vendredi 22 septembre 2023

Jacques Halbronn l'Astrologie met en scéne la guerre entre les fils de...

jacques halbronn Christianisme et Astrolofie. entre Annonciation et Nativité. Coneception. naissance

jacques Halbronn Christianisme et Astrologie, entre Annonciation et Nativité. Conception/naissance. Les Evangiles sont marqués par une certaine dualité Annonciation-Nativité, qui n’est pas sans interpeler l’historien de l’astrologie. Certes, la dialectique conception/naissance n’est plus guère manifeste dans la littérature astrologique contemporaine et même les études sur la Tétrabible n’auront pas mis en évidence ce qui ressort des Livres III et IV dans lesquels « il est exposé successivement ce qui est relatif au thème de conception -donc dressé pour le moment de la conception – et au thème de naissance., ce qui aura finalement conduit à placer sur un seul et même thème, celui de naissance, les domaines censés être dévolus respectivememt à chacun des deux thèmes. Cela conduit en fait à un changement epistémologique majeur. Alors que l’astrologue était censé prévoir ce qui se passerait à la naissance à partir de l’étude du thème de conception, il allait désormais décrire ce que l’on savait déjà concernant un être déjà présent! Au lieu de prévoir, il se contenterait dès lors du moins pour ce qui est des premières maisons d’expliquer après coup, ce qui conduisait l’astrologie à renoncer à s’occuper de façon spécifique de prévoir les conditions liées à la naissance, par avance! On sait qu’une telle tendance aura fini par se répandre de préférer l’a posteriori à l’a priori avec le renoncement à l a vraie prévision de ce qui n’est pas encore advenu, chez bien des astrologues modernes ».(cf notre étude ‘L’Anthropo-Bio-Cosmologie : l’ABC des relations Anthropologiques entre la Biologie humaine et le Cosmos ») Wikipedia L’annonciation à Marie est relatée dans l’évangile selon Luc chapitre 1, 26-38. « Le sixième mois, l’ange Gabriel fut envoyé par Dieu dans une ville de Galilée, appelée Nazareth, à une jeune fille vierge, accordée en mariage à un homme de la maison de David, appelé Joseph ; et le nom de la jeune fille était Marie. L’ange entra chez elle et dit : « Je te salue, Comblée-de-grâce, le Seigneur est avec toi. » À cette parole, elle fut toute bouleversée, et elle se demandait ce que pouvait signifier cette salutation. L’ange lui dit alors : « Sois sans crainte, Marie, car tu as trouvé grâce auprès de Dieu. Voici que tu vas concevoir et enfanter un fils ; tu lui donneras le nom de Jésus. Il sera grand, il sera appelé Fils du Très-Haut ; le Seigneur Dieu lui donnera le trône de David son père ; il régnera pour toujours sur la maison de Jacob, et son règne n’aura