vendredi 11 mars 2022

jacques HAlbronn Astrologie EXOLS Savoir distinguer équinoxialité et solsticialité

Jacques halbronn Astrologie EXOLS Savoir distinguer équinoxialité et solsticialité Il n'est pas si simple de distinguer ces deux phases car souvent les opposés se ressemblent en plus d'un point comme on peut l'observer à loisir dans l'affaire ukrainienne. D'aucuns se référent à Munich et aux Sudétes alors qu'il s'"agissait d'une phase équinoxiale et que nous traversons une période solsticiale. Les enjeux ne sont pas les mêmes. Cela dit, le pangermanisme nazi ne diffère pas tant que cela du panrussisme poutinien. D'abord, Poutine entend récupérer un empire qui a été perdu alors que Hitler avait en vue des territoires étrangers au monde germanique et jamais colonisés par l'Allemagne. Or l'équinoxialité, c'est la négation de la notion d'étranger, le refus des frontières d'aucune sorte alors que la solsticialité vise à décomposer des entités qui se prétendent d'une seule pièce, à les dépecer, à les démanteler. L'équinoxialité c'est la négation de la différence comme lorsque la Communauté Européenne se constitua entre 1951 et 1957. Entre parethèses, la mort de Staline est ici, en comparaison, tout à fait anecdotique, n'en déplaise à feu André Barbault. Mais Poutine n'est pas en train de nier une différence qui n'existe pas vraiment puisque l'histoire de l'Ukraine, sa langue sont intimement liés à celle de la Russie. En fait, Poutine, en cette phase solsticiale, est marqué par la hantise d'une extension, d'une expansion de l'OTAN sinon de l'UE, ce qui est propre à la phase solsticiale qui nourrit une certaine xénophobie alors que la phase équinoxiale nie la notion d'étranger, de xénos. Qu'est ce que l'astrologue halbronnien pourrait conseiller pour calmer le jeu? Donner des signes de respect des frontières historiques et culturelles. Ne jouons pas ici sur les mots, la frontière entre la Russie et l'Ukraine n'est pas une véritable frontière en tout cas sans aucune comparaison entre celle qui concerne celle entre la France et l'Allemagne, par exemple. Il est clair que lorsque l'on passera en phase équinoxiale, l'on pourra envisager une extension de l'UE mais c'est actuellement agir à contre temps et les esprits n'y sont pas près. Rappelons que le Brexit s'est conclu en phase solticiale, ce qui aurait du servir de leçon! Il y a un temps pour tout. Actuellement, nous revivons solsticialement Berlin et son mur de 1961 et Cuba 1962, si pathétiquement manqués par Barbault qui en est resté inconsolable dans son fors intérieur d'astrologue. Les Soviétiques en 1961 entendaient déconstruire le dispositif existant et la déconstruction est le mot clef de la solsticialité. Quant à Cuba, la crise est liée à ce que les Américains avaient installé en Turquie. Ce fut une monnaie d'échange et on évita une Troisiéme Guerre Mondiale laquelle se profile actuellement 60 ans plus tard, selon la même configuration mais pas avec les mêmes leaders. Il nous apparait que la crise actuelle aura été fort mal gérée et cela ne fait que souligner l'urgence d'intégrer l'astrologie, du moins celle que nous préconisons, dans le champ de la géopolitique et ce avant l'échéance équioxiale de 2025-26. JHB 11. 03. 22

jacques halbronn LEs axes équinoxiaux et solsticiaux sont ils des points fictifs?

