mardi 19 mars 2024

jacques halbronn Psychosociologie. Le besoin d'harmonie visuelle et auditive dans une société. La filiation dans le judaimse

jacques halbronn Psychosociologie. Le besoin d'harmonie visuelle et auditive dans une société La filiation dans le judaisme. La sensibilité de droite implique qu'au sein d'un espace, d'un cadre donné, délimité régne une certaine unité, homogénéité. Nous avons déjà insisté sur le fait que le pire péril qui menace une langue n'est ni sémantique, ni lexical en soi mais bien la perte de ses codes d'oralisation, de prononciation. C'est ainsi qu'un emprunt n'est vraiment toxique que s'il vient perturber l'harmonie générale d'une langue, c'est à dire qu'il n'est pas correctement intégré phoniquement dans la langue concernée. Cela vaut notamment pour les noms étrangers propres de personnes , de villes. Le français sera largement parvenu ce type de danger, du moins jusqu'au XIXe siècle. C'est ainsi que l'on prononcera Berlin ou Dublin, à la français avec une diphtongue London deviendra Londres et, Moskva deviendra Moscou, Warshawa, Varsovie, Roma, Rome, Praha, Prague, Wien, Vienne,Yeroushalaym, Jérusalem etc En revanche, New York ou Washington n'auront pas été "francisé". En revanche les prénoms des papes seront "localisés" On parlera du Pape François. Mais un autre front ne saurait être négligé, cette fois sur le plan visuel, pictural et non plus auditif, musical. Cela renvoie à notre systéme des topiques sensorielles lequel associe au masculin la vue et l'ouie et au féminin, l'odorat, le goût, le toucher. On aura compris qu'une société "patriarcale" ne tolérera pas de dissonances dans le registre de l'ouie et de la vue, en raison de son Surmoi alors qu'une société "matriarcale" sera plus vigilante sur l'odorat, notamment, donc , privilégiera la santé physique, l'hygiéne, le traitement médical. Cet autre front, on l'aura compris; concerne les dissonances visuelles au niveau de la population. De même que l'on peut parler de "mots étrangers", d'emprunts, l'on sera sensible aux apparences physiques, "étrangères", du fait notamment des traits du visage, de la forme du nez, bref du faciès, bref de tout ce qui vient troubler l'harmonie du paysage urbain. Le destin des femmes est d'avoir à s'intégrer au sein de milieux qui leur sont peu ou prou étrangers. Ce fut ainsi celui des princesses vouées à servir des enjeux politiques, diplomatiques à l'instar des épouses d'une Louis XIII, d'un Louis XIV ou d'un Louis XVI. Cela dénote un registre équinoxial, c'est à dire trans national, trans-culturel, sur la base de fondamentaux propres à l'Humanité dans son ensemble alors que les hommes restent les gardiens d'une certaine tradition dont ils sont issus, ce qui les place dans le registre solsticial. Il nous semble donc bien paradoxal que le judaisme ait institué une filiation par les femmes. On est dit juif du fait d'une mère juiven quelles qu'aient pu être les raisons d'un tel principe d'autant que plusieurs fils de Jacob, dans le Pentateuque sont nés d'une esclave non juive et cela vaut aussi pour Sarah qui se fait remplacer auprès d'Abraham par Hagar! Par ailleurs, dans le judaisme,c'est pourtant bien le père qui transmet le nom de sa famille à sa progéniture et non la mère.. JHB 18 03 24

Roget Héquet Pour une prévision astrologique individuelle

Aprés pres de 30 ans de recherches plus solitaires et durant 20 ans, j’ai tenté de convaincre le monde des astrologues qu’il était impossible, pour eux, au moins, de continuer à travailler avec de tels outils et de telles pratiques primaires qu’ils utilisent. En cela j’ai perdu 20 ans de mon temps. Le monde de l’astrologie est un monde fermé sur une conception absolument, exclusivement, dite “humaniste”, avec d’immenses imperfections, érronée, depassée, faite de brics et de brocs, de croyances plus que d’expériences, de moralisme, simpliste dans sa perception de la relation du vivant aux astres ou des astres aux vivants. Chaque astrologue ou pseudo astrologue creait et porte sa propre astrologie, des milliers alors