vendredi 25 mars 2022

jacques Halbronn Astrologie EXOLS Poutine 2007-2022 ; cycle de 15 ans

Jacques halbronn Astrologie EXOLS Poutine 2007-2022: cycle de 15 ans En 2007, Saturne se trouvait fin Lion, début vierge, donc en plein milieu d’une phase solsticiale, exactement comme actuellement, mais en face, en verseau-poissons, ce qui revient au même pour l’astrologie EXOLS. Quinze ans d’écart, c’est ce qui raméne à une configuration analogue. En effet, le discours de Munich, comme le note Sylvain Tronchet (cf notre annexe), sans recourir le moins du monde à quelque savoir astrologique que ce soit, faisant de l’astrologie EXOLS sans le savoir, apparait comme la clef du positionnement actuel de Wladimir Poutine. En effet, dans les deux cas, on est en phase solsticiale, ce qui signifie le refus des ensembles trop envahissants. Contrairement à ce que nous avons pu entendre sur telle radio, malgré le lieu du propos, Munich, nous ne sommes pas au temps des Accords de Munich, qui correspondent à Saturne passant sur le point vernal, à 0° Bélier, donc en phase équinoxiale. Mais en fait, on était alors, à la charnière entre deux phases, ce qui n’est pas le cas à présent. On peut penser que les Accords de Munich étaient encore marqués par une phase solsticiale en fin de parcours, ce qui les rapproche bel et bien de la période actuelle si ce n’est que la phase équinoxiale qui allait immédiatement suivre les dits Accords est présentement encore loin, pas avant la fin de 2025. Mais sans l’astrologie EXOLS les gouvernants manquent de repéres et de moyens. Autrement dit, nous pensons que la meilleur solution est un nouveau Municn, celui de 38 et celui proposé par Poutine en 2007 puisque la phase équinoxiale n’est pas encore pour maintenant. La présentation que Poutine formulait il y a 15 ans, décrit assez bien ce que nous appelons l’esprit solsticial: »J’estime que dans le monde contemporain, le modèle unipolaire est non seulement inadmissible mais également impossible. » Certes, entre 2007 et 2022, de l’eau aura coulé sous les ponts et Poutine envahi et annexé, en 2014, carrément une Crimée rattachée à l’Ukraine par Krouchtchev. Or, en 2014, on était en phase équinoxiale, avec Saturne en scorpion. Ce qui n’est pas le cas à présent. Les temps changent. Donc, le conseil de l’astrologue sera de suivre l’exemple des Accords de Munich de 1938 qui « sauveront » la paix, comme on disait lors du retour de Daladier à Paris, avec la perte des Sudétes par la Tchécoslovaquie (née du démembrement de l’empire austro-hongrois, quand elle s’appelait Bohéme) . Ce qui est clair, c’est que tant l’OTAN que l’Union Européenne auront tenu, à contre temps, des discours à caractère équinoxial en pleine phase solsticiale. En tout état de cause, l’invasion de l’Ukraine -certe condamnable par sa brutalité- correspond logiquement à une volonté typiquement solsticiale, de se défendre, de se protéger contre les vélléités occidentales d’expansion Annexe: Russie : ce discours de Vladimir Poutine en 2007 qui résonne avec la crise actuelle en Ukraine Lors d’une conférence sur la sécurité il y a quinze ans, le président russe avait développé sa vision du monde et dénoncé l’unilatéralirisme des États-Unis. par Sylvain Tronchet Le président russe Vladimir Poutine prononce un discours lors de la 43e édition de la conférence de Munich sur la sécurité, le 10 février 2007. (DMITRY ASTAKHOV / POOL / AFP) Le président russe Vladimir Poutine prononce un discours lors de la 43e édition de la conférence de Munich sur la sécurité, le 10 février 2007. (DMITRY ASTAKHOV / POOL / AFP) C’est l’ouverture vendredi 18 février de la 58e édition de la Conférence de Munich sur la sécurité. Ce forum réunit tous les ans des dirigeants de la planète pour évoquer les grands problèmes de sécurité collective. Cette année 2022, Munich accueillera notamment la vice-présidente américaine Kamala Harris, le chancelier allemand Olaf Scholz ou encore le président ukrainien Volodymyr Zelensky. Aucun orateur russe n’a été annoncé en pleine crise ukrainienne entre la Russie et l’Occident. >> Crise en Ukraine : pourquoi le conflit avec les séparatistes prorusses n’a jamais été réglé dans les régions de Donetsk et Lougansk Il y a quinze ans, presque jour pour jour, c’est bien un Russe qui avait marqué les esprits. Vladimir Poutine avait prononcé un discours lors de cette conférence qui est resté dans les mémoires de tous les diplomates du monde entier. Le président russe y développait sa vision du monde tel qu’il le voyait, et tel qu’il voulait qu’il soit. Un discours annonciateur des années suivantes et de la crise que le monde vit actuellement. Lorsqu’il monte à la tribune de Munich en février 2007, Vladimir Poutine est un président qui termine son deuxième et, pense-t-on, dernier mandat. Il prévient d’emblée qu’il va éviter les formules de politesse et, sous les yeux de l’assistance médusée, se livre à une attaque en règle de l’hégémonie américaine : « Qu’est ce qu’un monde unipolaire ? C’est un seul centre de pouvoir, un seul centre de force, un seul centre de décision. C’est le monde d’un unique maître, d’un unique souverain. » « J’estime que dans le monde contemporain, le modèle unipolaire est non seulement inadmissible mais également impossible. » Vladimir Poutinele 10 février 2007, à la conférence de Munich sur la sécurité Dans la salle, la chancelière allemande Angela Merkel et les diplomates se décomposent. Le président russe développe sa vision de la sécurité en Europe : « Il me semble évident que l’élargissement de l’Otan n’a rien à voir avec la modernisation de l’alliance ni avec la sécurité en Europe. Au contraire, c’est une provocation qui sape la confiance mutuelle et nous pouvons légitimement nous demander contre qui cet élargissement est dirigé. » Ce jour de 2007, Vladimir Poutine a donc posé les principes qui guident depuis la diplomatie russe. À l’époque pourtant ce discours va être vite évacué par les dirigeants occidentaux. Comme s’il n’avait pas existé, il est pourtant plus que jamais d’actualité. »

