lundi 28 août 2023

jacques Halbronn Astrologie et Manichéime. Modus vivendi entre force...

Jacques Halbronn Astrologie EXOLS Le rôle équinoxial des juifs dans ...

jacques Halbronn Une nouvelle approche du Droit constitutionnel autour de la question de l'alternance.

Jacques Halbronn Une nouvelle approche du Droit constitutionnel autour de la question de l'alternance. Pour nous l'alternance n'est pas une option mais une nécessité devant être insccrite dans la Constitution et.ou dans une Déclaration? or, actuellement, à chaque élection, la notion d'alternance est très floue et aléatire, vue comme une simple éventualité conjoncturelle, dépendant des circonstances. on ne sait même pas vraiment ce qu'il conviendrait de faire alterner et en quoi il s'agirait d'un impératif structurel. Le sociologue Maurice Duverger, dont nous suivimes les cours en 1965-66 à Paris II Assas, soulignait que pour qu'il y ait aklternance, il fallait du bipartisme sur le mdéle américain (Démocrates. Républicains) mais il n'en faisit pas un impératif constitutionnel comme c'est notre cas. Wikipedua "La loi de Duverger est un principe étudié en science politique concernant les systèmes électoraux et leurs effets sur les systèmes partisans. Elle affirme que le scrutin majoritaire uninominal à un tour tend à favoriser un système bipartite. Selon Duverger, il existe un lien étroit entre un système politique et son système électoral. Les systèmes électoraux déterminent le nombre de sièges obtenus par chaque parti lors d'une élection. Cette loi s'exprime en deux temps. Elle défend en premier lieu que le scrutin uninominal à un tour favorise le bipartisme. Elle défend en second lieu que le scrutin proportionnel plurinominal et le scrutin à plusieurs tours favorisent le multipartisme. Selon cette loi, la représentation proportionnelle tendrait à un système de partis multiples, rigides, indépendants et stables (des mouvements passionnels pouvant toutefois bouleverser cette logique) alors que le scrutin majoritaire uninominal à un tour tendrait plutôt à un système dualiste, avec alternance de grands partis ou coalitions indépendants les uns des autres. La découverte de cette tendance est attribuée à Maurice Duverger, un professeur de droit et politologue français qui a observé les effets de ce système de vote et les décrit dans plusieurs articles publiés dans les années 1950 et 1960. Dans ses écrits, Duverger présente les effets mécaniques et les effets psychologiques du mode de scrutin uninominal à un tour. La loi de Duverger a été présentée comme une loi scientifique. C'est la première loi à s'intéresser aux conséquences partisanes des systèmes électoraux. Les principes de Duverger ont ouvert la voie à un sous-champ massif de la discipline, celui des études électorales1. Son statut de loi scientifique est débattu en raison de plusieurs contre-exemples. Il y a maintenant un consensus chez plusieurs politologues qui affirment que le principe défendu par Duverger est une hypothèse à tendance généralisable plutôt qu'une loi en tant que telle Les effets du mécanisme que Duverger tente de démontrer sont probables, mais ils ne surviennent pas dans chaque situation. Le terme loi est encore utilisé par tradition". Selon nous, dans un systéme bipartiste, chaque parti est chargé de gérer l'une des deux phases de notre Astrologie EXOLS en recourant à des primaires débouchant sur l'élection du "right man" (ou person), pour la "right place", et au "right time". Le suffrage universel n'est pas ici de mise et l'élection doit être interne au parti concerné, à tour de rôle. On opposera classiquement montesquieu à Rousseau, au XVIIIe siècle, l'un insistant sur la notion de "séparation" et l'autre sur celle d'unité, ce qui correspond à nos notions respectivement d'équinoxialité et de solsticialité. JHB 28 98 23