samedi 10 décembre 2022

Jacques halbronn L'astrologie en sa diversité : des horoscopes de presse aux "sciences" annexes chez Marie Louise Sondaz '1889 1981

Jacques Halbronn L’astrologie en sa diversité : des horoscopes de presse aux « sciences » annexes/ chez Marie Louise Sondaz (1889 1981) L’ ouvrage de Marie Louise Sondaz Tous les signes expliqués « parut à Marseille en 1942 chez Robert Laffont. Il est contemporain du Traité d’Astrologie Rationnelle de Dom Néroman et son sous titre dit bien ce qu’il veut dire: « Essai de morphologie astrale.. Le visage, la main, les astres. » On notera que cette idée sera rejetée dès l’après guerre par une association astrologique comme le Centre International d’Astrologie, fondé en 1946. Il importait alors que l’astrologie ne se mélangeât point avec d’autres disciplines/ Marie Louise Sondaz a souvent été nommée pour avoir introduit la référence au signe de naissance dans l’interprétation du Ciel, et cette pratique se sera maintenue jusqu’à nos jours dans les horoscopes de presse. C’est ainsi que Serge Bret Morel écrit « En France, Marie-Louise Sondaz publiera son tout premier dans la revue Marie-Claire, en juin 1939. » Or, dans l’ouvrage de 1942, cette même astrologue déclare que le signe de naissance n’est pas la clef de l’astrologie et elle propose, on l’a vu, de tenir compte d’autres paramétres. Le terme horoscope a changé d’ailleurs de sens: il visait le thème natal dans son ensemble avant que le terme ne vise que les prévisions de la presse, signe par signe. Nous avons vérifié : l’horoscope parait dès le mois de janvier 1939 et ne comporte aucune référence aux signes zodiacaux (cf notre reproduction in .Faculté Libre d’Astrologie de Paris, blogger)https://draft.blogger.com/blog/post/edit/8469614146421182076/7183017883961779205 (cf sur Marie Louiz Sinsaz Claude Fischler L’astrologie de masse ub La Crotanceastrologique modere, Siagnostic spcomphoqie ed L’age d’homme 1982 ;p 45 et 49 ‘horoscopes ignorant la classofication zoaiacale) D’ailleurs, dans le traité pratique d’astrologie d’André Barbault (Seuil), dans les années soixante, l’on nous présente des visages jupitériens face à des visages saturniens (dessins de Munzinger). Par ailleurs, l’on vérifiait, rectifiait, l’heure de naissance au moyen de différents critères. Mais tout cela est passé de mode notamment avec l’astrologie de type « Astroflash » (1968) Au sein de la Faculté Libre d’Astrologie de Paris, fondée en 1975, nous avons accueilli la morphopsychologie avec Marielle Clavel (plus tard Garrel), disciple de Louis Corman, qui entendait ainsi créer une certaine synergie. En 1976, pour notre part, nous fimes paraitre dans la revue Cosmopolitant un dossier intitulé « Astrologie sensorielle » où il fallait répondre à des questions relatives au sens le plus marquant, que nous avions associé respectivement à Mars, Jupiter, Saturne et Uranus, ce qui permettait de déterminer un calendrier planétaire, sans passer par le thème natal. Un tel courant peut être qualifié d’anthropocosmologique (.https://www. revue3emillenaire.com/blog/lanthropocosmologie-modele-de-connaissance-de-soi-a-lusage-du-3e-millenaire-par-jacques-vanaise) Pour notre part, il y a là un point aveugle et la priorité doit être donnée au fait qu’il y a des hommes et des femmes, d’où notre méthode des topiques sensorielles, qui prolongent notre « Astrologie Sensorielle » mais sans passer par des tests ni par le thème natal lequel ne peut que se situer en aval de cette information première immédiatement donnée à voir. s

Aucun commentaire: