Etudes de Critique biblique, astrologique nostradamiquej et linguistique.
vendredi 15 octobre 2021
jacques Halbronn Pour un véritable tropicalisme en astrologie
Jacques Halbronn Pour un véritable tropicalisme en Astrologie.
Nos derniers entretiens avec Dominique (dir. BINA) auront tourné autour des résistances surprenantes chez les astrologues actuels face à un réduction du Zodiaque aux axes équinoxiaux et solsticiaux. Nous nous sommes demandés à quel « obstacle épistémologique » l’on se heurtait. Pourquoi de la part d’astrologues se voulant « tropicalistes » face aux « sidéralistes, un tel acharnement à ne pas vouloir entendre qu’il puisse exister une divisions en 4 et non pas en 12 du Zodiaque puisque ces axes sont ni plus ni moins que la base d’un zodiaque tropicaliste. Finalement, l’explication nous est apparue: nous avions affaire à un sidéralisme qui ne s’avouerait comme tel.
Selon nous, seul un sidéraliste pourrait refuser de s’intéresser aux équinoxes et aux solstices dont le zodiaque des constellations prétend pouvoir se passer. En revanche, un véritable astrologue tropicaliste ne saurait faire abstraction des dits axes qui sous tendent son zodiaque des signes. Voilà pourquoi, nous diagnostiquerons la persistance d’un sidéralisme larvé en milieu se disant tropicaliste. Rappelons que l’on parle du tropique du cancer et de celui du capricorne. On ne comprendrait pas autrement une telle résistance face à une méthode visant à se concentrer sir les seuls axes équinoxiaux et solsticiaux. Le probléme se pose également avec l’Ascendant-ou Horoscope), ,notion qui ne fait sens qu’au regard du passage d’une étoile fixe montante à l’horizon lors de la naissance. Les astrologues tropicalistes ne cessent pourtant de se référer au cycle des saisons et quand on leur propose de diviser en 4 le cycle sidéral d’une planéte, cela semble une proposition inaudible! L’on veut bien s’intéresser au passage d’une planéte d’un « signe » à un autre mais pas question de s’arrêter sur les seuls passages d’une planéte sur les axes équinoxiaux et solsticiaux, ce qui expliquerait pourquoi André Barbault n’accorde pas la moindre importance à un tel critère et préfére s’intéresser aux aspects (notamment de conjonction) entre deux planétes, ce qui vaut aussi bien pour une approche tropicaliste que sidéraliste.
JHB 15 10 21
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