jeudi 26 octobre 2023

jacques halbronn Linguistique et politique. La voie intiatique de la dphtongue.

Jacques halbronn Linguistique et politique. La voie initiaique de la diphtongue La diphtongue est la marque de fabrique de la langue française, dont le nom lui même comporte une diphtongue à l'instar la monnaie, le franc et de la peuplade des Francs. On peut dire qu'il s'agit là d'un trésor, d'une pratique sacrée. Un mot revient constamment en français: l'adjectif "bon" qui est décliné de toutes sortes de façons, au masculin mais aussi sous la forme féminine primaire, "bonne", qui ne respecte pas la diphtongaison ou si l'on préfére n'y a pas accés. Ce son "bon" ou "bonne" fait pendant à l'anglais good et right, à l'hébreu tov.(shana tova) On en donne une liste non exhaustive. Bon voyage, bonne santé, bon appétit, bon courage, bonne année, bonsoir, bonjour, bon anniversaire, bonnes fêtes, bonheur, bonne foi, sans parler de la forme "bien" comme dans Bienvenue, devenant en anglais Welcome et en italien Benvenuto sans respect de la diphtongue. On retrouve notre diphtongue dans les dérivés de verbe, comme parlement passé en anglais sans sa diphtongue, ou encore agreement. La diphtongue vaut aussi pour les adverbes du français et les anglais ont préféré remplacer le "ment" par le "ly", qui n'a plus rien à voir avec le processus diphtonguant, spécialement devenant ainsi specially. Pourtant, ce son diphtongué se retrouve tout de même en anglais dans I don't, I can't alors que le participe présent du français en ant, quand il passe en anglais dans de nombreuses tournures, se voit décomposé donc dédiphtongué. Le fait que l'anglais ne marque pas le genre pour les adjectifs et les participes, le dispense de toute façon de recourir à toute diphtongaison ou diphtongation. Selon nous, à l'origine, l'allemand était fortement diphtongué comme en témoignent des formes écrites éminemment diphtongables :ein, nein, kein, sein, dein, mein, qui font pendant au français un, non, aucun son, ton, mon. En français, la diphtongue est présente et constitué un marqueur de genre alors qu'elle est occultéé en raison d'une mauvaise transmission des codes de prononciation en allemand, où au lieu d'opposer diphtongaison et non diphtongaison, l'on prononce le "e" comme une voyelle à part entière alors qu'il s'agit d'un facteur diacritique dont nous avons décrit la double fonction ailleurs. Notons ainsi en français le mien masculin diphtongué et la mienne, pour le féminin, non diphtongué, en raison précisément de la lettre e postérieure. Il convient, enfin, d'inverser le passage du masculin au féminin, si souvent exposé dans les grammaires, alors qu'en réalité, l'on part du féminin pour aller vers le masculin, selon un processus de contraction qui exige une initiation spécifique chez les locuteurs et l'on peut penser que la diphtongue a du jouer un rôle de discrimination des sexes, les femmes n'ayant pas le droit de diphtonguer; ce qui était signalé par la présence de la lettre e à la suite de la diphtongue. L'hébreu, du moins tel qu'il se présente dans le Livre de la Genése, prône le passage du masculin au féminin au chapitre II avec le verset qui déclare que le féminin de Ish (homme) sera Isha (femme). Or, Ish est en fait un raccourci de Enosh (Anashim, les gens) Livre de Daniel VII, ce qui comporte une diphtongue nasale avec la lettre "n" חָזֵה הֲוֵית, בְּחֶזְוֵי לֵילְיָא, וַאֲרוּ עִם-עֲנָנֵי שְׁמַיָּא, כְּבַר אֱנָשׁ אָתֵה הֲוָא; וְעַד-עַתִּיק יוֹמַיָּא מְטָה, וּקְדָמוֹהִי הַקְרְבוּהִי. 13 Je regardai encore dans la vision nocturne, et voilà qu'au sein des nuages célestes survint quelqu'un qui ressemblait à un fils de l'homme(Bar Enosh); il arriva jusqu'à l'ancien des jours, et on le mit en sa présence. De même en est-il, pour le pronom personnel hébreu de la première personne du singulier et du pluriel ani et anahnou formes qui sont diphtongables mais non diphtonguées à l'oral. JHB 26 10 23

Jacques halbronn La question juibe ,e se tésout pas par le biais de la langue et de la terre.

