mardi 30 novembre 2021

Jacques Halbronn Epistémologie de la Recherche Astrologique (R.A.) Astrologie et anti-astrologie au prisme du biais cognitif

Jacques Halbronn Epistémologie de la Recherche Astrologique (R.A.). Astrologie et anti-astrologie au prisme du biais cognitif. Le biais cognifitif caractérise un certain parti pris aussi bien pro que anti. Il consiste à ne conserver que les facteurs allant dans le sens d'une certaine démonstration. On négligera tout ce qui ne "colle" pas avec l'objectif poursuivi et l'on retiendra tout ce qui vient conforter son point de vue. Dans les deux cas, l'on observe une certaine précipitation dans les conclusions tant positives que négatifs, selon le biais adopté. Cette précipitation se manifeste par l'absence de "double check", tant dans un sens que dans un autre. Autrement dit, on ne prendra pas la peine de vérifier, de recouper tant ce qui est positif quand le biais est négatif que ce qui est négatif quand le biais est positif. D'expérience, l'on sait que souvent une première impression ou expérience ne tiendra pas face à de nouvelles recherches, ce qui montre que l'on aura été victime de quelque forme de contingence. Un bon systéme peut avoir des ratés et un mauvais systéme peut être sauvé par quelque coincidence. Nous aborderons deux cas de figure: I tenir compte des variables Le rejet d'un systéme en bloc est difficilement acceptable. Cela fait penser à quelqu'un qui n'y connait rien en mécanique et qui abandonne un véhicule parce qu'il ne "marche" pas alors qu'il suffirait d'intervenir sur telle ou telle pièce pour que cela fonctionne. Il importe donc que le critique "en bloc" fasse la preuve de sa connaissance de la dite "mécanique" à savoir qu'il soit capable d'expliquer la cause d'une panne, en jouant sur les diverses variables, ce dont généralement le dit critique est bien incapable. II tenir compte de l'excés de précision ou d'imprécision Un autre cas de figure explique l'échec comme la réussite d'un diagnostic ou d'un pronostic en raison d'une mauvaise formulation, soit un excés ou une absence de précision. Dans le cas d'André Barbault, en ce qui concerne 1989, on observe une précision insuffisante quant à la nature de l'événement à venir. Or, selon notre approche, un cycle comporte alternativement des phases contradictoires, ce qui exige de la part de l'astrologue qu'il opte entre le type d'évenementialité attendu. Tout prouve, selon nous, qu'en 1953-55, quand l'année 1989 fut avancée, que Barbault entendait que 1989 verrait la victoire du bloc communiste. Or, le moins que l'on puisse dire, c'est que ce ne fut pas le cas. Ici, la précision visait le bloc communiste mais l'imprécision touche à ce qui lui arriverait, le premier point masquant le second. Mais l'on peut aussi signaler une trop grande précision qui aura conduit, cette fois, à l'échec. Toute la question est de savoir à quel seuil de précision et d'imprécision l'astrologie doit accéder, ce qui est un vaste débat épistémologique. Parmi les astrologues, beaucoup rejettent les ""orbes" au nom d'une insuffisance de précision (cf. l'AC B de Roger Héquet). Or, cela reviendrait à réduite la saison du printemps, au 0° Bélier alors que le printemps s 'étend jusqu'au 0° Cancer, du moins dans l'hémisphère Nord. Là encore, on pense à André Barbault qui semble avoir une vision très étroite de l'impact d'une configuration avant de basculer en sens inverse avec son indice cyclique, passant d'une extréme à l'autre entre 1964 (La crise mondiale) et 1967 (les astres et l'Histoire) JHB 30. 11. 21

