Etudes de Critique biblique, astrologique nostradamiquej et linguistique.
mercredi 11 octobre 2023
jacques halbronn La quesrion juive et la phase équinoxiale en Astrologie EXOLS 1967 2023
Jacques halbronn La question juive et la phase équinoxiale en Astrologie EXOLS 1967 2023
La phase équinoxiale met en branle les acquis de la phase solsticiale et pour les Juifs, cela signifie que leur intégration au sein de tel ou tel ensemble national sera remise en question. En 1967, lors de la Guerre des Six Jours, nombreux furent les Juifs de France à ressentir un appel vers l'Etat d'Israel mais aussi une volonté de se retrouver entre eux. (cf "Les Juifs de France et la guerre des Six Jours : solidarité avec Israël et affirmation d'une identité politique" collective par Samuel Ghiles-Meilhac, Matériaux pour l’histoire de notre temps 2009/4 (N° 96), Ce tropisme nous l'avions éprouvé avant la Guerre en question et de fait la phase équinoxiale avait débuté avant les événements. Nous avions ainsi crée ldès 1966 le MIPEPJ, Mouvement International pour l'Epanouissement du peuple Juif.
Extrait du Manifeste du Mouvement International pour l’Epanouissement du peuple juif
"Il n'y a pas de rupture au cours de l'Histoire juive entre avant et après l'acquisition de sa religion, il n'y a pas eu adoption. Le Juif conscient d'aujourd'hui n'accepte pas sa religion, sa Loi sous l'influence d'un prophète qui lui parla voilà trois ou quatre mille ans, pas plus que ne le fit le juif contemporain ou d'Abraham. Sa religion est partie (intégrante) de lui-même; peu importe même qu'il admette cette religion (..) elle siège au cœur de l'être (.) Mais l'étude de la religion juive débouche sur d'autres horizons encore. Il reste en effet à tirer des conséquences du contenu de cette religion*. Non seulement, les Juifs ont pensé de même façon et avec la même constance la nature de ce contenu? Ils ont défendu une conviction millénaire : les Juifs sont le peuple élu (...) sans en prendre directement conscience, ce qui renforce la prédominance du naturel sue la volonté. (..) La nature du juif est plus profonde, plus naturelle, elle existe avant son Histoire et ne fait que se teinter légèrement des influences diverses et successives qu'elle traverse et dont elle est souvent la cause. Il n'existe pas de transmission des caractères acquis au niveau d'un peuple vrai; le Juif transmet à son fils ce qu'il a reçu de ses ancêtres : son sang fécondateur, non ses habitudes. (...) Le peuple juif est différent et supérieur aux autres peuples. Le terme Peuple en ce qui le concerne revêt un sens exclusif. Le Juif ne se sait pas Juif parce qu'il nait au sein d'un cadre qui lui impose de l'extérieur sa nature, le Juif se choisit Juif parce qu'il est intérieurement Juif."
On dira qu'instinctivement, le Juif va se rapprocher de ceux qui lui ressemblent spirituellement et pas nécessairement religieusement. Inversement, en 1942, lors de la mise en oeuvre de la Solution Finale, leur regroupement , leur "concentration" ne fut pas leur oeuvre mais cela fut lié au plan nazi, en phase solsticiale. On notera que Herzl avait sous -titré en 1896 L'Etat juif: Essai d'une solution de la question juive. (cf notre ouvrage : Le sionisme et ses avatars au tournant du XXe siècle Ed Ramkat 2002) On remarquera la symétrie. Les récents événements d'octobre 2023 s'inscrivent dans cette même tonalité équinoxiale que 56 ans auparavant, soit deux fois 28 ans (cycle de Saturne) Nous avions annoncé à l'aube de la présente phase équinoxiale que le supranational allait prendre la place, pour 7 ans, du national et bien évidemment, cela vau également pour le camp arabo-musulman dont l'intégration en France sera également ébranlée avec un choc probablement plus marquant qu'en 1967 en raison d'une présence arabo musulmane plus forte et des ressentiments accrus par l'occupation israélienne des "territoires"(Cisjordanie). . Crise donc identitaire de part et d'autre qui devra être mise en perspective en ne confondant pas les causes et les effets. Fin d'un certain statu quo géopolitique qui va au delà d'un probléme de frontières comme dans le cas du conflit russo-ukrainien marqué non pas par la séparation mais par l'annexion., soit des dynamiques inverses.
02. 04. 68
jacques halbronn Le choc des théologies Les deux écologies
jacques halbronn Le choc des théologies. Les deux écologies
Dès lors que l’on associe la notion de Dieu à celle de Nature, comme le fait le christianisme, toute atteinte à la Nature devient une atteinte à Dieu et en ce sens le discours écologique actuel serait tout à fait compatible avec la théologie chrétienne actuelle; En revance, si pour le judaisme, du moins tel que nous le concevons, nous privilégions un Dieu créateur de notre monde et non à l’origine de l’Univers, l’on accéde ipso facto à une autre forme d’écologie laquelle se situe sur le plan social puisque notre Société serait alors marquée par un « dessein intelligent » advenu bien après le « big bang », par un « plan divin ». focalisé sur des paramétres bien plus limités. On sait que le christianisme aura fini par s’opposer au judaisme en raison de son » ouverture » sur le monde,pris dans son ensemble, ce qui correspond d’ailleurs à un état antérieur à l’ère judaique.
C’est ce champ théologique « restreint’ qu’il nous intéresse de décrire, à savoir un reformatage de l’univers par une intervention de type « alien », ce qui signifie un réagencement du systéme solaire qui conduit à notre systéme solaire actuel dont certaines particularités n’ont pas encore été mises en évidence, notamment au niveau biotechnologique, à savoir la connexion entre certains astres et certains humains, toujours selon une optique « restreinte ». Il est vrai que le judaisme aura fini par adopter une théologie universelle, n’hésitant pas à qualifier « son » dieu de Roi du Monde, avec l’idée que le Monde serait l’univers tout entier, ce qui est un contresens. On aura compris que pour nous l’Astrologie se trouve précisément à l’interface entre le minéral planétaire et l’animal humain. Encore est-il bon de préciser que pour nous Adam désigne cette nouvelle Humanité que nous associons avec le « peuple » juif (au sens judéen du terme).
Autrement dit, cette théologie restreinte n’associe pas Dieu à la Nature, à la façon d’un Spinoza et développera donc d’autres priorités écologiques si l’on considére que l’écologie actuelle est impactée par une certaine théologie laquelle dénonce toute atteinte à la Nature comme étant une atteinte à ce Dieu. On peut lire sur Internet:
« Dieu, les humains et la nature : et la théologie chrétienne se convertit à l’écologie
Parce que créés à l’image des Dieu, les humains, a-t-on longtemps pensé, sont au-dessus des végétaux et des animaux… donc autorisés à piller leur environnement. Aujourd’hui, à la lumière de l’écologie, un renouveau théologique s’opère. »
Un tel texte est révélateur d’un certain glissement théologique à tonalité foncièrement paienne auquel notre théologie « restreinte » doit s’opposer. On comprend mieux ainsi certains avertissements de la littérature judaique qui nous mettent en garde contre des cultes étrangers et c’est bien là la tentation à laquelle le judaisme contemporain doit rejeter.
Il est clair d’ailleurs que les problémes écologiques actuels qui sont mis en exergue dépendent largement d’un déréglement de la gouvernance.
JHB 11 10 23
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