mardi 26 juillet 2022

jacques halbronn Equinoxialité Du caractère fonctionnel des races er des sexes

jacques Halbronn Equinoxialité. le caractère « fonctionnel » des races et des sexes. Posté par nofim le 26 juillet 2022 jacques Halbronn Equinoxialité. Du caractère « fonctionnel » des races et des sexes. Dans le cadre de nos recherches en astrologie, la question des différences structurelles ou contingentes est devenue essentielle. Il est clair cependant que les différences de type horizontal, géographique, politique, juridique, linguistique sont plus aisément acceptées et reconnues en dépit de leur relative contingence. Inversement, les différences de type vertical rencontrent bien plus de résistances et l’on mentionnera ce commentaire à l’un de nos textes/vidéos: de Pascal Nkaya: « Le sexe est une difference majeure fonctionnelle Plus importante que la race car il est fonctionnel La couleur de la peau ou la race n’ est qu une difference majeure non fonctionnelle moins importante Mais dans le cadre de la reproduction de la race cette difference est vraiment majeure et tres importante » Il est un fait que l’on a pour l »heure du mal à déterminer la « fonctionnalité » de ce qu’on appelle « race » alors que le sexe offre une évidente place dans la reproduction de l’espèce -de toute espèce d’ailleurs, en dépit du fait que l’on a tendance à en minimiser l’importance en phase solsticiale en mettant en avant toutes sortes de clivages qui le reléguent parfois à la portion congrue. Cela dit. il convient de se méfier d’une telle argumentation « fonctionnaliste » car la question reste posée et n’a peut être pas été suffisamment creusée. D’un point de vue théologique, il nous semble en effet, que ce sur quoi les hommes ont peu de prise devrait au contraire nous interpeller. On ne change pas de race comme de chemise. Et si l’humanité se présente sous plusieurs couleurs, ce n’est peut être pas sans raison, quand même!. Plusieurs grilles de lecture s’offrent toutefois à nous: l’une d’ordre synchronique, l’autre d’ordre diachronique. La grille diachronique consisterait à dire que ces diverses couleurs correspondraient à des états successifs de l’Humanité alors que la grille synchronique impliquerait l’existence d’une systémique dont il serait utile de (re)trouver la clef. D’aucuns pourraient d’ailleurs être tentés d’aller dans le même sens à propos des Juifs, en les situant dans quelque forme de diachronie, d’état antérieur voué à être dépassé. C’est dire que dès que l’on aborde la question de l’équinoxialité. Le déni est tentant au nom d’une carence explicative ou, comme ici, avec Pascal Nkaya, fonctionnaliste/ Selon nous, les périodes « équinoxialistes » qui occupent la moitié du temps, sont l’occasion de repenser et d’approfondir, de découvrir et d’explorer ce qui a pu être occulté, en périodes solsticialistes. On a evidemment l’exemple de la Shoah, laquelle aura permis, en quelque sorte, de prendre conscience d’un clivage essentiel. Le probléme, c’est que l’on bascule très vite dans des accusations de racisme, de sexisme quand on accorde quelque signification à certains clivages et cela vaut d’ailleurs aussi pour ce qui touche à l’astrologie que d’aucuns auraient tendance à mettre hors jeu! C’est dire que la solsticialité tend à diaboliser toutes sortes d’entités, y compris d’ailleurs le colonialisme, l’impérialisme, l’islamisme au nom du « wokisme »/ C’est dire que les phases équinoxiales sont marquées par un « retour du refoulé » dont les manifestations sont susceptibles d’être stigmatisées, ostracisées, diabolisées comme autant de vieux démons. Toute la problématique de la cyclicité, c’est justement le constat que rien n’est jamais totalement révolu. Donc, on aura compris, qu »en ce qui nous concerne, les zones d’ombre épistémologiques, idéologiques et autres qui s’attachent aux objets « équinoxiaux » ne sauraient être négligées, esquivées ou rejetées d’un revers de la main, et notamment au regard de la verticalité et cela vaut notamment pour le phénoméne de la Lutte des Classes, mythe ou réalité avec en arrière plan l’accusation d’essentialisme. Décidément, nous pensons que le débat est d’ordre théologique, lié à la question d’un plan divin (cf le film « Médée » de Pasolini), d’un « dessein intelligent ».. On bascule dans le champ de la Surnature et de la Subconscience, de ce qui n’est donc ni « naturel », ni pleinement assumé. Qu’est ce que le « charisme »,le « génie », le « leader » par exemple?. Et pourtant, comme dirait Galilée, il y a là quelque chose qui existe bel et bien, qu’on le veuille ou non et qui se réveille en phase équinoxiale. n JHB 26 07 22

Robert Guédiguian à propos de "L'Evangile selon Saint Matthieu" de Pier ...

