vendredi 26 avril 2024

jacques halbronn Réflexiosn autour des Charmes secres de l'astrologie d'Olenka de Veer (1985)

jacques halbronn Réflexions sur "les charmes de l'astrologie" d'Olenka de Veer (1985, Ed Philippe lebaud) Cet ouvrage nous semble assez typique de la mentalité actuelle des astrologues en France et ailleurs à la fois par ce qu'il comporte et par ce qu'il ne comporte pas. L'auteur y évoque, entre autres, des textes d'une chercheuse, Jacqueline Bousquet, il y a donc une quarantaine d'années et se référe aux liens entretenus entre les humains et le système solaire,à la solidarité avec l'univers, à l'"interrelation entre tout ce qui vit sur terre et toutes les étoiles du ciel" (pp. 120 et seq) On fait appel à Jean Charon. Selon nous, il y là un chainon manquant, à savoir l'"agent", au sens aristotélicien du terme, qui aura permis cette connexion, passage du signifiable au signifié par le biais du signifiant/significateur, pour reprendre notre ternaire post/néo-saussurien. c'est comme croire que Notre Dame de Paris se serait construite sans intervention d'un "dessein intelligent" Olenka de Veer aborde la question du thème de naissance individuel(p.125), ce "moment unique" exigeant, insiste-t-elle, la plus grande précision de l'heure de l'accouchement; on y parle du "bain" composé de mélanges d'ondes planétaires;(p. 126) L'auteur passe ensuite au travail que doit fournir l'astrologue en vue d'une consultation., au temps que cela lui prendra/ A l'entendre, cela s'apparente à tous ces métiers d'écoute, où le client vient se soulager, autour de toutes sortes de supports, de la voyance à la psychanalyse. Or, pour nous, tel n'est pas le bon créneau pour l'astrologie laquelle dispose d'autres moyens, d'autres conditions; Ce qui nous choque le plus, ici,c'est cet artisanat alors que l'astrologie a une vocation politique, au sens plein du terme, plus dans la gestion du global, du social que du cas particulier; l'astrologie devrait être accessible à tous, sans besoin de passer par un astrologue, elle doit fournir des modéles simples, intelligibles et l'astrologie des média nous parait plus proche de ce rôle dans sa méthodologie, même si nous ne la validons pas quant à ses outils. Bien plus, si l'astrologie doit être connue de tous, cela ne signifie pas pour autant qu'elle concerne directement tout un chacun; tout indique que seule une élite est immédiatement impactée, ce qui élimine l'idée d'un thème de naissance individuel. Certes, l'idée du thème bon pour tous constitue un fonds de commerce inépuisable pour le praticien de l'astrologie; Cela vaut aussi pour les cours d'astrologie à destination de ceux qui souhaitent faire de la consultation leur métier; nous préférons parler d'une économie touristique, à partir des curieux de l'astrologie; Or, l'accés à l'astrologie devrait être gratuit et partout enseigné, En revanche, des fonds doivent servir à une recherche astrologique d'utilité publique. le livre de l'astrologie est placé dans le ciel, sous nos yeux, sur nos têtes et chacun peut suivre la course de la planéte centrale (Saturne en l'occurence) sur la bande écliptique qu'on appelle Zodiaque par laquelle passent toutes les planétes de notre systéme solaire, ce qui ne signifie aucunement que l'astrologie ait à prendre en ligne de compte tout ce qui en fait partie et surtout pas les planétes invisibles au delà de Saturne qui n'ont pas vocation par conséquent à être "vues". Selon nous, le couple lune- saturne n'a rien de "naturel" mais tout d'artificiel et croire le contraire serait prendre une église pour une montagne! Débat qui a existé autour des canaux de Mars; Il faut cesser de croire que l'humain ne peut pas rivaliser avec la Nature et édifier des structures pérennes; jhb 26 0424

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Jacques halbronn sur sa conférence de Aalan (RFA) Eté 1975 Saturne et le colonialisme.

Jacques halbronn sur sa conférence de Aalen, Eté 1975 sur Saturne et le colonialisme. En 2025, cela fera un demi-siècle que nous serons intervenus au Congrès Ebertin, à Aalen (RFA)- nous y étions déjà venus en 1971, dans le cadre de l'ISAR de Julinne Mullette Sturm. Cet exposé articulé autour de Saturne, était l'expression de notre fascination, très tôt, pour le démantélement des empires et à l'inverse pour leur formation; Nous y présentames une sinusoïde illustrant ce processus dialectique avec une courbe successivement montante et descendante, découpée par le passage sur les axes équinoxiaux et solsticiaux. En 1976, paraitraient Clefs pour l'Astrologie. Avec le recul, les années 1989-1991 (avec la dislocation de l'URSS) nous apparaissent comme emblématiques de cette thématique de la dissolution des empires! En effet, il nous semblait que l'astrologie mondiale devait se baser sur des mouvements géopolitiques remarquables,à telle enseigne que le déplacement serait son principal cheval de bataille. Il est vrai que dans les années Cinquante, l'empire colonial français donnait des signes de décomposition qui avaient frappé le jeune éléve que nous étions, passionné par l'évolution des atlas de géographie. En 1994, vingt ans plus tard, nous consacrerons une étude spéciale à Saturne "L'astrologie selon Saturne" et force est de constater que nous avons été porteur plus que quiconque, de l'idée d'une astrologie saturnienne, laquelle n'avait nullement besoin d'un autre astre, contrairement aux travaux d'André Barbault. Néanmoins, Barbault aura montré le chemin d'une simplification du modéle, puzzle astrologique, non pas en se centrant sur une seule planéte mais sur des combinatoires.(Saturne/Neptune, indice cyclique) avec des fortunes diverses au niveau du passage de la théorie à la pratique. JHB 26 04 24

bibliographie astrologique internationale sur HALbRONN

sur le web: Halbronn, Jacques, ed. ‘Aquarius ou la Nouvelle Ère du Verseau’ Éditions Albatros, Paris, 1979 Halbronn, Jacques ‘Clefs pour l’Astrologie’ Nouvelle Édition Entièrement Révisée – Editions Seghers, Paris, 1993 Halbronn, Jacques, ed. ‘Guide Astrologique’ Éditions Laurens, Paris, 1997 Halbronn, Jacques, ed. ‘Le Guide de la Vie Astrologique’ Guy Trédaniel, Éditeur, Editions de la Grande Conjonction, 1984 Halbronn, Jacques ‘Les Mathématiques Divinatoires’ Guy Trédaniel, Édition de la Maisnie, 1983 Halbronn, Jacques; intr. Vernet, Juan, Professeur à l’Université de Barcelone ‘[Bibliothèque de l’Unicorne – La Tradition: textes et études – Série Française – Volume vingt-deuxième:] Le Monde Juif et l’Astrologie: Histoire d’un Vieux Couple – Ouvrage orné de 5 illustrations hors texte sur XL planches et de 20 illustrations dans le texte, Suivi d’une étude de Paul Fenton, Maître Assistant à l’Université de Lyon III[26]’ Archè Milano, 1985[27]. Lightly textured card covers. (All page gatherings still joined at top edges and half at outer edges: need separating.) [3] + [2 leaves] + [pp. 3-25] + [pp. 27-9] + [1 leaf] + [pp. 33-48] + [plates i-iv] + [pp. 49-64] + [plates v-viii] + [pp. 65-113] + [p. 115] + [1 leaf] + [pp. 119-160] + [plates ix-xvi] + [pp. 161-176] + [plates xvii-xxiv] + [pp. 177-203] + [pp. 205-227] + [1 leaf] + [pp. 231-257] + [pp. 259-280] + [plates xxv-xl] + [pp. 281-7] + [1] + [pp. 290-375] + [pp. 377-405] + [pp. 407-416] + [1 leaf] + [pp. 419-433] + [pp. 434-440 of illustrations] + [1 leaf] + [pp. iii-xvii] + [pp. xviii-xix of illustrations] + [imprimatur] Halbronn, Jacques ‘Le Texte Prophétique en France: Formation et Fortune Tome I: Thèse d’État sous la direction de M. Jean Céard, Professeur à l’Université de Paris X-Nanterre – UEFR de Littérature Française’ Atelier National de Reproduction des Thèses, 9 Rue Auguste Angellier, Lille, France, 1999. Card covers. [3] + [1 leaf] + [p. 4] + [2] + [pp. 7-30] + [1 leaf] + [pp. 32-5] + [1 leaf] + [pp. 37-46] + [1 leaf] + [pp. 48-122] + [1 leaf] + [pp. 124-190] + [1 leaf] + [pp. 192-255] + [1 leaf] + [pp. 257-286] + [1 leaf] + [pp. 288-298] + [1 leaf] + [pp. 300-311] + [pp. 313-338] + [1 leaf] + [pp. 340-378] + [1 leaf] + [pp. 380-397] + [1 leaf] + [pp. 399-415] + [1 leaf] + [pp. 417-435] + [1 leaf] + [pp. 437-463] + [Imprimatur] Halbronn, Jacques ‘Le Texte Prophétique en France: Formation et Fortune Tome II: Thèse d’État sous la direction de M. Jean Céard, Professeur à l’Université de Paris X-Nanterre – UEFR de Littérature Française’ Atelier National de Reproduction des Thèses, 9 Rue Auguste Angellier, Lille, France, 1999. Card covers. [3] + [p. 466] + [2] + [pp. 470-4] + [1 leaf] + [pp. 476-512] + [1 leaf] + [pp. 514-537] + [1 leaf] + [pp. 539-592] + [1 leaf] + [pp. 595-624] + [1 leaf] + [pp. 626-630] + [p. 630a] + [pp. 631-690] + [1 leaf] + [pp. 692-764] + [1 leaf] + [pp. 766-802] + [1 leaf] + [pp. 804-853] + [1 leaf] + [pp. 855-904] + [Imprimatur] Halbronn, Jacques ‘Le Texte Prophétique en France: Formation et Fortune Tome III: Thèse d’État sous la direction de M. Jean Céard, Professeur à l’Université de Paris X-Nanterre – UEFR de Littérature Française’ Atelier National de Reproduction des Thèses, 9 Rue Auguste Angellier, Lille, France, 1999. Card covers (creasing and light wear to upper outer corner of rear cover). [3] + [pp. 907-8] + [1 leaf] + [pp. 910-911] + [1 leaf] + [pp. 913-940] + [1 leaf] + [pp. 943-963] + [1 leaf] + [pp. 965-1010] + [1 leaf] + [pp. 1012-1034] + [pp. 1036-1047] + [1 leaf] + [pp. 1049-1124] + [1 leaf] + [pp. 1126-1170] + [1 leaf] + [pp. 1172-8] + [pp. 1180-1207] + [1 leaf] + [pp. 1209-1232] + [1 leaf] + [pp. 1235-8] + [pp. 1240-1258] + [1 leaf] + [pp. 1260-1278] + [1 leaf] + [pp. 1283-1305] + [p. 1306] + [pp. 1307-1325] + [pp. 1326-8] + [pp. A-1 – A-47 of illustrations] + [pp. 1329-1333] + [pp. B-1 – B-67 of illustrations] + [pp. 1334-5] + [pp. 1335a – 1335b] + [pp. C-1 – C-39 of illustrations] + [p. 1336] + [pp. 1337-1349] + [pp. 1349a – 1349b] + [1 leaf] + [pp. 1351-6] + [Imprimatur] Halbron (sic), Jacques ‘La Vie Astrologique: Années Trente-Cinquante, de Maurice Privat à Dom Néroman’ Éditions la Grande Conjonction, 8, rue de la Providence, 75013 Paris / Guy Trédaniel Éditeur, 65, rue Claude Bernard, 75005 Paris, 1995. Card covers. [1 leaf] + [2] + [pp. 5-13] + [2 pages of illustrations] + [pp. 16-105] + [illustration] + [pp. 107-190] + [imprimatur] Halbronn, Jacques – see also under Curry, P.; Dessange, Solange; and Etteilla, above; and under Ibn Ezra, Abraham; Morin, Jean-Baptiste; and Ptolomée, below Halbronn, Jacques et Hutin, Serge ‘Histoire de l’Astrologie[28]’ Éditions Artefact, Éditions Henri Veyrier, 1986. Card covers (light wear to extremities of spine). [1 page of advertisements] + [1 leaf] + [2] + [pp. 7-12] + [1 leaf] + [pp. 15-93] + [pp. 95-7] + [pp. 99-148[29]] + [1 leaf] + [pp. 155-169] + [pp. 171-273] + [1] + [imprimatur]

