Etudes de Critique biblique, astrologique nostradamiquej et linguistique.
vendredi 29 décembre 2023
jacques halbronn Epsitémologie. Pereception subconsciente ou surconsciente des marqueurs de genre, de race et de temps
jacques halbronn Epistémologie. Perception subconsciente ou surconsciente des marqueurs de genre, de race et de temps?
Il ne faudrait pas exagérer l’impact du visuel donc de la Surconscience car cela serait trop réducteur. On prendra trois exemples: les femmes, les Juifs, les astres.
I les femmes
Certes, l’on peut être tenté de déclarer que le sexe se voit mais est-ce aussi simple que cela? Est- ce que l’enfant capte en pleine conscience les signes extérieurs de ses parents, de son entourage Est ce que notre perception de l’autre sexe reléve d’un simple processus visuel?. Ce serait peut être aller un peu vite en besogne et minimiser, ipso facto, l’impact de ce qui ne se voit pas, de ce qui ne se montre pas..
II Les juifs
Peut on se contenter de se limite à ce qui est « écrit sur le front », à ce qui est donné à voir? Certes, au niveau de la Subconscience, l’on n’est pas en mesure de définir, de qualifier expressément son ressenti mais il est probable que peu à peu nous finissions par faire le lien entre ce que nous ressentons et certains codes sociaux.
III Les astres
Dans le cas des astres, de nos jours, dans le paysage urbain, nous n’avons certainement pas les yeux rivés sur le ciel mais est-ce à dire que nous ne percevons pas certains marqueurs de temps susceptibles d’impacter périodiquement nos comportements? Certes, celui qui est initié à l’astrologie, qui consulte régulièrement les « éphémérides » peut être influencé par ses lectures. Mais le pronbléme, c’est que l’astrologie dont il aura connaissance ne sera pas forcément viable, valable alors que celle qui s’exercera, à son insu, sera paradoxalement plus opérationnelle.
jacques halbronn Pour une nouvelle approche de notre systéme solaire
jacques halbronn Astrologie. Pour une nouvelle approche de notre systéme solaire. Malentendus chez Gauquelin et JP Nicola
On distinguera dans le systéme solaire - le Septénaire et plus largement au niveau des constellations dites zodiacales -- les astres moteurs et les astres repères. Les étoiles fixes sont des repères dont l'usage le plus probable est de prolonger les axes équinoxiaux et solsticiaux, comme le montre bien la théorie des ères précessionnelles (cf Aquarius ou la Nouvelle Ere du Verseau, 1979) qui traitent de la rencontre entre le point vernal (soit l'équinoxe de printemps dans l'hémisphère Nord) et une constellation zodiacale mais selon nous, on doit changer périodiquement d'étoile fixe, du fait de la précession des équinoxes. Les 4 étoiles Royales sont vouées à se renouveler. L'usage de ces repéres se limite à l'étude du passage de Saturne sur les axes équinoxiaux et solsticiaux, ce qui sous tend une forme de triangulation. Entendons par là que ces étoiles sont instrumentalisées pour faciliter l'observation de tels transits de Saturne.
De la même façon, les 4 planétes "centrales", dans le Septénaire, à savoir Mercure, Vénus, Mars et Jupiter, à la différence de la Lune et de Saturne qui sont "motrices", c'est à dire qui déterminent une certaine cyclicité à base 28 (jours/ans) ne feront que rappeler l'importance de la division cyclique en 4 temps, ni plus ni moins. C'est une erreur, tant chez Michel Gauquelin que chez Jean Pierre Nicola (RET) que de ne pas avoir compris une telle dualité, en développant un pluriplanétarisme impacté par l'astronomie et la carte du ciel mais qui se révéle éminemment toxique pour la pensée astrologique..