dimanche 28 novembre 2021

jacques halbronn L"'astrologie cyclique et les adjectifs qualificatifs

Jacques Halbronn L’astrologie cyclique et les adjectifs qualificatifs L’astrologie ne peut faire l’économie de l’usage des adjectifs: il n’y a pas un seul type de guerre, un seul type de phase. L’erreur de Barbault aura été d’opposer guerre et paix dans son indice cyclique au lieu de distinguer entre les différents types de guerre. La confrontation entre blocs n’est pas du même ordre que celle entre nations. L’Europe aura connu ces deux cas de figure: celle des blocs Est et Ouest et la dislocation interne à chaque bloc. Cela correspond à deux types de phase, l’équinoxiale et la solsticiale, respectivement. Tout comme dans la gestion des langues, il vaut mieux utiliser différents adjectifs que différents noms, tout comme il vaut mieux utiliser forme positive et négative d’un même adjectif plutôt que de se servir d’adjectifs étymologiquement différents. En ce qui concerne la Recherche Astrologique, il vaut mieux se servir d’un modéle théorique, cohérent, ce qui implique une régularité sinusoidale des phases – ce qui n’était pas le cas de l’indice cyclique- avec un début et une fin de phase coincidant avec le début et la fin d’une autre phase et ce n’est pas l’application d’un modéle bancal, sur le papier, qui permettra de valide celui-ci car dans la pratique, bien des facteurs aléatoires peuvent intervenir susceptibles de fausser la perception des phases. On prendra le cas de l’appel du 18 juin de De Gaulle, il faut le situer non pas dans une réaction de nation contre nation mais de bloc contre bloc, c’est pourquoi il parle des Alliés face à l’invasion allemande de l’Europe. En 1940, on est en phase équinoxiale et en 1944 on passe en phase solsticiale. De même en 1953, on est en phase équinoxiale de bloc contre bloc alors qu’en 1989, on était en phase solsticiale, qui voit les blocs s’effondrer, comme c’est le cas actuellement en une nouvelle phase solsticiale, avec le Brexit.