jeudi 25 avril 2024

jacques halbronn Bible. Ces traductions qui occultent des cliaves majeurs: Dieu, fils de l'homme, de Dieu, Israélite

jacques halbronn Bible Ces traductions qui occultent des clivages majeurs. Dieu, fils de l'homme, Israélite Il est important de pouvoir se référer à la version originale pour éviter de rendre par une même appellation ce qui est visiblement distinct dans la source. C'est ainsi qu'Elohim ne saurait être traduit par "Dieu" dès lors que le tétragramme est restitué sous ce même nom. Le dieu "Yahwé" est selon nous une invention des Enfants d'Israel (Beney Israel); Il se présente à l'Hébreu Moîse, au chapitre III du livre de l'Exode, donc bien après le récit de la Création élohiste;(Genése I) Mais là encore il y a risque de confusion puisque les Hébreux ne sont pas assimilables aux Beney Israel, comme on peut le voir dans les premiers chapitre de l'Exode; Moîse nait en milieu "hébreu" et c'est le mot "ivri" qui désigne son peuple et c'est cet hébreu qui est envoyé par Yahwé vers son peuple à lui, Yahwé. Quand Moise dit à pharaon : Laisse partir mon peuple", il parle au nom de Yahwé et non à titre personnel! Cette situation peut semble ambigue mais elle caractérise pleinement la présence juive au monde et cela vaut évidemment pour un Jésus préoccupé par le sort des brebis perdues de la maison d'Israel, le terme Israel ne visant aucunement les Hébreux ou la maison royale de judah. Le terme "juif" ne saurait, pour sa part, désigner indistinctement les ressortissants de ces deux maisons ennemies. Quant aux termes "fils de Dieu" et "fils de l'homme", ils doivent également être maniés avec précautions; Fils de l'hommme, dans le texte hébraïque, c'est "Fils d'Adam" et peut-on traduire, comme c'est si souvent le cas, Adam par "homme", terme on ne peut plus vague; En revanche, si par Adam, l'on désigne une certaine lignée, une dynastie, une telle précision fera sens; Pour nous, les hébreux sont les "fils d'Adam" (Beney Adam) tout comme le Israélites, sont les "fils de Jacob- Israel" Quid enfin de la formule "fils de dieu" si volontiers appliquée à Jésus? Si l'on admet qu'Adam est "fils de Dieu", c'est à dire d'Elohim -et non pas de Yahwé- Jésus en tant que descendant d'Adam l'est également comme il est rappelé dans l'Evangile selon Luc. Tous les Hébreux et non les Israélites sont des "adamites",fils 'Elohim, Cela nous améne à la question : d'où sortent ces Israélites? Selon nous, ce sont des populations autochtones asservies par le conquèrant hébreu et qui feront sécession à la mort de Salomon, voulant secouer leur joug. La lecture de la Bible ne peut que rendre perplexe puisque le nom même de Yahwé apparait déjà dans le Livre de la Genése dès le milieu du chapitre II associé à celui d'Elohim. Autrement dit, on ne saurait se fier aveuglément au texte biblique qui a été probablement remanié à Alexandrie par des Israélites. D'ailleurs, Yahwé, dans Exode III reprend à son compte la généalogie " Abraham, Isaac et Jacob" quand il s'adresse à Moîse dont on peut penser que c'est une invention proprement israélite sous tendant le dispositif des 12 tribus, dont 10 constitueront le royaume d'Israel. Dans ce récit de la Genése, on donne à Jacob le surnom d'Israel. C'est dire que la Genése prépare l'Exode tout comme les prophétes sont censés annoncer jésus "Christ" comme cela est rappelé dans les Evangiles. L'astuce consiste à faire annoncer cela par des textes supposés antérieurs et approuvés par les Hébreux,roulés dans la farine! JHB 25 04 24

jacques halbronn La matrice lunaire : le 12, lé 7 ou le 4? le trio Luune, Soleil, Saturne

jacques halbronn La matrice lunaire : le 12, le 7 ou le 4? Le trio Lunce, Soleil, Sauturne Quand on réfléchit sur les structures de l'astrologie, la lune est volontiers prise à témoin mais à quelle facette de la lune faut il faire appel? On peut diviser son cycle en 4 temps de 7 jours, appelés semaines, ce qui tient à ses relations avec le Soleil : nouvelle lune, demie lune, pleine lune et ainsi de suite. On peut également remarquer que la Lune se joint au Soleil dans une moyenne de 12 fois par an, ce qui servirait de référence à toute division en 12 de l'écliptique. Quelle est la bonne piste? Selon nous, la première citée serait la "bonne" et le paralléle avec Saturne montre bien que 12 n'est pas significatif pour cette planéte alors que les axes saisonniers divisent son cycle en périodes de 7 ans; Ces axes joueraient donc le même rôle de diviseurs que dans le registre soli-lunaire (nouvelle lune, pleine lune etc) C'est pourquoi nous n'attachons aucun intérêt à la division en 12 de l'écliptique; Les statistiques proposées par Castille et par Sachs prouvent certes l'impact du cycle saisonnier dans son déroulement mais aucunement la pertinence d'une quelconque division en 12 signes ou consrtellations.(cf "Mariages, astrologie et statistiques françaises" in Le Dossier astrologie de Gunther Grass, Ed Michel Lafon 2000 p; 90) A partir du moment où il y a cycle, toutes les divisions "marchent"! JHB 25 04 24

jacques halbronn Réflexions sur le "Dossiet" Astrologie" de Gunther Sachs

jacques halbronn Réflexions sur le "Dossier Astrologie "de Gunther Sachs Avec les travaux sur les signes zodiacaux, le probléme numéro I serait-il celui de l'auto-suggestion, d'auto-détermination comme si cette donnée faisait partie intégrante de la personnalité, du fait même qu'on lui attache quelque portée? Il est vrai que la signature zodiacale est la chose du monde la mieux connue - tant elle aura été vulgarisée par les multiples collections parues depuis les années Cinquante du siècle dernier (du Seuil à Tchou en passant par Solar sans oublier les média) et cela constitue un obstacle épistémologique de première magnitude. En comparaison, les statistiques de Gauquelin portent sur des données peu accessibles au vulgum pecus, à savoir la position d'une planéte à la naissance, non pas sur une base mensuelle mais sur une base horaire, ce qui exige des calculs d'un tout autre ordre. En soi, un modéle comportant un découpage en 12 secteurs de la course du Soleil, nous parait assez peu crédible si ce n'est au regard de la météorologie. Les personnes nées annuellement dans les mêmes conditions de "temps" pourraient cependant présenter des points communs d'autant que l'on évite ainsi de considérer une saison comme un tout alors que cycliquement, les 12 signes forment une progression constante, à l'instar des saisons qui suivent une logique cyclique d'anticipation. Mais est ce que cela reléve stricto sensu de l'Astrologie? Contrairement à ce qu'affirme Sachs, l'astrologie ne saurait se définir ainsi. Le "temps zodiacal" serait donc surtout d'ordre météorologique. Peu importe ici la signification attribuée à chaque signe. En fait Sachs ne valide aucunement le nom des signes pas plus que leur nombre mais apporte des éléments allant dans le sens d'un impact saisonnier sur les naissances, ce qui n'épuise aucunement la substance de l'astrologie. Sachs a beau nous affirmer que l'astrologie a pour fondement les 12 signes du Zodiaque et donc que leur validation validerait ipso facto l'astrologie, nous pensons que cela ne concerne qu'un état primaire de l'astrologie, une matrice ayant servi, par analogie, à baliser le cycle de Saturne, non plus physiquement comme c'est le cas du Soleil mais en tant que modéle, que plan à une toute autre échelle. Bibliographie article Wikipedia Le dossier astrologie par Gunther Sachs En l'an 2000 paraît le livre de Gunter Sachs, Le dossier Astrologie qui étudie en dix domaines existentiels (mariages, divorces, célibat, maladies, suicides, études, professions, conduite automobile, délits, intérêt pour l'astrologie) à partir de millions de données analysées (d'universités, d'administrations, d'assureurs, d'éditeurs) si les natifs des différents signes du zodiaque (du zodiaque tropical) ont des comportements différents. Tous les écarts importants, face aux chiffres attendus, ne se laissant pas expliquer par le principe du hasard sont indiqués comme significatifs. Le test d'indépendance du khi deux démontre des écarts nettement significatifs pour neuf analyses sur dix. L'hypothèse selon laquelle ces différences procèdent du hasard peut être exclue à la probabilité d'erreur au plus égale à 1 sur 1 million selon l'Institut statistique de l'université Ludwig-Maximilian de Munich qui a vérifié ces travaux Cependant, selon MM. Von eye, Lösel et Mayzer, le livre de M. Sachs contiendrait un lot d'erreurs méthodologiques qui infirment certaines de ses conclusions sur les liens entre signes solaires et criminalité MARIAGES AUX SOLEILS par Didier CASTILLE ": L’ensemble des mariages qui ont été contractés en France entre 1976 et 1997 a été examiné, notamment, selon les longitudes zodiacales qu’avait le Soleil au moment de la naissance de chacun des époux. Il en ressort une corrélation indiscutable. Les mariages entre personnes ayant la même longitude solaire (à plus ou moins 30°) sont plus nombreux que ceux auxquels on aurait pu s’attendre. Par contre, l’observation en fonction des longitudes lunaires des époux ne révèle aucune liaison. Des liens très étroits, et très logiques, existent en revanche entre les époux quand il s’agit des longitudes qu’avaient Mercure et Vénus." Questions de Méthode par Didier Castille Deux recherches statistiques menées sur des populations très différentes et mettant en oeuvre la même méthode aboutissent à des résultats assez similaires. Dès lors, une question se pose : ne sommes nous pas en présence d’un artefact ? Dans cet article, diverses phases de la méthode sont critiquées une à une, ce qui ne permet pas de repérer cet artefact soupçonné. Les conclusions établies par chacune des deux recherches demeurent inexpliquées. JHB 25 04 24

Jacques Halbronn L'astrologie gère la question de la place! déplacemen...

Jacques Halbronn L'astrologie, issue de la Science ou de l'Art? Natu...

Jacques Halbronn Astrologie

jacques halbronn Astrologie. LE cycle saisonnier soli-lunaire comme matrice du cycle saturnine 7 jours.7 ans

jacques halbronn Astrologie. Le cycle saisonnier soli-lunaire comme matrice du cycle saturnien 7 jours/7 ans Le travaux sur les 12 signes du Zodiaque conduits par Didier Castille et Gunther Sachs ne font au mieux que valider l'impact du cycle saisonnier sur les comportemenst humains mais l'on pourrait tout aussi bien diviser l'écliptique en 4, 8, 16, 32 secteurs, les résultats seraient tout aussi concluants. Ils n'ont pas démontré que d'autres diviseurs ne fonctionneraient pas. Ils avaient en tête de valider la division en 12, ce qui produit chez eux un biais cognitif. Cela dit, dont acte, l'impact saisonnier est attesté mais pas spécialement la division en 12 même si celle-ci est liée aux 12 rencontres soli-lunaires au cours d'une année terrestre. Il nous semble plus pertinent de nous intéresser à la division du cycle lunaire en 4 temps de 7 jours qui est en résonance avec le cycle saturnien de 7 ans si on le divise par 4 du fait de sa rencontre avec le deux axes saisonniers. Le 4 et le 7 sont des chiffres bien plus pertinents que le 12. Le passage du cycle saisonnier au cycle saturnien correspond à une montée en puissance dont nous avons traité au niveau linguistique, lors du passage du féminin au masculin. Le temps saturnien est bien plus compact que le temps soli-lunaire en ce qu'il embrasse des périodes bien plus longues, ce qui le rend plus économique, parce qu'il est réducteur, il abrège, il décante. Autrement dit, les travaux sur le zodiaque mentionnés plus haut attestent d'une astrologie des plus primaires fondée sur le rayonnement physique du soleil alors que le cycle saturnien reléve d'une toute autre dimension , celle d'un monde créé, formaté, inventé par les dieux ( Elohim Genése I) à ne pas confondre avec le Premier Mobile et le "Big Bang". On ne doit pas opposer une astrologie physique et une astrologie "symboliste" mais une astrologie de la Nature et une astrologie de la Surnature, ce qui est le propre de la notion de "création", de la Formation (Sefer Yetsira) JHB 25 04 24

mardi 23 avril 2024

Jacques halbronn Astrologie planétaire. Le mirafe du septénaire et du...

