mercredi 22 février 2023

Jacques Halbronn La dialectique Astrologie et théologie. Renverser la dynamique. Selon nous, le théologien est celui qui s’efforce de penser comme « dieu », de se mettre à la place du ‘créateur » et il serait bon que les penseurs de l’astrologie adoptent cette même démarche, au prisme de l’a théologie politique. Wikipedia » La théologie politique se situe au point de rencontre entre philosophie politique et théologie chrétienne, et se penche en particulier sur la manière dont des concepts et des modes de pensée théologiques peuvent impliquer, justifier ou éclairer des analyses ou des engagements politiques, sociaux, économiques ou leur être sous-jacents. Ce même terme a été utilisé en des sens et au sein de questionnements assez divers suivant les époques et les auteurs » En d’autres termes, nous dirons que pour nous l’astrologie est une théologie qui se sert des astres et non une astronomie qui se présente comme une théologie, ce que la plupart des historiens de l’astrologie semblent pourtant valider. Quelles sont les implications d’un tel changement d’optique? Cela signifie que la théologie n’a pas à se soumettre au diktat de l’astronomie et ne doit utiliser l’astronomie qu’en proportion de ses besoins. Si elle n’a besoin que d’une seule planéte pour fonctionner, elle n’aura pas à adopter le systéme solaire dans son intégralité. En revanche, si comme le croient encore la très grande majorité des astrologues, c’est l’astronomie qui serait le point de départ, la matrice – on pense à l’école conditionnaliste, de Nicola, Max Lejbowicz jusqu’à Patrice Guinard, alors, l’astrologie n’a pas d’autre choix que de se mettre au service de l’astronomie en en interprétant l’ensemble des facteurs -(planétes, constellations/signes) On aura compris que l’astrologie EXOLS que nous préconisons se veut une théologie instrumentalisant l’astronomie à sa guise et non une astronomie aux vélléités théologico-mythologiques, ce qui change radicalement la donne. Notre formation en science politique, de peu antérieure à notre initiation à l’astrologie, ( Paris II Assas, Sciences Po, Université Hébraique de Jérusalem, dans les années 1965-1969) nous aura axé sur une problématique d’organisation de la Société qui correspond au modéle démocratique, comme l’américain, en vigueur depuis la fin du XVIIIe siècle avec l’élection d’un président pour un mandat d’une certaine durée, si ce n’est qu’astrologiquement, l’on ne saurait entériner une chronologie ne reposant sur aucun support astronomique comme c’est le cas dans les diverses démocraties de par le monde, tant à l’Occident (Union Européenne, Amérique du Nord) qu’à l’Orient (Japon, Taiwan, Corée du Sud etc). Ainsi, il convient de trouver un juste milieu entre théologie politique qui ne recourt pas à l’astronomie et une astrologique qui a perdu le sens du politique et ne voit la Société qu’au travers d’une mythologie astronomisée. On retrouve ici au fond l’opposition entre monothéisme et polythéisme et nous pensons que l’astrologie sera en porte à faux tant qu »elle n’aura pas opté pour une théologie politique digne de ce nom qui ne recourt que très parcimonieusement à l’astronomie et évite d’en être saturée. Il s’agit donc pour l’astrologie d’échapper au joug de l’astronomie, de n’en extraire que le strict minimum, tant en termes de planétes que de signes, ce qui fragmente et plombe fatalement son discours tant dans l’espace que dans le temps. JHB 22 02 23

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Jacques Halbronn L'URSS et l'astrologie 1968 Prague , 1989 Berlin. Le cas Barbault

Jacques Halbronn L'URSS et l'astrologie. 1968 Prague, 1989 Berlin. Le cas Barbault Il est temps, nous semble-t-il de signaler de fausses validations en astrologie et c'est rendre service à la communauté des chercheurs de signaler les voies de garage car souvent les réussites sont plus problématiques que les échecs en ce qu'elles semblent devoir faire référence. Le rapprochement entre la chute du mur de Berlin et la conjonction Saturne-Neptune, telle que l'avait établie André Barbault au lendemain des événements en question aurait du passer par la comparaison avec des événements allant en sens contraire car l'astrologie ne saurait ignorer le test de l'antithèse. On pense notamment au printemps de Prague. Pourquoi les choses ne se passèrent pas de la même façon à Prague en 1968 et à Berlin en 1989,Berlin point symbolique s'il en est et qui avait en 1961 fait l'objet d'un blocus. Apparemment, Barbault était trop heureux de pouvoir enfin s'accrocher à un succés prévisionnel, après le fiasco de la troisiéme guerre mondiale pour le début des années 80(indice cyclique) et celui de 1971 quant au grand rattrapage des USA par l'URSS (opposition Saturne-Neptune) pour aller y regarder de trop près, en se faisant l'avocat du diable. Or entre 1968 et 1989 il y a 21 ans, soit trois périodes de 7 ans et le multiple impair (3) indique des situations inverses, en"carré" en quelque sorte. Saturne en 68 était en phase équinoxiale et en 89 en phase solsticiale, soit deux tendances diamétralement opposées. Comme on dit, les temps changent, ce qui pouvait se faire dans un cas n'était pas envisageable dans l'autre. Wikipedia: 1968 "Le printemps de Prague provoque la réaction de l’URSS qui, après l’échec des négociations, envoie chars de combat et soldats pour imposer une « normalisation ». L’occupation soviétique entraîne des manifestations non violentes et une vague d’émigration parmi la population tchécoslovaque. Au printemps suivant Gustáv Husák remplace Alexander Dubček à la tête du parti et la plupart des réformes libérales sont abandonnées." 1989.Wikipedia " L'ouverture du Mur est le symbole par excellence de la chute des régimes communistes en Europe de l'Est en 1989 et de la fin de la guerre froide entre les blocs de l'Est et de l'Ouest." On pourrait croire que c'est le cycle Saturne Neptune qui serait la cause de 1989 puisqu'il y a à cette date sa conjonction. En réalité, c'est la présence de Saturne en phase solsticiale qui en est selon nous la vraie cause et la preuve en est justement qu'en 1968, Saturne était à l'opposé, en phase équinoxiale alors que cette date ne s'inscrit pas dans le cycle Saturne Neptune, du moins tel que l'interprétait Barbault qui avait pointé 1971 avec Saturne et Neptune s'opposant sur l'axe Gémeaux Sagittaire lequel correspond d'ailleurs - coincidence- au passage de Saturne en phase solsticiale. On aura compris que Barbault avait fini par ne pas accorder de signification aux aspects de carré et d'opposition entre Saturne et Neptune, ne pariant plus que tous les 36 ans, ce qui limitait d'autant le nombre d'échéances risquant de faire faux bond, ce qui ne permet guère de statistiques. JHB 22 02 23

Jacques Halbronn Astrologie L'équinoxialité de Napoléon Bonaparte.