jacques Halbronn, les axes équinoxiaux et solsticiaux sont ils des points fictif? Il nous semble que Serge Bret Morel s’en soit pris à une astronomie « fictive » (cf AStrologie la fin des grands mystères. Le fil Vert, Ed Mensa 2016, pp 134 et seq)? Tout ce qui ne correspondrait pas à une planéte serait un facteur non pertinent en astrologie. En fait, la norme pour ce chercheur lyonnais, c’est le système solaire et non la science politique, le fonctionnement, l’organisation des sociétés. C’est la ligne suivie par les chercheurs en astrologie mondiale qui ont complétement négligé la relation entre planétes et zodiaque. C’est ainsi qu’André Barbault n’accorde aucune importance à la position sur l’écliptique des planétes mise à part leur concentration dans une même zone. Que Saturne rencontre Neptune dans tel ou tel signe ou dans telle ou telle quarte zodiacale (cardinaux, fixes, mutables) n’entre pas chez lui en ligne de compte, toutes les conjonctions du cycle en question s’équivalant qu’elles aient lieu en poissons ou en balance!: En 1976, dans Clefs pour l’astrologie, nous avons proposé une série de graphiques articulés sur le passage de telle planéte sur les dits axes saisonniers mais cela n’a pas été repris par les adeptes de l’astrologie mondiale et nous n’avons jamais été invités par les organisateurs de Colloques à exposer notre démarche, tant à Paris, qu’à Lyon ou à Bordeaux.. Les astrologues sidéralistes vont encore plus loin puisque pour eux, le zodiaque ne doit pas être « tropique » mais s’ancrer sur les constellations qui ont le mérite de ne pas être fictives du moins en ce qui concerne leurs composantes stellaires. Nous mêmes, nous avons été tentés de nous intéresser aux rencontres entre les planétes et les étoiles fixes dites « royales », car nous nous sentions mal à l’aise avec le simple repérage des axes saisonniers. Il y a là un obstacle épistémologique. Toutefois, il existe une tradition astrologique qui s’intéresse au passage d’une planéte d’un signe vers le suivant, notamment pour les planétes les plus lointaines mais pas spécialement dans le cas des axes saisonniers comme si les signes cardinaux étaient des signes comme les autres! Cela dit, on peut essayer de comprendre pourquoi on en est arrivé à négliger à ce point les axes saisonniers qui sont le socle du Zodiaque tropique. Ces points sont invisibles, ils n’apparaissent pas devant nos télescopes alors que même Uranus ou Neptune peuvent etre localisés. Autrement dit, ces axes qui font partie intégrante de notre cosmos terrestre, et rappelons que les saisons ont à voir avec le Soleil, sont désormais sans importance en comparaison d’astres invisibles à l’oeil nu comme le sont les « transsaturniennes »! Il y a là une dérive étonnante. Car il faut rappeler que les rencontres entre planétes relévent d’une fiction, n’existent que visuellement, tout comme d’ailleurs le thème natal. Ce n’est là qu’un effet de perspective. Le fait de combiner deux planétes entre elles leur confère des révolutions fictives: Saturne n’aura pas le même cycle selon qu’il sera combiné avec Jupiter ou Neptune. Autrement dit, que Serge Bret morel ne s’imagine pas que les astronomes accordent la moindre valeur scientifique aux « aspects » astrologiques, lesquels sont bel et bien des fictions. En tout état de cause, nous sommes ici face à un dispositif artificiel car l’astrologie, une sorte de tableau de bord à l’intention de notre humanité et la connexion entre un cycle planétaire et le cycle saisonnier est au coeur de l’anthropocosmologie. Rappelons le début du Livre de la Genése sur la création du Ciel et de la Terre qui décrit bien la mise en place d’un binome: le Ciel, ce sont les planétes et la Terre, ce sont les saisons.

Jacques Halbronn La recherche anthropocosmologique passe par le nombre

Jacques Halbronn la recherche anthropocosmologique passe par le nombre. Si l’on définit l’anthropocosmologie comme une étude des structures fondamentales du psychisme humain, nous pensons que l’épistémologie du domaine ne saurait se passer du nombre et ce, à un double titre, statistique et cyclique, dans l’espace et dans le temps/ Ces constats nous mettent en contact, selon nous, avec des structures fondamentales et primordiales . Chassez le naturel, il revient au galop. I Statistique Les récurrences doivent nous interpeller quand nous observons la présence ou l’absence de telle catégories dans une activité donnée. Cela peut s’expliquer par l’adage « qui se ressemble s’assemble ». Autrement dit, nous remarquons ce qui aurait pu a priori nous sembler improbable, statistiquement. Pourquoi telle concentration de personnes du même type ou au contraire pourquoi une telle rareté? Un mélomane ne peut pas avoir remarqué que la très grande majorité de sa discothèque (playlist) « classique » est constituée de compositeurs hommes. Il est quand même en droit de s’interroger. C’est donc bien le nombre des constats qui guidera ici sa réflexion sociologique. On peut aussi observer la proportion de « blacks » dans certains secteurs d’activité, comme la sécurité, les « vigies des supermarchés à tel point que si l’on n’a pas ce profil, l’on détonnera. ». II Cyclicité Un autre aspect à signaler concerne certaines répétitions dans le temps, à intervalles réguliers. Si nous observons que le même nombre d’années se sera écoulé au sein d’une série d’événements comparables, n’est on pas en droit de penser qu’il existe une certaine loi numérique derrière tout cela? Dans ce cas, l’on peut être conduit à rechercher une structure numérique « jumelle » dans le ciel. Parmi ces écarts remarquables, on trouve le 7, le 15, le 30 en termes d’années notamment. Cela nous conduit au binome Lune-Saturne, les jours terrestres pour la Lune correspondant aux années terrestres pour Saturne : 28 jours/28 ans. Il nous faut réfléchir sur les implications liées à de telles observations au prisme de notre systéme solaire. Pourquoi notre satellite aurait quoi que ce soit à voir avec Saturne, du point de vue des jours et des années terrestres? Ne pourrait-on être tenté de supposer quelque « dessein intelligent » centré sur notre Terre, oeuvre de quelque « créateur » (cf l’oeuvre de Jean Sendy) ? L’astrologie contemporaine semble avoir renoncé à s’ancrer sur de telles observations empiriques a posteriori de cet ordre, préférant plaquer toute sa « tradition » alambiquée sur le monde.. Au lieu de se limiter à des corrélations numériques, elle a opté pour les prévisions en aveugle, ce qui la fragilise singulièrement. JHB 11. 03 22

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