mercredi 16 mars 2022

jacques Halbronn Le mirage des conjonctions de Saturne avec les transsaturniennes Uranus et Neptune

jacques Halbronn Le mirage de la conjonction Saturne Uranus Neptune en 1988 sur l'axe solsticial. Baglis TV vient de mettre en ligne des exposé de Gilles Verrier sur le "cycle" Saturne Uranus avec une conjonction, fin sagittaire-début capicorne laquelle coincide grosso modo avec le "cycle" Saturne-Neptune, d'où des réflexions sur les événements de 1989 que l'on associe généralement à la conjonction Saturne Neptune. Mais c'est oublier une notion bien plus évidente, à savoir le passage de Saturne sur l'axe solsticial capricorne-cancer qui est le vrai moteur du processus. Cette coincidence entre le changement de phase septennal de Saturne et les formation de ces deux conjonctions aura ainsi entrainé des conclusions parfaitement erronées, ce qui est le propre des coincidences. Il importe de comprendre que les cycles longs- 36 ans pour Saturne Neptune et 45 ans pour Saturne Uranus ne sont validés que par le biais des cycles courts avec lesquels ils coincident périodiquement. On peut le démontrer en observant que ces deux cycles ne rendent pas compte de toute une série d'événements du même odre, ce qu'en revanche permet le cycle Saturne-axes précessionnels de l'astrologie EXOLS, faisant alterner Equinoxialoité et solsticialité. Le défaut de ces deux cycles bi-planétaires en question qui se trouvent avoir coincidé fin 1988 début 1989, c'est de ne pas comporter de binarité et donc d'interpréter à l'identique les conjonctions ainsi formées, sans teiir le moindre compte de leur positionnement zodiacal: quarte printemps, quarte Eté etc comme si cela était indifférent. On a donc là une approche très grossière au niveau cyclologique tant chez Barnault, chez Lenoble que chez Verrier. Autrement dit, il y a là un appauvrissement regrettable de l'analyse cyclologique, à la fois au niveau d'un balisage chronologique lacunaire de l'Histoire du XX siècle et du début du XXIe siècle, et là la fois en ne distinguant pas les conjonctions successives de chaque cycle. L'outil ainsi proposé par ces chercheurs est bien moins performant que celui que nous avons proposé et il serait bon que Baglis TV instaure un débat contradictoire à ce sujet dans l'intérêt et pour l'honneur de la cause astrologique. Ce serait désorùaais grand temps! Quelques exemples des carences du cycle Saturne Neptune déjà signalés mais qui pourraient être mises en évidence pour le cycle Saturne Uranus-on notera dans le en 1977 (soit un demi cycle de Saturne, qui raméne des périodes de même nature que pour 1989-1991 mais aussi que 2022. Quand Lenoble annonce pour 2026 des effets comparables à ceux de 1989 du fait d'une nouvelle conjonction Saturne-Neptune, il ne tient pas compte du fait qu'en 2026 la conjonction aura lieu sur l'axe équinoxial dont les effets diffèrent radicalement de 1989; sur l'axe solsticial. A bon entendeur salut. Errare humanum est, perseverare diabolicum. Verrier signale que la prochaine conjonction Saturne-Uranus aura lieu en 2032. L'alignement du cycle Saturne Uranus n'aura eu qu'un temps et il y a là un décrochage. En tout état de cause, Verrier qui fait son exposé en 2021 ne "voit" evidemment pas venir les événements de 2022 pas plus que Lenoble., qui s'inscrivent dans une phase solsticiale de 7 ans qui s'achèvera fin 2025. Il est vrai que pour cette "école" d'astrologie, la notion de phase de 7 ans est étrangère et qu'ils croient que l'impact d'une conjonction se réduit à l'année durant laquelle elle survient et c'est ainsi que Barbault associait Saturne Neptune à la seule année 1953! A ce propos, le passage de Saturne en phase équinoxiale, ce qui englobe le moment de la dite conjonction, fut d'abord celui de la formation de la Communauté Européenne, donc strictement