jacques halbronn Astrologie. Le repére saisonnier est le seul capable...

jacques halbronn Astrologie EXOLS LEs intervalles multiplicateurs pairs de 7 pour le XXe siècle

jacques halbronn Astrologie EXOLS Les intervalles multiplicateurs pairs de 7 pour le XXe siècle. Nous avons abordé les intervalles "pairs" de 28 (4x7) et de 56 ans (8x7) passons à ceux de 14 (2x7) et 42 ans (6x7) Un retour solsticial 1947-1962 -1977- 1991 Le repli En 1947, le Royaume Uni déclare renoncer au mandat qui lui avait été confié sur la Palestine, ce qui conduira notamment à la déclaration d'indépendance de l'Etat d'Israel. Quinze ans plus tard, la France va abandonner l'Algérie (Accords d'Evian de 1962) qu'elle avait intégré dans son espace national. Si l'on poursuit la séquence des 14-15 ans, on tombe sur l'abandon par Israel du Sinaï lors des Accords de Camp David Sur le web " l’Égypte, aux termes du traité, récupère le Sinaï (ce qui sera effectif en 1982) et obtient le démantèlement des implantations israéliennes dans cette péninsule" Quatorze ans plus tard, ce sont les satellites de l'URSS (Pace de Varsovie) qui s'émancipent en 1989 mais c'est surtout en 1991, la fin de la dite Union Un retour équinoxial Les interactions. Le passage en phase équinoxiale met en échec une politique de l'autruche, basée sur un refus de prendre connaissance, de tenir compte de ce qui se passe à l'extérieur de sa sphère. C'est l'occasion d'un réveil plus ou moins brutal. Nous proposons ici trois dates séparées d'environ 42 ans(6x7). La date de 1940 et le temps de la défaite, de la déconfiture pour la France, la fin du mythe de la Ligne Maginot comme protection contre l'Allemagne. L'équinoxialité apparait ici comme un principe de réalité. 43 ans plus tard, c'est le "tournant de la rigueur", la France de Mitterrand réalise qu'elle ne peut ignorer ce qui se passe à l'extérieur au sein de la Communauté Européenne. Sur le web " Le président Mitterrand opte finalement pour le maintien dans les mécanismes de solidarité communautaire, ce qui implique un arrêt de la politique de relance et un freinage de l'inflation par la hausse des taux d'intérêt et la contraction des dépenses publiques. Il décide de réduire le différentiel d'inflation (et de hausse des salaires) français vis-à-vis du partenaire allemand, qui pèse sur la compétitivité du pays et la valeur de sa monnaie sur le marché des changes. Il faut donc changer de politique économique. Le tournant décisif est pris le 21 mars 1983, avec l'annonce d'une politique de rigueur" En 2024, nouvelle phase équinoxiale qui risque fort d'aboutir à des situations comparables sous la pression de l'Union Européenne. Mais cela vaut aussi pour Israel qui s'aperçoit qu'il ne peut plus ignorer ce qui se joue en dehors de son "espace" et le conflit avec l' Iran à coup de drones et de missiles en témoigne éloquemment. La France s'expose à se placer en situation de tutelle. JHB 23 04 24

jacques halbronn Du bon usage des traductions et des emprunts pour restituer des états antérieurs.

Jacques Halbronn Du bon usage des traductions et des emprunts pour restituer des états antérieurs. Les travaux consacrés à la traduction des Septante, notamment ceux de Jean Auwers illustrent la célébre formule tradutore/traditore à savoir que les traducteurs peuvent être tentés de présenter les textes à leurs façons. Bien plus, Auwers; « Plutôt qu’une traduction, la Septante est la Traduction : la première qui acquit ce statut dans la civilisation gréco-romaine et judéo-chrétienne » [1] [1] Alexis Léonas, L’aube des traducteurs. De l’hébreu au grec :…. Les premiers traducteurs n’avaient probablement aucun modèle de traduction auquel se référer pour traduire un corpus comme la Torah [2] [2] Cf. Sebastian P. Brock, « The Phenomenon of Biblical…. Quels choix ont-ils opérés ? Ces choix ont-ils été suivis par les traducteurs des livres suivants, puis par les Africains qui, au IIe s. de l’ère chrétienne, firent passer l’Ancien et le Nouveau Testament du grec en latin ? Quelles options sont solidaires du choix effectué par saint Jérôme de revenir à l’hebraica veritas ? Telles sont les questions auxquelles les pages qui suivent voudraient répondre. ils peuvent présenter un état du texte plus authentique que des versions certes dans la langue d'origine mais plus tardives. D'aucuns ont même soutenu que les versions hébraiques pourraient dériver de la Septante. Nous même avons montré que l'anglais pourrait à l'avenir servir, du fait de ses emprunts, à reconstituer des états anciens du français et plus généralement, cela implique la comparaison des langues dans le cadre de la méthode du puzzle que nous avons préconisée.. Car traduction et emprunt vont de concert et l'on aurait bien tort de négliger un tel apport, et il ne faudrait pas négliger le processus des calques. A ce propos, on s'intéressera à l'usage du "to" en anglais calqué sur le "à" français. To day est à rapprocher de 'Au jour (d'hui) comme to morrow de A demain. Mais le cas de l'infinitif est assez remarquable Pourquoi l'infinitif anglais est il précédé de ce "to"? C'est qu'en français, on dit je veux à boire, donne-moi à manger, je n'ai rien à dire etc. (I have nothing to say). Mais c'est dans le registre de la prononciation que l'anglais nous est précieux en nous restituant des sonorités disparues en français comme joie devenu en anglais "joy" ce qui nous rappelle que le "y" vaut pour un "ie". On devrait donc revenir à cette forme en français. D'ailleurs, au pluriel, city devient "cities". De même, quand l'anglais prononce "possible" sous la forme "possibel", il nous fournit la prononciation du mot au féminin alors que le français n'a gardé que la prononciation plus condensée au masculin que l'anglais n'a pas pu intégrer. Il en est de même pour les formes en "ing" que l'anglais rend "au féminin et que le français assure au masculin, par la diphtongue (poing), qui devient au féminin poignée, la forme ing se transformant en ign. D'ailleurs, dans bien des cas, le français, à l'écrit, aura perdu le g : loin, soin,foin etc que l'on retrouve dans des textes plus anciens avec "juing" Mais là encore, l'anglais restitue la prononciation du "oin", quand il propose "point", "joint" sans la diphtongue. Nous avons déjà signalé le passage de nuit à night, de droit à right et il serait érronné de voir dans night et right des productions germaniques alors qu'elles derivent du français, le gh valant un y comme le français "ll"(vaille) C'est dire que sans l'anglais, on serait bien empéché de prétendre restituer les régles de l'oralisation du français lesquelles devraient être rétablies dans un avenir plus ou moins proche. JHB 23 04 24

jacques halbronn Astrologie EXOLS Les intervalles multiplicateurs pairs de 7 pour le XXe siècle

jacques halbronn Astrologie EXOLS Les intervalles multiplicateurs pairs de 7 pour le XXe siècle. Nous avons abordé les intervalles "pairs" de 28 (4x7) et de 56 ans (8x7) passons à ceux de 14 (2x7) et 42 ans (6x7) Un retour solsticial 1947-1962 -1977- 1991 Le repli En 1947, le Royaume Uni déclare renoncer au mandat qui lui avait été confié sur la Palestine, ce qui conduira notamment à la déclaration d'indépendance de l'Etat d'Israel. Quinze ans plus tard, la France va abandonner l'Algérie (Accords d'Evian de 1962) qu'elle avait intégré dans son espace national. Si l'on poursuit la séquence des 14-15 ans, on tombe sur l'abandon par Israel du Sinaï lors des Accords de Camp David Sur le web " l’Égypte, aux termes du traité, récupère le Sinaï (ce qui sera effectif en 1982) et obtient le démantèlement des implantations israéliennes dans cette péninsule" Quatorze ans plus tard, ce sont les satellites de l'URSS (Pace de Varsovie) qui s'émancipent en 1989 mais c'est surtout en 1991, la fin de la dite Union Un retour équinoxial Les interactions. Le passage en phase équinoxiale met en échec une politique de l'autruche, basée sur un refus de prendre connaissance, de tenir compte de ce qui se passe à l'extérieur de sa sphère. C'est l'occasion d'un réveil plus ou moins brutal. Nous proposons ici trois dates séparées d'environ 42 ans(6x7). La date de 1940 et le temps de la défaite, de la déconfiture pour la France, la fin du mythe de la Ligne Maginot comme protection contre l'Allemagne. L'équinoxialité apparait ici comme un principe de réalité. 43 ans plus tard, c'est le "tournant de la rigueur", la France de Mitterrand réalise qu'elle ne peut ignorer ce qui se passe à l'extérieur au sein de la Communauté Européenne. Sur le web " Le président Mitterrand opte finalement pour le maintien dans les mécanismes de solidarité communautaire, ce qui implique un arrêt de la politique de relance et un freinage de l'inflation par la hausse des taux d'intérêt et la contraction des dépenses publiques. Il décide de réduire le différentiel d'inflation (et de hausse des salaires) français vis-à-vis du partenaire allemand, qui pèse sur la compétitivité du pays et la valeur de sa monnaie sur le marché des changes. Il faut donc changer de politique économique. Le tournant décisif est pris le 21 mars 1983, avec l'annonce d'une politique de rigueur" En 2024, nouvelle phase équinoxiale qui risque fort d'aboutir à des situations comparables sous la pression de l'Union Européenne. Mais cela vaut aussi pour Israel qui s'aperçoit qu'il ne peut plus ignorer ce qui se joue en dehors de son "espace" et le conflit avec l' Iran à coup de drones et de missiles en témoigne éloquemment. La France s'expose à se placer en situation de tutelle. JHB 23 04 24

jacques halbronn Astrologie. Les fausses pistes du septénaire eu du duodénaire

jacques halbronn Astrologie. Les fausses pistes du septénaire et du duodénaire L'astrologie a été impactée par des connexions mal venues, l'une liée au 7 , l'autre au 12. En ce qui concerne le 7, il y a ce qu'on appelle le Septénaire, lequel aura notamment servi à désigner les jours de la semaine (Soleil, Lune, Mars, Mercure, Jupiter, Vénus Saturne) Nous avons montré que le Soleil n'avait pas sa place dans une telle série, du fait qu'il était le vecteur central. Il sera associé à la Lune, dans le dispositif des maitrises planétaires (Soleil Bélier, Lune, Taureau en exltatation, Soleil Lion, Lune Cancer en domicile (trône). Par la suite, l'on prit l'habitude de mettre fin aux "doubles domiciles" quand il fut question d'intégrer les planétes au-delà de Saturne. (Uranus, Neptune, Pluton). Dans le Livre de la Création, on propose un groupe de 7 lettres "doubles", qui renvoie à cette notion de "double domicile) On a rajouté le Resh pour arriver à 7 alors que grammaticalement,il n'en fait pas partie ("bagadkaphat). Quelle est la raiosn qui aura conduit à un tel résultat? Tout simplement, le fait que le 7 est le quart d'un cycle de 28 jours (Lune) et de 28 ans (Saturne) On aura donc voulu connecter le principe des 7 années (cf les vaches grasses et maigres, chacune correspondant dans le livre de la genée à 7 années) avec le nombre d'astres connus en astronomie. Ce qui est une grossière erreur en ce sens que l'astrologie n'a pas à intégrer toutes les planétes du systéme solaire, ce qui est la tâche de l'astronomie et d'elle seule. En ce qui concerne le 12, l'on sait qu'au XXe siècle, les astrologues auront été tentés de relier aux 12 signes, 12 planétes (cf nos Clefs pour l'Astrologie, Ed Seghers, 1976), mettant un terme au dispositif des doubles domiciles, ce qui ne pouvait que renforcer le cordon ombilical entre Astrologie et Astronomie, puisqu'il revenait aux astronomes de compléter le "tableau"., d'où des spéculations sur les transplutoniennes même si certains auteurs auront préféré caser les astéroides et la Terre pour faire le compte. L'idée de disposer d'autant de planétes que de signes est un grave contresens car les planétes en astrologie doivent être des facteurs dont la nature change avec les signes et ce sont en réalité les signes qui doivent être associés aux divinités, non point les astres! Il convient ici de revenir sur le statut des constellations dont on entend montrer que les étoiles fixes qui les composent, comme le mot "constellation" le signifie, ont une plus grande importance que les signes. En effet, ces étoiles visibles à l'oeil nu servaient de repère commode pour situer les planétes en ce qu'elles étaient utilisées pour marquer les équinoxes (d'où l'expression précession des équinoxes) On ne dit pas, ce faisant, que ces étoiles étaient actives mais qu'on leur avait trouvé un rôle à jouer. La question des ères précessionnelles aura mis en évidence, la connexion entre le point vernal et les constellations mais il s'agirait en fait de relier le point vernal avec une étoile d'une certaine constellation et non à la constellation prise dans sa totalité. En effet, la conjonction planéte/point vernal (où point solsticial) ne peut se faire que par l'entremise d'une étoile fixe se trouvant sur le trajet de la planéte, autour de l'écliptique JHB 23 04 24

lundi 22 avril 2024

Jacques halbronn Réflexions autour du rejet du critère analogique saisonnierpar patrice guinard

