mardi 10 mai 2022

Jacques Halbronn Café Philo Mado avec Kerem et Souleiman Eclaira...

Jacques Halbronn La littérature chrétienne antijuive et Varican II

Jacques Halbronn . La littérature chrétienne antijuive et Vatican II On nous signale d’un côté que l’on a évacué du discours chrétien des propos stigmatisants pour les Juifs mais de l’autre, on ne se prive pas dans les églises de lire en chaire des textes comme celui de l’Epitre de Barnabé.(c Arthur Marmorstein L’épite de Barnabé et la polémique juive, in REJ) Il est bien difficile pour le christianisme de se dégager d’une posture antijuive et il faudrait commencer par interpréter correctement la déclaration attribuée à Jésus « je suis venu pour les brebis perdues de la maison d’Israel », bien des lecteurs et des commentateurs s’imaginant que cela vise les Juifs « perdus », ce qui constitue une contre sens caractérisé. Il importe de rappeler que les paiens n’ont rien à voir au départ dans cette affaire. C’est l’épitre à Barnabé qui déploie cette thèse selon laquelle les paiens remplaceraient les Juifs alors qu’il est question de ceux qui sont condamnés, interpellés par les prophétes, à savoir la maison d’Israel. En quoi consiste cette « maison »? En « citoyens » de second rang, issus du Royaume schismatique d’Israel., regroupant une population asservie par la maison de Juda, la théorie des 12 tribus et des 12 fils de Jacob visant à occulter cette réalité historique, laquelle théorie est exposée dans le Pentateuque dont nous avons montré qu’il était largement l’oeuvre du camp israélite. Cette population souffrait de cet ostracisme à son égard et Jésus s’est présenté à elle comme celui qui allait y mettre fin (cf Epitre aux Hébreux). Cette population ne souhaitait rien de plus cher que d’être « pardonnée » pour avoir développé une certaine hérésie;, d’où l’importance du pardon dans le discours chrétien, faussement mis en rapport avec un « péché originel »! JHB 10 04 22

jacques Halbronn Théologie et "transhumanisme" problématique de la Création

Jacques Halbronn Théologie et « transhumanisme »: problématique de la Création Le débat actuel autour du transhumanisme doit, selon nous, être resitué par rapport à l’astrologie. Nous dirons que nous vivons une époque qui nous permet de mieux comprendre le rôle des dieux dans l’histoire de notre Humanité car nous nous nous retrouvons peu ou prou dans une situation comparable à celle qui fut la leur, bien des millénaires en amont. On aura compris que ces dieux ne correspondent pas à l’idée d’un Dieu créateur de l’Univers, à l’origine de toutes choses mais bien plutôt à des »fils de Dieu », terminologie récupérée par le christianisme. Or, le christianisme était à mi chemin, en quelque sorte, entre deux temps « créatifs ». Il est venu trop tard et trop tôt . Il est venu trop tard parce que notre monde était déjà reformaté par ces « dieux » et trop tôt parce que le temps n’était pas encore venu d’instaurer une nouvelle Humanité, ce qui correspond davantage au transhumanisme dont il est question actuellement. (Intelligence Artificielle) En tout état de cause, notre Humanité est déjà « transformée » par rapport à son animalité première et nous sommes déjà dans une forme de « transanimalité », ce dont témoigne l’astrologie en ce qu’elle n’est pas à la portée de notre Humanité et est donc l’oeuvre des dieux. Par ailleurs, si l’on se référe au Livre de Jérémie (ch. XXXI, 31), les alliances qui y sont mentionnées sont déjà en place de longue date et par conséquent le christianisme n’annonce rien de nouveau mais reprend des textes dont il n’a pas su capter le sens, ce qui fait imploser la thèse de la préfiguration. En effet, d’ores et déjà, les deux alliances sont en vigueur, ce qui correspond à deux formes d’astrologie, l’une axée sur des périodes de 7 ans, l’autre sur le mouvement diurne, l’une laissant à l’Humanité, conduite par ses chefs, une certaine marge de manoeuvre, l’autre imposant un déterminisme subconscient auquel il n’est point possible d’échapper, ce qui rend inutile toute législation « externe », ce qui fonde et valide le libéralisme, voire l’anarchisme. Le grand probléme du christianisme, pour l’historien des textes, est de ne pas avoir compris les textes qui sont censés l’annoncer et donc d’avoir inventé des narratifs sur des bases fausses tout comme les faussaires des Centuries, désireux de se conformer au passé ont choisi des textes controuvés, ce qui les déconsidére. « L

jacques Halbronn Politique. Gérer la diversité dans l'espace (aménagement du territoire) et dans le temps (Astrologie)

jacques Halbronn Politique. Gérer la diversité dans l'espace (aménagement du territoire) et dans le temps (Astrologie) Selon nous, l'art de la politique exige de concevoir une stratégie de l'espace et du temps, ce qui exige évidemment de disposer d'un certain espace et d'un certain temps. I la solution spatiale Un empire a besoin d'espace pour faire cohabiter des populations diverses tant quant à leur apparence qu'à leurs pratiques. A contrario, un Etat disposant de peu d'espaces à aménager ne pourra guère se payer le luxe de la diversité, les gens étant les uns sur les autres et se génant mutuellement (promiscuité). Le drame, c'est quand un empire est contraint à se réduire,à se contracter. C'est ce qui s'est passé pour la France, dès le début de la Ve République, quand la partie africaine controlée par la France (métropole) s'est disjointe et qu'une partie de la population en question s'est transférée, retrouvée et reproduite en métropole II la solution cyclique L'autre solution passe par une structuration, un échelonnement du temps, ce qui passe par la mise en oeuvre d'alternances , de roulements, "à tour de rôles", ce qui sous tend notamment l'idée de Droite et de Gauche. A un certain moment, telle population, à un autre moment, telle autre. Les élections périodiques on vocation à ménager un tel agencement en "démocratie" Quand cete démocratie dysfonctionne (modes de scrutin ne permettant pas une juste représentativité), cela ne peut que donner lieu à des tensions dans la mesure où cela nuit à l'émergence et au maintien d'une diversité sociale harmonieuse. On aura compris que pour nous il importe de déployer les groupes dans le temps et dans l'espace. Nous voudrions ici souligner que la mission de l'astrologie est bien d'aménager le temps social;(socialisme). Mais de quelle astrologie s'agit il? D'une astrologie qui "respire", qui laisse du temps au temps, ce qui n'est pas le cas de l'astrologie le plus souvent en vigueur, de nos jours. Nous avons diagnostiqués les maux dont souffre une telle astrologie et qui la rendent inepte pour une telle mission en distinguant une astrologie de l'Ancienne Alliance et une astrologie, instaurée plus tardivement de la Nouvelle Alliance (cf Jérémie XXXIn 31) Or, selon nous, l'astrologie actuelle correspond quelque part à l'astrologie mise en évidence par Michel Gauquelin qui n'est pas opérationnelle en raison de la masse de facteurs qu'elle charrie, ce qui ne donne pas du temps au temps;C'est l'astrologie de la Nouvelle Alliance venant se substituer à l'Astrologie de l'Ancienne Alliance. Seule une astrologie axée sur une seule planéte (cf L'astrologie selon Saturne, 1994) est en mesure de dégager des périodes suffisamment amples. JHB 10 05 22

Jacques Halbronn Astrologie de l'Ancienne Alliance versus Astrologie ...