Etudes de Critique biblique, astrologique nostradamiquej et linguistique.
jeudi 25 avril 2024
jacques halbronn Bible. Ces traductions qui occultent des cliaves majeurs: Dieu, fils de l'homme, de Dieu, Israélite
jacques halbronn Bible Ces traductions qui occultent des clivages majeurs. Dieu, fils de l'homme, Israélite
Il est important de pouvoir se référer à la version originale pour éviter de rendre par une même appellation ce qui est visiblement distinct dans la source. C'est ainsi qu'Elohim ne saurait être traduit par "Dieu" dès lors que le tétragramme est restitué sous ce même nom. Le dieu "Yahwé" est selon nous une invention des Enfants d'Israel (Beney Israel); Il se présente à l'Hébreu Moîse, au chapitre III du livre de l'Exode, donc bien après le récit de la Création élohiste;(Genése I)
Mais là encore il y a risque de confusion puisque les Hébreux ne sont pas assimilables aux Beney Israel, comme on peut le voir dans les premiers chapitre de l'Exode; Moîse nait en milieu "hébreu" et c'est le mot "ivri" qui désigne son peuple et c'est cet hébreu qui est envoyé par Yahwé vers son peuple à lui, Yahwé. Quand Moise dit à pharaon : Laisse partir mon peuple", il parle au nom de Yahwé et non à titre personnel! Cette situation peut semble ambigue mais elle caractérise pleinement la présence juive au monde et cela vaut évidemment pour un Jésus préoccupé par le sort des brebis perdues de la maison d'Israel, le terme Israel ne visant aucunement les Hébreux ou la maison royale de judah. Le terme "juif" ne saurait, pour sa part, désigner indistinctement les ressortissants de ces deux maisons ennemies.
Quant aux termes "fils de Dieu" et "fils de l'homme", ils doivent également être maniés avec précautions; Fils de l'hommme, dans le texte hébraïque, c'est "Fils d'Adam" et peut-on traduire, comme c'est si souvent le cas, Adam par "homme", terme on ne peut plus vague; En revanche, si par Adam, l'on désigne une certaine lignée, une dynastie, une telle précision fera sens; Pour nous, les hébreux sont les "fils d'Adam" (Beney Adam) tout comme le Israélites, sont les "fils de Jacob- Israel"
Quid enfin de la formule "fils de dieu" si volontiers appliquée à Jésus? Si l'on admet qu'Adam est "fils de Dieu", c'est à dire d'Elohim -et non pas de Yahwé- Jésus en tant que descendant d'Adam l'est également comme il est rappelé dans l'Evangile selon Luc. Tous les Hébreux et non les Israélites sont des "adamites",fils 'Elohim, Cela nous améne à la question : d'où sortent ces Israélites? Selon nous, ce sont des populations autochtones asservies par le conquèrant hébreu et qui feront sécession à la mort de Salomon, voulant secouer leur joug. La lecture de la Bible ne peut que rendre perplexe puisque le nom même de Yahwé apparait déjà dans le Livre de la Genése dès le milieu du chapitre II associé à celui d'Elohim. Autrement dit, on ne saurait se fier aveuglément au texte biblique qui a été probablement remanié à Alexandrie par des Israélites. D'ailleurs, Yahwé, dans Exode III reprend à son compte la généalogie " Abraham, Isaac et Jacob" quand il s'adresse à Moîse dont on peut penser que c'est une invention proprement israélite sous tendant le dispositif des 12 tribus, dont 10 constitueront le royaume d'Israel. Dans ce récit de la Genése, on donne à Jacob le surnom d'Israel. C'est dire que la Genése prépare l'Exode tout comme les prophétes sont censés annoncer jésus "Christ" comme cela est rappelé dans les Evangiles. L'astuce consiste à faire annoncer cela par des textes supposés antérieurs et approuvés par les Hébreux,roulés dans la farine!
