lundi 24 octobre 2022

Jacques halbronn Le cycle de Saturne 14 ans ou 28 ans?. Réponse à Roger Héquet.

Jacques Halbronn Le cycle de Saturne : 14 ans ou 28 ans? Réponse à Roger Héquet. On commentera ici les dernières observations que nous a transmises Roger Héquet à propos du cycle de 15 ans. »La révolution de Saturne n’est pas de 15 ans mais de 29 ans et demi. » Roger Héquet » Roger Hequet Je n’ai pas spécifiquement recherché un cycle de 15 ans mais plus généralement un systéme physique stable qui pouvait être le moteur à un mécanisme d’horlogerie. Je l’ai trouvé dans l’avancée du Temps Sidéral (TS) qui nous sert, entre autre, à dresser un théme. Le pas quotidien au TS ( écart entre le jour solaire et le jour sidéral ), est de 3mn59.7. Temps et Espace confondus, ce qu’est un théme ( Temps Espace Sujet), cela nous donne 24° par an autour de l’écliptique, soit enfin 360° en 15 ans exactement. Tout le systéme ACB repose sur cette base et cette précision. Cette « force » qui devait faire se mouvoir l’ensemble des éléments planétaires de naissance, d’un même pas, je l’ai appelée Force TSv. Roger Hequet De cette base, avec bien des années de recherche, est apparu un systéme autrement plus complexe mais toujours plus efficace et précis Roger Hequet Effectivement Jacques Halbronn, nous ne parlons pas de la même « chose »… vos cycles de 15 ans n’en sont déjà pas et vos découpagnes en opposition non plus … La révolution de Saturne n’est pas de 15 ans mais de 29 ans et demi. Soit 14 ans 3 mois pour son opposition. Ces 6 mois sont sans importance pour vous je le sais mais, pour qui est en recherche d’une année spécifique, jeter 6 mois par dessus son épaule est un peu téméraire …. Au bout de 3 cycles nous avons déjà 1 an et demi d’écart possible …. Et vous en rajoutez une couche en prenant son opposition à 7 ans et non 7 ans et demi … Ici aussi qu’est ce que 6 mois ? Et en jetant ainsi ces 2 fois 6 mois inexactitude vous pensez découvrir l’année exacte de début d’un cycle ?? Les cycles ACB sont de 15 ans, exactement, à l’heure près et les oppositions à ces cycles sont de 7 ans et demi, à 1h prés. Notre réponse: Roger Héquet nous donne une leçon d’astronomie en nous rappelant que « La révolution de Saturne n’est pas de 15 ans mais de 29 ans et demi ». mais combien de temps faut-il à Saturne pour parcourir un axe équinoxial ou un axe solsticial sinon la moitié de sa révolution puisque au bout d’un demi-cycle astronomique, on amorce un cycle astrologique. Il en est de même pour la Lune, si l’on passe des années aux journées: et c’est pourquoi l’on parle d’un temps ascendant et un temps descendant qui est le retour au point de départ. la Bible nous parle de deux temps de 7 ans, ce qui correspond au demi cycle de Saturne. La conjonction et l’opposition sont en analogie et l’on parle de syzygie car dans le prolongement l’une de l’autre. Comme nous l’avons signalé, Roger Héquet fait de l’astrologie saturnienne sans le savoir, oubliant que le découpage en 30 degrés du signe est calque sur le cycle de la lune et de Saturne. Il était donc logique que RH retrouve les 15 ans en travaillant sur un tel découpage mais celui ci ne fait sens que si l’on remonte à la source cosmique Lune-Saturne. En tout état de cause, nous ne nous référons pas ici à quelque thème natal que ce soit car on est en astrologie mondiale et le thème natal est un point de départ fictif qui ne saurait se substituer au passage de Saturne sur les axes saisonniers, ce qui confère une seule et même tonalité à chaque période de 7 ans. Notre astrologie n’est pas numérique ou numérologique mais repose sur les éphémérides et le cycle de Saturne. Nous accordons notamment la plus grande importance au passage de Saturne sur la croix des signes mutables. Gémeaux Sagittaire et Vierge-Poissons. Par ailleurs, chaque période de 15 ans comporte deux temps de 7 ans bien différents – vaches grasses et vaches maigres. En tout état de cause, Roger Héquet a raison de ne pas se risquer plus longtemps dans l’astrologie mondiale comme lorsqu’il s’essaie bien imprudemment, à baliser l’Histoire de l’Allemagne et dans ce cas, il ne parle plus du tout de thème natal sur une base 1918-1933-1948 qui ne tient pas la route. Quid de Locarno en 1925 à mi chemin entre 1918 et 1933? Par ailleurs, notre astrologie est tout à fait en mesure de conseiller les personnes sur la traversée de telle ou telle période sans qu’il soit nécessaire de dresser un quelconque thème natal car l’astrologie traite des causes communes et laisse à chacun la liberté d’y répondre à sa façon tout comme l’astrologie des 12 signes donnera seulement des lignes générales valables pour un très grand nombre de personnes. Une trop grande précision à l’échelle individuelle fait de l’astrologie un art divinatoire!. Enfin, évitons les anachronismes. l’astrologie appartient à un temps où l’on ignorait les planétes au delà de Saturne et elle doit être d’une très grande simplicité d’emploi et n’a nullement besoin d’informatique pour nous guider.

