lundi 14 février 2022

Jacques Halbronn Zemmour applique à la France la conversion islamique

jacques Halbronn Zemmour applique à la France la conversion islamique Valérie Pécresse et ses tenants adoptent Zemmour en le caricaturant. C'est ainsi que l'on nous dit que pour être intégré il suffit de faire une déclaration d'amour à la France et l'affaire est entendue. or, c'est exactement la procédure de conversion en pratique dans l'Islam avec le "Allah Akbar". Le probléme, c'est que selon nos travaux, c'est là une démarche de gauche laquelle se caractérise par son caractère expéditif comme lorsque l'on doit éduquer les enfants en bas age pour qu'ils rejettent les différences de sexe. Mais par ailleurs Pécresse insistera sur l'ancienneté de la France. Comment peut on concilier des positions et propositions aussi contradictoires? Une chose et son contraire. Cela tient au fait que les notions de droite et de gauche sont brouillées. Quand Zemmour parle du "grand remplacement", il ne raisonne comme un homme de droite car à droite, l'on sait gèrer la diversité et ce n'est pas un épouvantail car la Droite a le sens de l'espace et rappelons que dans son Appel du 18 juin 1940, De Gaulle parlait de l'empire, de l'espace. Nous avons proposé d'activer le principe de regroupement, et donc de ne pas stigmatiser les pratiques de quartier qui horrifient un Zemmour. La France est un vaste espace qui peut accueillir d'importantes populations à condition que chacune d'entre elles s'en tienne à un certain périmètre. Le rôle de l'Etat est de gérer les discontinuités. En tout état de cause, l'immigration ne saurait être une affaire individuelle mais s'inscrire dans un projet collectif : rejoindre les membres de sa communauté. Pour les Juifs d'Afrique du Nord, il existait certes une ancienne présence juive de souche française mais apparemment, cela n'a pas fonctionné. L'approche de Zemmour est celle d'un individu isolé face à l'Etat mais comme on l'a dit, l'Etat ne peut gérer que des groupes. Il ne peut avoir une politique individuelle; ce n'est pas la France que l'on rejoint mais des gens qui nous ressemblent et s'ils nous ressemblent, ce n'est pas parce qu'ils l'ont décié mais parce que c'est ainsi et le temps n'y changera rien; Inversement, le temps ne peut faire pas plus qu'il ne peut défaire. on ne cesse pas du jour au lendemain d'être ceci ou cela pas plus que l'on ne peut le devenir. Devenir, un mot sacralisé et qui caractérise les déracinés, sans ancrage objectif. Mais là encore, comment ne pas voir que Zemmour tient un discours de gauche et que Pécresse, pensant que tout ce que Zemmour est de droite voire d'extréme droite, le prend à son compte? Récapitulons: si Pécresse veut se démarquer de Zemmour et de cette fausse droite qui n'est qu'un islamo-gauchisme à la Mélanchon, il lui faudrait et ce, dans les meilleurs délais, adopter une vision "libérale", compatible avec la diversité des origines à assumer. Il est demandé de s'inscrire au sein d'une communauté de gens qui nous ressemblent de par un passé commun, ancestral. C'est être dans la vérité et le rôle de la droite, c'est de dénoncer le mensonge de ceux qui veulent se faire passer pour ce qu'ils ne sont pas, en dépit de tous les serments. Face à cette diversité à déployer dans un grand plan d'aménagement du territoire, il faut un Etat arbitre qui sache gérer et harmoniser les discotinuités de temps et d'espace : un Etat chef d'orchestre qui sache conférer à chaque groupe une fonction au sein de l'ensemble. JHB 14 02 22