depuis la presence d’internet et des réseaux sociaux. L’astrologie deviendra karmique, humaniste, védique, psychologique, uranienne, conditionnaliste ... Une pratique tout aussi multiple, le plus souvent contradictoire dans les termes et, pour couronner le tout, un libre arbrite surpuissant, sur-protégé, sacré, qui rendra impossible toute véléité même de démontrer à un de ces astrologues un quelconque déterminisme qui aurait pu, au moins, nous tomber du ciel. Nous sommes libres, absolument libres et l’Astrologie est pour la communauté des astrologues l’outils parfait pour le leur démontrer. Un comble. Quand on sait qu’elle n’a, de plus, ou surtout, rien démontré de sa discipline et depuis 5000 ans dés lors ou il s’agissait de travailler sur sa matiere premiere : le Temps. Quand l’astrologie n’est pas plongée dans un quelconque karma, elle devient de la poésie, un mandala et malheur à celle ou celui qui tenterait de leur faire valoir quelque étude statistique que ce soit. Il sera brulé en place publique et sera la risée de tous. On aura fait croire à la suite de ces 60 dernières années que, c’était fait, nous y étions arrivés. A présent il ne convenait plus que d’exploiter la chose…. André Barbault, après 30 ans d’attente, réussissait sa prévision. Une étude statistique montrait qu’un militaire était plus sûrement né martien…Alors on bloqua tout en l’état et on exploita. Ce fut « chacun pour soi », aux plus filous de gagner leur vie avec ce matériau grossier, en inscrivant sur le fronton de leur officine « Ca me suffit », et aux plus sincères ou moins marchands, à ceux qui auront refusé cet état de fait, d’être marginalisés. Sinon d’abandonner complètement toute activité de recherche. Nous sommes loin, très loin, avec ces anciennes pratiques, de pouvoir un jour monter les premières marches d’une académie scientifique. Après 3000 ans de grands discours et de recettes de toutes sortes, de grande conjonction en petite lunaisons, l’astrologie est encore et toujours plus considérée comme une croyance populaire Plus de 3000 ans ! On aura depuis tout inventé : les plus grandes philosophies, l’électricité, la voiture, les fusées, on aura marché sur la Lune, les satellites, la psychanalyse, la physique quantique, l’informatique, la chimie moderne, l’algèbre, l’astronomie des constellations de galaxies, tout… Et l’astrologie ? On aura juste découvert les moyens de bien vendre son aura populaire. La croyance en elle . Elle en est resté, malgré un outils aussi performant que l’outils informatique depuis 30 ans, à l’époque des bouts de bâton et des a peu prés systématiques. Le zodiaque devient une fleur, un blason, un autel… et se vend bien. On aura accepté que notre science devienne une science humaine, une science « molle », en abandonnant l’ambition qui devait continuer à être la notre de la mener là où elle aura un jour sa place, dans toutes les facultés de science. On aura ouvert la porte à toutes les aberrations comme à tous les marchands du temples ! Une science humaine non reconnue par les académies et si populaire dans l’esprit des gens ? Une mine d’or pour un master en nouvelle économie. Alain de Chivré, ex Président de la FDAF, défend à ses adhérants d’évoquer la pratique prévisionnelle et, pour Marc Brun, autre responsable de la Fdaf, la « prouesse technique » est sans intérêt… Nous avons ici dépassé l’« humanisme » en astrologie, après son outrance souvent, pour entrer dans le « destructuralisme ». Que reste-t-il de l’astrologie traditionnelle ? Que reste-t-il de l’astrologie même, une fois remisée la technique comme secondaire et reniée la capacité de l’astrologie à nous situer dans le temps ? Ce qui différenciait l’astrologie de la voyance était justement la technique qui s’y attachait, sa technicité et puis, que veut dire « prouesse technique » ? L’astrologie serait devenue la seule science, ou discipline, qui ne devrait pas toujours tendre à se perfectionner, à se spécifier, à se préciser ? Faut-il une fois pour toutes considérer qu’avec Ruddiar l’astrologie est « finie », qu’elle ne peut plus, qu’elle ne doit plus, se révolutionner ? Qu’elle n’a pas le droit moral même de chercher à sortir d’un cadre de fonctionnement vieux, pour ses bases, de 2000 ans ? Quelle science moderne n’a pas évolué de multiples révolutions depuis 3000 ans ? Quand les astrologues comprendront-ils combien le ciel qu’ils regardent et étudient dans leur carte est hyper-technique ? Pourquoi encore avoir aussi peur de ces « prouesses » techniques si elles offrent de préciser encore « l’Espace-Temps-Sujet » que je suis ? Je pense non seulement qu’une structure responsable comme la Fdaf ne devrait pas amener ses adhérents à se défier de la recherche en astrologie mais qu’elle devrait même subventionner une recherche qui aurait pour mission de sans cesse découvrir à révolutionner les bases acquises. Voilà qui serait autrement plus sain. Plus efficace. Plus responsable. Sur le fronton de cette forteresse commerciale de l'astrologie dite humaniste, sur la page d’accueil de son site, il est inscrit : "L'astrologie ne peut prévoir l'avenir, mais elle peut aider à le rendre meilleur"… Voilà, comme la poésie. Même pas une philosophie qui lui serait spécifique parce que « rendre la vie meilleure » bien des philosophies depuis 5000 ans déjà ont eu cette prétention. L’astrologie pour rendre meilleur un avenir… qu’on ne pourra et ne voudra pas prévoir… Ce n’est plus la philosophie à « coups de marteau » mais un retour à celle des « boudoirs ». Allez chercher dans les astres, après des calculs plus ou moins complexes, après des siècles de vie passés à réfléchir à la plus merveilleuse des sciences, de quoi « rendre la vie meilleure » Mais la chose qui cloche n’est pas là. Revenons aux résultats obtenus de cette astrologie devenue “classique”. Voilà l’essentiel. Pense t’on que la médecine, avec ses vrais résultats depuis des lustres, verra son image écornée du fait de la pratique de quelques rebouteux comme l’astrologie de quelques faiseurs d’horoscopes ? Tant qu’il ne sera pas compris que notre discipline a besoin d’autres résultats que ceux obtenus d’anciennes pratiques... Durant ce temps, des chercheurs travaillent sans relâche à plus d’efficacité à l’astrologie et ce, malgré cette opposition, ce mépris des dirigeants d’associations. Pour accompagner cette absence de “sérieux” technique, combien d”astrologues, ou revendiqués tels, vont se prétendrent “thérapeutes” ? Prétendent, au pire, soigner par l’astrologie, au mieux “ouvrir leurs chakras”, “libérer leur energie” . « On » emprunte au bouddhisme, au christianisme si ce n’est à la « morale » humaniste, à la psychologie et surtout au « bon sens », à quelque raison, mais on ne soigne pas la souffrance par l’astrologie. On accompagne, on « gère » alors celle-ci, laissant au temps le soin de faire, rasonnablement, son œuvre. Prévenir avant que de guérir. Voilà ce qui m’apparaît devoir être le véritable rôle de l’astrologie. Guérir, l’astrologie ne sait pas le faire, sinon en adjoignant au sien quelque autre « savoir » (psychanalyse, sophrologie, etc.), bref, sinon en se faisant beaucoup plus discrète. Jusqu’à n’être plus parfois qu’un alibi. Face à la pathologie l’astrologie n’a rien « inventé », rien découvert de plus que ce que nous connaissions d’autres réponses « techniques », philosophiques ou spirituelles. Il est certain que plus nous évoquons l’Ame et moins la technique nous semblera essentielle, moins la précision à cette technique nous apparaitra fondamentale. Emplie de cette âme à ras-bord, l’astrologie actuelle est en pleine destructuration. Lorsque des historiens de l’astrologie tels que Jacques Halbronn écrivent « C'est pourquoi, quand tel de nos interlocuteurs comme Roger Hequet en arrive à parler du caractère unique du thème individuel, nous sourcillons car le but de l'astrologie, selon nous, n'est pas de brouiller les pistes, de renoncer à comparer, à rapprocher les situations et les personnes sous prétexte que chacun a son thème ; », que lui répondre ? Sinon que je ne comprend pas ce refus d’une structure d’espace-temps qui