mercredi 21 septembre 2022

jacques Halbronn L'astrologie entre Science et Technologie

Jacques Halbronn L’astrologie, entre Science et Technologie Dans les années soixante, André Barbault opposait l’astrologie symbolique et l’astrologie physiciste (De la psychanalyse à l’astrologie, Seuil, 1961). Soixante ans plus tard, il nous semble devoir reformuler ainsi le débat en opposant Science et Technique. En effet, quand on construit une maison, on se sert de toutes sortes de matériaux qui se rejoignent par la finalité du projet mais qui se trouvent peu ou prou instrumentalisés par l »architecte. Autrement dit il ne nous semble pas héureux de parler ici de symbolisme sans rattacher celui-ci à une problématique technologique. On connait les liens entre Art et Technique et l’on sait que le sculpteur transcende la matière, la pate qu’il modéle. On notera que la technologie comporte une part d’arbitraire, ne serait-ce que dans le choix des couleurs permettant de distinguer un facteur d’un autre, sans parler de la terminologie utilisée, des aléas de la composition. On aura compris que l’astrologie en optant pour la voie de la technique plutôt que pour celle de la science, de la « nature », échappe ipso facto à la plupart des attaques dont elle a fait l’objet, au cours des siècle en ce que l’astre n’est pas le vecteur déterminant en soi mais le rôle qui lui est imparti. Se situer sur le plan technologique permet à l’astrologie de s’émanciper du diktat astronomique. Car si l’astrologie devait relever de la Nature, elle serait contrainte de tout en accepter, dans le temps et dans l’espace. Comment pourrait-elle échapper à l’argument des astronomes du xIXe siècle qui voulait que les planétes nouvellement découvertes fissent leur entrée dans la panoplie astrologique.? Et c’est bien ce qu’elle aura fini par accepter, au risque d’un cul de sac avec le cas de Pluton, astre finalement déclassé, soixante quinze ans après sa découverte en 1930. C’est selon une telle feuille de route que l’on peut suivre la démarche d’un Jean Pierre Nicola (Nombres et formes du cosmos) acceptant d’intégrer dans son groupe « T » du RET les trois transsaturniennes, au nom d’une astrologie »physiciste », seule voie de salut pour que l’astrologie entre de plein pied dans la modernité (cf Pour une astrologie moderne, Seuil, 1977) L’autre option que nous avions choisie (cf La pensée astrologique in L’Etrange Histoire de l’Astrologie, Ed Artefact, 1986), il y a plus de 30 ans, conférait à notre Humanité un rôle considérable d’autodétermination comme si celle-ci était en mesure de se programmer par elle même. Nous sommes revenus de cette hypothèse en lui en préférant une autre, celle d’un « deus ex machina », d’un Deus Faber, d’un grand architecte qui maitrisait la matière, la structurait tant au niveau de l’agencement du systéme solaire que de la programmation génétique de notre Humanité. Un savoir faire dépassant largement notre niveau bio, cosmo-technologque actuel. Ce qui ouvre par ailleirs le débat sur le plan théologique car selon nous la polémique autour de l’astrologie reléve de ce domaine, de l’Intelligent Design. En ce sens, l’astrologie n’a absolument aucune obligation à intégrer toutes les planétes du systéme solaire car elle n’en a pas besoin pour mener à bien sa mission au service de la Cité. Un seul curseur suffit et la mise en place d’une alternance de deux phases est la solution la plus ergonomique. JHB 21 09 22

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