JHB 25 04 24
jacques halbronn La matrice lunaire : le 12, lé 7 ou le 4? le trio Luune, Soleil, Saturne
jacques halbronn La matrice lunaire : le 12, le 7 ou le 4? Le trio Lunce, Soleil, Sauturne
Quand on réfléchit sur les structures de l'astrologie, la lune est volontiers prise à témoin mais à quelle facette de la lune faut il faire appel? On peut diviser son cycle en 4 temps de 7 jours, appelés semaines, ce qui tient à ses relations avec le Soleil : nouvelle lune, demie lune, pleine lune et ainsi de suite. On peut également remarquer que la Lune se joint au Soleil dans une moyenne de 12 fois par an, ce qui servirait de référence à toute division en 12 de l'écliptique. Quelle est la bonne piste? Selon nous, la première citée serait la "bonne" et le paralléle avec Saturne montre bien que 12 n'est pas significatif pour cette planéte alors que les axes saisonniers divisent son cycle en périodes de 7 ans; Ces axes joueraient donc le même rôle de diviseurs que dans le registre soli-lunaire (nouvelle lune, pleine lune etc) C'est pourquoi nous n'attachons aucun intérêt à la division en 12 de l'écliptique; Les statistiques proposées par Castille et par Sachs prouvent certes l'impact du cycle saisonnier dans son déroulement mais aucunement la pertinence d'une quelconque division en 12 signes ou consrtellations.(cf "Mariages, astrologie et statistiques françaises" in Le Dossier astrologie de Gunther Grass, Ed Michel Lafon 2000 p; 90) A partir du moment où il y a cycle, toutes les divisions "marchent"!
JHB 25 04 24
jacques halbronn Réflexions sur le "Dossiet" Astrologie" de Gunther Sachs
jacques halbronn Réflexions sur le "Dossier Astrologie "de Gunther Sachs
Avec les travaux sur les signes zodiacaux, le probléme numéro I serait-il celui de l'auto-suggestion, d'auto-détermination comme si cette donnée faisait partie intégrante de la personnalité, du fait même qu'on lui attache quelque portée? Il est vrai que la signature zodiacale est la chose du monde la mieux connue - tant elle aura été vulgarisée par les multiples collections parues depuis les années Cinquante du siècle dernier (du Seuil à Tchou en passant par Solar sans oublier les média) et cela constitue un obstacle épistémologique de première magnitude. En comparaison, les statistiques de Gauquelin portent sur des données peu accessibles au vulgum pecus, à savoir la position d'une planéte à la naissance, non pas sur une base mensuelle mais sur une base horaire, ce qui exige des calculs d'un tout autre ordre.
En soi, un modéle comportant un découpage en 12 secteurs de la course du Soleil, nous parait assez peu crédible si ce n'est au regard de la météorologie. Les personnes nées annuellement dans les mêmes conditions de "temps" pourraient cependant présenter des points communs d'autant que l'on évite ainsi de considérer une saison comme un tout alors que cycliquement, les 12 signes forment une progression constante, à l'instar des saisons qui suivent une logique cyclique d'anticipation. Mais est ce que cela reléve stricto sensu de l'Astrologie? Contrairement à ce qu'affirme Sachs, l'astrologie ne saurait se définir ainsi. Le "temps zodiacal" serait donc surtout d'ordre météorologique. Peu importe ici la signification attribuée à chaque signe. En fait Sachs ne valide aucunement le nom des signes pas plus que leur nombre mais apporte des éléments allant dans le sens d'un impact saisonnier sur les naissances, ce qui n'épuise aucunement la substance de l'astrologie. Sachs a beau nous affirmer que l'astrologie a pour fondement les 12 signes du Zodiaque et donc que leur validation validerait ipso facto l'astrologie, nous pensons que cela ne concerne qu'un état primaire de l'astrologie, une matrice ayant servi, par analogie, à baliser le cycle de Saturne, non plus physiquement comme c'est le cas du Soleil mais en tant que modéle, que plan à une toute autre échelle.
