vendredi 15 décembre 2023

jacques halbronn epistémologie le pâssage du bas vers le haut et vice vera

jacques halbronn Epistémologie le passage du bas vers le haut et vice versa On se demandera si la dialectique n'est pas liée au passage d'un niveau à un autre, du bas vers le haut et du haut vers le bas et cette problématique est récurrente, elle se retrouve en linguistique comme en politique, en cyclologie comme en psychosociologie; passage du simple au complexe, passage du récepteur vers l'émétteur, du féminin vers le masculin, du singulier vers le pluriel, de la droit vers la gauche, du bas vers le haut, de la masse vers l'élite , de la forme basique à la forme sophistiquée.et vice versa; l'oeuf et la poule Encore faut-il être en mesure de déterminer dans quel sens les choses s'opèrent mais de toute façon, si l'on renonce à la linéarité en faveutr de la cyclité, il y aura nécessairement alternance, ouroboros; jhb15 12 23

jacques halbronn L'usage syncrtéique du mot Israel. dans le judaisme. Repenser la relaion entre Juifs et Chrétiens

jacques halbronn L'usage syncrétique du mot Israel dans le judaisme Repenser la relation entre Juifs et Chrétiens.S S'il est un terme qui se retrouve dans les contextes les plus divers, c'est bien celui d'Israel et l'on aurait donc bien tort de vouloir unifier toutes ses acceptions. Qu'on en juge: le terme figure dans le Livre de la Genése, à propos d'un surnom conféré à Jacob, ce qui conduira à parler des enfants d'Israel (Beney Israel) à propos de sa progéniture dont il est question dans le Livre de l'Exode, à toutes les pages. On retrouve le terme dans le "Deutéro) Isaie 45 et seq à propos du Perse Cyrus lequel se serait chargé de "rapatrier" les Israélites., Mais nous avons montré que dans le Livre d'Ezra (Esdras), ce n'est pas aux Israélite que Cyrus se serait adressé mais bien aux Judéens en vue de les reconduire à Jérusalem. Dans Ezra, il est question de la Judée et de Jérusalem alors que dans Isaie 45, ces noms ne sont point de mise puisque l'on sait que les Israelités ne se référaient point au Temple de Jérusalem. Quel contraste avec le vrai récit d'Ezra Chapitre Ier א וּבִשְׁנַת אַחַת, לְכוֹרֶשׁ מֶלֶךְ פָּרַס, לִכְלוֹת דְּבַר-יְהוָה, מִפִּי יִרְמְיָה: הֵעִיר יְהוָה, אֶת-רוּחַ כֹּרֶשׁ מֶלֶךְ-פָּרַס, וַיַּעֲבֶר-קוֹל בְּכָל-מַלְכוּתוֹ, וְגַם-בְּמִכְתָּב לֵאמֹר. 1 Dans la première année de Cyrus, roi de Perse, à l'époque où devait s'accomplir la parole de l'Eternel annoncée par Jérémie, l'Eternel éveilla le bon vouloir de Cyrus, roi de Perse; et celui-ci fit proclamer dans tout son empire, par la voix [des hérauts] et aussi par des missives écrites, ce qui suit: ב כֹּה אָמַר, כֹּרֶשׁ מֶלֶךְ פָּרַס--כֹּל מַמְלְכוֹת הָאָרֶץ, נָתַן לִי יְהוָה אֱלֹהֵי הַשָּׁמָיִם; וְהוּא-פָקַד עָלַי לִבְנוֹת-לוֹ בַיִת, בִּירוּשָׁלִַם אֲשֶׁר בִּיהוּדָה. 2 "Ainsi parle Cyrus, roi de Perse: L'Eternel, Dieu du ciel, m'a mis entre les mains tous les royaumes de la terre, et c'est lui qui m'a donné mission de lui bâtir un temple à Jérusalem, qui est en Judée. ג מִי-בָכֶם מִכָּל-עַמּוֹ, יְהִי אֱלֹהָיו עִמּוֹ, וְיַעַל, לִירוּשָׁלִַם אֲשֶׁר בִּיהוּדָה; וְיִבֶן, אֶת-בֵּית יְהוָה אֱלֹהֵי יִשְׂרָאֵל--הוּא הָאֱלֹהִים, אֲשֶׁר בִּירוּשָׁלִָם. 3 S'il est parmi vous quelqu'un qui appartienne à son peuple, que son Dieu soit avec lui, pour qu'il monte à Jérusalem, qui est en Judée, et bâtisse le temple de l'Eternel, Dieu d'Israël, de ce Dieu qui réside à Jérusalem! ד וְכָל-הַנִּשְׁאָר, מִכָּל-הַמְּקֹמוֹת אֲשֶׁר הוּא גָר-שָׁם--יְנַשְּׂאוּהוּ אַנְשֵׁי מְקֹמוֹ, בְּכֶסֶף וּבְזָהָב וּבִרְכוּשׁ וּבִבְהֵמָה; עִם-הַנְּדָבָה--לְבֵית הָאֱלֹהִים, אֲשֶׁר בִּירוּשָׁלִָם. 4 Tous ceux qui restent [de ce peuple], quelle que soit leur résidence, leurs compatriotes devront les gratifier d'argent, d'or, d'objets de valeur et de bêtes de somme, en même temps que d'offrandes volontaires destinées au temple de Dieu à Jérusalem." ה וַיָּקוּמוּ רָאשֵׁי הָאָבוֹת, לִיהוּדָה וּבִנְיָמִן, וְהַכֹּהֲנִים, וְהַלְוִיִּם; לְכֹל הֵעִיר הָאֱלֹהִים, אֶת-רוּחוֹ, לַעֲלוֹת לִבְנוֹת, אֶת-בֵּית יְהוָה אֲשֶׁר בִּירוּשָׁלִָם. 5 Alors s'apprêtèrent les chefs de famille de Juda et de Benjamin, les prêtres et les Lévites, tous ceux en qui Dieu avait éveillé le désir d'aller bâtir le temple de l'Eternel à Jérusalem. Par ailleurs, il semble bien que le nom d'Israel utilisé pour qualifier le nouveau Royaume - comme il le sera en 1948 pour nommer l'Etat Hébreu, ait été repris d'une dénomination géographique, ce qui contribue à la confusion. Mais la Bible elle-même nous apparait comme foncièrement sysncrétique puisque véhiculée par les Judéens jusqu'à nos jours, elle use largement du nom d'Israel, notamment dans le Livre de l'Exode.