« Jacques Halbronn La Guerre de Sécession au prisme de l’astrologie EXOLS
Hertiuatipo |
L'actualité du droit d... |
Beats Pas Cher | Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | Lixueosche
| Kenpkcv
| Luivaterfoxs
Etudes de Critique biblique, astrologique nostradamiquej et linguistique.
vendredi 1 septembre 2023
acques halbronn Linguistique. L’hégémonie lexicale du français. Procés de la phonologie. L’emprunt linguisique
acques halbronn Linguistique. L’hégémonie lexicale du français. Procés de la phonologie. L’emprunt linguisique
Le langue française s’est constituée un empire lexical dont le caracrère irréversible nous apparait comme irréversible.
D’aucuns auront tenté, avec plus ou moins de bonheur, d’en minimiser l’importance en privilégiant la notion de langue sur celle de lexique, ce qui revient-astrologiquement- à tenir une posture « solsticiale », « nationaliste » face à une réalité « équinoxiale »,supranationale. Selon nous, un seul et même lexique peut servir de matériau pour tout un ensemble de langue et y connatre y subir divers traitements. A partir de là, l’on peut être tenté de mettre l’accent sur les entités linguistiques spécifiques et relativiser ce qui est le dénominateur commun entre celles-ci sous prétexte que le même lexique connait des prononciations différentes, des sémantiques décalées, des variations formelles particulières. En fait, ces langues sont marquées par un certain syncrétisme capable de leur conférer des apparences distinctes, notamment à l’oral car chaque langue maitrisera diversement les codes de prononciation de l’écrit ainsi emprunté.
Pour nous, épistémologiquement, en insistant sur la diversité des langues, l’on entraine la linguistique sur une fausse voie et la phonologie est largement allée dans ce sens en insistant sur la façon dont chaque langue gère le corpus qui est le sien à telle enseigne que nous soupçonnons l’entreprise phonologique d’avoir voulu occulter la dite hégémonie du français. Il est vrai que l’oralité des langues introduit une diversité bien plus forte que l’écrit lexical. C’est de bonne guerre! C’est comme si l’on mettait l’accent sur les produits dérivés d’un produit en occultant la nature première, matricielle de celui-ci.
Wikipeidia
» La phonologie est la branche de la linguistique qui étudie l’organisation des sons du langage au sein des différentes langues naturelles. Elle est complémentaire de la phonétique, qui s’intéresse à ces sons eux-mêmes, indépendamment de leur emploi. La phonétique s’intéresse aux sons en tant qu’unités acoustiques produites par un mécanisme physiologique (phones) ; la phonologie, aux sons en tant qu’éléments d’un système (phonèmes) »
Cette définition fait l’impasse sur le rôle basique de l’écrit et sur les codes de prononciation, le mode d’emploi de l’écrit et notamment sur la mauvaise transmission des dits codes.. Cela pose la question de l’emprunt linguistique et de la question de l’erreur. (cf notre mémoire ‘Linguistique de l’erreur et Epistémologie populaire’, 1987 sous la direction de Louis Jean Calvet, à Paris V (cf sa notice)
wikipedua
« En linguistique comparative, linguistique historique et sociolinguistique, le terme emprunt désigne l’adoption par un idiome (langue, dialecte) d’éléments de langue d’un autre idiome1. En même temps, « emprunt » désigne l’élément adopté. Ce terme s’est généralisé en linguistique, bien que, à la différence de son sens extra-linguistique, dans le domaine de la langue il ne désigne pas quelque chose à rendre. Toute langue a recours à des emprunts et fournit des emprunts à son tour, dans une certaine mesure. Ils concernent à divers degrés tous les domaines de la langue. Les plus fréquents sont les emprunts lexicaux, mais il y a aussi des emprunts grammaticaux (morphologiques et syntaxiques), ainsi que des emprunts phonétiques et prosodiques.Un aspect important de la question des emprunts concerne leur intégration, à un moment historique donné, dans la langue d’accueil, car les emprunts d’une langue présentent des degrés différents de réalisation de ce processus. »
La démarche phonologique serait donc polémique et pratiquerait une politique de la terre brulée face à l’hégémonie du français, au prix d’un émiettement babélique mettant l’accent sur l’originalité profonde de chaque langue. Or, force est de constater – et cela vaut encore plus de nos jours- que l’approche de l’écrit est avant tout lexical et que la diversité se limite à fort peu de choses et à quelques icones. On aurait ainsi une complémentarité entre le lexique et le clavier iconique si bien que le lexique resterait identique par delà la multiplicité des icones tant et si bien que l’on passerait aisément d’une langue écrite à l’autre, les icones étant des formes identiques d’une langue à l’autre dès lors qu’on ne les prononce pas. Avec le développement de l’IA et du Tchat GPT, on en arrivera sous peu à s’apercevoir que la seule variable importante n’est pas l’icone qui est constant mais bien le lexique qui exige un certain apprentissage en raison de sa richesse mais ce lexique sera largement identifié au corpus du français.
Lwikipeidia
« L’interlinguistique est une branche de la linguistique qui se définit comme l’étude de la communication linguistique internationale entre des personnes qui ne parlent pas la même langue maternelle. Elle s’intéresse entre autres au multilinguisme et à la structure et au fonctionnement des langues planifiées, notamment l’esperanto, langue construite devenue par la suite langue vivante internationale, mais aussi d’autres langues construites comme l’ido, l’interlingua ou le pandunia[réf. nécessaire]
JHB 01 09 23
Cet article a été publié le Vendredi 1 septembre 2023 à 18 h 35 min et est catégorisé sous LINGUISTIQUE. Vous pouvez suivre les réponses à cet article par le fil Flux des commentaires. Vous pouvez laisser un commentaire. Les trackbacks sont fermés. Éditer cet article.
Laisser un commentaire
Connecté en tant que nofim. Se déconnecter ?
Commentaire
Vous pouvez utiliser ces balises et attributs HTML :
Inscription à :
Articles (Atom)