vendredi 2 février 2024

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Jacques halbronn Théorie du duodénaire planétaire, de Fomalhaut à Léon Lasson

jacques halbronn Théorie du duodénaire planétaire, de Fomalhaut à Léon Lasson. Dans son Histoire de l'astrologie parue en 1906 parue chez Chacornac, Vanki (alias Trioulaire) témoigne de l'ancienneté des maitrises planétaires à base 12, en France., ce qui remonte à plus de cent ans, en référence aux 12 signes zodiacaux./ Il se réfère (p 100) au Manuel de Fomalhaut (alias Nicoullaud) de 1897 les correspondances suivantes: " Le systéme devient duodénaire, douze étant le nombre parfaitn complet, à savoir le Soleil, Vulcain, Mercure, Vénus, la terre, *(avec la lune) mars, Junon, Jupitern Saturne, Uranus, Neptune et Pluton. Les planétes se groupent astrologiquement deux par deux, l'une bonne, l'autre mauvaise, Saturne et Uranus , cette dernière prenant, en astrologie, les bonnes qualités de SaturbenJupiter et Neptune qui correspond aux moins bonnes influences de Jupiter. Mars et Pluton, cette dernière apportant les bonnes influences de Mars, Vénus et Junon qui prend les mauvaises significations de Vénusn, Mercure et Vulcain, neutres tous deux. Le septénaire reste ainsi complet . Le Soleil, la lune et cinq groupes de deux planétes contenant chacun les significations entières de l'astrologie(..) Rien n'est plus simple que d'admettre que chez les Chaldéens, Uranus dominait au Capricorne, et Saturne au Verseau, Neptune aux Poissons et Jupiter au Sagittaire, Mars au Scorpion et Pluton au Bélier (..) Junon à la Balance (..) et Vénus au Taureau, Mercure à la Vierge et Vulcain aux Gémeaux. Si on compare ce dispositif avec celui de Léon lasson (en 1954), Fomalhaut ne considére pas la possibilité de deux transplutoniennes et prend en compte les astéroides, sous le nom de Junon et l'intramercurielle, dénommée Vulcain qui servira ensuite à baptiser une transplutonienne, Proserpine renvoyant à Cérés, nom du premier astéroide découvert en 1801. On aura donc déplacé Vulcain et Cérés au delà de Pluton (l'époux de Proserpine) Dans nos Clefs pour l'astrologie (1976) nous avions adopté cette proposition soutenue par Jean Carteret et reprise par André Barbault dans son traité pratique (Seuil 1961) Nous avons abandonné cette piste de recherche, en préférant en resté à un sénaire, excluant le Soleil, ne pouvant être à la fois curseur et significateur puisque pour nous l'astrologie n'a besoin que d'un seul et unique vecteur passant sur un certain nombre de divisions de l'écliptique, non pas 12 mais 4 (les 2 équinoxes et les 2 solstices). En fait, ce n'est pas le Soleil que nous avons retenu comme curseur mais bien Saturne (cf notre Astrologie selon Saturne, 1994-95) car le soleil n'a pas un cycle intéressant comme Saturne qui est à rapprocher de la Lune sur la base de un an pour un jour.(28) Il est par ailleurs regrettable d'un point de vue stratégique d'avoir préféré le duodénaire au septénaire. Comme le rappelle Vanki (pp 28 et seq) le 7 aura impacté une longue tradition symbolique (la semaine). En outre,le dispositif des domiciles implique le principe des doubles domiciles, ce qui permet d'échapper à l'emprise du 12 en faveur du 6. Ptolémée, en intégrant le Soleil, est néanmoins obligé de considérer les luminaires comme une sorte de binôme pour préserver un tel équilibre. Il s'agit là d'un contre-sens car le Soleil est le curseur alors que les planétes ne sont que des significateurs purement symboliques. . Que chaque planéte du septénaire s'exprime sur deux registres est d'ailleurs pleinement compatible avec notre théorie cyclique binaire ( Astrologie EXOLS équinoxes/solstices) Comme le montre le cas du Manuel d'Astrologie sphérique et judiciaire de Fomalhaut, on assiste à un impact croissant des "nouvelles" planétes sur le dispositif des domiciles, ce qui aboutit, comme on l'a vu, à la thèse d'autant de planétes que de signes! On va donc à contre courant d'une dézodiacalisation de l'astrologie, ce qui est renforcé par la théorie des ères précessionnelles (cf notre ouvrage collectif Aquarius ou la Nouvelle Ere du Verseau, Ed Albatros, 1978) En ce qui concerne Jean Pierre Nicola, son dispositif RET (à base 9/10 englobe Uranus, Neptune et Pluton (groupe T pour "Transcendance"), sans chercher à accéder au 12. alors même qu'il se référe à la "loi de Bode" qui ne marche que jusqu'à Uranus sans parler des vicissitudes astronomiques de Pluton; assimilée aux astéroïdes. JHB 02 02 24

Jacques halbronn Critique du syncrétisme historico -théologique.

jacques halbronn Critique du syncrétisme historico-théologique. Il nous apparait que la théologie biblique aura été lourdement affectée et impactée par le contexte socio-historique, d'où un certain nombre de contradictions et d'incohérences que nous passerons brièvement en revue. Le premier point concerne la dimension géo-politique, à savoir la polarisation sur la Palestine et la langue hébraïque comme si l'on pouvait concevoir théologiquement qu'Elohim, le dieu de la Genése, avait pu attribuer au 'peuple élu", une parcelle aussi infime de notre planéte, Terre et lui associer une langue "sémitique" qui ne lui serait pas réservée et qu'il aura notamment à partager avec le monde arabe dès lors que l'hébreu, l'araméen, l'arabe appartiennent à une famille, d'où d'ailleurs le terme d'antisémitisme/. Est ce que les Araméens ou les arabes auraient emprunté l'hébreu aux Juifs ou est-ce l'inverse?. Nous avons montré à quel point la Bible était un ensemble disparate, marqué par des enjeux divergents, à commencer par les effets du Schisme survenu à la mort du roi Salomon qui déboucha sur la constitution de deux "royaumes" au nord celui d'Israel, au sud, celui de Juda. Cette dualité, nous la retrouvons avec les deux fils jumeaux d'Isaac, Esau et Jacob et ce n'est pas par hasard que ce dernier portera le surnom d'Israel, ce qui renvoie évidemment au Royaume ainsi intitulé. L'arrivée des Hébreux en Palestine reprend en fait une problématique bien plus vaste qui est celle des Juifs sur la Terre, ce qui, théologiquement fait plus sens qu'en rapport avec quelque lopin de Terre, autour du fleuve Jourdain! La Terre "promise" est notre planéte et non ce minuscule territoire du proche Orient! En ce qui concerne le christianisme, la notion centrale de "pardon" ne se comprend pas si l'on ignore les effets du dit Schisme lequel aura conduit à une sécession qu'il s'agira un jour de "réparer". Les Chrétiens sont les descendants et les tenants du dit Royaume d'Israel et la sécession est au coeur de la question du "péché originel" Jésus déclare être venu pour sauver les "brebis perdues de la maison d'Israel" et il s'agit bien là d'une dimension historico-politique bien plus que théologique. Quant à la question du déicide, dans le Nouveau Testament, qui fait de Jésus un "dieu";elle est évidemment liée à un certain contexte politique de l'époque.. En conclusion, nous dirons que la théologie qui sous tend la Bible ne saurait être syncrétisée avec un contexte historico-géographique aussi limité dans le temps et dans l'espace.

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