jacques halbronn La question juive ne se résout pas par le biais de la langue ou de la terre. On associe généralement les Juifs à une certaine langue et à une certaine terre, ce qui nous semble extrémement réducteur. Il conviendra donc de relativiser singulièrement ces deux critères. I La terre. L'habitude d'associer un peuple à une terre est bien connue et souvent un peuple portera le nom d'une certaine terre, les Bretons et la Btetagne, les Américains et l'Amérique et les Jiifs à la Palestine ou à Israel. Or, nous pensons que les peuples sont tout à fait susceptibles de migrer et donc de changer de terre. L'assimilation d'un peuple à une terre "donnée" pourrait induire en erreur d'autant que se pose la question de ses limites; de ses frontières dont on sait que celle-ci peuvent varier en plus ou en moins au hasard des conquétes. Le "retour" des Juifs géré, orchestré par l'empereur perse Cyrus vers leur "terre" d'origine, entérine une telle vision des choses et cela aura impacté selon nous la rédaction du Livre de l'Exode (dans le Pentateuque). On peut parler d'un syncrétisme historico-géographique avec le cas de peuples qui se disputent une même terre et s'en approprient chacun la dénomination. Autrement dit, nous n'excluons nullement qu'il faille éviter d'associer les Juifs au nom d'une certaine terre car théologiquement, une telle association ne fait guère sens. Pourquoi ce "peuple élu" serait-il cantonné à un lopin de terre assez dérisoire? D'ailleurs Herzl, dans son Etat Juif (1896) n'était nullement obsédé par un retour en Palestine et signalait comme autre option l'Argentine (cf Le sionisme et ses avatars au tournant du XXe siècle. Ed Ramkat 2002 . Préface H. Gabrion) sans parler de la solution "ougandaise" envisagée à la veille de sa mort ( 1904). En tout état de cause la polarisation sur une terre ne peut que banaliser la question juive, ce qui était d'ailleurs dans l'esprit de Herzl. Pensée syncrétique chez Herzl obnubilée par la solution nationale : une terre, une langue bien distinctes des autres. II la langue. En ce qui concerne le role de l'hébreu comme attribut privilégié des Juifs, la position ne nous semble guère plus convaincante au prisme de nos travaux en linguistique comparée lesquels font apparaitre une certain infériorité de l'hébreu par rapport à une langue comme le français et ce, à plus d'un titre. D'une part, la centralité du français sur le plan lexical fait que cette langue constitue un dénominateur commun pour un grand nombre de langues. D'autre part, la phonologie du français présente une sophistication sans rival. Le seul fait d'ailleurs que l'hébreu ne note que les consonnes et laisse les "voyelles" en dehors de son alphabet de 22 lettres est assez significatif tant il est vrai comme nous l'avons montré- que l'on ne saurait séparer consonnes et voyelles, avec notamment la fonction diacritique de la lettre "e" qui distribue les unes et les autres bien au delà du "sheva" hébraique. Le fait d'ailleurs de déclarer que le tétragramme est imprononçable est assez remarquable (Wikipedia "יהוה est le Tétragramme (grec ancien : Τετραγράμματον / Tetragrámmaton, « mot composé de quatre lettres »), le théonyme du Dieu d’Israël, composé des lettres yōḏ (י), hē (ה), wāw (ו), hē (ה), et retranscrit YHWH en français") La comparaison entre l'hébreu et le français fait ressortir la "modernité" du français, constituant un progrès technique.. C'est ainsi que la lettre "e" en français joue un rôle de pivot, permettant à tour de rôle de produire des sonorités nouvelles. Le français - ou du moins ce qu'il véhicule- est la langue de l'Humanité nouvelle qui ringardise les langues anciennes. La lettre "e" est d'ailleurs doté de plusieurs accents (grave, aigu, circonflexe), ce qui dénote déjà une certaine spécificité; Mais ce ne sont pas les accents qui sont ici déterminants mais la position antérieure ou postérieure par rapport aux consonnes. On en rappellera ici les effets à savoir que la position postérieure du "e" défait ce qu'a causé le e en position antérieure et en ce sens, restaure un état premier purement consonantique alors que la position antérieure bouleverse complément le dit ordre établi. Ce qui nous raméne à notre idée de l'alternance des phases en astrologie EXOLS, la phase équinoxiale défaisant ce qu'a réalisé la phase solsticiale et vice versa. Avec le "e" on est donc en plein dynamique cyclique. Si l'on compare avec la condition actuelle de l'hébreu moderne, on note que le Vav peut alternativement jouer le role d'une consonne (le son V) et d'une voyelle (le son O/ OU), le Vav jouant par ailleurs un rôle en hébreu biblique de par sa fonction "renversive/conversive", changeant le passé en futur et le futur en passé.