rien à voir les événements de 1989, en phase solsticiale. De même en 2025-26, on sera en phase équinoxiale et non plus en phase solsticiale comme en 1989, ce qui signifie que la période solsticiale actuelle s'achèvera et la phase suivante en prendra le contre pied. Selon nous, une phase de 7 ans commence par un signal fort - c'est la conception (au sens de la procréation) au moment de la conjonction et atteint son pic - c'est l'accouchement-à mi- parcours, soit 3 ans et demi. En l'occurrence, 1988 produira tous ses effets en 1991 avec le démantélement de l'URSS. De même, ce qui se passe actuellement en 2022 est le pic de la phase de 7 ans en astrologie EXOLS et cela aura débuté avec les problémes posés par le Royaume Uni aboutissant au BREXIT. Ce qui d'ailleurs nous indique que l'Union Européenne n'a pas fini d'être affectée par la phase solsticiale actuelle, ce qui fait pendant à l'Ouest à ce qui se produisit à l'Est de l'Europe en 1989, sous la même configuration. Par ailleurs, Verrier s'intéresse aux aspects entre les deux planétes au lieu de s'ancrer sur le passage de Saturne sur les axes saisonniers, rompant en cela avec la théorie des grandes conjonctions d'Albumasarr. pour Jupiter-Saturne -(on ignorait alors l'existence d'Uranus mais pas du dieu). Saturne joue un rôle important également pour les périodes de 300 ans en 300 ans, ce qui aboutira à 1789 (cf l'ouvrage de Denis Labouré Astrologie et religion). Mais ce qui fait surtout probléme, ne l'oublions pas, c'est le recours de Verrier à toutes les planétes du systéme solaire alors que cela correspond à un géocentrisme quand on croyait que les planétes tournaient autour de la Terre. L'astrologie n'a pas assumé cette révolution copernicienne du XVIe siècle. Avec le polyplanétarisme, aucune configuration ne se répété exactement car il y a toujours un autre mélange planétaire alors qu'en astrologie EXOLS, toutes les phase du meme type ont le même profil, puisque seul Saturne compte en tant que planéte, dans un processus héliocentré qui veut qu'il'y ait qu'un seul et unique facteur central. Saturne est le coeur du systéme astrologique.(cf notre manifeste "L' Astrologie selon Saturne, 1994, paru en période solsticiale comme actuellement, 28 ans plus tard. IL aura fallu tout un cycle de Saturne pour que la vérité l'emporte/ La période solsticiale actuelle est une invitation à affirmer qu'il n'y a pas une seule Astrologie qui serait celle de Barbault, Lenoble et Verrier mais qu'il existe une alternative, celle de l'Astrologie EXOLS et les adversaires de l'astrologie comme Serge Bret Morel seraient bien avisés de mettre tous les chercheurs en astrologie dans le même sac. Il semble d'ailleurs qu'à partir de 2026, en phase équinoxiale, la supériorité de l'astrologie EXOLS fera l'objet d'un consensus général et que les pratiques d'un Verrier et d'un Lenoble auront fait long feu?. (cf Verrier Le cycle Saturne Uranus. 1988- 2032 un duo inattendu entre abstraction et incarnation") En tout état de cause, la théorie selon laquelle il faudrait tenir compte de la succession de conjonctions planétaires, dans l'esprit de l'indice cyclique de Barbault, aura été mise à mal car cette période de 1988-89 aura été-avec le recul, bien plus calme que celle que nous traversions actuellement en 2022. Quant au jugement que l'on peut porter sur 1989, il convient désormais de le relativiser car si cela se trouve, cela n'aura été qu'un moment sans lendemain à long terme. En cyclologie, rien n'est d'ailleurs définitif et la gravite de événements dépend souvent davantage des leaders, que des astres. Avec d'autres leaders que ceux qui sont en place actuellement, il est fort probable, comme d'ailleurs en 1989, que les choses auraient pu prendre une toute autre tournure. JHB 16 03 22

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