samedi 27 novembre 2021

Jacques Halbronn Pour des Etats Généraux de la Recherche Astrologique en 2022

Jacques Halbronn Pour des Etats Généraux de la Recherche Astrologique en 2022 Avec l'approche de la prochaine phase équinoxiale de Saturne,débutant en juin 2025, soit dans un peu plus de 3 ans, et pour 7 ans, nous préconisons une période préparatoire, afin d'être en mesure de proposer un nouveau modéle astrologique au public des étudiants, des patients se tournant vers l'astrologie et qu'Yves Lenoble appelle des "astrophiles". L'on peut certes continuer à "chercher" à satisfaire une certaine demande stéréotypée d'astrologie, ce qui comporte un certain avantage financier, y compris dans le domaine de l'édition astrologique. Le terme "Recherche astrologique" aura été selon nous "galvaudé" depuis des décennies, et figure ou a figuré dans l'intitulé de diverses associations et structures astrolologiques (GERAS, CEDRA, MS, CURA) ou encore ARIANA (Association pour la Recherche et l'Information en Astrologie Naturelle de Richard Pellard, ), l'ARRC (Association pour la Recherche des Rythmes Cosmiques d'Yves Lenoble sans parler du Laboratoire d'Étude des Relations entre Rythmes Cosmiques et Psychophysiologiques des Gauquelins ou du CEBESIA ( Centre Belge pour l'Etude Scientifique des Influences Astrales) de G. L. Brahy. Quant aux Anglosaxons, ils ont notamment l'ISAR, l'International Society for Astrological Research) mais que recouvre-t-il dans les faits? On trouve sur le site du CURA (qui reprend en anglais la forme Astrological Research) du regretté Patrice Guinard (1957 -2021) le texte suivant datant de 2001 "Projet de constitution d'un fonds pour la recherche en astrologie Demain verra-t-il l’avènement d' une astrologie dans les universités? Les astrologues ne le souhaitent pas dans leur majorité, encore qu'ils aiment citer Jung à l'envi sur cette question. L'obstacle principal n'est pas de nature cognitive, mais de nature idéologique. Il est particulièrement puissant dans les pays de vieille culture académique, comme la France, mais beaucoup moins dans des cultures jeunes. Cependant, lors des prochaines décennies, l'université sera probablement amenée à s'intéresser de près à l'astrologie. Le phénomène est amorcé à Southampton, à Seattle, à Saragosse, et un vaste projet national est en discussion dans les universités indiennes. Qu'un astronome prestigieux comme Percy A. Seymour, de l’université de Plymouth, ait pris la décision, sinon le risque, d'opiner en faveur de l'astrologie est un signal fort, comme ma thèse (1993), soutenue dans le cadre du département de philosophie de Paris I, à la Sorbonne -- une première mondiale, en ce sens qu'un modèle astrologique original y a été défendu. Le moment est venu pour l'astrologie au moins pour trois raisons. 1. Le vide laissé par la faillite du freudisme et du marxisme, espace psycho-critique vacant et vecteur privilégié du développement d'une astrologie qui a vocation de le devenir -- psycho-critique. 2. L'immense potentiel historique du passé astrologique, encore peu exploré, car l'histoire culturelle qui a nié l'existence de l'astrologie se heurte désormais à son omniprésence historique, laquelle implique une réorganisation totale de l'histoire des cultures. 3. Enfin le chaos auquel mène la pensée matérialiste moderne dont je prévois -- non en tant qu'astrologue! -- l'effondrement à moyen terme. La reconnaissance de l'astrologie n'a pas d'importance en soi. L'astrologie a toujours entretenu par le passé des rapports conflictuels avec les autres courants dominants du savoir, à Rome comme à Babylone. Ce qui compte, c'est que se développe un espace pour la recherche érudite, que les nouveaux astrologues acquièrent les outils intellectuels qui leur permettront de rivaliser avec les courants dominants du savoir. Le dessein du CURA n’est d’ailleurs pas d’éduquer les astrologues "en exercice", ce qui serait oeuvrer en pure perte, mais de faire naître des vocations pour qu’une réflexion de type matriciel puisse irriguer d’autres disciplines. Car sans cette appartenance à une recherche de type universitaire -- ce qui ne signifie pas que l'espace universitaire soit considéré comme le seul légitime -- l'astrologie sera incessamment confondue avec les lamentables commerces horoscopiques qui en défigurent l'image aux yeux d'une intelligentsia consentante et souvent ignorante en la matière. L'âge d'or de l'astrologie est devant elle. Je ne sais si "les astrologues" ou ceux qui revendiquent ce statut, en tireront profit. J'ai proposé en février dernier ( cf. "L'astrologue et le charlatan", http://cura.free.fr/docum/10!guina.html ) une taxe sur les cours et les consultations, mais d'abord sur les horoscopes de journaux, services minitel et assimilés, afin de rassembler des fonds pour la recherche (bibliothèque, édition, enseignement). Les astrologues "professionnels", de consultation et/ou de formation, s'accordent, du moins dans leurs déclarations, sur le fait que "l'astrologie des horoscopes et des prédictions" divulguée par les médias, dans les journaux et dans les magazines populaires, ou