(cf Genése I). sur Internet En hébreu biblique, la lettre vav (sixième lettre de l'alphabet) possède une étrange propriété grammaticale : elle inverse le temps. C'est ce qu'on appelle un "vav conversif" ou "vav inversif". Quand cette lettre est placée devant un verbe au futur, elle le transforme en passé; et quand elle est placée devant un verbe au passé, c'est le futur qui est exprimé." On observe donc une certaine parenté entre le double usage de la lettre "e" en français et celui de la lettre "vav" en hébreu. Rappelons aussi l'existence de six lettres "doubles" (bagadkaphat) en hébreu, cette dualité étant déterminée par le "daguesh", le point qui est déterminant selon qu'il est présent ou absent. Notice wikipedia "Le daguech ou daguesh (hébreu : דָּגֵשׁ, [dāgēš], intensificateur) est un signe diacritique introduit dans le système de ponctuation massorétique du texte hébraïque afin de signaler un changement phonétique dans certaines consonnes de l'alphabet hébraïque". Il nous semble que le yiddish, langue judéo-allemande des Ashkénazes, étant plus proche de l'allemand - langue du Congrès de Bâle de 1897 correspond davantage à notre représentation d'une langue idéale, à l'instar du français et qu'il eut mieux valu l'adopter en Palestine que l'hébreu moderne, atteint par les épreuves du temps. Il existe en fait un lien très net entre le français et l'allemand si ce n'est que l'allemand est diphtongable mais non dispntonguée; Entendons par là qu'à l'écrit, elle apparait comme favorisant la diphtongaison mais que cela ne se réalise pas à l'oral, ce à quoi il conviendrait à l'avenit de remédier; On pense aux formes diphtongables de l'allemand : nein, ein, kein; mein, dein, sein qui permettraient logiquement la dialectique du masculin et du féminin, en marquant la diphtongaison du masculin/ Au lieu de cela, on a droit à une solution batarde avec la finale en "e" traitée comme une voyelle à part entière alors que cette lettre a une fonction essentiellement diacritique, c'est à dire de mettre fin à la diphtongaison de la forme masculine. Insistons sur le fait que le masculin est postérieure au fémin, en constituer un état plus sophistiqué, celui justement de la diphtongaison; Mais l'allemand est infiniment mieux loti que les langues qui ont pour marqueur de genre le o et le a comme l'espagnol et l'italien. Dans le cas de l'hébreu, on a affaire à une situation hybride avec le féminin comportant une finale en "a" sans un masculin en "o" : guedola/ gadol. mais sans diphtongabilité à la différence de l'allemand; Evitons enfin de sacraliser l'hébreu en tant que langue des Ecritures Saintes (Ancien Testament) -comme on le fait pour l'arabe et le Coran- tant le corpus biblique nous apparait comme dramatiquement syncrétique du fait notamment de sa prise de controle par les descendants du Royaume septentrional d'Israel. Pour notre part, si les Juifs doivent se relier à une langue matricielle, ce serait bien plutôt au français qu'à l'hébreu et quant à leur terre, leur intégration diasporique témoigne de l'inanité de perpétuer un certain esprit de ghetto. La langue ne vaut pas par ce qu'elle véhicule mais par ce qu'elle incarne intrinséquement. JHB 26 10 23 JHB 26 10 23

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jacques halbronn Nostradamus tel que traité par Jacques Halbronn et Gilles Polizzi; Colloque de Marseille, 1998

Jacques halbronn Nostradamus traité par Jacques Halbronn et Gilles Polizzi Colloque RHR Marseille 1998 Lors du Colloqie Formes du millénatisme en Europe à l’aube des temps modernes, deux exposés concernaient Nostradamus, ceux de Halbronn et de Polizzi en 19ç8. L’années précédente, deux exposés se confrontaient sur le même sujet, ceux de Halbronn et de Michel Chomaat (Journées Verdun Saulnier, Paris Sorbonne). A la fin de 1998 (il y a 25 ans) « LE, nous avions enfin obtenu le feu verts de Jean Céard,(qui npus supervisait depuis 1985!) en départ pour la retraite pour la soutenance de notre thèse d’Etat, Paris X, Le texte prophétique en France, Formation et fortune, somme qui comoprenait une partie sur le même Nostradamus. On aboedera ici les textes présentés en 1998 à Marseille. ( Actes parus chez Honoré Champion) Notre titre ne revoyait pas explicitement à Nostradamus à la différence de celui choisi par Polizzi pas plus d’ailleurs que le titre de notre communication de 1997 (« Les prophéties et la Ligue ») Commençons par l’exposé de Gilles Polizzo » Le thème millénaiariste dans les prophéties de Nostradamus ». L’auteur note un certain décalage entre la Préface à César le dit thème.