mercredi 11 mai 2022

jacques Halbronn Les saisons comme clef perdue de l'Astrologie. La littérature

jacques Halbronn Les saisons comme clef perdue de l'Astrologie. La littérature Il importe de comprendre que l'absence, la carence d'une astrologie véritablement fiable et performante hypothèque tout le champ de la littérature. C'est ainsi que dans un roman, la mention d'une certaine saison peut se révéler tout à fait signifiante et il n'est pas sans importance que telle action se déroule au printemps plutôt qu'en Eté. Mais cela s'inscrit dans un cycle annuel qui nous est familier tout comme celui du jour et de la nuit, au quotidien. Or, il est un autre cycle qui marque notre existence mais dont la connaissance et la conscience restent obscure à la plupart d'entre nous, à savoir le cycle de 7 ans. En revanche, celui de la semaine est assez déterminant, avec notamment le week-end, le Shabbat, le "jour du seigneur" qui s'articule également autour du nombre 7. Cela tient à la division par quatre du cycle soli-lunaire. Il serait plus heureux de s'intéresser au songe de Pharaon tel qu'interprété par Joseph dans le Live de l'Exode. Mai le pire, c'est que ceux qui se disent astrologues n'accordent que fort peu d'importance au cycle de sept ans, lequel n'est jamais pour eux qu'un cycle parmi tant d'autres. Et c'est bien là le drame car ce cycle revêt une portée capitale tant pour la vie publique que pour la vie privée. On abordera ici l'aspect littéraire, romanesque où ce cycle n'est ni connu, ni respecté. Or, si l'on admet que le champ littéraire entretient un rapport mimétique avec la vie "réelle", ce champ ne peut qu'être miné par une telle méconnaissance. Il nous semble donc urgent que ce cycle de sept ans lequel fait alterner les phases d' un processus calqué sur les saisons, soit enseigné dans le cadre des études littéraires au même titre que la psychanalyse, par exemple. Précisons, en guise de préliminaire, que de la même façon que les saisons de 3 mois correspondent à une division par quatre du cycle annuel de 12 mois, de même les périodes de 7 ans correspondent à une division par quatre du cycle de la planéte Saturne d'environ 28 années terrestres.(révolution autour du Soleil) et que cette division correspond au passage de la dite planéte sur les axes équinoxiaux et solsticiaux, de 7 ans en 7 ans. ll y a une corrélation numérique entre le cycle de la Lune et celui de Saturne. Quand on comprend le passage d'une phase équinoxiale de Saturne à sa phase solsticiale, l'on se rend compte qu'il ne saurait s'agir d' un paramétre dont on pourrait se permettre de faire l'économie dès lors qu'une action s'étale dans le temps, qu'elle soit réelle ou fictive. Car même la fiction est censée s'aligner sur une certaine vraisemblance. Par ailleurs, les biographies sont pénalisées par la méconnaissance d'une telle structure universelle du Temps et notamment d'une dynamique de récurrence, qui constitue selon nous un enjeu existentiel majeur, le passé revenant périodiquement à la surface -retour du refoulé, venant ainsi troubler le cours des choses et ce que l'on croyait révolu retrouve une nouvelle prégnance, pour sept ans et c'est en fait ce qui devrait être un enjeu crucial de notre vie terrestre comme une sorte d'éternel retour. On peut même aller jusqu'à proner l'émergence d'un nouveau mouvement littéraire qui se donnerait pour régle; discipline, cette succession alternée de phases de 7 ans comme il y eut en son temps au théatre la "régle des trois unités". Dans la vie réélle, cette régle des 7 années prévaudra de toute façon, même si elle n'est pas formulée, formalisée de façon explicite et cela fait penser au Bourgeois Gentilhomme qui faisait de la prose sans le savoir.. La raison pour laquelle l'astrologie aura fini par négliger le réféentiel saisonnier tient paradoxalement à l'importance accordée aux 12 signes du Zodiaque, lesquel se référent aux saisons mais sans accorder d'impotance particulière aux deus axes. JHB 11. 05 22

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