Etudes de Critique biblique, astrologique nostradamiquej et linguistique.
lundi 6 février 2023
jacques halbronn Epistémologie. Le dilemme singulier pluriel en astrologie.
Jacques halbronn Epistémologie Le dilemme singulier..pluriel en Astrologie
Quel avenir pour l’astrologie ? Se complaire dans le « pluriel », le « multifactoriel », le « panthéon » mythologique, le thème natal, les combinaioires de planétes, ce qui est la tendance dominante actuellement ou bien, comme nous le proposons depuis 30 ans, depuis notre Astrologie selon Saturne, faut-il se restreindre à un seul et unique vecteur, comme c’est d’ailleurs déjà le cas avec le « signe solaire »... ? Nous avons insisté récemment sur le fait que ce n’est pas parce qu’il y a des planétes qu’il faut toutes les utiliser comme si la relation émetteur récepteur était automatique et n’exigeait pas une certaine élaboration (cf la notion d’instrumentalisation exposée en 1986 dans notre essai « La pensée astrologique » in Histoire de l’astrologie de Serge Hutin, Ed Artefacr) Ne serait-il pas temps de repasser du pluriel vers le singulier?
JHB 06 02 23
jacques halbronn Linguistique : la triple problématique de la réduction.
Jacques Halbronn Linguistique : la triple problématique de la réduction
Nous nous proposons de compléter ici notre étude sur le processus de réduction en français que nous avions déjà décrit lors du passage du pluriel au singulier et du féminin au masculin en adjoignant une troisiéme dimension, concernant l indicatif et le subjonctif. Pour cela, il convient de repenser la question du subjonctif en la rapprochant de l’impératif,, dont l’intitulé est bien plus parlant.
En effet la forme impérative recourt fréquemment au subjonctif /. Il faut que tu ailles, que tu saches ou je veux que tu fasses . Or d’un point de vue psychologique, l’impératif est lié à une volonté, à un ordre, ce qui s’oppose au respect du statu quo, voire à un certain déni de réalité.
Le passage à l’indicatif passe par un processus de réduction et de diphtongation : que je prenne devient je prends., que je sache devient je sais, que tu viennes donne t tu viens etc. comme pour le passage du pluriel au singulier et du féminin au masculin Il y a là, on, en conviendra, une dialectique de toute première importance à trois niveaux.
Cela dit, l’on peut tout à fait penser que c’est la forme longue qui serait un dépassement de la forme réduite plutôt que l’inverse. Vaste débat !
Nous penchons avec la réduction pour un rétablissement d’un premier état, d’un état premier. Et astrologiquement, nous dirons que l’état de réduction est involutif, équinoxial tandis que l’état de prolongement serait évolutif, solsticial. On pense à la dialectique entre polythéisme et monotheisme, soit entre pluriel et singulier, qui traverse la Bible et qu’on retrouve dans l’épisode de la Tout de Babel. Mais quid du « croissez et multipliez » qui nous semble liée au féminin ‘ét au pluriel. ? On est en droit de se demander s’il ne s’agit pas là d’un « apport » israélite » voire israélo chrétien peu compatible avec l’esprit du judaisme.
JHB 06 02 23
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