Jacques halbronn Réflexions autour du rejet du critère analogique saisonnier par Patrice Guinard ""La sémantique zodiacale de l'astrologie contemporaine, écrit-il, est redevable à l'un ou l'autre de ces quatre "modèles" culturels, tous caducs : - Le zodiaque mythologique, qui n'a pas de sens car les noms et les mythes attribués aux constellations zodiacales ont été mis en place bien avant l'existence même du zodiaque, et dans un contexte nécessairement "a-zodiacal". - Le zodiaque figuratif, dont les significations dépendent du tracé des figures des constellations et de leurs emblèmes, en étroite dépendance au premier, et préconisé par les franges les plus ignares et superstitieuses du milieu astrologique. - Le zodiaque élémental, péniblement et tardivement élaboré, aux associations connexes rapportées, de nature météorologique ou climatique, qui n'a jamais pu déboucher sur un système cohérent - Le zodiaque saisonnier, parfois étroitement lié au précédent, mettant en avant de vagues associations liées au cycle solaire, et qui n'a strictement aucun sens pour les autres planètes du système solaire." On s'intéressera à cette quatriéme condamnation qui s'en prend au "zodiaque saisonnier" certes, ce qui vaut pour le Soleil, sur le plan météorologique, peut il faire sens, par exemple, pour Saturne? Guinard insiste: en s'en prenant au " zodiaque solaire saisonnier (dont la sémantique est étroitement dépendante du cycle des saisons), et légitime la pratique des astrologues argentins ou australiens, lesquels, en général, n'inversent pas les signes zodiacaux" Pour nous, la question des 2 hémisphères ne se pose pas car nous raisonnons sur des axes et sur une symétrie de couple entre saisons opposées Essayons de comprendre cette méfiance de guinard à l'encontre du "zodiaque solaire" et donc de la démarche analogique, laquelle voudrait que ce qui vaut pour le soleil soit également pertinent pour d'autres astres dès lors qu'ils traversent les secteurs découpés par le Soleil mais à un tout autre rythme et avec des effets d'une autre nature. Ce qui nous sépare de guinard, c'est toute la question de l'origine de l'astrologie, est-elle "naturelle", ou est-elle instaurée par quelque "dessein intelligent" qui mettrait en place un certain ordonnancement à sa guise, à partir du modéle des saisons? Soit l'on croit à une influence des astres sur l'homme soit l'inverse, l'impact humain (au sens large, ce qui peut englober des extra-terrestres) sur les astres, par instrumentalisation et mimétisme;(cf notre Essai de 1986 "la pensée astrologique" que Guinard connaissait et qui l'avait choque puisque dans son esprit anti-humaniste, ce que les humains établissent par là même serait sans valeur, Pour notre part, nous pensons que l'astrologie a instauré des saisons saturniennes de 7 ans chacune faisant pendan aux "solaires" tout comme ce n'est pas par hasard que le cycle de notre satellite la lune ressemble numériquement à celui de Saturne; On est bien là dans une forme de fiction qui s'incarne par la magie de la techno-science, En ce sens, on peut parler d'un Grand Architecte de l'univers, d'un Deus Faber, un dieu "créateur" à l'insar des Elohim de genése I.(Six jours de la Création) jhb 22 04 24

jacques halbronn Réflexions autour de l'astrologie désoccultée d'Arthur le Bau (1993)

jacques halbronn Réflexions autour de " L'Astrologie désoccultée" d'Arthur Le Bau (1993) Nous entrons ici comme avec Didier Racaud et Pierre Heckel, grand habitué de nos colloques exposant sa "spirale évolutive" (cf notre étude), dans le courant néromanien, avec une préface de Max Duval qui nous a suivi dans nos recherches sur les maitrises planétaires (qui constitueront une partie de nos Clefs pour l'Astrologie), au début des années soixante -dix. Nous avons fréquenté l'auteur en 1986, quand il faisait partie du bureau du GERASH dont nous occupâmes la présidence et certaines réunions eurent d'ailleurs lieu chez Lui, à Paris, dans le quartier de Saint Germains des Prés. Un tel livre est foisonnant . On regrettera toutefois qu'il ne cite dans sa bibliographie ni nos Clefs pour l'Astrologie (1976), ni notre essai sur la Pensée Astrologique (1986). ni même Aquarius ou la Nouvelle Ere du Verseau (1979) alors même qu'il aborde le sujet (pp 153 et seq "1950, date d'entrée dans l'ère du Verseau") Le Bau se référe à Jean Charles Pichon "pp; 115 et seq), un des habitués des rencontres MAU. "Les "cycles du retour éternel de JC Pichon et les ères zodiacales" "Pour Pichon, écrit notre auteur " le parcour zodiacal du point vernal est une "machine à faire des dieux "comme le sommeil une machine à faire des rêves" De fait Le Bau voit dans cette "Grande Année" précessionnelle le déroulement d'un plan divin établi à l'intention de notre Humanité, reliant ainsi Astrologie et théologie, ce qui nous conviendrait assez même si nous pensons que ces sont les sociétés qui se sont conformés aux astres, qui les ont instrumentalisés (cf notre Essai de 1986) . Il est vrai que nous n'avions guère fait appel à lui lors de notre série de congrès parisiens entre 1975 et 1990. Il participa à celui de 1987 qu'il évoque. Commençons, au hasard par son chapitre "les statistiques sur les notoriétés professionnelles de Choisnard, Masson (sic, au lieu de Léon Lasson), les Gauquelin" (pp 83 et seq) Mais Le Bau ne semble pas avoir assumé pleinement l'élitisme sous jacent à de tels résulats bien qu'il se référe aux "notoriétés" car Gauquelin ne vient nullement valider le thème natal des astrologues mais bien une approche typologique et nécessairement réductrice, dans le bon sens du terme (cf nos récentes réflexions sur Abellio) Or, il est clair que Le Bau croit au thème natal individuel; ce qui n'est pas la tasse de thé de Gauquelin qui y verrait une extrapolation de ses résultats. Voyons à présent ce que Le Bau dit à propos de Dorsan, un habitué de nos Colloques.(pp; 194 et seq) au chapitre "Zodiaque : tropical ou sidèral?" L'auteur note que le sidéralisme de Dorsan se limite à un décalage de 24° et ne s'interesse guère aux constellations sinon par commodité. Or, nous avons pu observer qu'un tel décalage pouvait s'expliquer par un processus d'anticipation saisonnier à savoir que le changement de saison s'opére en signe mutable et non cardinal. Nous avons montré que les astrologues s'étaient servis des étoiles fixes pour situer les planétes sur l'écliptique et l'on peut alors parler d'instrumentalisation, c'est à dire simplement d'un point de vue visuel Abordons à présent la question des "directions' , en rapport notamment avec le "mouvement "du Fatum (le MC selon le jargon néromanien). la notion de prometteur et de significateur semble avoir échappé à l'auteur en ce qu'elle met l'accent sur une dualité celle du facteur actif mobile et du secteur passif ce qui exclue qu'il y ait autant de planétes opérationnelles que de signes ou de maisons en astrologie, JHB 22 04 24

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dimanche 21 avril 2024

jacques halbronn Astrologie. Au sujet de la dynamique équinoxiale et de sa datation

jacques halbronn Astrologie. Au sujet de la dynamique équinoxiale et de sa datation. En cette fin avril 2024, nous sommes au début d'une phase équinoxiale avec l'entrée de Saturne en Poissons et qui se conclura, grosso modo, avec la sortie de Saturne à la fin du Taureau,laissant alors la place à une phase solsticiale, en entrant dans le signe des Gémeaux, en 2030. Cette phase se caractérise par un décloisonnement tous azimuts, affectant tous les champs d'activité, tant politique que scientifique, unissant ainsi les diverses catégories socioprofessionnlles mise en avant par les statistiques Gauquelin en une seule et même dynamque. C'est le moment par excellence où il faut trouver et suivre les "bonnes personnes" pour accompagner une telle phase, en vue de véritables "Travaux d'Hercule". On aura compris que les frontières ayant cours en phase solsticiale ne sont plus vraiment de mise, d'où une grande liberté de mouvement, la pratique du "Blitz'.bousculant les "lignes Maginot" de toutes sortes, faisant sauter les verrous, ce qui augure de la conclusion d'alliances inédites, inouies, devenues impensables. On pense au pacte germano-soviétique du mois d'aout 1939 en plein milieu de phase équinoxiale. On n'y est pas encore et on n'assiste actuellement qu'à des prémisses. Le passage de Saturne sur l'axe Taureau Scorpion correspond à une sorte de paroxysme. Inversement, l'entrée de Saturne sur l'axe Gémeaux- Sagittaire déterminera une dynamique en sens inverse qui finira par accoucher des événements de 1989, lors du passage en capricorne et se prolongeant avec la dissolution de l'URSS, début Verseau (décembre 1991). On aura compris qu'il importe de bien maitriser un tel agenda si l'on veut éviter les déconvenus prévisionnellles! Il convient, en tout état de cause, que l'astrologie puisse annoncer la date du basculement d'une phase vers la suivante car celui-ci ne se comprend que par le biais d'une astrologie ayant retrouvé son équilibre et rien ne serait plus ridicule qu'un astrologue surpris par un nouveau cours des choses. Chaque phase s'achève sur un certain "raz le bol" plus structurel et intérieur que conjoncturel et extérieur. Cela signifie que l'on veut en finir d'où le recours à des solutions radicales. On pense à Hiroshima en 1945, la mise en oeuvre en 1942 de la Shoah n'étant qu'un apéritif à côté/ On brûle les ponts.. Sur le web " S’engager dans une affaire, dans une entreprise, de manière à s’ôter tout moyen d’y renoncer ou de s’en désister." On aura compris que déontologiquement, un astrologue "sérieux" se doit de voir toujours le coup d'après, c'est ce qui engage sa crédibilité. JHB 21 04 24

