vendredi 18 mars 2022

Jacques Halbronn L'esprit des colloques astrologiques. Leur vraie raison d'être

jacques halbronn L’esprit des colloques astrologiques, leur vraie raison d’être Le rôle des colloques est selon nous de faire apparaitre des clivages.Tout bon animateur de tables rondes doit susciter, découvrir chez les participants des lignes de clivage, ce qui exige évidemment de rassembler des positions aussi diverses que possible et de parvenir à mettre d’accord sur ce qui rapproche tout autant que sur ce qui divise. Cela vaut dans le domaine politique dans les médias que dans le domaine astrologique et en fait dans tous les domaines. Quand on ne parvient pas à faire ressortir des clvages et donc à montrer les limites de ce que l’on pouvait considérer un peu vite comme un consensus, on envoie des signes de faiblesse aux observateurs. C’est ce qui explique actuellement la démarche d’un Serge Bret Morel et avant lui d’un Philippe Zarka, qui parle de l’astrologie comme d’un tout monolithique, cristallisé. Il est donc urgent de faire étalage d’une certaine diversité pour dissuader les potentielles attaques. C’est le rôle des colloques astrologiques que d’éviter une telle perception des choses. Malheureusement, depuis une trentaine d’années,, une tendance dans un certain milieu astrologique aura été d’écarter les voix dissonantes, chez Yves Lenoble (ARRC Hermés) comme chez Franck Agier (Baglis TV) Nous nous opposons vigoureusement à une telle stratégie qui ouvre un boulevard aux astrosceptiques face à une cible qui reste figée et qui ne se renouvelle guère. C’est pourquoi, nous pensons qu’il est grand temps de penser à concevoir un « nouveau visage pour l’astrologie », ce qui pourrait être le thème d’un prochain colloque organisé par la BURA (Bibliothèque Universitaire de Recherche Astrologique) et la BINA (Bibliothèque Internationale de Numérisation en Astrologie) à l’automne 2022. Nous lançons donc un Appel à communications autour de deux axes: 1 bilan de l’astrologie: que valent les statistiques, que valent les succés prévisionnels et 2 état de l’anti-astrologie, valeur de ses arguments avec un 3e axe, autour de ce « nouveau visage » représenté notamment mais pas seulement par les avancées remarquables de l’Astrologie EXOLS. A ce propos, il convient d’applique la grille EXOLS à la problématique générale des Colloques. La phase de 7 ans de solsticialité a vocation à casser une image d’un seul tenant de l’astrologie car toute avancée conduit à une croisée des chemins. Même les théories les plus assurées débouchent sur des clivages. A contrario, au bout de 7 ans, l’on passe à une phase d’équinoxialité qui va tendre à unifier le monde des chercheurs autour d’un courant qui sera parvenu à l’emporter. C’est ainsi que fonctionne toute Cité scientifique ou autre. Une mue de l’astrologie est nécessaire. D’autres mues ont précédé et l’on peut penser qu’autour d’André Barbault entre autres – on peut penser à Jean Pierre Nicola ou à Michel Gauquelin, chacun en son style- a pu se développer une certaine espérance de renouveau de l’astrologie, pendant un bon demi-siècle. Mais l’on est en droit désormais d’en faire le bilan et de constater la nécessité de l’émergence d’un nouvel élan pour prendre la reléve de la génération née dans les années Vingt du siècle dernier. Il importe notamment de tirer tous les enseignements de la crise actuelle de 2022 en ce qui concerne l’arsenal de l’astrologie à la Barbault. Etrangement, les choses semblent se répéter, comme il y a 60 ans. Barbault n’avait pas vu venir la crise de 1962 pas plus que celle de 202-il décéde en 2019 mais cela n’empêche pas qu’il aurait pu annoncer 2022 (au lieu de s’égarer sur une affaire de pandémie qui ne reléve pas de la géopolitique. Dans les deux cas, Barbault va pointer en vain 1965 (La crise mondiale, Ed Albin Michel) et à la suite Lenoble 2026 (voir le site des astrophiles) du fait de la prochaine conjonction Saturne Neptune. Certes, reconnaissons que Barbault a eu raison de mettre la Russie au coeur de la recherche astrologique mais il aura manqué des rendez vous majeurs au niveau de la chronologie prévisionnelle sans parler de rendez vous sans effet pour le début des années 80. La question est de savoir si l’on va continuer à défendre coute que coute une cause perdue ou bien si l’on va reconnaitre qu’il est temps de changer de logiciel: Envoyez nous donc votre accord pour participer à ce forum qui sera structuré à partir de vos propositions comme ce fut le cas en novembre 2004 qui fut un grand rassemblement des divers courants et qui fut prolongé par la mise en place de notre télévision à partir de 2007-2008 où l’on mit en ligne de nombreuses archves vidéo de nos colloques depuis les 20 ans écoulés alors. Cela dit, c’est bien en 2025-2026 que le milieu astrologique devrait trouver son chemin de Damas avec le passage de Saturne sur l’axe équinoxial bélier-balance non point en raison de la validation des prévisions d’un Lenoble mais parce que ce passage devrait être un signal fort pour les 7 années qui suivront quant à l’intégration de l’astrologie dans le champ de la science politique et sa reconnaissance comme un protagoniste incontournable, ce qui signifie à terme l’effondrement de l’ostracisme dont elles est victime, du fait d’une diabolisation et d’une stigmatisation/ C’est le rôle de la phase équinoxiale d’abolir les frontières. JHB 18 03 22

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