Jacques Halbronn L'astrologie groupale selon Yves Lenoble et selon Halbronn

Jacques Halbronn L’astrologie groupale selon Yves Lenoble et selon Halbronn Si Yves Lenoble a eu parfaitement raison d’insister sur la notion de groupe en astrologie, il en resté à l’outil du thème natal, y compris pour ce qui est des groupes comme le montre l’extrait suivant de son texte de présentation : Pour une astrologie groupale – Yves Lenoble « J’ai pendant longtemps développé mes recherches dans deux grandes branches de l’astrologie : d’une part en astrologie mondiale et d’autre part en astrologie individuelle. J’éprouve de plus en plus le besoin d’établir le lien entre ces deux dimensions de notre art. On sait qu’à ses débuts les astrologues pratiquaient avant tout l’astrologie mondiale et qu’avec les Grecs l’astrologie individuelle s’est fortement développée. Cette astrologie individuelle a pris au cours du XXème siècle une importance si considérable que beaucoup d’astrologues contemporains minimisent l’astrologie mondiale. Ce qui est bien dommage, car cela va à l’encontre de l’enseignement de Ptolémée pour qui il est absolument indispensable de subordonner l’astrologie généthliaque à l’astrologie mondiale, le particulier dépendant de l’universel. J’ai eu la chance d’avoir des maîtres en astrologie qui m’ont appris aussi bien l’astrologie mondiale que l’astrologie généthliaque. Par ailleurs j’ai suivi des études en sciences humaines. Les maîtres de ces disciplines m’ont appris les notions essentielles de la psychologie, de la sociologie et de l’ethnologie mais ils m’ont familiarisé également avec la psychosociologie. Il m’est apparu depuis déjà fort longtemps que l’astrologie souffrait d’une grave lacune et qu’il devenait indispensable, dans la perspective d’une approche unitaire de l’astrologie, de développer ce que l’on pourrait appeler l’astrologie groupale. I L’INTERET DE L’ASTROLOGIE GROUPALE Le groupe se situe à l’articulation de l’individuel et du collectif. On peut dire en un certain sens que le collectif s’incarne à travers le groupe qui préexiste à l’individu car nous naissons au sein d’une famille, d’un milieu social, d’un pays, d’une époque et nous sommes imprégnés pendant longtemps par les valeurs de notre famille, de notre milieu, de notre culture, etc. La dimension individuelle existe peu à notre naissance et au début de notre vie. Elle n’émerge qu’au fur et à mesure de notre développement et se manifeste pleinement à l’âge adulte. Néanmoins, la dimension individuelle reste toujours très liée au collectif et aux groupes auxquels nous appartenons. Quand on y regarde de près on se rend compte que nous passons le clair de notre temps à aller de groupe en groupe, la majeure partie de notre temps étant partagée entre notre groupe professionnel, notre groupe familial et nos groupes amicaux, associatifs ou de loisirs. Les spécialistes des sciences humaines se sont intéressés tardivement à cette dimension du groupe. Il a fallu attendre les années 40 pour que Kurt Lewin pose les premiers jalons de l’étude des groupes. Les astrologues, quant à eux, ne se sont guère penchés sur cette dimension du groupe qui pourtant me semble fondamentale. Je me suis rendu compte de l’intérêt de mettre en place une astrologie groupale lors du congrès astrologique international de Zurich de 1981. Nous étions à quelques semaines de l’élection présidentielle