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samedi 20 avril 2024

jacques halbronn Astrologie Esotétiqie. Paradoxe. Chaque saison accouche de la suivante

jacques halbronn Astrologie Esotérique. Paradoxe: Chaque saison accouche de la suivante. A partir du moment où l'on accorde au cycle des saisons une place centrale, il importe d'en appréhender les particularités! On comprend miieux pourquoi nos travaux ont abouti à avancer le début des saisons astrologiques quand on prend conscience de ce que l'équinoxe débouche sur le solstice et le solstice sur l'équinoxe. En effet, en fin de saison, on parvient carrément au résultat inverse de celui affiché en début de saison et donc la fin de l'Eté, c'est déjà l'Automne, la fin de l'Hiver, c'est déjà le printemps et ainsi de suite Il y a 30 ans, dans notre Astrologie selon Saturne, nos "statistiques" mettaient en évidence, sur 200 ans environ, que c'était le passage de Saturne en poissons qui était déterminant, bien avant de passer en bélier, signe de l'équinoxe au même titre que la balance. Et l'on peut dire en sens inverse que l'arrivée de Saturne en Géméaux et en Sagittaire ouvre inaugure des périodes "solsticiales". C'est dire qu'il faut savoir lire les modéles et trouver le bon mode d'emploi, en tenant compte des glissements, des anticipations et des contradictions propres à toute cyclicité, On pense à l'ouroboros. sur le web " (Mythologie) Représentation d'un serpent ou d'un dragon qui se mord la queue que l'on retrouve dans de multiples cultures. (Sens figuré) Quelque chose qui revient sur lui-même, dont le développement amène à un retour à la situation initiale." Il est clair que si l'on devait s'en tenir aux seuls axes, on aurait en effet des définitions bien tranchées mais dès que l'on s'inscrit dans une certaine durée, tout se complique et l'équinoxalité se solsticialise et vice versa avec pour effet des erreurs fatales en matière prévisionnelle. Il est vrai que de nos jours, avec Barbault, on ne prend même plus la peine de préciser le sens des événements, en se contentant de donner des dates. Or, que vaut une astrologie qui ne saurait pas, ne prendrait pas la peine de distinguer entre le noir et le blanc, entre la nuit et le jour? S'en tenir à la symbolique zodiacale aura contribué à entretenir un tel flou car on ne raisonne pas avec la même acuité sur une base de 2 et une base de 12 facteurs, a fortiori quand les définitions des 12 signes n'ont pas d'ancrage marquant! On sait que nous avons adopté une démarche transdisciplinaire nous permettant de désenclaver l'astrologie en lui faisant parler un langage commun avec divers domaines. Nos travaux sur l'écrit et l'oral nous auront notamment enseigné qu'il fallait se méfier des lectures trop littérales et que l'on avait besoin de certaines clés pour décoder les documents, ce qui donne du sens au mot "ésotérisme". Il doit donc être clair pour tout le monde qu'à la fin d'une saison, on est déjà passé à la saison suivante au niveau de la dialectique diurne/nocturne! Que dire ainsi de la présentation d'un Jean Pierre Nicola! "L’ébauche du zodiaque photo-périodique est née de la représentation schématique des 4 saisons : un cercle blanc rayonnant pour le printemps, un cercle blanc pour l’été, un cercle noir rayonnant pour l’automne, un cercle noir sans rayon pour l’hiver. J’y voyais 4 Soleils qui se sont spontanément baptisés : Energie pour l’image du premier, Espace pour le deuxième, Temps pour le troisième et Structure pour le quatrième. Leur logique (cycle : ++, +-, -+, –) n’est apparue qu’après." Rappelons que " le calendrier chinois étant un calendrier luni-solaire, la date du Nouvel An chinois dans le calendrier grégorien varie d'une année sur l'autre, mais tombe toujours entre le 21 janvier et le 19 février, lors de la deuxième nouvelle lune depuis le solstice d'hiver quand le soleil se trouve dans le signe du Verseau. C’est, comme tous les commencements de mois lunaires chinois, le premier jour d'une nouvelle lune. Par convention, l'alignement astronomique qui signale la nouvelle lune est déterminé à l’observatoire de la Montagne Pourpre à Nankin" (wikipedia). Lisons ce qu'en écrit Patrice Guinard dans ses Avatars du Zodiaque astrologique (cf infra) L'on note un certain compartimentage dont nous avons montré qu'il pouvait nous égarer.en ce qu'il ne tient pas compte de l'interdépendance des saisons. "Le Zodiaque (...) est une réalité solaire, ou plutôt hélio-centrée. Chaque signe pourrait ainsi être défini comme le moment spécifique du parcours d'une planète donnée, projeté sur l'écliptique et mesuré par sa déclinaison, c'est-à-dire par sa hauteur par rapport au plan de l'équateur céleste. Cette déclinaison est nulle au début du Bélier et de la Balance, et maximale au début du Cancer et du Capricorne. De 0° Bélier à 30° Gémeaux, augmentation de la déclinaison qui est positive (Nord). De 0° Cancer à 30° Vierge, diminution de la déclinaison qui reste positive (Nord). De 0° Balance à 30° Sagittaire, diminution de la déclinaison qui devient négative (Sud). De 0° Capricorne à 30° Poissons, augmentation de la déclinaison qui reste négative (Sud). La sinusoïde qui suit illustre les quatre phases d'un zodiaque des déclinaisons annuelles du Soleil. [17] in Patrice Guinard, L'astrologie, TH D, 1993, p.31 Les déclinaisons des signes équinoxiaux (Bélier, Vierge, Balance, Poissons) varient fortement (de 11°28'), celles des signes médians (Taureau, Lion, Scorpion, Verseau) varient un peu moins (de 8°42'), celles des signes solsticiaux (Gémeaux, Cancer, Sagittaire, Capricorne) faiblement (de 3°16'). Ce zodiaque est universel, quelle que soit la latitude du lieu, en hémisphère Nord comme en hémisphère Sud. Il est préférable au zodiaque solaire saisonnier (dont la sémantique est étroitement dépendante du cycle des saisons), et légitime la pratique des astrologues argentins ou australiens, lesquels, en général, n'inversent pas les signes zodiacaux. [18] Pour chaque planète, on pourrait imaginer un zodiaque semblable, aux phases déterminées par la variation des déclinaisons, avec le 0° Bélier et son point opposé définis par les noeuds planétaires. On retrouve chez Didacus Placidus l'idée d'une quadripartition du cycle zodiacal conjugant les principes d'augmentation/diminution et de proximité/éloignement de la lumière (Tabulae Primi Mobilis, Padoue, Pauli Frambotti, 1657). "There is a formation of four conjugations of the manner of starry influence, viz. in the luminary's increase and near situation; in its near situation and decrease; in its decrease and distance; and in its distance and increase. By these conjugations are constituted four quarters." (Placidus de Titis, thèse 23 du Primum mobile, trad. angl. John Cooper, London, 1814; Bromley (Kent), Institute for the Study of Cycles in World Affairs, 1983, p.9) ; et dans la traduction de Claudine Besset-Lamoine: "La force influentielle des étoiles se conjugue selon quatre modes, c'est à dire l'augmentation de l'influx lumineux et sa proximité, sa proximité et sa diminution, sa diminution et son éloignement, son éloignement et son augmentation. Ces combinaisons constituent quatre quartes" (Primum mobile, Paris, FDAF, 1998, p.12). De 0° Bélier à 30° Gémeaux, augmentation de l'influx lumineux et proximité. De 0° Cancer à 30° Vierge, diminution de l'influx lumineux et proximité. De 0° Balance à 30° Sagittaire, diminution de l'influx lumineux et éloignement. De 0° Capricorne à 30° Poissons, augmentation de l'influx lumineux et éloignement. La quadripartition d'un zodiaque naturel et solaire, en rapport avec le lieu d'observation, n'était pas ignorée des Grecs : l'astronome Géminos de Rhodes note, deux siècles avant Ptolémée, que la différence de durée entre les jours et les nuits est positive pour six signes, négative pour les six autres, qu'il y a augmentation de la durée du jour pour six signes et diminution pour les six autres : "De plus, l'augmentation des jours et des nuits n'est pas égale dans tous les signes. Aux environs des points solsticiaux, elle est très faible. (...) Au moment des équinoxes en revanche, l'augmentation des jours est importante." [19] Ce schéma peut se généraliser à l'ensemble des planètes, et chaque zodiaque local organise les signes selon les variations annuelles des arcs diurne et nocturne de la planète considérée. Ainsi, à un moment donné et pour une latitude géographique donnée, pour chaque planète, il existe un rapport spécifique entre la durée de son arc diurne (sa durée de présence au-dessus de l'horizon) et la durée de son arc nocturne (sa durée de présence au-dessous de l'horizon). Ainsi, à Paris, le Soleil a un arc diurne d'environ 12 heures le 20 mars, d'environ 16 heures le 22 juin, de 12 heures le 23 septembre et de 8 heures le 21 décembre, date à laquelle l'arc diurne reprend le dessus sur l'arc nocturne et que les Romains célébraient comme la fête du soleil invincible (Sol invictus). Aux équinoxes les arcs diurne et nocturne solaires s'égalisent, au solstice estival l'arc diurne atteint son maximum et au solstice hivernal son minimum. La sinusoïde qui suit illustre les quatre phases d'un zodiaque fondé sur les différences annuelles de durée entre les arcs diurne et nocturne du soleil à Paris. in Patrice Guinard, L'astrologie, TH D, 1993, p.32 De 0° Bélier à 30° Gémeaux, croissance de l'arc diurne dominant. De 0° Cancer à 30° Vierge, décroissance de l'arc diurne dominant. De 0° Balance à 30° Sagittaire, décroissance de l'arc diurne récessif. De 0° Capricorne à 30° Poissons, croissance de l'arc diurne récessif. Ce zodiaque local peut être appelé "photo-périodique" (Nicola) en référence à la présence ou à l'absence de la source lumineuse planétaire au-dessus ou en-dessous de l'horizon. La lumière, solaire et directe, ou planétaire et réfractée, est le critère retenu en raison de sa régularité, contrairement à l'inconsistance des critères de nature météorologique, comme la chaleur. [Les viscissitudes de l'astrologie "classique" proviennent justement de sa servitude à la climatologie, à commencer par Ptolémée, et Kepler lui-même n'a pas réussi à y changer grand chose. En réalité la lumière n'est que le témoin repérable, la trace visible, d'une source agissante qui demeure à ce jour insaisissable par la mesure expérimentale. "La lumière, partie évidente du spectre solaire, ne sera que l'échelon visible d'influences plus vastes dont elle signale les périodicités." [ A l'instar du zodiaque des déclinaisons, le zodiaque local s'adapte à chaque planète et varie en fonction de l'inclinaison du plan de révolution de cette planète autour du soleil. Ainsi l'arc diurne d'une planète peut s'effectuer la nuit (pendant l'arc diurne solaire). Les zodiaques de chaque planète se superposent dans le thème, qui unit, par exemple, un hivernal par le soleil à un "estival" par Uranus. Les zodiaques planétaires locaux sont des modulations topocentriques des zodiaques des déclinaisons' Nous même avons mis beaucoup de temps à nous détacher d'une représentation trop schématique, abstraite, mathématique des saisons et la solution que nous avions trouvé de décaler les axes saisonniers ne convenait pas vraiment. Il valait mieux expliciter à quel point une saison finit par aboutir à l'effet inverse de ce qu'elle annonçait, tout comme l'accouchement n'est pas sur le même registre que l'accouchement. . A propos de la symbolique zodiacale, nous avions signalé l'erreur consistant à ignorer les effets des saisons sur les moeurs (cf les Très Riches Heures du Duc de Berry) On risque de mettre sur le compte du printemps, ce qui reléve déjà de l'Eté. Nous même, natif du sagittaire, nous sommes bien conscients de ce que ce signe est déjà un signe hivernal bien avant le solstice. JHB 20 04 24

vendredi 19 avril 2024

jacques halbronn Anthropolinguistique et Société. Le singulier et le pluriel, le masculin et lle féminin

jacques halbronn Anthropolinguistique et Société. Le singulier et le pluriel, le masculin et le féminin Selon nous, l'usage du masculin et du féminin comme celui du singulier et du pluriel est la marque d'un certain modéle d'organisation sociale. On a déjà traité de la question du genre. On abordera ici celle du nombre. Selon nous, le singulier concerne le langage du chef et le pluriel celui de la masse et il est clair que la masse doit subir une décantation pour parvenir à la singularité du capitaine (caput) Ce n'est que progressivement que la masse aura fini par s'octroyer l'usage du singulier, renonçant au nous et au vous pour le je et le tu. Le seul fait d'utiliser les mêmes termes que l'élite aura contribué à affirmer une certaine égalité. entre le haut et le bas, chacun prétendant pouvoir se servir de la première personne du singulier, ce qui esr un contre sens au regard d'une anthropolinguistique au même titre que la confusion entre le masculin et le féminin. C'est là toute la question de l'usage d'un même signifiant quand il est perçu comme référant à un même signifié. C'est ainsi que si deux personnes emploient le mot "dieu", on dira que cela renvoie nécessairement à une seule et même entité, ce qui est une prime à l'imitation et au mimétisme. JHB 19 04 24