encore à travers d'autres supports, dessert la cause astrologique et décrédibilise son image. Ces "horoscopes" des signes solaires, des décans, et autres pratiques assimilées, n'ont strictement rien à voir avec la recherche, et ne sont qu’une caricature grotesque de l'astrologie. Leurs auteurs ne sont pas, le plus souvent, les mêmes que ceux qui donnent des cours et des consultations, ou encore ceux qui publient le résultat de leurs activités dans les quelques rares revues spécialisées existantes. Aussi je préconise que ces faiseurs, qui logiquement devraient être poursuivis pour exercice illégal d'une discipline, si l'astrologie avait un statut officiel reconnu, soient mis à contribution financière pour l'avènement de cette reconnaissance. Celle-ci passe nécessairement par la recherche et par la mise en place de cadres permettant à celle-ci de se développer. Toute activité déclarée du genre "horoscope" ou "prédiction" paraissant dans des médias (de type journaux non spécialisés, émissions radio et TV, Minitel, Internet…) devra être taxée, à hauteur de 10 à 15%, par l'administration fiscale et reversée à la recherche astrologique. Des personnes qualifiées (à part égale: universitaires et représentants des milieux académiques, responsables des principales écoles astrologiques, chercheurs indépendants qui auront fait leurs preuves dans la recherche astrologique) seront mandatées pour la gestion de ce budget et la mise en place, en rapport avec l'université, d'activités visant à véritablement engager l'astrologie dans la voie de la recherche, qu'elle soit d'ordre historique, psycho-statistique, biophysique, anthropologique ou philosophique. Les fonds budgétaires seront d'abord attribués à la constitution d'une véritable bibliothèque de consultation, et pourront être ensuite destinés à l'édition (traductions d'ouvrages historiques, fac-similés, sauvegarde du patrimoine astrologique), puis à l'amélioration de l'enseignement associatif et à la création d'un pôle de recherche de type universitaire. Cette taxe ne signifie pas que seraient légitimés les commerces exercés au nom de l'astrologie, mais qu'il y a un prix à payer pour avoir le droit d'en user. Les personnes, astrologues ou non, qui souhaitent affirmer ce projet et appuyer, avec le CURA, les démarches à entreprendre auprès des autorités culturelles, sont priées de me contacter." Ce projet date d'il y a 20 ans et nous avons eu le loisir d'observer ce que son rédacteur, Patrice Guinard, entendait par là même si depuis, il se sera surtout investi dans son "corpus Nostradamus", au vu de ses publications, ce qui semble bien indiquer que la "recherche astrologique" n'était plus son objectif principal, ce qui mériterait déjà en soi une (psych)analyse. Pour notre part, il y a un certain nombre de points sur lesquels nous aimerions débattre tout en reconnaissant que nous avons dans notre colimateur les travaux de Jean Pierre Nicola né en 1929, et de ses disciples dont Françoise Hardy et le nommé Guinard et que nous connaissons depuis 1967, à Paris alors qu'il avait fait paraître depuis peu sa Condition Solaire.(cf son Pour une astrologie moderne, Paris, Seuil, 1977) . Au risque de caricaturer sa démarche, nous dirons que Nicola et cie entendent conserver et préserver le cadre général de l'astrologie tout en le reformulant au moyen d'un certain effort terminologique, frisant parfois le jargon, tendance que l'on retrouve d'ailleurs chez Guinard et avant lui chez un Dom Néroman (décédé en 1953) Autrement dit, dans ce "mouvement conditionaliste", (COMAC) l'on garde l'ensemble des planétes connues de notre systéme solaire, l'on perpétue la division en 12 secteurs de l'écliptique (Zodiaque), tout comme le thème natal et ses maisons et aspects tant et si bien que l'amateur d'astrologie n'y sera guère dépaysé. On peut parler d'un ravalement de l'édifice astrologique : est-ce là sur quoi doit déboucher la RA, la Recherche Astrologique, titre d'une revue fondée par Denis Labouré, à Saint Etienne? Or, pour nous, la RA doit aller bien plus loin qu'un tel "lifting"! Elle doit conduire l'astrologie à réfléchir sérieusement sur la nature de son lien avec l'astronomie et notamment avec le méta-langage dont elle use et qui est trop souvent assimilé à la dimension scientifique de l'astronomie. Un tel questionnement est le grand absent du catalogue proposé par Guinard, comme si cela n'avait pas lieu d'être. On veut bien renommer les planétes et les signes, avec notamment le sigle RET, établir un nouvel encodage mais on ne doit pas "toucher", nous laisse-t-on entendre, aux fondamentaux que sont les planétes et la division en 12 des cycles, même si Guinard a proposé de passer à 8 secteurs pour les maisons. Nous relevons dans le projet Guinard cette attaque classique de la part des astrologues qui se veulent "sérieux" contre les horoscopes de presse, en considérant qu'il y a là un consensus à partir duquel il faudrait partir " Les astrologues "professionnels", de consultation et/ou de formation, s'accordent, du moins dans leurs déclarations, sur le fait que "l'astrologie des horoscopes et des