mercredi 24 novembre 2021

Jacques Halbronn La théologie "plus" : le 7 prolonge le 6

jacques HAlBRONN La théologie plus: le 7 prolonge le 6 La théologie "plus" est celle qui vient s'ajouter à la théologie première, celle des philosophes et des astrophysiciens. Le chapitre II du Livre de la Genése est le manifeste de la théologie plus. S'ajoute aux Six Jours de la Création du premier chapitre un septiéme jour, le Shabbat célébré par les Juifs en accord avec la théologie "plus". DE même, Saturne, la septième planéte, vient s'ajouter aux six premières (Soleil Lune, mercure, Vénus, Mars et Jupiter. Saturne est la planéte de l'astrologie laquelle est le fer de lance de la théologie plus..Les astrologues qui se servent des six premières planétes sont dans l'erreur. Seule la planéte appelée Saturne fait sens au regard de la théologie plus. Le nom de Saturne dans le Sefer Yetsira est Shabtay, ce qui renvoie évidemment au Shabbat/ Saturne est lié à la Nouvelle Alliance.(cf Jérémie XXXI). Le même chapitre II de la Genése traite de la "création" de la femme. On y dit qu'elle sera une aide (Ezer), donc une addition. La femme n'est pas réduite à la procréation comme chez les animaux où c'est l'homme, le mâle, qui permet à la femme d'enfanter. La femme aide l'homme à se réaliser en tant que créateur. Echange de bons procédés. Genèse - Chapitre 2 - בְּרֵאשִׁית א וַיְכֻלּוּ הַשָּׁמַיִם וְהָאָרֶץ, וְכָל-צְבָאָם. 1 Ainsi furent terminés les cieux et la terre, avec tout ce qu'ils renferment. ב וַיְכַל אֱלֹהִים בַּיּוֹם הַשְּׁבִיעִי, מְלַאכְתּוֹ אֲשֶׁר עָשָׂה; וַיִּשְׁבֹּת בַּיּוֹם הַשְּׁבִיעִי, מִכָּל-מְלַאכְתּוֹ אֲשֶׁר עָשָׂה. 2 Dieu mit fin, le septième jour, à l’œuvre faite par lui; et il se reposa, le septième jour, de toute l’œuvre qu'il avait faite. ג וַיְבָרֶךְ אֱלֹהִים אֶת-יוֹם הַשְּׁבִיעִי, וַיְקַדֵּשׁ אֹתוֹ: כִּי בוֹ שָׁבַת מִכָּל-מְלַאכְתּוֹ, אֲשֶׁר-בָּרָא אֱלֹהִים לַעֲשׂוֹת. {פ} 3 Dieu bénit le septième jour et le proclama saint, parce qu'en ce jour il se reposa de l’œuvre entière qu'il avait produite et organisée. ד אֵלֶּה תוֹלְדוֹת הַשָּׁמַיִם וְהָאָרֶץ, בְּהִבָּרְאָם: בְּיוֹם, עֲשׂוֹת יְהוָה אֱלֹהִים--אֶרֶץ וְשָׁמָיִ יח וַיֹּאמֶר יְהוָה אֱלֹהִים, לֹא-טוֹב הֱיוֹת הָאָדָם לְבַדּוֹ; אֶעֱשֶׂה-לּוֹ עֵזֶר, כְּנֶגְדּוֹ. 18 L’Éternel-Dieu dit: "Il n’est pas bon que l’homme soit isolé; je lui ferai une aide digne de lui." On nous dit parfois que l'astrologie est condamnée par la Bible. C'est la pire des contre vérités et nous renvoyons au Livre de l'Exode où l'on parle de deux périodes de 7 ans, l'une avec les vaches grasses, l'autre avec les vaches maigres (Songe de Pharaon interprété par Joseph), ce qui correspond à un demi-cycle de la planéte Saturne soit 28/2. C'est dans ce sens qu'il faut comprendre les premiers versets du Livre de la Genése: Dieu créa le Ciel et la Terre, en fait "'avec la Terre, car cela forme un binome. La théologie plus implique que le Ciel gouverna la Terre, par l'intermédiaire de Saturne, considérée traditionnellement comme la planète des Juifs. Et les Juifs sont le vecteur principal de l'ordre selon la théologie "plus". JHB 24 11 21

Jacques Halbronn André Barbault et son astrologie pandémique inclassable.

