jeudi 7 avril 2022

jacques Halbronn Astrologie EXOLQq Un nouvelle typologie: Equinoxialité et solsticialité

Jacques Halbronn Astrologie EXOLS. Une nouvelle typologie: Equinoxialité et solsticialite. La typologie binaire que nous proposons est vouée à remplacer tant la typologie zodiacale que la planétaire tant pour baliser l'espace que le temps social. Il ne s'(agit pas, comme pour l'astrologie conditionaliste de Jean-Pierre Nicola de plaquer une terminologie conceptuelle (RET, Représentation, Existence, Transcendance) qui ne s'ancre pas naturellement sur des données relevant directement du Ciel . En effet, la terminologie que nous avons adoptée reprend une dualité liée au cycle des saisons: Equinoxialité et Solsticialité en laissant de côté la division de l'écliptique en 12 secteurs ainsi que la symbolique zodiacale. Nul doute que cette terminologie saisonnière apparaisse comme sensiblement moins insolite et baroque que celle en usage dans le métalangage astronomique adopté par les astrologues.(cf l' Histoire du Ciel de l'Abbé Pluche, XVIIIe siècle). Notre terminologie présente notamment l'avantage, de par sa binarité, de mettre en oeuvre une alternance, ce qui est la base de toute cyclologie digne de ce nom. Il faudra donc que le public, à l'avenir, en vienne à se familiariser avec ce nouveau visage de l'Astrologie et fasse son deuil d'une iconographie mensuelle, fondement des 12 signes zodiacaux, articulés grosso modo sur le mois de naissance ainsi que d'un panthéon mythologique si pittoresque. En vérité, la dualité offre bien des avantages, de par la clarté qu'elle implique; En effet, notre cerveau préférera le 2 au 12 et c'est d'ailleurs ainsi que l'astrologue (em)brouille l'esprit de ceux qui l'approchent, en proposant un modéle dépaysant et alambiqué: La dualité tend à opposer les notions lesquelles se présenteront avec tout ce qui les distingue. Reconnaissons que le cocktail planétaro zodiacal que l'astrologie actuelle inflige à ses disciples n'est guère digeste! Selon cette nouvelle astro-typologie, on aura compris que l'on revendique une symbolique saisonnière à la base même de celle du zodiaque mais dépouillée de ses ornements fastidieux, liés aux douze rencontre soli-lunaires instrumentalisées par les astronomes pour baliser l'écliptique. Or, force est de constater que les astrophiles, en régle générale, ne semblent guère habitués à réfléchir sur ce qui distingues les équinoxes et les solstices: ce qui est un comble alors même qu'il s'agit de données accessibles à tous et non d'un jargon abscons. Même un enfant peut penser cette dualité printemps/Eté ou automne/Hiver et rappelons que notre jour de l'an aura oscillée entre l'équinoxe de printemps (Pâques) et le solstice d'Hiver (jour de l'an, Noël) sans parler du calendrier juif fixant le début de l'année à l'équinoxe d'automne. En fait, nous ne chercherons pas à distinguer entre les deux équinoxes pas plus qu'entre les deux solstices vu que leurs principes respectifs sont les mêmes: égalité de jour et de la nuit -table rase d'une part, retour en arrière, préservation des acquis de l'autre. Au niveau prévisionnel, nous avons des périodes de 7 ans et là encore, cela est aisément compréhensible et dans la pratique, il n'est même pas besoin de consulter les éphémérides astronomiques, un peu de calcul mental y suffit, à condition de déterminer un point de départ, non point celui de quelque naissance, mais d'un changement de phase, soit le passage de l'équinoxialité à la solsticialité ou l'inverse. Par exemple, il faut savoir que 1968 correspond au début d'une phase équinoxiale et à partir de cette donnée chronologique, l'on peut avancer ou reculer de sept ans en sept ans. Il serait bon d'ailleurs d'ajuster le calendrier des élections sur de telles bases, faute de quoi, cela devient vite assez chaotique. Il est également possible de déterminer si une personne a un tempérament équinoxial ou solsticial selon qu'elle vit plus heureusement les phases correspondantes mais cela vaut avant tout pour l'étude des leaders, comme nous l'avons montré dans de précéentes études récentes.De Gaulle est un solsticial et Emmanuel Macron un équinoxial et il vaut mieux mettre aux responsabilités une personne en adéquation avec la période traversée,ce qui implique de mettre en phase les élus et les phases de 7 ans. En revanche, en ce qui concerne le commun des mortels, l'ajustement s'opére de lui même automatiquement. Pour aider à la compréhension de cette typologie, nous dirons que le solsticial est axé sur ce qui est déjà advenu alors que l'équinoxial se focalise sur ce qui est à venir. Cela correspond donc à des mentalités bien distinctes et identifiables. De même sur le plan des périodes, la phase équinoxiale tend à faire table rase du passé, en remettant les compteurs à zéro alors que la phase solsticiale s'évertuera à "capitaliser" ce qui a déjà été accompli, sans quitter la proie pour l'ombre. JHB 07 04 22.