prédictions" divulguée par les médias, dans les journaux et dans les magazines populaires, ou encore à travers d'autres supports, dessert la cause astrologique et décrédibilise son image" Mais que reproche-t-on à cette "astrologie des horoscopes" mise au pilori tant par les astrologues que par les astrosceptiques comme Serge Bret Morel? Probablement, une certaine simplification qui ne passe plus par le thème natal individuel, calculé à partir d'un acte d'état civil. On ne peut s'empêcher d'y voir un réflexe corporatif puisque le savoir faire de la lecture de la carte du ciel personnelle se trouverait ipso facto dévalué et cette carte ne pourrait plus servir de miroir, de mandala. L'idée de classer les gens par catégories serait donc barbare et ne correspondrait pas à la "réalité", le destin étant décidément quelque chose qui ne se partage pas. Il est vrai qu'un tel postulat justifie l'utilisation d'une pléthore de facteurs, comme le notait, il y a soixante ans André Barbault (De la psychanalyse à l'astrologie) car ainsi, aucun "thème" ne sera identique. Pourtant, les statistiques de Gauquelin tendraient à montrer qu'il existerait des types planétaires sinon des types zodiacaux. L'erreur souvent commise à ce sujet tient à ce que l'on croit que les horoscopes de presse seraient fondés sur le signe solaire mensuel alors qu'ils tiennent compte des aspects que le soleil natal entretient avec le ciel non plus natal mais celui du moment considéré (ce qui rapproche de l'astrologie horaire). Autrement dit, l'horoscope est lié à la question des transits, d'où le rôle des décans qui permettent d'affiner le diagnostic, en passant de 12 à 36 secteurs. Guinard va donc un peu vite en besogne quand il fustige les décans: "Ces "horoscopes" des signes solaires, des décans, et autres pratiques assimilées", l'ancien usage des décans n'ayant rien à voir avec cette pratique et attribuant à chaque décan une planéte, un peu à la façon des domiciles et autres "dignités". En fait, l'astrologie prévisionnelle ne peut pas être individuelle tant il est évident que nous vivons des choses en commun. D'un point de vue scientifique, rappelons qu'il n'est de science que du général. Un André Barbault(1921-2019) se sera efforcé depuis 1967; de simplifier pour parvenir à un vecteur unique, son "indice cyclique" en combinant les cycles de 5 planétes, de Jupiter à Pluton, en renouvelant la théorie médiévale des "grandes conjonctions". En fait, ne faudrait-il pas aller dans le sens d'une économie de moyens et d'une élégance des modéles, suivant en cela le principe du rasoir d'Occam? En prolongeant la démarche de Barbault, qui ne tient même plus compte de la spécificité des planétes ni des signes, prix à payer selon lui pour parvenir à une structure épurée, l'on devrait se demander quelles sont les autres moyens d'y parvenir en respectant cette fois une égalité de durée entre les périodes, ce qui n'est absolument pas respecté par le dit "indice". C'est bien beau de vouloir garder toutes les planétes anciennes et "nouvelles"(inconnues des Anciens et cela vaut jusqu'à la fin du XV IIIe siècle) mais la moindre des choses est de respecter une cyclicité cohérente et égale. En abandonnant le cycle Saturne Neptune qui avait au moins le mérite d'un certain ordre numérique et permettait de structurer le cycle à partir de la succession des aspects), Barbault introduisait un certain chaos tel un éléphant dans un jeu de quilles. Il faut d'ailleurs se demander si l'on peut valider un tel dispositif combinatoire en mettant en avant quelques corrélations heureuses. Selon nous, la démarche scientifique doit impérativement exiger certaines conditions à remplir avant toute expérimentation sauvage. A l'occasion de ces Etats Généraux de la RA, nous pensons qu'il importe de poser la question des rapports Astrologie-Astronomie. Selon nous, le systéme astrologique a été au départ conçu avec un seul et unique cycle planétaire et certainement pas avec une "résultante" de 5 planétes dont trois restèrent inconnues de notre Humanité. des millénaires durant. (cf notre Astrologie selon Saturne, 1994) Au vrai, Patrice fait preuve d'une certaine naiveté quand il écrit plus haut " comme ma thèse (1993), soutenue dans le cadre du département de philosophie de Paris I, à la Sorbonne -- une première mondiale, en ce sens qu'un modèle astrologique original y a été défendu." Il oublie que le mérite en revient à sa directrice de thèse Françoise Bonardel qui a bien voulu accepter et défendre son travail pour des raisons qui sont les siennes et au fond Guinard aura été instrumentalisé. Rappelons qu'"elle a fait partie du jury de la thèse controversée de sociologie soutenue en 2001 à la Sorbonne par l'astrologue Élizabeth Teissier.". Quant à se référer au "département de philosophie de Paris I Sorbonne, il s'agit d'une formule quelque peu abusiv car François Bonnardel est signalée comme " Professeur de Philosophie des religions " et à notre connaissance la philosophie des religions est une branche très particulière qui s'apparente à l'ethnologie et l'Histoire, l'astrologie a sa place depuis longtemps.