André Barbault et son astrologie pandémique inclassable par Jacques Halbronn Yves Lenoble dans son récent ouvrage écrit :’Il y a trente ans André Barbault annonçait une pandémie mondiale pour 2020 après avoir prédit, entre autres, dès 1955 la chute de l’Empire soviétique en 1989! !L’astrologie s’est en effet toujours voulu annonciatrice des grands événements de l’Histoire. Ainsi, le cardinal d’Ailly et Nostradamus avaient prévu très longtemps à l’avance la révolution de 1789. Et d’ores et déjà, les prochains rendez-vous planétaires du XXIè siècle sont annoncés… » Or, de tels propos font probléme et ne nous semblent pas servir la cause de l’astrologie et il ne nous semble pas qu’André Barbault (décédé en 2019) aurait souscrit à une telle présentation. On peut lire sous la plume de Fabrice Pascaud le texte suivant: André BARBAULT : APERÇU sur les PANDÉMIES « Je ne saurais que trop vous recommander la lecture de cet article intitulé « Aperçu sur les pandémies » d’André Barbault, rédigé en juin 2011. Dans cet article à la page 6, André Barbault annonce de façon claire, nette et précise la forte probabilité d’une pandémie en 2020/2021. Aucune ambiguïté dans les propos ! il précise de surcroît les conséquences économiques qui en découleraient » Il faudrait déjà que l’on se mette d’accord: C’était il y a 10 ans ou 30 ans, comme l’affirme Lenoble? Si Barbault n’avait pas produit, à 90 ans, cet article de juin 2011, quel serait donc son bilan? Est ce que l’astrologie, selon Barbault, dépend de ses interprétes ou bien de ses penseurs, de ses concepteurs? Or, il nous semble que pour Barbault, l’important, c’était le systéme et qu’un systéme qui ne fonctionnerait que par celui qui l’aurait élaboré n’aurait pas grand intérêt, d’où son graphique paru dès 1967 -(Les astres et l’Histoire) et qui est censé fonctionner bien au delà de sa personne! Qu’en serait-il si un autre que Barbault avait produit un tel pronostic à partir de ses travaux (cf notre étude La légende dorée du prophétisme, de Nostradamus à André Barb ault) Est ce qu’A. B. a annoncé comme le prétend Lenoble ’ ‘La chute de de l’empire soviétique pour 1989. »? D’abord, l’empire soviétique ne s’est pas effondré en 1989 mais à une date ultérieure et ensuite, il avait simplement annoncé un tournant important et si l’on en croit son ouvrage de 1963 « La crise mondiale. 1965′, parue donc bien après sa prévision pour 1989, parue au milieu des années cinquante, Barbault n’était pas disposé en 1955 à annoncer la fin de l’URSS lui qui annonçait en 1963 que l’URSS rejoindrait les USA lors de l’opposition Saturne-Neptune de 1971. Rappelons que l’Yonne Républicain où Barbault publia , fin 1953 sa première étude sur la Conjonction Saturne Neptune était d’obédience communiste affirmée. En réalité, tout indique que dans l’esprit de Barbault, du moins quand il écrit dans les années cinquante-soixante, 1989 aurait du renforcer la cause communiste et non l’inverse. Rappelons aussi que cette fameuse annonce pour 1989 n’aura trouvé aucun écho dans la revue L’Astrologue que Barbault dirigeait, tout au long de la dite année 1989, ce qui signifie qu’il n’aurait plus alors parié un kopeck sur la fameuse conjonction, lui qui s’était converti entre temps à l’indice de concentration planétaire, hérité de Gouchon et de Caslant et qui l’avait fait annoncer une troisiéme guerre mondiale pour le début des années 80 alors que le pic de la menace dans ce sens avait été 1961-62 qu’il n’avait pas vu venir: crise de Berlin, crise de Cuba. Quant à rappeler la prévision pour 1789, associée à la Révolution Française- seule référence rapportée par Lenoble outre l’exemple Barbault- elle date de 1414 et de la vogue de la théorie des conjonctions Jupiter Saturne, héritée d’Albumasar (vers 900). Elle est reprise dans l’Epitre à Henri II, qui est un faux posthume calqué sur une précédente épitre adressée au Roi de France. Or, l’on observe que Lenoble ne prend pas la peine d’exposer les techniques qui auront permis de formuler telle ou telle prévision et se contente de dire qu’Un tel avait prévu ceci ou cela alors que dans tous les cas, il y a un systéme qui sous-tend de telles annonces et c’est ce systéme qui importait à Barbault et non telle interprétation ponctuelle qui, à elle seule, ne saurait valider le dit système alors même que les autres applications du dit systéme sont décevantes. Une hirondelle ne fait pas le printemps. Par ailleurs, nous avons montré