Jacques Halbronn Linguistique comparée ; idéogrammes" du français et du chinois

jacques halbronn Linguistique comparée : "ldéogrammes "du français et du chinois La thèse que nous soutenons ci après es inspirée par notre étude comparative du français et de l'anglais.(cf. il y a 30 ans, notre mémoire de 1989, sous la direction de Louis-Jean Calvet (Paris V) en ligne sur la plateforme SCRIBD). mais engage de nouvelles perspectives. Il s'agit pour nous, désormais, de mettre l'accent sur la dimension centrale de l'écrit en relativisant, par voie de conséquence, ce qui relève de l'oralité, étant entendu qu'il existe toutes sortes de façons de traiter l'écrit alors que celui-ci reste stable. En 2008, nous avions investi le champ de la morphosémantique, ce qui déjà se focalisait sur l'écrit (morpho) et le champ sémantique ainsi délimité.(cf https://www.google.com/search?q=jacques+halbronn+morphos %C3%A9mantique ++Lecourt&rlz=1C1GCEA_enFR1000&biw=1280&bih=828&ei=pQJPYsa4GseMa_PzqbAC&v) Notre approche actuelle est liée au maintien de l'orthographe des emprunts de l'anglais au français. Entendons par là que l'anglais a rarement modifié l'orthographe française d'origine, lors de ses importations massives du lexique du français. Et c'est en ce sens que nous feront appel à la notion d'idéogramme, signifiant par là que la prononciation du mot écrit n'est pas déterminante à nos yeux, pas plus d'ailleurs de l'usage qui en est fait, étant entendu que les variations sémantiques sont généralement mineures, marginales. Etant donné l'impact actuel de l'anglais, cela n'aura pu que renforcer le poids des "idéogrammes" du français dans le monde, au niveau écrit. On aura compris que nous rejetons une certaine idée "globale" de la langue. Il ne s'agit plus ici d 'apprendre une certaine langue telle que pratiquée par des groupes de locuteurs mais d'acquèrir un certain capital lexical qui pouirra être géré diversement, en recourant à une certaine conjugaison, une certaine déclinaison, un certain appareil de "pronoms", de verbes auxiliaires etc qui confèrent quelque spécificité à une langue donnée. Il ne s'agit donc pas de se demander quelle population "pratique" le français d'usage mais bien de recenser le recours à un certain lexique récurrent, quel que soit l'encadrement qui s'y applique. En ce sens, il apparait que nous prenons le contrepied de la phonologie de N. Troubetskoy et Jakobson qui est décrite ainsi : " branche de la linguistique qui étudie l'organisation des sons au sein des différentes langues naturelles. Elle est complémentaire de la phonétique, qui s'intéresse aux sons eux-mêmes, indépendamment de leur emploi" (wikipedia) Or, selon nous, le courant phonologique aura puissamment contribué à minimiser le rôle central du français en insistant sur la diversité des pratiques, insistant, ce faisant, sur la spécificité de chaque "langue" offrant quelque spécificité à l'oral. Nous pensons que la langue française véhicule un certain nombre d'idéogrammes pouvant être agreméntés de toutes sortes de façons et d'ailleurs, la pratique orale du français ainsi que son "encadrement" (syntaxe etc) n'est en tant que telle qu'une variante parmi tant d'autres autour de cet ensemble d'idéogrammes. En ce sens, nous dirons que le français aura joué en Occident le rôle qui fut celui du chinois en Orient;(cf notamment la place des idéogrammes du chinois au sein de la langue japonaise). On nous objectera probablement que notre usage du terme "idéogramme" ne recoupe pas pleinement ce qu'il en est en chinois mais il faut de toute façon, faire la part des lacunes au niveau de l'Histoire des langues, devant nous contenter de "traces". On ne peut ainsi exclure que le lexique véhiculé par le français ait pu comporter une dimension idéogrammque comparable à celle du chinois, avant l'adoption de l'alphabet latin. Force, en tout cas, est de constater le rôle central du lexique véhiculé par le français non seulement en anglais mais dans des langues comme l'allemand ou le russe sans parler de la question des langues dites "latines". Nos recherches ont été par ailleurs inspirées par notre intérêt pour la façon dont le dit lexique français aura connu de variantes autour de sa forme écrite, au sein même de la francophonie. JHB 07 04 22