Jacques Halbronn Astrologie EQSOLS Le décalage entre 1967 et 1988 ...

vendredi 26 novembre 2021

Jacques Halbronn Les phases solsticiales et la décomposition des empires

Jacques Halbronn Les phases solsticiales et la décomposition des empires Nous avons beaucoup insisté sur l’impact des phases équinoxiales de Saturne depuis la Seconde Guerre Mondiale, mais il ne faudrait pas négliger qu’entre deux phases équinoxiales s’intercale une phase solsticiale comme ce fut le cas en 1989-91 avec les effets que l’on sait. On s’intéressera ici à l’intervalle solsticial entre 1944 et 1952 en Europe et à l’intervalle solsticial entre 1974 et 1980, au Proche Orient. I La période 1944-1952 La période équinoxiale qui vit la victoire des Alliés contre le Troisiéme Reich, laissa la place à un moment conflictuel avec l’URSS, à un partage de l’Europe en deux blocs, ce qui est de type solsticial. Wikipedia »La conférence de Yalta est une réunion des principaux responsables de l’Union soviétique (Joseph Staline), du Royaume-Uni (Winston Churchill) et des États-Unis (Franklin D. Roosevelt). Elle s’est tenue du 4 au 11 février 1945 dans le palais de Livadia, situé dans les environs de la station balnéaire de Yalta en Crimée. Elle a été préparée par la conférence de Malte du 31 janvier au 2 février 1945, où les États-Unis et le Royaume-Uni se sont concertés pour présenter un front uni à Staline sur la planification de la campagne finale contre les troupes allemandes et japonaises et sur la limitation de la progression de l’Armée rouge en Europe centrale. » A partir de la nouvelle phase équinoxiale de 1953, on voit se forger la Communauté européenne mais aussi un reste de colonialisme avec l’affaire de Suez(1956).. Quant à la phase solsticiale suivante, elle sera le théatre d’épreuves de force , autour de Berlin et de Cuba (1961-62) dont André Barbault ne semble pas avoir pris toute la mesure dans ses travaux tant prospectifs que rétrospectifs. II La période 1974-1988 La période qui fit suite à la Guerre des Six Jours (juin 1967) avec les occupations et annexions que l’on sait, aura été suivie par le retrait israélien du désert du Sinaï, à la suite des initiatives de Sadate. Mais en 1988, 14 ans plus tard, c’est la première Intifada, en une nouvelle phase solsticiale, qui est en total décalage avec le climat équinoxial des années 67-68, que nous avons connu, lors de notre période israélienne, au lendemain immédiat de la Guerre,où les esprits n’étaient pas échauffés, avec une cohabitation (faussement ) prometteuse. JHB 26 11 21

Jacques Halbronn L'astrologie n'impacte directement qu'une élite de le...