(cf Israel Finkelstein, Neil Asher Silberman, La Bible dévoilée Les nouvelles révélations de l'archéologie. Ed Bayard 2002) Comment se fait -il que cette présence "israélite" dans le Pentateuque ait pu se pérenniser, est ce l'oubli du Schisme survenu à la mort de Salomon entre les populations asservies, assujetties, vassalisées du nord et la "métropole" méridionale autour de Jérusalem.? Tant et si bien que l'on peut dire que les Israélites auront eu le dernier mot en imposant le récit d'une prétendue Sortie d'Egypte, sous la houlette d'un Salomon, réplique de Cyrus - puisque selon nous, le Deutéro Isaie est postérieur au retour des Judéens sur leurs terres si bien que a fête de Pessah serait marquée par cet israélisme.. Tout se passe comme su s'était cristallisé un syncrétisme dont le judaisme n'aurait jamais réussi à s'extraire. Pourtant, dans les faits, encore du temps de Jésus, les populations du Nord faisaient encore l'objet d'un ostracisme, comme le révéle, dans l'Evangile de Jean, l'épisode de la femme Samaritaine mais aussi la formule prétée à Jésus: je suis venu d'abord pour les brebis perdues d'Israe, d'où ses pérégrinations en Galilée, en tant que Juif souhaitant réconcilier les deux "frères" (Esau et Jacob). D'aucuns se sont empressés de voir dans les condamnations d'Israel, dans les Livres des Prophétes, une référence aux Juifs. Mais c'est là un énorme contre-sens. Même dans le Talmud (cf notre ouvrage Le Monde Juif et l'Astrologie, Ed Arché, Milan, 1985), l'on trouve moult références à Israel à commencer par le débat sur le "mazal", le determisme astral auquel échapperait ou non Israel (traité Shabbat) Comment les Chrétiens pourraient-ils ne pas être perplexes quand les Juifs récitent relifgieusement leur "Shéma Israel", issu du Deutéronome, cinquiéme livre du Pentateuque? Question importante, s'il en est, puisque cela pose la question des origines du Christianisme qu'il convient de chercher du côté des descendants du Royaume d'Israel (ou de Samarrie) au point que nous ayons proposé de remplacé la forme judéo-christianisme par la forme israelo-christianisme. Il serait salutaire, en effet, de débrouiller cet échevau syncrétique et de rendre à César ce qui revient à César. L"idéologie chrétienne est, selon nous, indissociable, du Schisme du Xe siècle avant JC et de l'attente d'un pardon, liée à la venue d'un Messie (nom attribué à Cyrus dans Isaie 45)., un pardon qui ne saurait venir du sein du monde israélite mais d'un personnage extérieur, comme Jésus et Moïse, qui leur tendrait la main. Ce schisme est le péché originel (associé à la faute d'Adam, au début du Livre de la Genése, dont les chapitres II à IV sont l'oeuvre, selon nous, de scribes à la solde des réfugiés du Royaume détruit d'Israel) , la faute expiée par les Israélites reniant le Temple de Jérusalem et instaurant des statues de veaux à leurs frontières nord et sud, construisant un temple sur le mont Garizim: Sur Internet Cisjordanie : le temple du mont Garizim, rival de celui de Jérusalem Une controverse oppose les Samaritains et les juifs depuis l’Antiquité. Chacune des deux communautés affirme que son sanctuaire - celui du mont Garizim, à côté de Naplouse, en Cisjordanie pour les premiers, et celui de Jérusalem pour les seconds - est le lieu légitimé par les textes sacrés pour accueillir les sacrifices" On nage donc, sur toute la ligne, en plein déni/délire syncrétique, alimenté par une certaine crispation unitaire. C'est dire que le dialogue judéo-chrétien exige de part et d'autre une remise en question: d'une part les Juifs doivent se démarquer de tout ee qui touche à Israel en dépit de l'usage qui a été fait de ce nom pour désiner les Israélites au XIXe siècle et les Israéliens actuels alors que les Chrétiens, symétriquement, auront à assumer pleinement une telle fiiation israélite, y compris en recoannaissant que les Israélites n'ont pas la même origine ethnique que les Judéens, ce qui est à la base même du Schisme. .JHB 15 12 23