jacques halbronn La méthode du puzzle linguistique: recoler les morceaux

jacques halbronn La méthode du puzzle linguistique : recoller les morceaux La connaissance d'un certain nombre de langues nous permet de reconstituer un état antérieur dont les éléments se sont éparpillés mais cela vaut aussi pour décloisonner telle ou telle langue. C'est ainsi que nous connecterons d'une part le français et l'anglais -mais pas seulement- au prisme du passage de l'écrit à l'oral mais aussi au sein même du français l'indicatif et le subjonctif, le premièr (type manger) et le second "groupe" (type écrire) mettant ainsi fin à divers cloisonnements qui tiennent plus à la diachronie qu'à la synchronie I les marqueurs de genre pour les participes et les adjectifs II le subjonctif complément de l'indicatif. Si l'on compare les deux groupes de verbes en français, on note que le second groupe aura conservé la consonne finale des participes passés (écrit) alors que le premier aura opté pour le e accentué se substituant à la consonne finale : j'ai mangé versus j'ai écrit, ce qui donne au féminin mangée et écrite. Cette forme "mangée" aura succédé à 'manged/e et dans ce cas les deux groupes se retrouvent sur la même longueur d'ondes. Mais le probléme du premier groupe ne se limite pas à ce traitement malheureux du féminin du participé passé - alors que pour le participe présent en "ant" son traitement est équivalent pour les deux groupes :saignant/e; finissant/finissante. En effet, le premier groupe ne marque pas de différence entre l'indicatif présent et le subjonctif présent: je mange, que je mange alors que le second groupe distingue nettement les deux formes: j'écris, que j'écrive, je sors, que je sorte etc Notamment, l'on relévera que le présent singulier du premier groupe ne distingue pas les genres, je chante M et F. En fait, le subjonctif pourrait être considéré comme une forme féminin en ce qu'il est plus long que l'indicatif - critère que nous avons déjà exposé ailleurs- (que) j'écrive est plus long que j'écris, (que) Je suive, plus long que je suis etc On pourrait donc décider d'utiliser "j'écrive" comme le féminin de j'écris, à l'indicatif tout comme "je sorte" comme le féminin "je sors". II les marqueurs de genre pour le participe "futur" en "ble" Nous appelons participe futur, un participe du troisiéme type que nous plaçons vis à vis de signifiant et signifié en tant que "signifiable", condition préalable. On observe que ce "participe futur" ne marque pas le genre à l'oral du français actuel. Or, l'anglais apporterait ici une solution en ce qu'il prononce "possible" , écrit à l'identique, comme étant "possibele", ce qui est plus long surtout si l'on s'en tient à la prononciation contractée à la française "possibl''/ Autrement dit, toutes les formes en "ble" seraient prononcée pour le féminin à l'anglaise et pour le masculin à la française. On retrouve d'ailleurs, selon le modéle ternaire (long/bref/long) exposé ailleurs, le substantif : possibilité, la forme courte étant encadrée par deux formes longues En ce qui concerne le participe présent (gérondif), l'anglais dispose du suffixe "ing" lequel comporte une possibilité de diphtongaison tout comme d'ailleurs l'allemand avec "end" ou l'espagnol avec 'ando" alors que le français use da la forme "ant" qui est genrée (ant/ante). Normalement, seule le masculin est voué à la diphtongaison, la place du "e" après la consonne finale devant dissoudre la dite diphtongue comme bonne/bon ou si l'on préfére, c'est la disparition du e qui permet l'abréviation puisque nous avons montré que l'on passait du féminin au masculin et non l'inverse comme c'est trop souvent enseigné. En ce sens, la forme anglaise ing devrait être diphtonguée au masculin comme dans "soin", "loin" etc en franças et se prononcer "ing" mais avec une finale en "e"; JHB 19 04 24

jacques halbronn Linguistique compatée L'esotérisme de la prononciation de l'écrit français

acques Halbronn Linguistique comparée L’ésotérisme de la prononciation de l’écrit français La langue française comporte une dimension initiatique qui passe par l’apprentissage de combinatoires de voyelles d’une part, de consonnes de l’autre. Et l’on voit que les langues qui empruntent au français ou les locuteurs étrangers qui veulent parler cette langue buttent sur la réalisation des dites combinatoires. C’est ainsi que l’anglais ne parvient pas à prononcer « possible » ou « centre » qu’il va rendre sous la forme orale ou écrite « possibel » (à la place de possible), « center » (à la place de centre) Cela correspond à des marqueurs de genre que le français d’ailleurs n’exploite plus correctement d’où le caractère prétendument neutre de « possible » alors que « possibel » est féminin et possible masculin, ce dernier étant plus bref et c’est cette réduction qui exige un certain entrainement Cette série en « ble » correspond à ce que nous appelons « participe futur ». Quant à l’allemand, dans ses emprunts au français, il va buter sur les diphtongues, le « un » du français est à opposer au « ein » de l’allemand lequel ne parvient pas à éliminer à l’oral le ‘n » et est contraint par marquer le genre à prononcer le « e » final -eine’ ce qui est un contre sens puisque, en français, le e final ne s’entend pas et permet de réaliser la consonne finale : grande/grand, là encore on voit que le masculin est plus ramassé, plus contracté, que le féminin. Il apparait que certains codes se sont perdus en route et que pour les réactiver l’on aura recouru à des surmarqueurs comme l’apostrophe et l’accent mais aussi au double ll venant s’intercaler entre le I et le E (mouie /mouille) ou le Y qui remplace le IE comme on le voit en anglais avec city retrouvant au pluriel le IE avec cities Le français joie, donne joyeux et l’anglais le rend par « joy »

jacqiues Halbronn Abelllio n''a pas compris le principe de réduction ...

jeudi 18 avril 2024

jacques halbronn Réflexions autour d'une préface de Raymond Abellio à un ouvrage d'astrologie

jacques halbronn Réflexions autour d'une préface de Raymond Abellio à un ouvrage d'astrologie En 1977 parut chez Dervy (Collection La Roue Céleste") "l'Astrologie rencontre la Science" de Jean Barets avec une préface d'Abellio (pp; 7-11). En 1979, nous avions fait paraitre dans Aquarius ou la Nouvelle Ere du verseau (ed Albatros), un entretien qu'Abellio nous avait accordé. l'ouvrage de Barets traitait d'une certaine approche statistique de l'astrologie. Pour Abellio, cela doit "servir à des fins de vérification et non de découverte". Faut il comprendre qu'il y aurait un savoir astrologique opérationnel institué à valider et non pas une théorie venant s'appliquer à partir d'observations sur le terrain? Pour Abellio, le foisonnement des données brassés par l'astrologie serait le garant même de sa vocation. Rappelons qu'André Barbault avait publié en 1955 sa Défense et Illustration de l'Astrologie, aux Ed. Grasset, dans une collecion dirigée par le dit Abellio. Dans de La Psychanalyse à l'astrologie (Ed Seuil, 1961); Barbault détermine la vocation de l'astrologie personnelle à l'aune d'un tel foisonnement , comme si l'infini de l'astronomie et donc de l'astrologie devait conduire a explorer l'infini de la psyché humaine/ Abellio met en garde contre toute approche réductionniste que favoriserait l'usage de la statistique alors que, précisément, pour nous, le salut de l'astrologie passe justement par une telle décantation, à l'instar du travail d'un Michel Gauquelin! 18 04 24

jacques halbronn Anthropolinguistique. L'astronomie féminine, l'astrologie masculine

jacques halbronn Anthropolinguistique. L'astronomie féminine, l'astrologie masculine Nos travaux d'ordre linguistique auront mis en évidence une certaine alchimie, consistant en un processus de décantation, de "réduction", d'abréviation comme la production de diphtongues. Or, il apparait que les rapports entre Astronomie et Astrologie peuvent tout à fait être analysés, décryptés à partir d'un tel modéle, ce que les historiens de l'astrologie, dans leur immense majorité devraient tôt ou tard finir par intégrer. Ceux -ci nous expliquent que l'astronomie est venue enrichir l'astrologie du fait de ses découvertes (cf Rencontre avec Frédéric Louvet pp. XXIX Les dossiers de l'Histoire, 1985 sur l'Astrologie. 1986) Nous dirons que l'astrologie est à considérer comme une lecture de livre ouvert qui obéit aux régles de la linguistique telles que nous les avons définies; A savoir, au commencement, comme dit le livre de la Genése, un matériau (tohubohu) demandant à être structuré, modelé. Ne pas comprendre cela, c'est assimiler l'oral à l'écrit, alors que l'oral est la transcendance de l'écrit, sa sublimation. On lit trop souvent sous la plume d'astrologues "sérieux", qu'il faudrait ne rien "jeter" de ce qui s'offre à nous au niveau cosmique, s'engager à tenir compte de tout ce qui nous est donné à voir, tant à l'oeil nu que par le biais de la lunette ou du télescope. D'où le mépris affiché à l'encontre de ceux qui oseraient simplifier, donc appauvrir, le clavier céleste alors même que les astronomes s'offriraient à l'étendre indéfiniment. Ces bonnes âmes ne comprennent pas à quel point elles font fausse route et nuisent terriblement à la cause astrologique de la même façon que ceux qui n'ont pas appris à respecter l'écrit de la langue française pour en tirer la substantifique moelle. Sur le web: "Extraire « la substantifique moelle » de quelque chose, c'est en retenir ce qu'il y a de meilleur, de plus précieux ou de plus profond". C'est donc séparer le bon grain de l'ivraie/ En ce sens une astrologie qui ne garderait comme moteur qu'un seul et unique astre obéirait à cette logique de la décantation qui sous -tend le systéme électoral, passant du quantitatif au qualitatif, ce qui est aussi la question de la Royauté, d'un Jésus entouré de ses apôtres; De nos jours, les astrologues traitent le soleil comme un astre parmi d'autres, lui accordent un signe zodiacal comme aux autres. Enorme contre-sens! JHB 18 04 24

Jacques halbronn Psychosociologie. Le démon de la liberté et les invertis

jacques halbronn Psychosociologie Le démon de la liberté et les invertis La problématique sensorielle est un marqueur social fondamental au prisme de l'anthropolinguistique en ce que cela distingue très nettement les hommes et les femmes, tout en mettant en évidence un troisiéme type "neutre" qui couvre le monde des "invertis". L'homme inverti est marqué par un "ça" féminin, avec une liberté de parole et un manque de (re)tenue, un laisser aller caractéristique du ça de l'ouie et de la vue.. En revanche, son rapport à la propreté du corps et du vetement sera impacté par le Surmoi de l'odorat et du toucher propres aux femmes. En ce qui concerne le toucher, il ne faut pas compter sur l'homme inverti pour agir librement, sans prévenir, sans s'assurer du consentement de la femme, en raison d'une certaine timidité. Autant de points qui seront perçus comme positifs par les femmes qui se plaignent tant du viol et des odeurs de mâles! Cet homme inverti sera mal vu par ses congénéres "normaux" et aura tendance à faire groupe avec ses pareils vu que ses manières ne plaisent guère à ces derniers. Cet homme sera mieux en phase avec des femmes "normalement" constituées. Quid de la femme invertie? Elle sera appréciée par les hommes "normaux" en ce qu'elle n'a pas les défauts des femmes "normales". Elle ne laisse pas libre cours à sa parole et elle n'est pas trop maniaque côté propreté. En ce sens, les femmes "normales" ne l'apprécieront guère. C'est dire que les libertés des uns ont un effet répulsif et se heurtent à des allergies sensorielles si bien que le couple nous apparait comme la solution idéale pour les invertis dans les conditions exposées plus haut. JHB 18 04 24

jacques halbronn Linguistique comparée . L'ésotérisme de la prononciation de l'écrirt français

jacques Halbronn Linguistique comparée L'ésotérisme de la prononciation de l'écrit français La langue française comporte une dimension initiatique qui passe par l'apprentissage de combinatoires de voyelles d'une part, de consonnes de l'autre. Et l'on voit que les langues qui empruntent au français ou les locuteurs étrangers qui veulent parler cette langue buttent sur la réalisation des dites combinatoires. C'est ainsi que l'anglais ne parvient pas à prononcer "possible" ou "centre" qu'il va rendre sous la forme orale ou écrite "possibel" (à la place de possible), "center" (à la place de centre) Cela correspond à des marqueurs de genre que le français d'ailleurs n'exploite plus correctement d'où le caractère prétendument neutre de "possible" alors que "possibel " est féminin et possible masculin, ce dernier étant plus bref et c'est cette réduction qui exige un certain entrainement Cette série en "ble" correspond à ce que nous appelons "participe futur". Quant à l'allemand, dans ses emprunts au français, il va buter sur les diphtongues, le "un" du français est à opposer au "ein" de l'allemand lequel ne parvient pas à éliminer à l'oral le 'n" et est contraint par marquer le genre à prononcer le "e" final -eine' ce qui est un contre sens puisque, en français, le e final ne s'entend pas et permet de réaliser la consonne finale : grande/grand, là encore on voit que le masculin est plus ramassé, plus contracté, que le féminin. Il apparait que certains codes se sont perdus en route et que pour les réactiver l'on aura recouru à des surmarqueurs comme l'apostrophe et l'accent mais aussi au double ll venant s'intercaler entre le I et le E (mouie /mouille) ou le Y qui remplace le IE comme on le voit en anglais avec city retrouvant au pluriel le IE avec cities Le français joie, donne joyeux et l'anglais le rend par "joy" JHB 18 04 24

mercredi 17 avril 2024

jacques halbronn Réflexions sur un premier jet de sa thèse de linguistique (Université Paris V' " Erreurs populaires et représenttatisons linguistiques (1985

