jeudi 12 mai 2022

jacques Halbronn Astrologie EXOLS La clef solsticiale de la vie politique et de la vie amoureuse. Journaux intimes

Jacques Halbronn Astrologie EXOLS La clef solsticiale de la vie politique et de la vie amoureuse.Journaux intimes. Nous vous invitons à expliquer le présent par le passé au prisme de l’astrologie EXOLS. Selon nous, l’astrologie détermine une récurrence et c’est d’ailleurs en cela qu’elle se trouvera validée, au prisme de l’activation de nos fonctions mémorielles. Ajoutons que le passé sert d’objectif à atteindre en phase solsticiale et de repoussoir en phase équinoxiale. Si l’on prend le cas de la période solsticiale actuelle, l’on ne peut que remarquer le role du passé: nostalgie de l’Union de la Gauche, de l’Union Soviétique, de la Communauté Européenne de Défense (CED), qui ne fut pas appliquée à l’époque etc Mais signalons aussi en 1976, avec Chirac, en phase solsticiale, la création du RPR, avec ce mot « Rassemblement » qui fait écho au RPF de De Gaulle. On peut même voir dans le RN de Marine Le Pen, à la place du FN, une référence gaulliste. Cherchez toujours la référence du passé dans les actions engagées, ce qui est le gage de la récurrence, comme clef cyclologique. Mais, notre grille peut tout à fait couvrir les événements de la vie « privée ». En ce qui concerne le recherche dans ce domaine, il nous semble bien préférable de travailler sur des journaux ou/et des correspondances que de se fier à la seule mémoire de l’intéressé-e. En tout état de cause, rien ne vaudra la confrontation entre deux écrits, celui de l’astrologue et celui, étalé dans le temps, du consultant. Au vrai, les scénarios sont assez comparables d’un cas à un autre. Au départ, nous trouverons de l’équinoxialité mais par la suite cette équinoxialité nourrira la solsticialité. Nous prendrons notre propre exemple pour illustrer notre propos. En 1967-69, nous étions engagés dans un certain dépaysement en nous rendant en Israël. On était alors pour tout le monde en phase équinoxiale. Insistons sur ce « pour tout le monde » puisque nous ne prenons pas en compte le thème natal individuel mais bien une cyclologie « universelle » balisée de 7 ans en 7 ans à partir du passage de Saturne sur les axes équinoxiaux et solsticiaux. Mais en 1976, sous une phase solsticiale, cette fois, la référence fut bel et bien 1967-69, en écho. Il s’agissait de renouer avec un premier temps. Mais ce n’était pas fini car quinze ans plus tard, sous une nouvelle phase solsticiale, en 1993-1994, le référentiel israélien fut réactivé et nous allions avoir affaire à des personnages que nous avions connus lors de la précédente phase solsticiale. Nous nous trouvons donc dans une série se déployant de 1967 à 1995, soit sur une trentaine d’années, 1995 – début de phase équinoxiale -mettant fin à une phase solsticiale. Notons que la solsticialité est vécue et partagée par toutes les parties. Mais comme on a dit plus haut, rien ne vaut l’existence d’un corpus matériel de journaux et de correspondances, d’où la nécessité pour les personnes ainsi suivies astrologiquement de rassembler un maximum de documents pouvant faire foi. Cela dit, vue la simplicité de notre formule du fait que chaque période dure 7 ans, il n’est pas nécessaire de disposer d’une chronologie très pointue en raison de la durée impartie. Nous sommes là en face d’un phénoméne synchronique remarquable. Il ne s’agit plus ici de relier ce qui se passe en bas avec ce qui se passe en haut mais bien de s’en tenir, pour l’essentiel, à ce qui se présente en bas, d’une époque à l’autre. Cela exige, évidemment, de la part de l’astrologue ordinaire de devoir renoncer à mobiliser toutes les planétes du systéme solaire, se retrouvant à la foi dans le thème natal et par le biais des transits. Pourquoi faire compliqué quand on peut faire simple? On aura compris que cette synchronie genére une même dynamique puissante à tous les niveaux et que la somme des vécus solsticiaux constitue et compose un phénoméne marquant de convergence sociale, de consensus. Ce sont les revirements dans un sens ou dans un autre vécus dans un même temps, collectivement aussi bien qu’individuellement, qui contribuent à une validation de l’astrologie même si la projection vers l’avenir n’est nullement à exclure. C’est en tout cas la simultanéité des changements, lors du passage de l’équinoxial vers le vertical et vive versa, qui devrait fonder la « croyance » astrologique – liée à une théologie specifique et nous qualifierons un tel processus de « miracle » car la durée de 7 ans ne correspond à aucune causalité « naturelle ». JHB 17 05 22

Jacques Halbronn La littérature chrétienne antijuive et Vatican II

Jacques Halbronn . La littérature chrétienne antijuive et Vatican II On nous signale d’un côté que l’on a évacué du discours chrétien des propos stigmatisants pour les Juifs mais de l’autre, on ne se prive pas dans les églises de lire en chaire des textes comme celui de l’Epitre de Barnabé.(c Arthur Marmorstein L’épitre de Barnabé et la polémique juive, in REJ) : alliance abolie de Dieu avec les Juifs, lois et coutumes juives non voulues par Dieu, mission de Jésus prédite par les Prophétes. Il est bien difficile, en vérité, pour le christianisme de se dégager d’une posture antijuive et il faudrait commencer par interpréter correctement la déclaration attribuée à Jésus « je suis venu pour les brebis perdues de la maison d’Israel », bien des lecteurs et des commentateurs s’imaginant que cela vise les Juifs « perdus », ce qui constitue une contre sens caractérisé. Il importe de rappeler que les paiens n’ont rien à voir au départ dans cette affaire. C’est l’épitre à Barnabé qui déploie cette thèse selon laquelle les paiens remplaceraient les Juifs alors qu’il est question de ceux qui sont condamnés, interpellés par les prophétes, à savoir la maison d’Israel. En quoi consiste cette « maison »? En « citoyens » de second rang, issus du Royaume schismatique d’Israel., regroupant une population asservie par la maison de Juda, la théorie des 12 tribus et des 12 fils de Jacob visant à occulter cette réalité historique, laquelle théorie est exposée dans le Pentateuque dont nous avons montré qu’il était largement l’oeuvre du camp israélite. Cette population souffrait de cet ostracisme à son égard et Jésus s’est présenté à elle comme celui qui allait y mettre fin (cf Epitre aux Hébreux). Cette population ne souhaitait rien de plus cher que d’être « pardonnée » pour avoir développé une certaine hérésie;, d’où l’importance du pardon dans le discours chrétien, faussement mis en rapport avec un « péché originel »! JHB 10 04 22

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