jacques halbronn La théorie des ères précessionnnelles fausse notre représentation de l'astrologie.

jacques halbronn La théorie des ères précessionnelles fausse notre représentation de l’astrologie. En popularisant l’attente de l’Ere du Verseau, à partir des années trente du siècle dernier, Paul Lc Cour aura engagé l’astrologie sur une fausse piste.(L’‘Ère du Verseau, ou le retour de Ganymède) en laissant croire que la symbolique zodiacale s’imposerait à nos esprits, les impacterait à leur insu, de la même façon que la cyclologie planétaire.(cf Jacques d’Arés L’Ere du Verseau. L’héritage de Paul Le Cour, in Aquarius ou la Nouvelle Ere du Verseau, dir. J. Halbronn, Ed Albatros, 1979;pp 26 et seq) alors qu’il s’agit, en réalité, d’une démarche inverse de celle de l’astrologie mondiale.André Barbault avait raison de ne pas se servir de la dite symbolique zodiacale dans ses ouvrages dans ce domaine mais a –t-il été suivi? En effet, tout ce qui touche à cette symbolique est de l’ordre de la pure convention. Une société, un ensemble de ses membres, décident de s’aligner sur les signes du Zodiaque, de se représenter par ce truchement. On est né sous tel signe, on traverse une période marquée par tel signe et tutti cuanti. Ce sont là autant de procédés d’identification tout à fait délibérés, auto-réalisateurs. Vouloir (faire) croire que la symbolique du Taureau ou du Bélier se serait imposée des siècles durant à telle ou telle civilisation, c’est bien là un procédé mystificateur qui a pu sembler une bonne façon de prouver la validité de l’astrologie, tout comme la pratique des horoscopes des média articulée sur le découpage en 12 signes. Mais de là à attendre une nouvelle ère, il y a bien solution de continuité car une chose est d’adopter tel ou tel symbole, comme les Chrétiens avec le poisson, une autre est d’annoncer que prochainement, le symbolisme ne sera plus le même, qu’on le veuille ou non, car tel est le décret céleste. Bien pis, au lieu de s’en tenir au seul langage sysmbolique emprunte à l’iconographie des mois de l’année -dans les Livres d’heures- on nous parle, au nom du Verseau, d’un nouvel âge marqué par ce que l’on associé avec ce signe (ou cette constellation) Examinons dans l’ouvrage cité plus haut « Aquarius » le propos tenu par tel ou tel intervenant dans la partie intitulée ‘L’entrée en Verseau .Sa symbolique et ses interprétations » (pp. 239-296). Cette partie est bien différente de la précédente qui se voulait purement historique et rétrospective avec notamment de copieux développements de Robert Amadou et de Fernand Schwarz. C’est bien là que le bât blesse dans cet ouvrage, ce glissement du passé vers le futur avec cette connexion facheuse entre le zodiaque précessionnel et le zodiaque des signes solaires. (cf Serge Huin et Henri Caillaud, L’année 1962 et la tradition rosicrucienne de l’Ere du Verseau, pp 290 et seq), à propos des spéculations sur la date d’entrée dans la nouvelle ère, non seulement d’un point de vue astronomique (passage du point vernal dans une nouvelle constellation) mais anthropologique- ce qui est en train de se changer dans le « psychisme humain » On passe alors allégrement (avec Catherine Aubier) de la constellation au signe. et vice versa, du sidéral au tropical. , JHB 15 12 23

