samedi 2 septembre 2023

jacques halbronn L'hétérogénéité non assumée, mal gérée de l'élector...

jacques halbronn Toute affirmation unitaire tend à occulter la divers...

Jacques halbronn Judaisme. Les tensions sont révélatrices d'une dynam...

jacques halbronn Du bon gouvernement des sociétés plurielles

jacques halbronn Du bon gouvernement des sociétés plurielles; A la fin du XVIIIe siècle, les sociétés n'avaient pas le profil qui est le leur maintenant. il s'agissait notamment en France de mettre fin à certaines exclusions en vigueur au sein du monde judéo-chrétien et blanc, d'où l'importance accordée à la question juive (cf notre ouvrage Le sionisme et ses avatars au tournant du XXe siècle, Ed Ramkat 2002) et la déclaration en 1791 sur l'Emancipation des juifs du Royaume de France, à la fin du régne de Louis XVI.(cf l'ouvrage de l'Abbé Grégoire),lesquels étaient immergés de longue date dans la société française tout en en étant par certains côtés séparés juridiquement. Le probléme s'était déjà posé, en France, au tournant du XVIIe siècle (Edit de Nantes, 1598), à la fin des Guerres de religion, laquelle était une forme de guerre civile au sein d'un même ensemble. Avec la colonisation, à partir notamment de 1830, lors de la Conquéte de l'Algérie, et surtout sous la IIIe République, il s'agira de gouverner un ensemble plus hétérogéne, de trouver des "solutions" compatibles avec l'esprit des institutions.( cf L’acte électoral revisité en situation coloniale. Voter à Oran dans la première partie du XXe siècle par Éric Savarese Dans Pôle Sud 2016/1 (n° 44), Notice Wikipedia Le Statut de 1947 "Ensemble des dispositions de déconcentration des pouvoirs de la France coloniale à l'Algérie organisé par la loi du 20 septembre 1947, « portant statut organique de l’Algérie ». Nous poserons le probléme ainsi: le vote ne serait-il pas le résultat de l'échec de la concertation, laquelle tiendrait à l'hétérogénéité du corps social, une sorte de caché-misère, un pis aller? Ce qui caractérise la société française actuelle tiendrait à cette hétérogénéité, empêchant de parvenir à quelque consensus majoritaire, ce qui ne serait pas résolu, soluble par le suffrage universel ou le référendum au niveau quantitatif. JHB 02 09 23

Jacques halbronn De la vocaion providentielle de l'astrologie.

jacques halbronn De la vocation providentielle de l’Astrologie. Dans le mot « providentiel », il y a étymologiquement l’idée de prévision mais cela nous renvoie à une certaine dimension théologique que nous préconisons en la matière. La providence suppose que tout aura été « pourvu » et d’ailleurs on connait l’expression « pourvu que ». Au demeurant la formule « pourvu que ça dure »(attribuée à la mère de Bonaparte) fait probléme dans la mesure où la providence se combine avec la cyclicité, c’est à dire à ce qui n’est pas censé durer indéfiniment, mais suppose une certaine forme d’alternance, comme l’entend le Livre de l’Ecclésiaste quand il y est écrit « il faut un temps pour chaque chose ». La conscience d’un ordre astrologique sous-jacent devrait contribuer à atténuer, à relativiser les tensions sociales et c’est d’ailleurs la raison d’être, selon nous, du principe d’alternance censé être au coeur de la démarche démocratique, sauf que la pratique de la démocratie tend à relativiser sensiblement un tel principe en n’en faisant qu’une option subsidiaire! Mais, pour que l’astrologie puisse assumer une telle dimension providentielle, encore faut-il qu’elle mette en place une périodicité, une récurrence régulière, ce qui n’est pas vraiment le cas de nos jours et depuis déjà un certain temps, du fait de l’inflation du nombre des facteurs pris en compte.. Nous vivons dans un climat de procés d’intention, une ère du soupçon, bref d’un déficit de confiance, ce qui est le symptome d’une crise de la providentialité et donc l’expression d’un manque de visibilité. La mise à l’écart chronique de l’astrologie se paie ainsi au prix fort et l’astrologie qui domine à présent n’est nullement à la hauteur de la tâche. On l’a dit, le paradoxe est la suivant: le mot alternance n’est mis en avant que lorsque l’on veut évacuer l’adversaire mais il n’est pas assumé convenablement pour envisager l’avenir.On est dans le « plus jamais », dans la rhétorique du « nouveau régime », de la page définitivement tournée. . JHB 02 0ç 23