(p. 411) alors même que les quatrains seraient imprénés par le dite thème. Poilzzi rappelle que Pierre Brind’amour a présenté une édition critique de la « première édition » de 1555 (Droz 1996) précédéd en 19989 et 1990 par les bibliographies de Chomarat et de Benazra( préfacée par Céard) Poizzi se référant à une autre communication ai dit Colloque de E. Weber, conclut « rejette « hypothèse d’un faux inégral » de l’Epitre à Henri II, laquele aurait paru avant la mort du Roi. Autremenrt dit, Polizzi ne met pas en doute la paternité de Nostradamus sur les éditions des Centuries et leurs deux épitres introductives. Polizzi aborde la question de l’Antéchrist chez Nostradamus, terme figurant au titre de notre exposé »Pierre Du Moulin et le thème du Pape Antéchrist » En 1997, dans notre exposé, nous avions mis en exergue le quatrain IV 46 preuve d’une importation du temps de la Ligue alors que Polizzi choisara le quatrain I, 89., ces deux quatrains figurant dans l’édition de 1555 chez Macé Bonhomme, » édité par Brind’amour/ Polizzi ne semble donc pas avoir eu connaissance du contenu de notre communication du début de 1997 ou en tout cas ne pas avoir jugé bon de la mentionner. Début 1997, Polizzi avait contribué, de son côté, au Collectif « Nostradamus ou le savoir transmis »/ Notre exposé autour de Pierre du Moulin commençait par cet avertissement : « mieux coùprendre l’Epitre de Nostradamus à Henri II Nous nous efforcions de montrer que les thèmes réformés impactaient le second volet des Centuries, face au premier, marqué par le parti de la Ligue. Il nous faut à présent couvrir les 25 ans qui nous séparent de ce Colloque. En 2002, parurent nos Documents inexploités sur le phénoméne Nostradamus ( Ed Ramkat) avec la vraie Epitre au Roi,qui avait inspiré la fausse, et en 2005 » Papes et prophéties . Décodages et influence » (Ed Axiome) connectant les Prophéties pseudo malachiennes aux pseudo nostradamiennes, parus en fait à peu près en même temps, à la toute fin du XVIe siècle. En 2007, notre post doctorat ( EPHE Ve section) abordera notamment les rapports entre prose et quatrains dans le corpus Nostradamus, tant au niveau des almanachs que des Centuries. Par la suite, nous avons montré que l »Epitre à Henri II en tête du second volet des Centuries avait remplace l’Epitre au pape Pie IV, ce qui ressort de la comparaison entre les quatrains de la Centurie VIII avec la dite Epitre au pape. Nous avions en 1991 dans la revue RHR organisatrice du Colloque de 1998, publié une étude comportant des données sur la dite Epitre.(Une attaque réformée oubliée contre Nostradamus (1561), laquele revue avait publié en 1987 une importante étude de Chantal Liaroutzos sur l’emprunt à la Guide des Chemins deFrance de Charles Estienne sur le contenu de certains quatrains, laquelle n’était pas signalée par Polizzi. Il ne semble pas que Polizzit ait étudié la dite Epitre à Pie IV, laquelle circula notamment en Italie dans le cours des années 1560 et qui traitait notamment du thème de l’Antéchrist. -Sur la fortune itlalienne de l’Epitre de Nostradaus à Pie IV -Collections numérisées de la BNF( Gallica) 1566 Pronostico universale di tutto il mondo, il qual comincia dal principio dell’ anno 1565 e finisce al principio dell’anno 1570, raccolto dalli « Presagi » del divino Michiele Nostradamo et dalli pronostici di molti altri eccellentissimi autori … per M. Francesco Barozzi,… libraria del « Mercurio » Il Vero Pronostico calcolato dall’ eccellmo astrologo et filosofo M. Michel Nostradamo Francese, il qual narra diligentemente tutte le perverse calamità, che deve incorrere l’anno 1566… per Alessandro Benatio Li Presagi et pronostici di M. Michele Nostradamo, quale principiando l’anno M.D.LXV. diligentemente discorrendo di anno in anno fino al 1570… Diligentemente estratti dalli originali francesi, nella nostra italica lingua… Li presagi et pronostici di M. Michele Nostradamo Francese , quale principiano l’anno M.D.LXV diligentemente discorendo di anno in anno fino al 1570… diligentemente estratti dalli originali francesi nella nostra italiana lingua… LivresConsultable sur Gallica En tout état de cause, la prise en compte des almanachs nostradamiques nous semble fondamentale. D’une part, parce qu’il a existé des éditions pirates comme l’ont rappelé Chomarat et Benazra comportant des quatrains mais aussi de l’autre des vignettes en page de titre (imitant les vignettes des Pronostications), ce qui est le modéle suivi par les faussaires, ce qui explique à la fois les vignettes des éditions 1555 et 1557 des « ¨Prophéties » et le format même des centuries de quatrains: Ce serait donc à partir de ces faux almanachs que les faussaires auraiet conçu et mis en oeuvre le corpus centurique lequel puisera en différentes sources, comme l’ont montré Liaroutzos et Brind’amour; JHB 26 10 23