jacques halbronn Astrologie. Gauche, Science, Elite Equinoxialité versus Droite, Populisme, Masses, Solsticialité

jacques halbronn Astrologie; Gauche.Science. Equinoxialité versus Droite. masses; Solsticialité Il nous semble nécessaire de préciser de quelle alternance toute société a besoin et c’est l’astrologie qui a les clés de la réponse. Dans l’idée de réformer le Droit Constitionnel, il s’agit de déterminer par avance le rythme et l’alternance des politiques, à savoir de sept ans en sept ans et sur la base d’une alternance des politiques, lesquelles compteront davantage que celle des personnes. D’éntrée de jeu, nous avancerons que la crédibilité de la Gaucne. En ce sens, la Gauche devrait impérativement faire alliance avec la Science, politique, Rappelons ce qu’est le « socialisme scientifique. Ce sont les avancées scientifques qui auraient ainsi vocation à guider l’Humanité vers sib Sur Internet » Le socialisme scientifique est alors tout autant le socialisme théorisé par Marx et Engels ainsi que par ceux se réclamant de leur filiation, que le socialisme qui mobilise les savoirs de son temps et propose une explication « scientifique » du monde social. ». Il suffit donc de quelques chercheurs « géniaux » pour légitimer la gauche. Inversement, à Droite, on a besoin de tribuns, capables de mobiliser les foules autour d’un consensus populaire, que l’on peut aussi bien qualifier de populiste, par son caractère plus quantitatif que qualitatif. Le cas de De Gaulle est intéressant, pour l’année 1962, année où il envisage un référendum quant à l’élection du président de la République au suffrage universel. Or, c’est bien à gauche que se constituera une opposition au dit projet de Droite, la Gauche se fiant plus aux données scientifiques qu’aux éléments aussi consensuels soient-ils. Cela signifie que la Gauche aurait un brulant besoin de têtes pensantes, donc d’une élite. Or, parfois, l’on serait tenté d’associer l’élite à la Droite – on pense à la noblesse -et le peuple à la Gauche – Travailleurs, unissez vous »:- ce qui serait une grave erreur. Notre approche de l’astrologie, quant à elle, s’inscrit quelque part, dans la suite du socialisme scientifique, ce qui correspond à la Nouvelle Alliance (Jérémie XXXI) pour ce qui est de la Gauche; Il y a là quelque paradoxe: la Gauche n’est crédible que si elle sait « vendre » un certain « programme », un certain « modéle » élaboré en amont. Pour la Droite en revanche, il ne s’agit pas de réaliser quelque avancée scientifique mais de souder les masses sur un savoir commun consensuel; JHB 14 12 23

jacques halbronn Sociolinguistique. Une langue idéale doit sensibiliser...

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