Jacques halbronn Réflexions sur un premier jet de sa thèse de linguistique (Université Paris V) "Erreurs populaires et représentations linguistiques (1985) sous la direction de Louis -Jean Calvet Nous écrivions, il y a une quarantaine d'années en préambule de ce mémoire tapé à la machine: " Il nous apparait que la langue est le lieu par excellence de la confrontation entre culture populaire et culture savante;, entre les pratiques et les représentations linguistiques et les descriptions et lois du grammairien (..) Nous nous efforcerons de faire apparaitre cette démarche fondée sur l'erreur plus que sur une structure paradigmatiques initiale à l'occasion des emprunts linguistiques". Cela faisait suite à notre DEA soutenu en 1981, à L'Université Lille III (Villeneuve d'Ascq) à propos des traductions du français vers l'anglais. (cf Autour de la traduction anglaise des Jugements Astronomiques sur les Nativités (1550) d’Auger Ferrier,) Est ce que lorsque nous amorçames un tel travail, nous avions pris la mesure du sujet au regard de la dialectique de l'écrit et de l'oral. La notion d'erreur qui sera mise en avant concernait-elle à l'époque la transmission des codes de prononciation de l'écrit vers son passage à l'oral? Est ce que l'emprunt tel que nous l'envisagions était tributaire de la dite transmission? Certes, notre connaissance de l'hébreu ne pouvait nous éviter d'aborder la dialectique consonne /voyelle On connait le cas de la prononciation du tétragramme./ Nous n'avions notamment pas saisi l'apport de l'anglais dans la reconstitution de l'oralité du français, ce qui aurait pu passer pour une gageure du fait de l'absence d'enregistrement de l'oralité jusqu'au XIXe siècle. Nous notions déjà que "l'emprunt est beaucoup moins modifié par la langue qui opère qu'on a pu le dire. S'il l'est, ce n'est pas par un acte délibéré mais en raison d'une analyse défectueuse de la langue préteuse ou parce que la langue préteuse a évolué par la suite" N'était ce point là le point aveugle de la phonologie? Nous n'avions pas compris, alors, que dans bien des cas, l'écrit avait pu s'aligner sur l'oral et que cet entre deux était à la fois une aide et une complication du fait que cela constituait une forme de corruption susceptible d'égarer le chercheur qui aurait par trop investi sur le référentiel écrit. Il est clair que l'écrit ne nous dit pas comment on doit le prononcer, ne nous révéle pas son mode d'emploi d'où l'importance, comme l'avait compris Champollion, de s'aider de l'oral (en l'occurrence le copte)pour décrypter l'écrit. On peut certes être tenté de penser que l'on passe de l'oral à l'écrit puisque l'on parle sa langue "maternelle" avant de savoir lire, ce qui minimiserait d'autant la question des codes de prononciation mais justement, il s'agit de connecter la doxa de l'oral et celle de l'écrit en un seul et même ensemble. En revanche, pour une langue apprise scolairement, le contact sera d'un autre ordre, moins structuré, plus aléatoire, avec une perception plus vague des connexions. Nous exposions ainsi notre méthodologie "Il existe plusieurs façons de distribuer, de dispatcher un lexique. Nous voudrions en faire l'inventaire; On peut les mots autour d'une racine commune. On peut regrouper les mots qui ont le même préfixe ou un même suffixe ou plus simplement une même terminaison On peut regrouper les mots qui ont le même sens On peut regrouper les mots qui ont la même fréquence d'emploi On peut regrouper les mots qui sont "assortis", c'est à dire que l'on tend à utiliser de concert "Sur ces cinq cas, ajoutions-nous, deux sont généralement considérés par les linguistes :les racines, les parentés sémantiques; les trois autres nous semblent impliquer quelque explication; Le regroupement suffixal peut sembler assez superficiel puisqu'il ne touche pas au corps du mot. Or,dans le cadre de la dynamique des emprunts, le suffixe l'emporte souvent sur les autres critères qui sont trop savants pour le locuteur qui, soit ignore la linguistique, soit ne se doute pas de la complexité et de la richesse de la langue à laquelle il emprunte. En ce qui concerne la fréquence de l'emploi, nous pensons que tous les mots n'ont pas le même poids. Il y a des mots qui reviennent constamment et d'autres épisodiquement. Il n'est pas indifférent quand quand on souhaite appréhender l'ampleur des emprunts au sein d'une langue de travailler sur leur fréquence et sur leur proportion au sein de ce groupe particulièrement actif. Enfin, par mots assortis, nous entendons des termes appartenant, bien que très divers sur le plan sémantique (..) à un même registre de langage; familier, oral, écrit, agressif, conciliant,argotique, raffiné etc/ Au niveau des emprunts, il peut être intéressant de déterminer quels sont les niveaux de langue les plus atteints. Nous somme, dans ce dernier cas; dans le domaine sémiologique. Nous remarquerons ainsi que lorsque que plusieurs mots comportent le même suffixe, l'acclimatation de nouveaux mots ayant le même profil en sera facilitée d'autant, ce qui vaut pour les immigrés qui s'intégreront d'abord par le biais de leurs semblables. " Comment, demandions-nous; distinguer au sein d'une langue donnée ce que nous nommerons "empruntéme" et ce qui est "radicéme", c'est à dire constitue le fons de cette langue?" nous concluions :" tout se passe comme si le français était perçu comme étant "universel",parfaitement adaptable à n'importe quelle langue" Nous relevions que "le français et l'anglais offrent beaucoup plus de points communs, c'est à dire de signifiants identiques sur le plan (ortho)graphique notamment que le français et une autre langue latine" Nous avancions en distinguant entre 'langues saines et langues malades". JHB 17 04 24

Jacques halbronn Réflexions autour de Fascinante Astrologie de Denis Muller (Ed Labor et Fides, 1990)

jacques halbronn Réflexions autour de Fascinante Astrologie de Denis Müller (Ed Labor et Fides 1990) L'ouvrage émanant d'une mouvance protestante, parait au lendemain de la sortie du nouveau Que Sais je sur l'astrologie, ouvrage confié par les PUF à Suzel Fuzeau Braesch. Le mot "fascination" Elisabeth Teissier reprendra la dialectique Fascination - rejet.(L'Homme d'aujourd'hui et les astres : Fascination et rejet, Plon - 2001. Selon nous, il importe de dissocier l'enjeu théologique et l'enjeu proprement astrologique. L'on peut ainsi tout à fait accepter que l'astrologie en tant fasse partie d'un plan divin sans pour autant valider ce qu'elle est devenue. Evitons donc tout amalgame! Une théologie fondée sur la Création du Ciel et de la Terre est une chose, la question de la valeur de l'astrologie en est une toute autre. Le tort de l'auteur est de mettre la charrue avant les boeufs en partant (p. 11) d'entrée de jeu, de ce qu'est l'Astrologie (avec un grand A). Dans sa "conclusion" l'auteur nous rappelle que son "but étaur de comprendre et d'évaluer théologiquement l'astrologie sous les différentes formes où elle se présente à nous aujourd'hui' Or, il semble que la question de la dialectique Ciel Terre ne soit pas au coeur de la théologie de Denis Muller comme elle devrait l'être pour un lecteur de l'Ancien Testament et notamment du Récit de la Création. L'auteur propose de "relancer l'interrogation sur la pertinence du christianisme contemporain" (p. 102) mais il se heurte au statut accordé à la "Nature" alors que l'Astrologie reléverait, selon nous, d'une SurNature, ce qui impliquerait l'idée d'un Dieu non réductible au "Premier Mobile" mais non plus identifiable à cet humain que reste Jésus. Entre ces deux extrémes, il y a la place du Démiurge, d'un dieu ayant élaboré le systéme dont l'Astrologie traite, à savoir un rapport entre les astres du systéme solaire et les hommes terrestres. Il y a là un point aveugle de la théologie chrétienne qui hypothèque la démarche de cet auteur, autour de la question de la "Nature". Müller aborde en fait l'astrologie comme une langue qu'il s'agit d'apprendre : le probléme de la traduction se pose à deux niveaux: traduire depuis l'astrologie ou bien vers l'astrologie. (cf notre brochure 'L'astrologue face à son client, Les ficelles du métier, 1994, Egalement en traduction anglaise sur le web). Nous avons consacré de nombreux travaux à la question des langues et l'astrologie fait partie de notre corpus. Mais il existe plusieurs façons d'aborder les langues: l'on peut décrire les pratiques en usage chez les locuteurs ou bien l'on peut s'interroger sur la systémique qui les sous tend, laquelle a fort bien pu être corrompu du fait d'emprunts, de calques de toutes sortes, ce qui génére du syncrétisme dont l'astrologie n'est pas épargnée. Il est clair que Denis Müller reléve d'une démarche de type ethnologique et que sa critique ne consiste nullement à restaurer une astrologie première mais bien au contraire à en signaler toutes les dérives en s'intéressant d'ailleurs aux auteurs les plus divers, de Michel Gauquelin à Daniel Verney, de Catherine Aubier à Eisabeth Teissier. (pp. 107--108) en négligeant de signaler nos Clefs pour l'Astrologie (Ed Seghers 1976), une des rares publications dans une collection encyclopédique, comme y parviendra Suzel Fuzeau Braech avec les Ed Presses Universitaires de France, Collection Que Sais-je en 1989. JHB 16 04 24

jacques halbronn Astrologie. Les trois crises de Berlin 1948, 1961, 1989 en phase solsticiale.

jacques halbronn Astrologie Les trois crises de Berlin, 1948, 1961, 1989 en phase solsticiale Nous avons déjà déploré chez André et Anne Barbault le peu d'attention portée à l'année 1961 tant avant qu'après les événements, ce qui est d'autant plus étonnant au prisme de ce qui s'est passé en 1989 puisque dans les deux cas, Berlin était en cause: sa construction et sa destruction. Même au lendemain de la double crise Berlin-Cuba des années 1961-62, Barbault ne s'y référait point dans sa Crise Mondiale (Ed Albin Michel) annonçant une "crise "autrement plus grave comme s'il avait voulu minimiser celle qu'il n'avait pas vu venir (cf les Cahiers Astrologiques). En 1967, quand il propose son "indice cyclique", il ne reléve pas que cette crise ne colle pas avec son graphique puisqu'elle se situe dans sa montée et non dans sa descente.Et au lendemain de 1989, avec la nouvelle crise berlinoise, Barbault n'envisage aucun paralléle alors que dans les deux cas, l'URSS est impactée d'une façon ou d'une autre. Il est vrai que le cycle Saturne-Neptune n'est pas pertinent en 1961-62 alors qu'il semble l'être pour 1989-1991 comme si le chercheur en astrologie ne voulait retenir que ce qui correspondait à son modéle. Or, si l'on s'en tient aux cycles basiques qui sont "sidéraux" (conjonction planéte -étoile fixe) alors que les autres combinatoires sont légion, force est de constater que Saturne se trouve dans les mêmes (dis)positions, ce qui aurait dû, tout de même, interpellé Barbault, à savoir dans le signe du capricorne (solstice d'hiver). Dans les trois cas, l'URSS sera tenue en échec. "Le blocus de Berlin est l'une des toutes premières crise de la guerre froide. Elle en est aussi la plus grave, jusqu'à ce qu'une seconde crise à Berlin (1958-1961) — conclue par la construction du mur —, puis la crise des missiles de Cuba (1962) plongent à nouveau le monde dans la crainte de la guerre et de l'holocauste nucléaire." Le blocus de Berlin (juin 1948) - qui sera neutralisé par les "ponts aériens" a lieu alors que Saturne se trouve en Lion, en fin de phase solsticiale (selon l'Astrologie EXOLS) donc dans le même type de phase qu'en 1961 et 1989. Graphe de l' Indice cyclique: C'est d'ailleurs, à la même époque des années 1961-62 que la France "perdra" l'Algérie.(Accords d' Evian) entre autres. Rappelons que la phase solsticiale est une réaction contre tout démarche "impériale" d'expension des frontières, de suppression des clivages. C'est ainsi que le blocus de Berlin de 1948 était lié à une volonté d'unifier les zones des alliés occidentaux à Berlin par une monnaie commune. JHB 17 04 24

