Etudes de Critique biblique, astrologique nostradamiquej et linguistique.
samedi 5 août 2023
jacques halnbronn Epistémologie. Remettre l''astrologie sur les bons rails par un principe de continuité périodique
Jacques halbronn Epistémologie. Remettre l’astrologie sur les bons rails par un principe de continuité périodique.
On a l’impression que l’astrologie avance à vau-l’eau, ce qui l’empêche de se réformer par manque de repéres. Pour notre part, nous nous sommes efforcés d’en fournir au moyen notamment des notions d’équinoxialité et de solsticialité. (d’où notre astrologie EXOLS) si ce n’esy qie ,nous en sommes arrivés à la conclusion qu’il fallait fixer les axes non pas au début des signes cardinaux mais à celui des signes mutables, ce qui n’est pas sans fare penser aux thses de l’astrologie dite sidéraliste avec son « ayanamsa » de 25° environ,visant à avancer le passage d’une planéte dans le Zodiaque, ce qui reviendrait finalement au même.(cf les ouvrages de Jacques Dorsan) Nous pensons avoir déjà fourni suffisamment d’exemples probants pour illustrer voire valider notre démarche. Il faut faire la part de découvertes empiriques, à savoir la perception de certaines récurrence chronologique que l’on cherchera à théoriser avec les moyens du bord. Entendons par là que des chercheurs peuvent converger sur certaines observations de terrain tout en proposant des modéles explicatifs fort différents comme par exemple un intervalle de 15 ans entre événements apparemment du même ordre..
Car c’est bien en signe « mutable » que e basculement périodique semble bien se produire, soit les axes gémeaux-sagittaire pour l’axe solsticial et poissons-vierge pour l’axe équinoxial; Mais l’on peiut aussi être tenté de se référer aux conjonctions de Saturne avec les 4 étoiles fixes royales(axes Regulus Fomalhait et Aldébaran Antarés étant entendu que nous ne nous servons que du seul cycle du dit Saturne, sorte de RER astrologiqe se substituant à la multitude de « petits trains » (TER).
Malheureusement, on doit s’attendre à ce qu bien des astrologues hésitent à franchir le pas, par manque de confiance en soi car accepter les arguments de quelqu’un,c’est en endosser le conclusions, à son propre compte. Souvent, les gens ne sont pas en mesure de suivre un raisonnement parce qu’ils ne fient pas à leur propre aptitude à raisonner! D’où un fort risque de stagnation. Le seul progrès jamais assumé semble bien avoir été lié à la découverte par les astronomes de planétes au delà de Saturne sans parler des principaux astéroides et de la disqualification de Pluton en tant que planéte à part entière. Un André Barbault aura voulu émanciper l’astrologie du cadre zodiacal lequel lui paraissait moins sûr que la réalité proprement planétaire. Une telle « réduction » allait priver l’astrologie d’une division régulière et constante de l’écliptique. Or, l’astrologie, selon nous, ne saurait renoncer à mettre en place un certain balisage de l’espace céleste, ce que la diversité des conjonctions planétaires ne permet point. Nous dirons que l’astrologie a besoin d’une unité de mesure fixe et nous avons proposé des périodes de 7 ans, correspondant à la division en 4 secteurs égaux du cycle saturnien,ces secteurs impliquant une certaine binarité alternative, ce qui nous semble plus heureux qu’une différenciation à base 12, comme on persiste à l’enseigner dans les manuels d’astrologie.
En écoutant divers astrologues, l’on s’aperçoit que ce n’est pas le terrain qui détermine leur méthode de travail mais la conformité à un certain schéma théorique tant et si bien que tout semble se passer comme si l’astrologie avait vocation à nous dire ce qu’il en est, ce qui fait penser à la Caverne de Platon;
Wikipedia
La Grotte de Platon, attribué à Michiel Coxcie, milieu du XVIe siècle. Huile sur bois de peuplier. Musée de la Chartreuse, Douai. exposé temporairement à Beaubourg en octobre 2016 pour Magritte, la trahison des images
« L’allégorie de la caverne est une allégorie exposée par Platon dans La République. Elle expose en termes imagés les conditions d’accession de l’homme à la connaissance du Bien, au sens métaphysique du terme, ainsi que la transmission de cette connaissance.
L’allégorie met en scène des hommes enchaînés et immobilisés dans une caverne. Ils tournent le dos à l’entrée et voient non pas des objets, mais les ombres des objets qui sont projetées contre le mur. Ils croient voir la vérité, alors qu’ils n’en voient qu’une apparence. »
Autrement dit, l’astrologue ne connaitrait le réel que par le biais de l’astrologie et serait incapable de prouver qu’elle aurait éventuellement tort et il aurait à convaincre ceux qui veulent bien l’écouter de la nécessité pour leur salut de « croire » en l’astrologie. Nous avons pris le parti contraire: il s’agirait de valider l’astrologie du fait de ses corrélations avec une certaine chronologie. Mais une telle voie est semée d’embuches et on serait donc dans une sorte de cercle vicieux du fait du caractère aléatoire des observations et des recoupements. Quel dilemme! Nous avons proposé de nous en tenir à l’idée de période et non d’événement Plutot finalement que de rapprocher des moments éloignés les uns des autres – car une hirondelle ne fait pas le printemps- il nous semble préférable de montre qu’il existe une certaine continuité des années durant une certaine homogénéité évenementielle au cours d’une même période, ce que seule une astrologie réduite à la portion congrue permet d’envisager car l’inflation de facteurs conduit inévitablement le chercheur parier sur de la discontinuité:En ce sens, le fait de s’intéresser (comme Gouchon et Barbault) aux « guerres mondiales » pourrait faire sens si l’on admet la poursuite d’un même processus mais encore faut il disposer d’un modéle théorique pertinent pour sous tendre et circonscrire une période d’une certaine durée….