soit individuelle… Du thème dit de naissance ou Graphe radical Socialement, humainement, ne parlons plus astrologiquement, nous savons bien que chacune et chacun de nous est unique… Moralement, psychologiquement, historiquement, génétiquement, en conscience, il est unique… Refuse t'il, dans le même ordre d’idée, ce que nous renvoie en spécificité le « cliché », peut être, de notre patrimoine génétique ? Accepte t'il, quand même, comme réalité conséquente sur notre réalisation, le schéma de notre spécificité génétique ADN ? Maintenant, ne pourrait ont pas considérer cette structure radicale, le thème natal, comme étant cette même structure génétique ADN, qui sera alors symbolisé autour de fonctions primaires puis dynamisée, en marche ? Notre Espace ADN et son Temps Un thème astrologique de naissance qui sera la représentation symbolique du cœur de chaque noyau à nos cellules. Et comme rien ne se perd mais que tout se transforme ce sera ce capital initial qui se transformera dans sa progression dans le temps, comme on vieilli, comme on mûri, comme on meurt. J’aurais simplement découvert, ajouté à ce patrimoine cosmo-génétique, son ou ses moteurs. Les différentes aiguilles qui tourneraient autour du cadran de ce qui sera devenue une horloge cosmo-génétique. Elle aura mis en avant les forces intrinsèques qui sous tendent cet ensemble. Ses échéances, entre temps cosmo-biologique et espace humain.. On peut continuer à regarder la Terre de haut, tel un dieu qui ne verra de l’humanité que des grains de poussières qu’un cyclone emportera le plus facilement du monde. Mais on peut aussi la voir d’un peu plus prés et ce que je vois tout en bas c’est de l’individu, de la conscience, des joies et des souffrances particulières. De l’existence, pas uniquement de la vie. Ôtons donc peut être aussi du champs de l’astrologie la conscience des choses, son intelligence, sa réflexion. Pourquoi pas… Jacques Halbronn semble prôner une astrologie qui ne distinguerait non seulement pas les êtres entre eux mais non plus le jour de son lendemain ou sa veille, la mort de la naissance, de la vie, ici de l’ailleurs. Peut etre l’astrologie s’adresse t’elle idéalement à l’individu sorti du « doute » de soi. Un être destiné à se rencontrer, à s’accompagner mais… ne sait pas encore les trames chronologiques qui sous entendent cette rencontre, ne sait sous quelle forme. Deviens qui tu es dit Nietzsche…. Ca peut être “Etre là au bon moment”. Faire une partie d’échec de son existence, l’intelligence, la lucidité, la raison, le "savoir", face à une réalité cosmo-biologique, en soi, un déterminisme biomathématique puissant, une telle « mathématique événementielle » qu’est l’astrologie. Avec l’Ère du Verseau, le Temps sera désormais la dimension essentielle à l’humanité. Le Temps à cette humanité autant que le temps de soi. Et l’astrologie trouvera ici sa vocation première à guider cet espace, ces espaces, dans ce temps, dans ces temps à venir. Nous quittons une ère d'espace, avec la sédentarisation des peuples humains, la découverte d'autres continents, la colonisation et jusqu'à une guerre mondiale pour un espace vital.... avec pour pic la conquête de la Lune en 1969. Depuis on ne compte depuis plus les distances en km, valeurs spatiales, mais en années lumières, en années, valeur temporelles. Nous entrons depuis relativement peu dans une ère de temps. Un jour viendra où le Temps réellement efficace que chacun donnera à la collectivité sera retenu comme élément fondamental à la vie économique mondiale. Chaque minute proposée de soi sera comptée et comptabilisée, analysée et sans doute vaudra-t-il mieux connaître, prévenir, savoir, comprendre, accompagner, ce Temps de soi, en soi. L’efficacité humaine dans sa réalisation est sans doute une raison d’être de l’astrologie. Elle n’a, je le répète, aucune vocation et aucun moyen à soigner, à guérir la souffrance, qu’elle soit mentale ou physique, sans surtout devoir s’en remettre à d’autres sciences ou savoirs. Et tant que les astrologues consultants et professionnels