En effet, toute la question est de savoir quand on a affaire à un point de départ ou à un résultat final, à l'essence ou à l'existence. La mythologie gréco-romaine nous décrit-elle un ensemble de causes ou bien une série de conséquences, d'effets? Gauquelin, de par sa formation astrologique, qu'il reconnait, aura voulu tenter de valider une certaine doxa astrologique impactée par le méta-langage astronomique,engageant ainsi sa recherche sur de fausses bases, autour du thème natal avec ses "maisons" dont il aura certes décanté certains facteurs mais sans y échapper totalement, d'où l'importance accordé à la planéte qui se lève à l'horizon de la naissance, à tel instant précis et sa protestation contre les accouchements provoqués qui fausseraient le jeu de la corrélation astrologique
Le manque de formation, de pensée philosophique, métaphysique, épistémologoiqiue théologique est ici assez flagrant, criant et aura hypothéqué toute son jusqu'à sa fin tragique(cf notre postface à ses personnalités planétaires, Ed Trédaniel, 1992). Gauquelin aura eu cependant le mérite- à la différence de Nicola , de ne pas accorder d'importance aux planétes au delà de Saturne et d'établir une certaine verticalité entre les performances remarquables qui auraient un impact astrologique et celles de la masse d'où son corpus de naissances de célébrités et de notabilités professionnelles. Gauquelin aura également compris que l'on ne devait travailler que sur un seul facteur planétaire à la fois et non sur une combinaison de facteurs, comme l'aura proposé Barbault avec son indice cyclique..Paradoxalement, Gauquelin aura été en contact avec la chronobiologie (cf les préfaces de ses ouvrages) alors même qu'il ne se souciait guère de cyclologie dans sa recherche de cas.
En fait, Gauquelin aura exhumé une astrologie "sauvage" antérieure à l'intervention divine décrite au premier chapitre de la Genése alors que notre astrologie reléve directement de la dite intervention, d'un "Intelligent design". Dans un cas, l'on a des naissances en effervescence, ne permettant de sous tendre aucune politique à l'échelle d'une société alors que dans l'autre il s'agit tout au contraire d'une question d'ordre pulblic, avec toute une planification
JHB 29 12 23
jacques halbronn Astrikoigie, La tentation des repères socio-professionnels chez Gauquelin et André Barbault
Jacques halbronn Astrologie. La tentation des repères socioprofessionnels, sociohistoriques chez Gauquelin et André Barbault
Il est assez patent que ce qui aura guidé la travail d'un Michel Gauquelin, des décennies durant passe par la référence à des clivages socioprofessionnels traditionnels qu'il s'agissait de retriouver tout comme d'ailleurs sur le plan des catégories mythologique, autre référentiel à l'arrière plan de toute son oeuvre. L'importance accordée à l'heure de naissance (cf La pensée astrologique, in Histoire de l'Astrologie de Serge Hutin, Ed Artefact, 1986) privilégie une hyperprécision des données alors que selon nous, l'astrologie a vocation à oeuvrer sur des périodes d'une certaine durée et sur des comportements collectifs. De même, en ce qui concerne Barbault (à la sute de Gouchon) s'agissait-il d'ancrer l'astrologie sur les deux guerres mondiales mais l'on pourrait rappeler l'implication de ce chercheur en ce qui concerne le mouvement communiste comme mode de validation de ses recherches. Nous avons mis en cause les travaux de ces deux chercheurs majeurs du siècle dernier. D'une part en reprochant à Gauquelin (retenant Lune Vénus, Mars, Jupiter et Saturne mais ni Mercure, ni Jupiter) de ne pas avoir compris que la diversité ne dépend pas tant de l'émetteur que des récepteurs, tout comme un homme peut faire des enfants à plusieurs femmes, chacune d'entre elle impactant différemmént sa progéniture. D'autre part, en reprochant à Barbault d'avoir mobilisé, recruté des planétes transsaturniennes, trois astres sur les cinq retenus, Uranus, Neptune et Pluton et notamment de ne pas avoir respecté (avec son indice cyclique, un principe de périodes égales et strictement récurrentes, se coupant ainsi de toute une tradition ignorant les dits astres invisibles à l'oeil nu. . Certes, nous objectera-t-on, il faut bien que la recherche astrologique (RA) s'appuie sur quelque référence "objective"...Pourquoi pas le critère professionnel, pourquoi pas le critère événementiel? Où est le piège? Il est tapi dans le langage courant. Or, il existe toutes sortes de guerres et il revient justement à l'astrologie de savoir les distinguer, les différencier. Une guerre civile n'est pas une guerre interétatique et la première guerre mondiale n'a nullement le même profil que la seconde. Or, l'on voit Barbault, à partir de la fin des années soixante du XXe siècle annoncer une prochaine "guerre mondiale", sur la base d'un certain graphique, pour le début des années quatre vingt alors même qu'il aura raté la crise mondiale du début des années soixante (Berlin, Cuba), la dernière en date, jusqu'à ce jour, la crise de 1989-1991 ayant été une crise interne au monde communiste et non une confrontation de bloc à bloc!