pas de fin. » Marie dit à l’ange : « Comment cela va-t-il se faire puisque je ne connais pas d’homme ? » L’ange lui répondit : « L’Esprit Saint viendra sur toi, et la puissance du Très-Haut te prendra sous son ombre ; c’est pourquoi celui qui va naître sera saint, il sera appelé Fils de Dieu. Or voici que, dans sa vieillesse, Élisabeth, ta parente, a conçu, elle aussi, un fils et en est à son sixième mois, alors qu’on l’appelait la femme stérile. Car rien n’est impossible à Dieu. » Marie dit alors : « Voici la servante du Seigneur ; que tout m’advienne selon ta parole. » Alors l’ange la quitta. » On pense également à Sarah: Le livre de la Genèse : Gn 18 en vue de la naissance d’Isaac au point que l’on est en droit de se demander si le récit de l’annonce à Marie ne serait pas calqués sur celui de l’annonce à Sarah, tout comme le sacrifice d’Issac pourrait avoir servi de matrice au récit de la Crucifixion de Jésus. Cela dit; le Christianisme aura fortement insisté sur le moment de la Nativité (Noel), aboutissement de la Conception, à 9 mois de distance. Il y a 9 mois qui s’écoulent entre l’équinoxe de printemps (Paques) et le solstice d’hiver.( Nativité) Astrologiquement, le moment de la conception ne retient plus guère l’attention des astrologues alors que dans la Tétrabible, la naissance est un objectif prévisionnel et pas seulement un pôint de départ.(cf supra) Entre ces deux moments bien des choses peuvent se produire, tel que le voyage à Betléhem, lié à la nécessité du recensement. Or, le lieu de naissance est une donnée tout à fait aléatoire en comparaison de la conception qui fait intervenir la généalogie, le « sang ». Privilégier la Nativité sur l’Annonciation n’est donc pas innocent; la Naissance dérivant de la Conception, de la qualité des géniteurs. La conception est un acte privé, la venue au monde un acte public qui laisse des traces à l’état civil et figure sur les papiers d’identité. Or; selon nous, le christianisme tendrait plutôt pour la « fin », ce qui vient après( (la Nouvelle Alliance, le Nouveau Testament) et le judaisme pour le commencement (Genése), pour le second enfant (Jacob) plutot que pour le premier (Esaü). Dans Jérémie XXXI , on trouve dans le texte hébreu la forme « aharé », après. לב כִּי זֹאת הַבְּרִית אֲשֶׁר אֶכְרֹת אֶת-בֵּית יִשְׂרָאֵל אַחֲרֵי הַיָּמִים הָהֵם, נְאֻם-יְהוָה, נָתַתִּי אֶת-תּוֹרָתִי בְּקִרְבָּם, וְעַל-לִבָּם אֶכְתְּבֶנָּה; וְהָיִיתִי לָהֶם לֵאלֹהִים, וְהֵמָּה יִהְיוּ-לִי לְעָם. 32 Mais voici quelle alliance je conclurai avec la maison d’Israël,après (Aharé) ces temps, dit l’Eternel: Je ferai pénétrer ma loi en eux, c’est dans leur coeur que je l’inscrirai; je serai leur Dieu et ils seront mon peuple. JHB 22 09 23