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mardi 16 avril 2024

jacques halbronn Deux astrologies complémentairs, celle de l'écliptique et celle du mouvement diurne

jacques halbronn Deux astrologies complémentaires: celle de l'écliptique et celle du mouvement diurne. Cette complémentarité doit être approfondie et dialectisée en évitant de se laisser influencer, par trop, par le passage d'une Ancienne Alliance vers une Nouvelle Alliance tel qu'exposé dans le Livre du Prophété Jérémie. (repris dans l'Epitre aux Hébreux, dans le canon du Nouveau Testament) car il s'agit là d'une approche anarchisante préconisée par les tenants du Royaume d'Israel, largement responsables du texte de l'Ancien Testament. En fait, on n'est pas ici face à un processus diachronique mais synchronique. On aurait ainsi d'une part une astrologie du temps, axée sur l'écliptique et une autre de l'espace, axée sur le mouvement diurne, la briéveté du passage d'un astre au cours d'une journée ne pouvant que renforcer le paramétre spatial avec un découpage en types planétaires, comme le propose Gauquelin.L'autre astrologie, quant à elle, développe un tout autre rapport au temps, sur la longue durée; comme ces périodes de 7 ans qui sont selon nous l'unité de mesure de l'Astrologie (et non pas l'année, même si le cycle des saisons est ici structurant). Les concepteurs "divins" de ce double systéme - les Elohim-(Genése I,1) auront joué sur les deux tableaux: une structuration du temps social et une structuration de l'espace social. Dans le premier cas, il importe que l'Humanité puisse suivre le plan divin se déroulant dans le Ciel en toute visibilité. Dans le second cas, ce qui compte c'est le déterminisme tempéramental qui se manifeste par les dons accordés dès la naissance et dont l'épanouissement sera à observer. Autrement dit, un double impératif, celui de l'observation de ce qui se trame en haut dans le Zodiaque, sur une base septénnale et de ce qui se joue en bas, dans les "Maisons astrologiques", au cycle quotidien.. JHB 16 04 24

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lundi 15 avril 2024

jacques halbronn Dialectique du chef/pasteur et du troupeau. L'unique et le semblable.

jacques halbronn Dialectique du chef /pasteur et du troupeau: l'unique et le semblable Désormais, on nous trie - grâce à l'AI - les appels, on repère les spams en constatant leurs similitudes. On pourrait qualifier les propos répétitifs copiés les uns sur les autres Inversement, les messages vraiment originaux seront de plus en plus signalés comme tels. Autrement dit, la masse se caractérise par son uniformité, ses répétitions, ce qui a l'avantage de signaler ce qui n'en fait pas partie, s'en démarque. Nous serons bientôt équipés de détecteurs qui nous inviteront à nous épargner d'avoir à entendre ou à lire des banalités, des lieux communs et autres clichés. Paradoxalement, les personnes les plus créatrices, novatrices devraient sortir plus facilement, plus rapidement, du lot, du rang, du "troupeau" dès lors que les plus médiocres se neutraliseront mutuellement. En ce sens, l'homme ordinaire a pour pire ennemi sa copie conforme! On classera les gens en deux ensembles de taille et d'envergure bien différente. D'une part, ceux qui répétent ce qu'ils ont entendu plutôt que de s'exprimer de façon vraiment personnelle, qui ne cessent de se référer à un certain nombre d'auteurs faisant autorité et forcément, (se) partageront les mêmes références aisément détectables et de l'autre, ceux qui ont élaboré une pensée propre- dans tous les sens du terme, donc bien plus difficiles à "classer". C'est d'ailleurs, cette même masse d'individus lambda qui sera victime des progrès de l'AI (tchat GPT) La meilleure solution pourrait être celle de la "secte", c'est à dire le choix de quelque gourou que l'on contribuera à faire connaitre, non pas une personnalité du passé mais du présent, que l'on peut suivre physiquement. Il en est ainsi en musique: il n'y a guère de mérite à applaudir des oeuvres hyper connues et reconnues. C'est ce qu'on appelle aller au secours de la victoire. Car le chef a besoin qu'un troupeau se constitue, se construise autour de lui: on pense à Jésus annonçant l'édification de son "Eglise" et c'est précisément en y parvenant qu'il se conforte dans sa mission de chef (de parti), ici et maintenant. JHB 15 °4 24

jacques halbronn L'individuel et le thème natal et l'incapacité à capter ce qui est commun

jacques halbronn Astrologie/ L'individuel et le thème natal et l'incapacité à capter ce qui est commun. Pour paraphraser Blaise Pascal, nous serions écartelés entre deux infinis, l'infiniment grand et l'infiniment petit. (Pensées) Il nous apparait que la plupart des gens vivent leur Humanité dans l'infiniment petit, c'est à dire au niveau de l'individu, ce qui ne peut être "divisée , davantage. Et l'astrologie généthliaque reléve d'une telle perception du monde qui se perd dans les détails sans accéder à une vision d'ensemble, par manque de connectivité. Il est plus facile de dire ce qui diffère entre deux objets que de déterminer leurs convergences par delà les diversités de surface. La solution de facilité tiendrait donc à se satisfaire d'un constat de différence dès lors que deux objets ne seraient pas strictement identiques, carrément superposables! C'est ainsi que d'aucuns auront beau jeu de souligner ce qui sépare et de fustiger toute forme de classification laquelle certes distingue les groupes entre eux mais en même temps en rapproche les membres. On connait la polémique lancinante entre les tenants du thème astral et ceux qui entreprennent de décrire des types, des tempéraments planétaires -comme Gauquelin - ou zodiacaux.(médias) Tout se passe comme les humains n'avaient pas tous les mêmes "lunettes", ce qui se répercute dans le champ de la Recherche Astrologique. Epistémologiquement, ces deux idées, approches de l'astrologie déterminent des positionnements nettement opposés au point que nous aurions bel et bien affaire à deux types d'astrologies tant et si bien que parler de l'Astrologie au singulier est un mauvais procés/procédé visant à compromettre délibérément une astrologie statistique en mettant en avant une astrologie du thème "personnel". Il est vrai que le thème personnel est une source de revenu tant au niveau de l'enseignement(apprendre à décoder une carte du ciel) que de la consultation (parler de ce que l'on ne connait pas)! Bien pis, l'astrologie générale par opposition à la généthliaque exposerait tôt ou tard à l'échec tant il est aisé de montrer ce qui diffère entre ce qui a été prévu et ce qui a eu lieu!En coupant les cheveux en quatre, il est toujours possible de pinailler dans l'hypercritique quand la méthode suivie ne nous convient pas et les astrologues ne se privent pas entre eux de ces crocs en jambes . Inversement, l'astrologie individuelle est bien armée pour trouver une explication en cas d'échec, en faisant intervenir tel ou tel facteur oublié, négligé. JHB 15 04 24

jacques halbronn Psychosocologie de la "chefferie": nécessité de se t...

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jacques halbronn L'astrologie reléve d'une Sur Nature, le Dieu des Hébreux (Ancien Testament) a , seul, une réalité objective

Jacques halbronn L’astrologie reléve d’une SurNature, le Dieu des Hébreux (Ancien Testament) a, seul, une réalité objective. C’est une grave erreur stratégique que de vouloir inscrire l’Astrologie dans le champ de la Nature, tout comme de faire du Dieu de l’Ancien Testament l’auteur de la dite « Natura ». Car qualifier de Nature ce qui tient à la SurNature, revient à nier le rôle de cette Création telle que décrite au tout début du Livre de la Génèse. Grâce à l’astrologie, il nous est possible de rendre au Dieu de la Genése toute sa place dès lors que l’on reconnait que l’Astrologie est une construction par dessus la Nature, une instrumentalisation. Certains diront que toute construction est « humaine » alors que pour nous l’Astrologie en tant que connexion entre le Ciel et notre Terre, notre Humanité, est « sur-humaine », ‘sur-naturelle ». En ce sens, nous dirons que le seul Dieu qui ait une vraie réalité objective est ce Dieu de la Genése, du Beréshit, alors que les autres dieux n’auraient qu’une réalité subjective dépendant de ceux qui veulent bien y croire. Il y a une tendance assez vicieuse consistant à célébrer « Dieu » comme l’auteur de la Nature (cf le Deus sive Natura de Spinoza), ce qui revient à nier l’existence de cette Sur-Nature divin relevant ni de la Nature, ni de la Culture, mais de la Technique (Deus Faber, démiurge) Dire que notre Ciel, notre Terre, notre Humanité sublunaire reléve de la Nature, revient à nier le rôle de ce Dieu s’étant donné pour mission de reformater cette petite partie de l’Univers qui est la nôtre. D’ailleurs, vouloir inscrire l’Astrologie dans le champ de la Nature n’aura guère été une réussite car elle reléve d’une autre dimension qui n’est éclairée que par une relecture du premier chapitre du Livre de la Génése, véritable clef de l’Astrologie. JHB 15 04 24

dimanche 14 avril 2024

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jacques halbronn Réflexions autour de 'La Vérité sur l'Astrologie" de Jacques Reverchon

jacques halbronn Réflexions autour de" La vérité sur l'Astrologie" de Jacques Reverchon (Ed des Cahiers Astrologiques 1978 Il s'agit pour Reverchon dont nous avions fait la connaissance chez Volguine, à Nice, à la fin de 1975, de traiter de l'Astrologie généthliaque. On est en face d'un commentaire des résultats Gauquelin comme celui que nous effectuerons en 1986 dans "la pensée astrologique" (in L'étrange Histoire de l'Astrologie par Serge Hutin. Ed Artefact) L'auteur passe allégrement des résultats statistiques de Gauquelin à l'usage des aspects entre planétes qui n'en fait point partie et il obtient des résultats pas forcément très concluants, ce qui le conduit à douter de l'intérêt de partir de groupes socio-professionnels bien définis mais aussi de recourir à un critère de réussite sociale. Reverchon, au final, regrette qu'il ne soit pas consacré de budget significatif à la question astrologique en comparaison des dépenses vouées à d'autres domaines. Nous ne suivrons pas l'auteur sur ces différents points, étant hostile aux combinatoires entre planétes et favorables à la sélection socio-professionnnelle. C'est dire que sa "Vérité sur l'Astrologie" reléve d'un profond malentendu sur l'oeuvre de Gauquelin lequel d'ailleurs avait publié sous ce titre, en 1970, aux Ed. du Rocher un ouvrage portant le même titre! Sur la question de la Recherche Astrologique (RA), l'on peut se demander pourquoi elle n'aura guère avancé depuis 1955 et la parution de" L'influence des astres" du dit Gauquelin, alors âgé de moins de 30 ans comme ce sera notre cas en 1976 lors de la publication de nos Clefs pour l'astrologie, à la différence près que ce fut dans une collection très prisée à l'époque et nullement ésotérique (Ed Seghers), non à compte d'auteur comme pour Gauquelin! On pourrait parler d'un fil d'Ariane ayant fait défaut aux chercheurs dans ce labyrinthe, truffée de fausses pistes et de culs de sac avec des mésaventures à la "Icare" d'un André Barbault! Nous aimons l'image du puzzle, exigeant de connecter les pièces entre elles. Tant que ce n'est pas le cas, on patauge et quand enfin les choses s'imbriquent comme il faut, on l'emporte. Reverchon, pour sa part, aura commis plusieurs erreurs, tout en suivant le fil d'Arian fourni par Gauquelin sans réussir à en extraire les bons enseignements méthodologiques, prisonnier idéologiquement qu'il était d'une certaine idée de l'Astrologie généthliaque, articulée sur l'individu et non sur le groupe, sur la masse et non sur le chef..C'est ainsi qu'il n'a pas compris qu'il fallait absolument éviter de relier les planétes entre elles dans l'espace mais suivre une planéte et une seule à la fois dans le temps, ce qui l'aurait contraint à aller dans le sens d'une astrologie de type "solaire" qui est la bête noire des tenants d'une généthliaque traditionnelle, celle du thème natal, dont la portée ne saurait être assimilée aux résultats Gauquelin que du fait d'un certain biais cognitif! JHB 14 04 24