Etudes de Critique biblique, astrologique nostradamiquej et linguistique.
lundi 4 décembre 2023
jacques halbronn La recherche de solution au prisme de l'astrologie EXOLS
jacques halbronn La recherche de solutions au prisme de l'astrologie EXOLS
La recherche de solution aura été mise en avant au XXe siècle avec la Shoah, laquelle correspondit dans l'esprit de ses concepteurs à LA SOLUTION FINALE, (Endlosung) Mais l'on pourrait certainement suivre une telle quéte tout au long de l'Histoire de l'Humanité et nous en sommes arrivés à penser que toute l'astrologie traiterait de l'alternance des solutions proposées, adoptées; ce qui est en prise avec la succession des enjeux politiques, électoraux. Une telle avancée permettrait de prévoir les tournants stratégiques, l'évolution des mentalités tantot vers des "réponses" dans le court terme, tantôt en exploitant des ressources en place de longue date D'où un contraste remarquable d'une phase à l'autre.
Parmi les solutions les plus célébres, on s'intéressera à Jésus avec le recours au baptéme étant entendu qu'il s'agissait pour lui, du moins au départ, de souder deux ensembles de population pour n'en faire plus qu'une. Une telle solution remplaçait une appartenance généalogique de longue date, celle des Judéens par une transformation instantanée, dans le très court terme, ce qui reléve du rite de passage. Mais la circoncision n'aurait-elle pas initialement correspondu à un tel expédient. en raison la briéveté de l'opération, en décalage avec la notion généalogique de filiation, constituant ainsi une "solution paralléle",une sorte de raccourci. d'autant que l'on recourt à un objet contondant, voué à reformater le corps de l'enfant mâle, ce qui ne saurait correspondre à l'esprit de la théologie juive (adamique), ce qui nous conduit à penser qu'une telle solution ne tiendrait pas à une initiative juive mais plutôt "goye" tout comme le bapteme de par sa brévé temporalité... Parmi ceux qui proposèrent des solutions à la question juive, on ne saurait oublier Theodore Herzl (cf notre ouvrage, le Sionisme et ses avatars au tournant du XXe siècle, Essai d'une solution(Lösung) moderne de la question juive. Herzl Der Judenstaat, Versuch einer modernen zur Judenfrage 1897). Lösung, utilisait le mot Losung qui sera repris par les nazis, quelques décennies plus tard. Endlösung der Judenfrage. Au mot Losung correspond le mot Frage, soir réponse à une question. Ces deux termes figurent donc tant chez Herzl que chez les nazis. En 1901, Zamengof sortira Der Hillelismus L.L. Zamenhofs (1901): Die Lösung der ‚Judenfrage’(cf compte rendu par Doris Bensimon in Archives de Sciences Sociales des Religions Année 1996 96 pp. 140-141 Quant à François Dubois, dès 1885, il avait proposé sa Solution de la question sociale. Les textes chrétiens abondent déclarant que " Jésus Christ est la solution".Récemment le mot est revenu: "Réforme des retraites: et s'il existait d'autres solutions?" Actuellement, étant entrés en phase équinoxiale, les solutions à effet immédiat ne passent plus cf "Israël et les illusions d'une solution militaire à Gaza" (Le Monde). Et les enjeux écologiques de fin du monde l'emportent pour l'heure sur les urgences de fin du mois, A contrario, la crise du COVID aura été traitée en phase solsticiale.( -cf LUTTER CONTRE LES CONSÉQUENCES ÉCONOMIQUES DU COVID-19 : SOLUTIONS POLITIQUES ET OPTIONS EN VUE D'UNE RÉPONSE ET D'UNE RELANCE SENSIBLES"
JHB 03 12 23
jacques halbronn Les Adamites, véritable nom des Juifs. Le lien avec le sang (Dam)
jacques halbronn Les Adamites, véritable nom des juifs. Le lien avec le sang (Dam)
La solution consistant à appeler une population sur la base de critères géographiques est source de bien des confusions car un espace peut être occupé et/ou revendiqué par plusieurs entités politico-religieuses. En ce sens l'usage du terme "juif" (en allemand Jude) nous parait contre-productif en ce qu'il renvoie à la Judée. Il nous semble préférable de se référer à l'Histoire, même mythique, plutôt qu'à la géographie.
Le personnage qui nous semble le plus approprié pour situer les "Juifs" est celui d'Adam, dont le nom figure dès le premier chapitre du Livre de la Genése. En effet, ce nom ne saurait désigner le père de toute l'Humanité mais bien la matrice d'une certaine filiation, que nous connectons avec le "peuple juif". Le nom d'Adam est à rapprocher d'Adom, la couleur rouge. Rappelons que l'un des fils d'Isaac, Esaü, le jumeau de Jacob, était "roux". Il sera appelé Edom tout comme Jacob sera surnommé Israel.
Dans Adam, on trouve "Dam", le sang en hébreu, ce qui évoque la planéte Mars (Maadim en hébreu) mais aussi la circoncision qui fait verser du sange, à partir d'Isaac. Ce sang ainsi versé, dès le plus jeune âge, signe le rapport avec Adam. De même , la Terre (Eretz) prend le nom d'Adama. La femme est exclue de l'alliance du fait qu'elle ne peut être circonscrite et ce n'est pas par hasard que la marque de l'alliance ne peut s'inscrire que pour les mâles
Récemment, nous nous étions interrogés, sur la compatibilité entre circoncision et devoir de respecter l'interdit pour l'homme de porter atteinte à l'oeuvre du "Créateur". Mais, une chose de bâtir une maison, de façonner une idole, une autre de secréter une substance à partir du corps humain, quand bien même le ferait-on au moyen de quelque instrument En tout état de cause, il est clair que la circoncision, sous quelque forme que ce soit, marque l'appartenance à un certain ensemble: cela montre bien que le christianisme est une voie censée conduire vers la judéité comme il ressort de l'Epitre aux Romains:
"Le Juif, ce n’est pas celui qui en a les apparences; et la circoncision, ce n’est pas celle qui est visible dans la chair. Mais le Juif, c’est celui qui l’est intérieurement; et la circoncision, c’est celle du cœur, selon l’Esprit et non selon la lettre. La louange de ce Juif ne vient pas des hommes, mais de Dieu".
Romains 2 :28-29
Or, Jésus a revendiqué une filiation (Evangile selon Luc) remontant jusqu'à Adam, ce qui n'a rien à voir avec la "solution" du baptéme.. Dans un cas, on est face au long terme, dans l'autre au court terme. Selon nous, la solution passant par le bapteme ponctuel constituait une autre voie accessible aux "non Juifs", et donc non associée avec le versement de sang. Le sang renvoie à une transmission génétique, généalogique, de génération en génération. JHB 04 12 23
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