de Mai 1981. Mon maître Jean-Pierre Nicola me fit remarquer que, si l’on adoptait des orbes larges, on pouvait noter dans le ciel une conjonction Jupiter-Saturne au carré de Neptune. A cette simple constatation je me suis entendu lui dire : « François Mitterrand sera le prochain président ». Pourquoi tout d’un coup cette certitude qui se révéla justifiée quelques semaines plus tard ? Et bien parce qu’une même configuration était récurrente dans le thème de François Mitterrand (astrologie généthliaque), dans le thème du printemps 1981, dans le thème des cinq républiques françaises (astrologie mondiale) et dans le thème du parti socialiste (astrologie groupale) dont François Mitterrand était à la fois le fondateur et l’actuel premier secrétaire. A la suite d’André Barbault, qui a établi de solides correspondances entre l’histoire des grands pays et les cycles planétaires, on peut mettre en parallèle par exemple l’histoire des Etats-Unis et le cycle Saturne-Uranus, l’histoire de l’U.R.S.S. et le cycle Saturne-Neptune, l’histoire de l’Inde et le cycle Saturne-Pluton. De la même manière on peut mettre en parallèle les événements politiques français avec les phases des cycles Jupiter-Saturne-Neptune. En témoignent les configurations des 5 républiques : 1ère République : Jupiter-Neptune opposé Saturne (22-9-1792 à 9h18 à Paris) 2ème République : Saturne-Neptune trigone Jupiter (25-2-1848 à Paris) 3ème République : Saturne opposé Jupiter trigone Neptune (4-9-1870 à 16h45 à Paris) 4ème République : Saturne sextile Neptune carré Jupiter (30-10-1946 à 15h30 à Paris) 5ème République : Saturne semi-carré Jupiter-Neptune (6-10-1958 à 18h43 à Paris) » Or, pour nous, tous les groupes sont impactés simultanément par les mêmes périodes de 7 ans et cela ne dépend aucunement de quelque thème « natal », de fondation que ce soit. Tantôt le groupe sera marqué par une phase d »équinoxialité, tantôt, par une phase d’équinoxialité, selon le déplacement de la planéte Saturne sur l’écliptique et son passage sur l’axe équinoxial ou sur l’axe solsticial (ou si l’on préfére sur l’étoile équinoxiale (vernale ou automnale) ou solsticiale correspondante). En effet, la démarche préconisée par Lenoble nous apparait comme aléatoire et brouillonne puisque chaque groupe sera impacté différemment, et donc en des temps différents alors que pour nous, tous les groupes seront impacté de façon identique, la différence tenant à la réaction des leaders et à leur gestion de la période ainsi traversée. Si l’on prend ce qui se passe actuellement, l’on imagine la cacophonie que produirait le systéme « groupal » de Lenoble qui, comme il le reconnait, reste marqué par l’astrologie généthliaque dans son rapport à l’astrologie mondiale. Bien plus, Lenoble, dans la suite de son texte (non reproduit ici) insiste sur les correspondances entre les pays et les configurations astrales, s’alignant ainsi peu ou prou sur ce qu’on appelle « géographie sacrée » (cf Jean Richer. Géographie sacrée du monde grec), avec notamment l’attribution de tel signe zodiacal à telle région du monde. Or, pour nous, l’impact astrologique est universel et n’exerce pas d’effet spécifique selon tel ou tel critère comme dans le cas de la conjonction Saturne-Neptune associée par André Barbault et la Russie( URSS) dont nous avons montré l’inanité. JHB 25 03 22

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