jacques halbronn La quete du semblable et la géne face au dissemblable

jacques Halbronn La quéte du semblable et la géne face au dissemblable Posté par nofim le 14 février 2022 jacques Halbronn La quéte du semblable et la géne face au dissemblable. Selon nous, les gens recherchent ce qui leur ressemble, quitte à ce que des groupes articulés selon d’autres critères coexistent un peu plus loin. C’est en tout cas ce que nous ne cessons d’observer, ce qui compte étant une certaine forme de ressemblance qui confère son « identité » , au premier sens du terme, au groupe. On peine à imaginer un groupe qui ne respecterait pas une telle exigence: partage d’un même « look », f’une même façon de parler/ Mais il ne faudrait pas croire qu’une telle similitude n’exige pas du temps si tant est qu’elle puisse jamais s’acquérir. Dans le cas de la couleur de la peau, qui est bel et bien sociologiquement un facteur identitaire déterminant, il n’y ait guère de solution/On ne peut tricher avec le temps/ Même l’acquisition d’une nouvelle langue se heurte à bien des obstacles, à des piéges où l’on vend la peau de l’ours avant de l’avoir tué. Le probléme, c’est que l’imitateur, l’emprunteur risque de prendre des vessies pour des lanternes/ Nous avons montré depuis déjà quelque temps qu ‘il existait, au sein de la francophonie, une prononciation du français authentique et des formes altérées du français. Un parisien ne sera pas vraiment à son aise l’oral, avec un méridional même s’ils se référent à la même forme écrite. Il y aura de la géne à des degrés divers. Cela dit, il est des périodes, astrologiquement, où il faut passer outre, notamment par manque d’espace, d’où plus ou moins de promiscuité. On se fait une raison : on pense aux transports en commun que toute une partie de la population évite quand elle peut se le permettre, quand elle en a les moyens, ce qui la dispense de subir cette ‘gêne », cet inconfort/ en question. Au niveau politique, les périodes solsticiales prévoient toutes sortes de forme de séparation, de discrimination, quitte à conduite à quelque forme de communautarisme, qui de toutef façon se pratique couramment, quoi qu’on dise. Il s’agit non pas de régler les problémes interindividuels mais inter « groupes » car la vie sociale passe par le groupe, ce qui est plus ou moins reconnu. A contrario, les périodes équinoxiales parient sur le brassage, la mixité, ce qui exige du Temps et non plus de l’Espace. On nous parle notamment de l’école (cf Bourdieu). Autrement dit, la Droite a besoin d’espace, pour mener à bien sa politique ce qui peut exiger d’élargir son ‘Lebensraum », son terrain de jeu, par la conquéte, la colonisation alors que la Gauche a besoin de temps, ce qui passe par l »élimination de signes ostensibles, de traits distincifs, et ce dans les plus brefs délais. Autrement dit, la Droite trouve des solutions par le biais de la guerre étrangère, alors que la Gauche trouve des solutions en intervenant de façon autoritaire sur les comportements, quitte à éliminer les cas « désespérés », inassimilables. On notera que les nazis auront joué, successivement, sur les deux tableaux, tantôt par l’expansion territoriale, tantôt par la contrainte sociale.

Jacques Halbronn Un Colloque Universitaire sur Nostradamus, à la Sorbonne, en 2007

Jacques Halbronn Un Colloque universitaire sur Nostradamus, à la Sorbonne, en 2007 Avec le recul, certaines journées prennent une dimension dont on avait pas pris toute la mesute, tout de suite, c'est le cas, nous semble-t-il qui fut le théatre de notre soutenance de post doctoat consacrée à la "naissance de la critique nostradamique au XVIIe siècle", dont le jury réunit Paul Marie Bercé, Jean-Pierre Brach, Bernard Chevignard, Hervé Drévillon, Louis Le Chatelier sans oublier Jean Marie Le Gall, qui rédigea un rapport préalable. Cette journée fit d'ailleurs l'objet d'une vidéo (mise sur Internet) comportant notamment notre discours de soutenance et des rapports furent rédigés à la suite. C'est dans la salle Marcel Mauss, dans les locaux de l'"époque de la Ve Section de l'Ecole Pratique des Sciences Religieuses, à a Sorbonne, que cette réunion se tint. Ce "Colloque" tourna donc autour de la critique du corpus Nostradamus replacée dans le cadre du courant critique propre au xVIIe siècle dans divers domaines (Richard Simon, Kepler). Rappelons qu'un précédent Colloque Universitaire avait eu lieu à Salopn de Provence, en 1985, soit 22 ans plus tôt dans leque nous étions intervenus,avec Jean Céard, Michel Chomarat, Robert Benazra, Michel Simonin, Daniel Ruzo. JHB 14 02 22