Bibliographie
article Wikipedia
Le dossier astrologie par Gunther Sachs
En l'an 2000 paraît le livre de Gunter Sachs, Le dossier Astrologie qui étudie en dix domaines existentiels (mariages, divorces, célibat, maladies, suicides, études, professions, conduite automobile, délits, intérêt pour l'astrologie) à partir de millions de données analysées (d'universités, d'administrations, d'assureurs, d'éditeurs) si les natifs des différents signes du zodiaque (du zodiaque tropical) ont des comportements différents. Tous les écarts importants, face aux chiffres attendus, ne se laissant pas expliquer par le principe du hasard sont indiqués comme significatifs. Le test d'indépendance du khi deux démontre des écarts nettement significatifs pour neuf analyses sur dix. L'hypothèse selon laquelle ces différences procèdent du hasard peut être exclue à la probabilité d'erreur au plus égale à 1 sur 1 million selon l'Institut statistique de l'université Ludwig-Maximilian de Munich qui a vérifié ces travaux
Cependant, selon MM. Von eye, Lösel et Mayzer, le livre de M. Sachs contiendrait un lot d'erreurs méthodologiques qui infirment certaines de ses conclusions sur les liens entre signes solaires et criminalité
MARIAGES AUX SOLEILS par Didier CASTILLE
": L’ensemble des mariages qui ont été contractés en France entre 1976 et 1997 a été examiné, notamment, selon les longitudes zodiacales qu’avait le Soleil au moment de la naissance de chacun des époux. Il en ressort une corrélation indiscutable. Les mariages entre personnes ayant la même longitude solaire (à plus ou moins 30°) sont plus nombreux que ceux auxquels on aurait pu s’attendre. Par contre, l’observation en fonction des longitudes lunaires des époux ne révèle aucune liaison. Des liens très étroits, et très logiques, existent en revanche entre les époux quand il s’agit des longitudes qu’avaient Mercure et Vénus."
Questions de Méthode
par Didier Castille
Deux recherches statistiques menées sur des populations très différentes et mettant en oeuvre la même méthode aboutissent à des résultats assez similaires. Dès lors, une question se pose : ne sommes nous pas en présence d’un artefact ? Dans cet article, diverses phases de la méthode sont critiquées une à une, ce qui ne permet pas de repérer cet artefact soupçonné. Les conclusions établies par chacune des deux recherches demeurent inexpliquées.
JHB 25 04 24
jacques halbronn Astrologie. LE cycle saisonnier soli-lunaire comme matrice du cycle saturnine 7 jours.7 ans
jacques halbronn Astrologie. Le cycle saisonnier soli-lunaire comme matrice du cycle saturnien 7 jours/7 ans
Le travaux sur les 12 signes du Zodiaque conduits par Didier Castille et Gunther Sachs ne font au mieux que valider l'impact du cycle saisonnier sur les comportemenst humains mais l'on pourrait tout aussi bien diviser l'écliptique en 4, 8, 16, 32 secteurs, les résultats seraient tout aussi concluants. Ils n'ont pas démontré que d'autres diviseurs ne fonctionneraient pas. Ils avaient en tête de valider la division en 12, ce qui produit chez eux un biais cognitif. Cela dit, dont acte, l'impact saisonnier est attesté mais pas spécialement la division en 12 même si celle-ci est liée aux 12 rencontres soli-lunaires au cours d'une année terrestre. Il nous semble plus pertinent de nous intéresser à la division du cycle lunaire en 4 temps de 7 jours qui est en résonance avec le cycle saturnien de 7 ans si on le divise par 4 du fait de sa rencontre avec le deux axes saisonniers. Le 4 et le 7 sont des chiffres bien plus pertinents que le 12.
Le passage du cycle saisonnier au cycle saturnien correspond à une montée en puissance dont nous avons traité au niveau linguistique, lors du passage du féminin au masculin. Le temps saturnien est bien plus compact que le temps soli-lunaire en ce qu'il embrasse des périodes bien plus longues, ce qui le rend plus économique, parce qu'il est réducteur, il abrège, il décante. Autrement dit, les travaux sur le zodiaque mentionnés plus haut attestent d'une astrologie des plus primaires fondée sur le rayonnement physique du soleil alors que le cycle saturnien reléve d'une toute autre dimension , celle d'un monde créé, formaté, inventé par les dieux ( Elohim Genése I) à ne pas confondre avec le Premier Mobile et le "Big Bang". On ne doit pas opposer une astrologie physique et une astrologie "symboliste" mais une astrologie de la Nature et une astrologie de la Surnature, ce qui est le propre de la notion de "création", de la Formation (Sefer Yetsira)
JHB 25 04 24
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