mardi 28 juin 2022

jacques halbronn L'astologie des degrés et des orbes. Le grand maltendu.

jacques halbronn L'astrologie des degrés et des orbes. Le grand malentendu. Les degrés ne servent que pour le calcul des maisons à partir du point ascendant et d'ailleurs la connaissance de l'heure de naissance ne sert que dans un tel cadre alors qu'il n'en est rien pour ce qui est du découpage du cycle saisonnier en signes. Les travaux de Gauquelin relévent du systéme des maisons. Ce sont là des astrologies d'esprit fort différent, l'une relevant d'un cycle extrémement court, celui du mouvement diurne, n'exigeant même pas la connaissance, l'observation du cycle des planétes par les sociétés humaines alors que l'autre s'inscrit dans la vie, dans le temps bien plus long de la Cité. Or, il semble bien que l'on ait affaire à un certain syncrétisme qui aura conduit à la situation actuelle de l'astrologie où; notamment, il est question des "aspects" entre planétes et non entre signes.En effet, dans le premier Livre de la Tétrabible, il est question des intervalles entre signes, c'esr à dire le nombre de signes constituant les dits intervalles. Autrement dit, c'est le nombre de signes intercalaires qui compte et non celui des degrés entre planétes. Il ne semble pas que ce point ait été suffisamment signalé dans l'édition dirigée par Pascal Charvet alors qu'il s'agit d'un enjeu essentiel au regard de l'Histoire de l'astrologie. Dans l'article "aspesct" de Wikipedia, on peut lire; "En astrologie, on appelle aspect un écart angulaire privilégié, mesuré en longitude écliptique, entre deux facteurs du thème astral (deux planètes par exemple, ou une planète et un angle du thème astrologique)."Or, l'écart angulaire entre deux planétes ne fait pas sens dans l'astrologie véhiculée dans la Tétrabible. Toute la classification en triplicités et quadruplicités ne se comprend que dans le cadre des relations de signe à signe et non de planéte à planéte. Une telle confusion affecte notamment la prévision astrologique où l'on s'intéresse surtout au moment, au degré, où se produit une configuration alors que ce qui importe, selon nous, c'est la période constituée par le passage d'une planéte dans un secteur donné, quelle que soit la subdivision, le découpage considérés. Cela aura conduit la prévision astrologique à l'échec du fait du cadre de temps trop étroit qu'elle se sera imposé. JHB 27 95 22

Jacques Halbronn L'astrologie ptoloméenne ne prévoyait pas le recour...