prétendront le contraire, soulignant même que ce serait une raison d’être à leur « art », elle attirera vers elle toute la souffrance du monde. En toute inefficacité bien sûr L’astrologie est avant tout une science du Temps, la psychologie en est une d’Espace et quel autre science du Temps avec elle sinon la chronobiologie ? L’astrologie est en relation étroite avec la chronobiologie. Elle apporte de pouvoir considérer, à la naissance, à la base de l’organisme (de l’organisation) naissant, les forces de son environnement cosmologique immédiat (système solaire). D’en considérer les structures, formes et forces qui leur sont spécifique. Tout pour moi est, dans la nature, forme et force, projections mathématiques que j’appèle « remarquables ». Que notre génétique puisse, comme un aimant, fixer à elle les paramètres d’abord mathématiques, de notre environnement comme facteur fondamental de notre « équilibre » ne m’apparaît pas comme extraordinaire. Ensuite, que nous soyons « habité » d’autres temps, d’autres dynamiques, que celles de nos rendez vous d’affaire, n’est plus contestable. Un temps de battement du cœur, pour la circulation sanguine, la digestion, le sommeil, la menstruation, le développement du fœtus dans le ventre de la mère qui le porte, sans compter tout ce qui touchera au système nerveux dans son ensemble. Toutes ces dynamique nous sont « imposées » de notre nature. Et puis ça continu… le temps amenant à la puberté, la « maturité », la vieillesse et jusqu’à la mort. Ainsi « chargée » d’une Histoire mathématique, « formé » d’un peu de cette terre comme nous le seriont d’un creuset « maternel », notre vivant «travaillera » au moyen de l’ensemble du « programme » mémorisé dans nos gènes. Tout est, dans la nature, forme et force, projections mathématiques , appelées « remarquables ».

jacques halbronn Psychosociologie. Le besoin d'harmonie visuelle et auditive dans une société patriarcale

jacques halbronn Psychosociologie. Le besoin d'harmonie visuelle et auditive dans une société patriarcale. La sensibilité de droite implique qu'au sein d'un espace, d'un cadre donné, délimité régne une certaine unité, homogénéité. Nous avons déjà insisté sur le fait que le pire péril qui menace une langue n'est ni sémantique, ni lexical en soi mais bien la perte de ses codes d'oralisation, de prononciation. C'est ainsi qu'un emprunt n'est vraiment toxique que s'il vient perturber l'harmonie générale d'une langue, c'est à dire qu'il n'est pas correctement intégré phoniquement dans la langue concernée. Cela vaut notamment pour les noms étrangers propres de personnes , de villes. Le français sera largement parvenu ce type de danger, du moins jusqu'au XIXe siècle. C'est ainsi que l'on prononcera Berlin ou Dublin, à la français avec une diphtongue London deviendra Londres et, Moskva deviendra Moscou, Warshawa, Varsovie, Roma, Rome, Praha, Prague, Wien, Vienne,Yeroushalaym, Jérusalem etc En revanche, New York ou Washington n'auront pas été "francisé". En revanche les prénoms des papes seront "localisés" On parlera du Pape François. Mais un autre front ne saurait être négligé, cette fois sur le plan visuel, pictural et non plus auditif, musical. Cela renvoie à notre systéme des topiques sensorielles lequel associe au masculin la vue et l'ouie et au féminin, l'odorat, le goût, le toucher. On aura compris qu'une société "patriarcale" ne tolérera pas de dissonances dans le registre de l'ouie et de la vue, en raison de son Surmoi alors qu'une société "matriarcale" sera plus vigilante sur l'odorat, notamment, donc , privilégiera la santé physique, l'hygiéne, le traitement médical. Cet autre front, on l'aura compris; concerne les dissonances visuelles au niveau de la population. De même que l'on peut parler de "mots étrangers", d'emprunts, l'on sera sensible aux apparences physiques, "étrangères", du fait notamment des traits du visage, de la forme du nez, bref du faciès, bref de tout ce qui vient troubler l'harmonie du paysage urbain. JHB 18 03 24

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