Jacques Halbronn Sur le film de Pasolini. "L"Evangile selon Saint Mathieu"

Jacques Halbronn Sur le film de Pasolini L’Evangile selon Saint Mathieu Nous avons voulu aborder la critique de ce film au prisme de la question de la double identité de Jésus, Roi des Juifs et Messie des Israélites, telle qu’elle nous apparait notamment mais pas seulement dans cet Evangile. Il nous semble que Pasolini n’aura pas su ou voulu mettre en évidence le rapport complexe et ambigu entretenu par Jésus avec cette dualité identitaire du personnage de Jésus, ce qui aurait du etre le coeur d’une dramaturgie et il semble d’ailleurs qu’un tel travail théatral et cinématographique reste à accomplir. !Il n’est donc pas étonnant que le film en question ait été salué par les autorités catholiques lesquelles entretiennent délibérément un certain flou autour de la mission de Jésus. Les premières scénes sont axées sur la Nativité d’un « Roi des Juifs » (épisode des « rois Mages »). Rappelons que le texte début par la généalogie royale de Joseph époux de Marie, mère de Jésus. Et Bethlehem – lieu de naissance de Jésus- renvoie à David. Wikipedia: notice Betlehem: . »La tradition juive, qui l’appelle aussi Éphrata, en fait le lieu de naissance et de couronnement de David« . Chapitre II « Où est le roi des Juifs? » et le film de se conclure sur la crucificion avec la mention en haut de la croix de la mention « INRI », référence ironique à ce statut de Rex Judaeorum si ce n’est que lors de la résurrection qui termine le film , Jésus annonce qu’il précédé ses disciples… en Galilée! Pasolini se dispense tout au long du film de préciser les lieux où se déroulent les divers épisodes ni l’origine des apôtres Or, l’on sait que seul Juda Iscariote venait de Judée, celui qui dénoncera Jésus et le fera condamner et crucifier à Jérusalem. On saisit à quel point Jésus n’est pas reçu pareillement en Judée et en Galilée, d’où d’ailleurs la formule « Nul n’est prophéte en son pays »! (Mathieu XIII). Au chapitre IV, on nous dit que Jésus parcourut toute la Galilée. . Est- ce que l’on est en Judée ou en Galilée, à Jérusalem ou au Lac de Tibériade?C’est apparemment indifférent! La célébre formule de Mathieu XV, 24 « Je n’ai été envoyé qu’aux brebis perdues de la maison d’Israël » fait défaut. Le texte de l’Evangile de Mathieu semble plus ou moins considérer Israel et Judée comme des synonymes alors que ce sont des régions géographiquement et politiquement bien distinctes. Il est vrai que l’épisode de la Samaritaine( ostracisée par les Judéens) qui demande à Jésus s’il est le Messie figure dans l’Evangile de Jean, ce qui se confirme dans un autre texte attribué au même Jean, les Actes des Apotres. Norons que Pierre,pécheur de Galilée, est celui qui affirme le plis nettement que Jésus est le Messie.(cfChristophe Dickès »Saint Pierre – Le mystère et l’évidence » Editions Perrin) Le chapitre ultime de l’Evangile de Mathieu, le XXVIIIe, nous parle des 11 disciples galiléens de Jésus. Selon nous Jésus le Judéen avait décidé de rapprocher ces deux populations qui se jouxtaient depuis la mort de Salomon et le schisme qui s’en suivit. Or, un tel rapprochement oecuménique était mal vu par les autorités religieuses de Jérusalem, ce qui aura conduit Jésus à sa perte. JHB 26 97 22