que l’idée de focaliser une configuration sur telle ou telle partie du globe n’était pas recevable en la circonstance car l’enjeu est justement de montrer que l’on retrouve les mêmes effets en plusieurs parties. D’ailleurs, Barbault aura fini par prendre le contre pied de cette méthode puisque par la suite, il a voulu annoncer des événements à un niveau mondial comme le rappelle Lenoble à propos de la pandémie! Il a changé son fusil d’épaule. Cela dit, André Barbault avait bel et bien exposé sa démarche dans la revue L’Astrologue. numéro 177. (Ier trimestre 2012) Voici un extrait de cet article: « Pour revenir aux pandémies et en remontant le siècle écoulé, les quatre crises de 1918, 1954, 1968 et 1982 sautent aux yeux, les deux considérables ayant été la première, la fameuse « grippe espagnole » qui a fait, dit-on, 25 millions de morts, et la dernière où s’est installé le Sida, lequel est encore plus dévastateur et continue d’être meurtrier. Depuis, il y eut aussi une faible poussée grippale en 2009, tout contre le dernier indice cyclique le plus bas (2010). Il se pourrait bien que nous soyons sérieusement menacés d’une nouvelle pandémie au cap de 2020-2021, à la pointe la plus basse de l’indice cyclique de tout ce XXIe siècle, avec le quintette des lentes rassemblées sur une centaine de degrés, une conjonction Jupiter-Saturne-Pluton pouvant plus particulièrement, et même spécifiquement, se prêter au « tissu » de ce déséquilibre. Il n’en demeure pas moins que cette configuration puisse aussi transférer son noyau de dissonances au terrain des catastrophes géophysiques, sans épargner en dernier lieu la scène des affaires internationales, Nature et Société étant indistinctement touchées. » On notera que cette prévision est sans rapport avec le cycle Saturne-Neptune et donc il semble problématique de rappeler ce qui s’est passé en 1989 car celle reléve d’une technique d’un tout autre ordre abandonnée par Barbault depuis le début des années soixante dix. Quid du repli stratégique de Barbault concernant son « indice cyclique » réduit à annoncer des pandémies? On est loin de l’exaltation politique de 1974 quand Barbault interpellait la presse, lors du Congrès de Paris de 1974 quant aux proches échéances à venir avec une « descente » de sa courbe. On nous explique à présent que c’était le SIDA qui était au rendez- vous en 1982. Rappelons que pour nous, une théorie astrologique doit comporter des phases égales, ce qui n’est pas le cas de l’indice cyclique. Sans un substrat numérique rigoureux, qui est propre à tout cycle astronomique, on déraille. Barbault en combinant les cycles tue la cyclicité car une addition de cycles ne donne pas de cycle cohérent d’un point de vue structurel. Observons la série concernée: « 1918, 1954, 1968 et 1982″ Entre 1918 et 1954, entre 1954 et 1968; entre 1968 et 1982, entre 1982 et 2020. Cela donne les intervalles suivants: 36 ans, 14 ans, 14 ans et encore 36 ans si l’on arrondit. ce qui donne un total de 100 ans environ entre 1918 et 2020. C’était en revanche le cas du cycle Saturne Neptune qui se reproduisait tous les 36 ans, sauf qu’il correspondait en fait, comme on l’a montré, au passage de Saturne, tous les 7 ans, alternativement, sur l’axe équinoxial et sur l’axe solsticial. A ce propos, l’on notera qu’en 1953, Saturne était sur l’axe équinoxial alors qu’en 1989 il passait sur l’axe solsticial. Or, il ne semble pas que Barbault ait pris la peine de distinguer entre les effets des deux « conjonctions », ce qui faisait que son pronostic pour 1989 pouvait vouloir dire une chose et son contraire, ce qui est un peu génant pour un pronostic! Resterait donc à l’actif de Barbault son étude « pandémique », produite in extremis. Il est possible que Barbault ait découvert un cycle de 100 ans(cf supra) ce qui expliquerait qu’un siècle après 1918, l’on arrive à 2020; de la grippe espagnole au COVID 19…. On pense à Michel Gauquelin découvrant une astrologie paralléle, liée à l’heure de naissance. Autant dire deux astrologies aux antipodes l’une del’autre et que nous serions tentés de qualifier de marginales et inclassables., l’une comme l’autre, s’articulant assez mal épistémologiquement avec les fondamentaux saisonniers de l’astrologie , Gauquelin ne se référant pas aux saisons et s’appuyant sur les seules maisons et Barbault, pas davantage, suivant en cela l’exemple de Kepler.

Jacques Halbronn La théologie de la Sur Nature est celle de 'l'en su...