jacques Halbronn Astrologie 1989 Le retour des nationalismes En 1953,...

Jacques halbronn Christianisme et Astroloigie. entre annonciation et Nativité Conception Naissance

jacques Halbronn Christianisme et Astrologie, entre Annonciation et Nativité. Conception/naissance. Les Evangiles sont marqués par une certaine dualité Annonciation-Nativité, qui n’est pas sans interpeler l’historien de l’astrologie. Certes, la dialectique conception/naissance n’est plus guère manifeste dans la littérature astrologique contemporaine et même les études sur la Tétrabible n’auront pas mis en évidence ce qui ressort des Livres III et IV dans lesquels « il est exposé successivement ce qui est relatif au thème de conception -donc dressé pour le moment de la conception – et au thème de naissance., ce qui aura finalement conduit à placer sur un seul et même thème, celui de naissance, les domaines censés être dévolus respectivememt à chacun des deux thèmes. Cela conduit en fait à un changement epistémologique majeur. Alors que l’astrologue était censé prévoir ce qui se passerait à la naissance à partir de l’étude du thème de conception, il allait désormais décrire ce que l’on savait déjà concernant un être déjà présent! Au lieu de prévoir, il se contenterait dès lors du moins pour ce qui est des premières maisons d’expliquer après coup, ce qui conduisait l’astrologie à renoncer à s’occuper de façon spécifique de prévoir les conditions liées à la naissance, par avance! On sait qu’une telle tendance aura fini par se répandre de préférer l’a posteriori à l’a priori avec le renoncement à l a vraie prévision de ce qui n’est pas encore advenu, chez bien des astrologues modernes ».(cf notre étude ‘L’Anthropo-Bio-Cosmologie : l’ABC des relations Anthropologiques entre la Biologie humaine et le Cosmos ») Wikipedia L’annonciation à Marie est relatée dans l’évangile selon Luc chapitre 1, 26-38. « Le sixième mois, l’ange Gabriel fut envoyé par Dieu dans une ville de Galilée, appelée Nazareth, à une jeune fille vierge, accordée en mariage à un homme de la maison de David, appelé Joseph ; et le nom de la jeune fille était Marie. L’ange entra chez elle et dit : « Je te salue, Comblée-de-grâce, le Seigneur est avec toi. » À cette parole, elle fut toute bouleversée, et elle se demandait ce que pouvait signifier cette salutation. L’ange lui dit alors : « Sois sans crainte, Marie, car tu as trouvé grâce auprès de Dieu. Voici que tu vas concevoir et enfanter un fils ; tu lui donneras le nom de Jésus. Il sera grand, il sera appelé Fils du Très-Haut ; le Seigneur Dieu lui donnera le trône de David son père ; il régnera pour toujours sur la maison de Jacob, et son règne n’aura pas de fin. » Marie dit à l’ange : « Comment cela va-t-il se faire puisque je ne connais pas d’homme ? » L’ange lui répondit : « L’Esprit Saint viendra sur toi, et la puissance du Très-Haut te prendra sous son ombre ; c’est pourquoi celui qui va naître sera saint, il sera appelé Fils de Dieu. Or voici que, dans sa vieillesse, Élisabeth, ta parente, a conçu, elle aussi, un fils et en est à son sixième mois, alors qu’on l’appelait la femme stérile. Car rien n’est impossible à Dieu. » Marie dit alors : « Voici la servante du Seigneur ; que tout m’advienne selon ta parole. » Alors l’ange la quitta. » On pense également à Sarah: Le livre de la Genèse : Gn 18 en vue de la naissance d’Isaac au point que l’on est en droit de se demander si le récit de l’annonce à Marie ne serait pas calqués sur celui de l’annonce à Sarah, tout comme le sacrifice d’Issac pourrait avoir servi de matrice au récit de la Crucifixion de Jésus. Cela dit; le Christianisme aura fortement insisté sur le moment de la Nativité (Noel), aboutissement de la Conception, à 9 mois de distance. Il y a 9 mois qui s’écoulent entre l’équinoxe de printemps (Paques) et le solstice d’hiver.( Nativité) Astrologiquement, le moment de la conception ne retient plus guère l’attention des astrologues alors que dans la Tétrabible, la naissance est un objectif prévisionnel et pas seulement un pôint de départ.(cf supra) Entre ces deux moments bien des choses peuvent se produire, tel que le voyage à Betléhem, lié à la nécessité du recensement. Or, le lieu de naissance est une donnée tout à fait aléatoire en comparaison de la conception qui fait intervenir la généalogie, le « sang ». Privilégier la Nativité sur l’Annonciation n’est donc pas innocent; la Naissance dérivant de la Conception, de la qualité des géniteurs. La conception est un acte privé, la venue au monde un acte public qui laisse des traces à l’état civil et figure sur les papiers d’identité. Or; selon nous, le christianisme tendrait plutôt pour la « fin », ce qui vient après( (la Nouvelle Alliance, le Nouveau Testament) et le judaisme pour le commencement (Genése), pour le second enfant (Jacob) plutot que pour le premier (Esaü). Dans Jérémie XXXI , on trouve dans le texte hébreu la forme « aharé », après. לב כִּי זֹאת הַבְּרִית אֲשֶׁר אֶכְרֹת אֶת-בֵּית יִשְׂרָאֵל אַחֲרֵי הַיָּמִים הָהֵם, נְאֻם-יְהוָה, נָתַתִּי אֶת-תּוֹרָתִי בְּקִרְבָּם, וְעַל-לִבָּם אֶכְתְּבֶנָּה; וְהָיִיתִי לָהֶם לֵאלֹהִים, וְהֵמָּה יִהְיוּ-לִי לְעָם. 32 Mais voici quelle alliance je conclurai avec la maison d’Israël,après (Aharé) ces temps, dit l’Eternel: Je ferai pénétrer ma loi en eux, c’est dans leur coeur que je l’inscrirai; je serai leur Dieu et ils seront mon peuple. JHB 22 09 23