Il eut été préférable d'établir un modéle cohérent, ergonomique sur le plan structurel, respectant notamment une structure à base 4 (les saisons) en opposant le temps équinoxial et le temps solsticial - ce que la décolonisation des années soixante aura mis en évidence (cf nos Clefs pour l'astrologie. 1976, 1993) en dialectique avec la formation d'empires. Mais on est là otage d'une vision universelle de l'astrologie, prétendant tout expliquer par le seul mouvement des astres alors que nous devrions plutôt nous situer dans le cadre d'une anthropocosmologie prenant en compte non seulement le plan des astres mais aussi celui des sociétés. Un critère crucial est le sexe, ce qui est le grand absent du champ couvert par Michel Gauquelin et son épouse Marie-Françoise Schneider Gauquelin; ce point aveugle étant commun à tous les tenants du thème natal, partant du principe que ce sont les astres -mêmes qui feraient loi et foi Nous avons en ce sens, développé la question des "topiques sensorielles" (à partir du modéle freudien du ça et du Surmoi) qui constituent une détermination majeure pour la réussiste dans telle ou telle profession, sans rapport aucun avec une configuration astrale quelle qu'elle soit. Il est d'ailleurs étonnant que le couple Gauquelin familier des questions psychologiques -(cf leur bibliographie) ait en quelque sorte cru pouvoir ainsi révolutionner la recherche psychologique par le biais de l'astrologie de sorte que leur travail ne prendrait tout son sens que par rapport à la psychologie plutôt que par rapport à une astrologie ainsi instrumentalisée. En fait, Gauquelin aurait ainsi exhumé une astrologie antérieure à l'intervention divine, n'obéissant à aucun plan d'ensemble, à aucun dessein intelligent et donc ne pouvant servir à la mise en oeuvre d'une quelconque politique à l'échelle d'une société.
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jacques halbronn Linguistique Les 4 groupes de double diphtrongaison en français. Rôle des lettres "i" et "n""
jacques halbronn Linguistique. Les 4 groupes de double diphtongaison en français Rôle des lettres "i" et "n".
Nous proposons ici de relier nos études su les diphtongues dites nasales et la question de l'oralisation des formes Ai, Oi, Ei . En effet, l'on peut remarquer que ces deux groupes se recoupent, dès lors que l'on ajoute la lettre "n" au groupe marqué par la lettre "i". On peut parler d'une double diphtongaison selon que figure ou non la lettre "n". Entendons par là dans chacun des 4 cas, une option sans et avec le "n"(se combinant avec le g ng/gn)
Ai + n donne "ain" comme la main
Oi +n donne oin comme le poing
Ei + n donne ein comme le sein
UI + n donne uin comme "oui". (cf le français aujourd'hui), mois de juin.
Dans nombre de cas, l'anglais et l'allemand auront mieux conservé certains états de l'oralisation du français lequel les aura perdus en route. La forme UI est ainsi assez maltraitée en français à l'oral alors qu'elle est réalisée comme diphtongue en néerlandais. Le cas de l'anglais est intéressant avec "night" qui pourrait venir de "nuit, initialement prononcé "noyt". comme l'anglais right serait dérivé du français "droit"(prononcé droyt).
En comparaison, l'espagnol, une des langues en concurrence avec le français et l'anglais au niveau de leur impact mondial, serait très déficient au regard de la conscience "diphtongale". C'est ainsi que "hoy" (aujourd'hui) n"est pas diphtongué et devait se prononcer initalement comme "moi", "toi", "roi De même l'anglais ne diphtongue pas "boy", "royal"" (à la différence du français prononcé "roayal"
. L'allemand "heute" en revanche, respecte le passage à la diphtongue comme Freude, avec un son qui se rapproche de "oye". L'allemand "ein", mein, sein, fait pendant au français un, mon, son.
JHB 29 12 23
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