JHB 06 08 23
jacques halbronn Eloge du judaisme laic, ni hébraisant, ni bibliste. Langue et culture.
jacques halbronn Eloge du judaisme laic, ni hébraisant, ni bibliste. Langue et culture.
En 1978, étant passé à a fois par l’immersion dans l’hébreu israélien et par la fréquentation des Langues O (INALCO) et du Centre Edmond Fleg,, nous avons fondé une association intitulée Cercle d’Etude et de Recherche sur l’Identité Juive (CERIJ) expriment une certaine défiance tant envers Israel qu’envers la synagogue mais il nous fallut de longues années pour parvenir à étayer nos mises en garde à l’encontre de « modéles dominants ». Nous comprenons désormais, plus de 40 ans plus tard, les raisons profondes de notre défiance. Cela concerne d’une part le cas de la langue hébraique et de l’autre celui des formulations bibliques. Et il y a de quoi, comme dirait Maimonide, se sentir quelque peu « égaré’! Quelque part, la judaisme laïc aurait au moins le mérite d’épargner des contacts toxiques, ce qui nous conduit à penser que l’éducation peut valoir par ce dont elle nous dispense plus que par ce qu’elle nous dispense. On a coutume d’associer langue et culture et c’est précisément sur ces deux registres que le bât blesse.
I Procés de l’hébreu
Nous renvoyons à nos textes consacrés aux marqueurs de genre en hébreu et nous insisterons sur une problématique de la toxicité car parler une langue peut être plus ou moins bien vécu par ses locuteurs et il n’est pas certain que l’on sache pleinement apprécier les conséquences psychiques de la pratique de telle ou telle langue. Car une chose est ce que l’on nous dit, une autre ce que nous ressentons de façon plus ou moins subconsciente; Que se passe-t-il quand on nous affirme que A = B alors que d’un point de vue cognitif, tout nous fait penser le contraire?
C’est ainsi qu’en hébreu, l’on finit par ne plus savoir distinguer le masculin et le féminin et notamment quand dans le rapport à « Dieu » lorsqu’il s’adresse à nous, comme dans le Ecoute (Shema) Israel, tant la final en « a » revient souvent comme marqueur du masculin (Eloheikha) alors même que par ailleurs, l’ on apprend que le féminin de « melekh » est malka. La réponse standard est généralement que cela n’a pas d’importance, que c’est du pareil au même! On parlera d’argument synonymique.
II Procés du syncrétisme historique
L’autre facette d’un tel syndrome concerne précisément la synonymie régnante quant à la désignation même des juifs, le terme le plus courant serait « Israel » car si le mot juif dérive de Juda (judaisme, judéité), le mot même de Juda n’est guère employé. hiatus entre les dérivés separés de leur matrice. Autrefois, les juifs aimaient se dire « israélite » et c’est ainsi que nous nous décrivions dans notre enfance puis le terme a laissé la place à juif, alors même que se constituait un Etat d ‘Israel, lui même associé au mot « sionisme » ou au mot « hébreu » (Etat hébreu), autant de synonymes qui veulent dire, désignent nous dit-on, la même chose. Or, il est bon de rappeler qu’il y eut un schisme, au lendemain de la mort de Salomon, qui produisit deux royaumes: au nord, celui d’Israël et au sud, celui de Juda, centré sur Jérusalem. Comme l’explique Thomas Romer -dans son Enquéte sur la Sortie d’Egypte-la Bible sera impactée par une telle dualité, ce qui ressort de la distinction entre Elohim et Yahwé,mise en évidence par la critique biblique (Elohiste, yahwiste)
Ainsi, comme pour la confusion des marqueurs de genre (cf supra), on est confronté à une confusion entre des réalités politiques antagonistes que l’on est invité à relativiser. En termes de toxicité synonymique, il faudrait ajouter toutes sortes de dénis, au niveau sexuel comme au niveau racial, au nom d’un impératif national censé tout transcender et dépasser (ce que nous qualifions en Astrologie EXOLS d’approche « solsticiale ») Dans certains pays comme la France, ce sont ces autres formes de déni qui nous interpellent, vu que la France dispose d’une langue mieux préservée et servie que l’hébreu et que son Histoire n’est pas soumise au même carcan scripturaire que celle des Juifs.
JHB 05 08 23
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