pétersbourg, 16 novembre 1910 – Coulommiers, 24 avril 1978 ,) que nous avions rencontré juste avant sa mort, lors de la préparation du Colloque sur l’Ere du Verseau (cf Aquarius ou la Nouvelle Ere du Verseau Ed Albatros, 1979) Nous étudierons successivement une série de ses ouvrages.
I Les Cahiers de cours de Moïse.
L’auteur, marqué par la théorie des ères précessionelles, s’y réfère à sa lecture de la Prophétie des Papes à laquelle nous consacrerons en 2005 une étude Papes et prophéties Ed Axiome ainsi qu’à Nostradamus auquel nous avons consacré beaucoup de temps/ En fait ces deux auteurs connaitront un revival au même moment, à la fin du XVIe siècle et au delà. Sendy aborde le cas de Moïse, puisque c’est le titre de son livre et ne distingue pas, bien à tort, ( l’Hébreu Moise des Enfants d’Israél. (pp. 124 et seq ‘Ed J’au Lu 1963) Sendy ne signale pas que Jésus est un Hébreu comme Moise qui se charge de guider un autre peuple que le sien et nous retiendrons qu’il s’agit là d’archétypes assumés. Nous rejoignons Sendy quand il affirme que les Elohim – il les appelle des théosites – étaient des extra-terrestres, dont l’oeuvre est décrite au premier chapitre du Livre de la Genése, Nous ne partageons pas avec Sendy son intérêt pour la symbolique zodiacale et si les symboles ont pu évoluer cela ne tient pas à une quelconque action céleste mais à une instrumentalisation de la dite symbolique par certaines sociétés.
II La Lune clé de la Bible
Nouq suiveons Sendy quand il envisage que les « cosmonautes » appelés Elohim ont pu donner aux Humains ou du moins à certains d’entre eux, une certaine langue « sacrée » , plus perfectionnée que celle dont les dits Humains se servaient jusqu’alors. Comme l’auteur, existait une humanité avant l’intervention « céleste »,. Sendy écrit à la veille de l’arrivée des hommes sur la Lune (Eté 1969). et il pense qu’on y trouvera trace de la présence de ces « dieux ». La Lune est certainement un élément important en ce qu’il pointe la centralité de notre Terre dont c’est le satellité et cela est certainement l’oeuvre d’une technologie très avancée. Mais nous pensons que c’est sur Saturne, dont les données numériques sont en analogie- que devrait se trouver un jour les traces d’une sorte de tableau de bord servant à programmer notre Humanité.
III Les dieux nous sont nés
La thèse de Sendy qui nous aura le plus marqué est celle selon laquelle les dieux seraient intervenus dans l’Histoire de notre Humanité’(p. IX) Ces dieux que nous qualifions de « démiurge » ne sont donc nullement assimilables au « Deus sive Natura » d’un Spinoza mais arrivent bien plus tard; au sein d’une Création préexistante. Sendy est persuadé que les voyages dans l’espace envisagés par les humains coincident avec l’avénement de l’Ere du Verseau. De fait, nous comprenons mieux ce que nous narre le Livre de la Genése depuis que nous avons maitrisé une certaine technologie spatiale.Sendy n’accorde pas toute l’importance qu’elle mérite à l’astrologie à part sa fixation sur les ères. Il reste prisonnier du temps long alors que le systéme établi par les dieux se situe à une toute autre échelle, de sept ans en sept ans (selon le songe de Pharaon interprété par l’Hébreu Joseph), en rapport avec le point vernal transité par la planéte Saurne, tous les 28 ans. Sendy se trompe donc d’astrologie. Ce n’est point le rapport du point vernal avec les constellations zodiacales qui importe mais celui de Saturne avec le point vernal!
L’Ere du Verseau
Il ne semble pas que Sendy ait proposé un reformatage, un remodelage de notre Humanité comme il l’exprime pour notre systéme solaire, lequel aura justement permis de la connecter avec le cycle de Saturne. Il ne semble pas non plus qu’il accorde une mission particulière au monde juif, au peuple élu, au sein du « plan divin » Que retenir de ses « Temps messianiques »? Il est clair, pour nous, que dans la Bible, il est bien question d’une réalité et non pas de quelque mythe.Pour nous, « fils de Dieu », désigne le peuple élu et Adam, fils de Dieu (cf Evangile de luc) est le premier Hébreu et l’expression « fils de l’homme » est une fausse traduction car il faut lire dans le texte hébreu « fils d’Adam » et il y a donc bien une humanité « pré-adamite » qui cotoie encore de nos jours une nouvelle humanité, guisée par le systéme saturnien. Cette astrologie n’exige nullement une surveillance « divine », elle correspond à ce que le prophéte Jérémie qualifie de « nouvelle alliance » (ch XXXI Ed Laffont 1970), cette nouvelle humanité étant quelque peu « robotisée », du fait même de sa dépendance des phases du cycle saturnien. D’où la tension existant entre l’humanité d’avant la « Création » et celle d’après, laquelle se limite aux Hébreux, ce qui aura conduit à la Shoah, tentative d’éliminer cette autre humanité.
Les temps messianiques
Sendy y aborde le dossier de l’astrologie (pp. 150 et seq Ed Laffont 1975)Il se référe aux statistiques de Michel Gauquelin dont il a pris connaissance avec attention. Cela le conduit à se polariser sur le thème natal qui pour lui est l’alpha et l’oméga de l’astrologie alors que la précession des équinoxes se situerait à une toute autre échelle. Sendy semble tout ignorer de l’Astrologie Mondiale,telle qu’illustrée à ‘l’époque par André Barbault (Les astres et l’Histoire. ed Pauvert, 1967) Or, l’astrologie exhumée par Gauquelin est selon nous « préadamique », et doit être distincte d’une astrologie « saturnienne (cf notre Astrologie selon Saturne 1994). Sendy ne semble pas avoir pris connaissance de nos « Clefs pour l’Astrologie » (Ed Seghers 1976) qui mettent en garde contre le thème natal, une astrologie de l’accouchement féminin par opposition à une astrologie masculine des cycles planétaires. En fait Sendy fait le grand écart entre les ères de 2160 ans et le thème qui se joue dans les 24h du mouvement diurne, alors que la vérité de l’astrologie « biblique » se situe sur la base de périodes de 7 ans (cf le Livre de Daniel) Sendy n’a pas compris à quel point les Hébreux étaient la clef de tout le systéme mis en place par les Elohim. C’est là son point aveugle. Il songe à une relation directe entre les Elohim et l’Humanité existante alors qu’il faut s’intéresser d’abord aux Adamites, aux Hébreux, dont notamment un Moise et un Jésus appartenant à une dynastie , vouée à guider l’Ancienne Humanité comme le montre le Livre de l’Exode où l’on voit Moise envoyé par Yahwé pour guider les Enfants d’Israel, tout comme Jésus qui se missionne pour les « brebis perdues de la maison d’Israel »qui sont les Chrétiens à venir, descendants de ce Royaume sécessionniste (à lamort de Salomon) qui a beaucoup à se faire pardonner (d’où le thème du péché originel, du Veau d’Or) qui s’est rebellé contre la dynastie davidienne de Judée.
JHB 01 03 24
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