Jacques Halbronn La notion d'alternance au prisme de son anthropocosmologie sensorielle

jacques Halbronn La notion d'alternance au prisme de son Anthropocosmologie sensorielle. Nous avons récemment traité de la question de l'alttenance des phases de 7 ans, au prisme de notre lecture du Livre de la Génése. Or, nous n"avions pas vraiment la juste mesure d'une cyclologie fondée sur l'homme et la femme; il ne s'agit pas, en vérité, de faire alterner le temps des hommes et celui des femmes mais bien, de faire alterner le temps de l'homme avec celui du temps qui voit l'homme être complété par la femme, non pas tant en tant qu'individu mais en tant que collectivité car nous ne pensons pas que le couple soit la référence sur une base d'égalité numérique "'un homme et une femme"(Lellouch) C'est une erreur très répandue chez les commentateurs que de prendre le singulier à la lettre: quand on parle d'Adam, il s'agit pas d'un seul individu et quand on parle de la Vierge, il s'agit de tout un peuple, une lignée (d'où les généalogies dans l'Evangile de Mathieu notamment) dont sortira un Sauveur. Genése II יח וַיֹּאמֶר יְהוָה אֱלֹהִים, לֹא-טוֹב הֱיוֹת הָאָדָם לְבַדּוֹ; אֶעֱשֶׂה-לּוֹ עֵזֶר, כְּנֶגְדּוֹ. 18 L’Éternel-Dieu dit: "Il n’est pas bon que l’homme soit isolé; je lui ferai une aide digne de lui." Autrement dit, la femme - les femmes - est présentée comme un ajout (une aide) venant compléter cycliquement l'homme mais non pas en permanence, sinon il n'y aurait pas alternance, ce qui exige séparation et conjonction à tour de rôle. Dès lors que l'on n'admet un aller retour -comme pour les marées, le flux et le reflux, le jour et la nuit, on n'accéde pas à la dynamique cyclique. On aura donc compris que cette "aide" doit rester ponctuelle et ne saurait être une finalité en soi mais bien un moyen utile, à certains moments. Le déni de dualité sévit tant dans le temps que dans l'espace. Face à quelqu'un qui ne parle d'alternance que pour bloquer, entraver son processus, il ne peut exister de relation de confiance, de réciprocité. Celui qui demande, accepte de l'aide, ne le fait que pour un temps déterminé (CDD) et non pas indétermine (CDI) Résumons -nous: la création de la femme au chapitre II de la Genése ne saurait constituer autre chose qu'un amendement, une modulation aux yeux du " Créateur" (terme que nous préférons à "Dieu") et qui démystifie le mot"création" en ne le réservant pas au seul "premier mobile", à l'origine de tout l'Univers. JHB 24 10 2