Jacques Halbronn Sur sa double formation en cyclologie et en bibliographie

jacques Halbronn sur sa double formation en cyclologie et en bibliographie L’astrologie ne doit pas s’allier à l’Histoire mais à la Sociologie contrairement à ce que pensait un André Barbault, décédé en 2019 car l’Histoire offre une dimension anecdotique, epiphénoménologique qui ne reléve pas du champ déterministe de l’Astrologie. L’Histoire introduit toutes sortes d’artefacts qui ne sont le plus souvent que des leurres qui font prendre les vessies pour des lanternes si bien que la recherche astrologique aurait bien tort d’accorder trop d’importances à de telles représentations. Pour notre part, nous revendiquons une double formation: d’une part, le goût des cycles, des récurrences et de l’autre, la conscience des contingences, des contrefaçons et d’ailleurs, une grande part de notre cursus universitaire aura concerné cette deuxiéme voie, notamment en ce qui concerne la bibliographie des Centuries nostradamiques et la dénonciation de fausses chronologies, d’où d’ailleurs nos disputes avec feu Patrice Guinard, décédé en 2021 (cf le Corpus Nostradamus, site Cura.free.fr) lequel lui aussi avait exploré les deux pistes en question. Mais, par ailleurs, dans Clefs pour l’Astrologie, (Ed Seghers) ouvrage paru en 1976, c’est bien de cyclologie qu’il s’agissait, notamment en Astrologie Mondiale, même si nous publiâmes en paralléle des travaux en Histoire de l’Astrologie et en Sociologie du milieu astrologique, tout en ayant conscience que ces deux orientations se complétaient mais aussi différaient considérablement, ce qu’André Barbault n’avait apparemment pas compris, lui qui accorda trop d’importance à certaines constructions historiques telles que les « guerres mondiales », notion qui ne tient guère au niveau cyclologique. Il ne distingua pas, de son vivant, entre guerres civiles et guerres de conquête et préféra opposer guerre et paix, ce qui était partir d’un mauvais pied car il existe toujours un certain état de guerre si ce n’est que cela ne désigne pas un seul et même phénoméne. La guerre civile est solsticiale alors que la guerre de conquéte est équinoxiale selon la terminologie cyclique qui est la notre et le premier devoir du chercheur en astrologie est de distinguer ces deux cas de figure, sur un mode dialectique. Quant à l’idée d’une astrologie qui désignerait des espaces spécifiques, comme l’a cru Barbault en associant le cycle Saturne-Neptune à la Russie, cela reléve d’une vision « histoire-géographie » de l’Astrologie, assez scolaire. L’Astrologie, bien au contraire, ne peut s’affirmer qu’en montrant qu’elle ne dépend pas d’une telle approche et qu’au même moment des situations proches peuvent se présenter dans des régions du globe bien différentes tout comme des situations comparables peuvent s’observer à des siècles de distance. Ne nous enfermons donc pas, astrologiquement, dans des temps et des espaces trop circonscrits et adoptons une conception relativiste du monde.

Jacques Halbronn L'Union Européenne doit investir dans la recherche astrologique

Jacques Halbronn L’Union Européenne doit investir dans la recherche astrologique. S’il y a un ensemble qui devrait accorder la plus grande importance à la recherche astrologique, c’est bien l’Union Européenne dont le sort dépend directement de l’alternance des phases solsticiales et équinoxiales, des vaches grasses et des vaches maigres (cf Livre de l’Exode). Cela lui permettrait de négocier le passage d’une phase à l’autre, de façon plus scientifique au lieu de naviguer à vue. Le Brexit s’inscrit à l’évidence dans une phase solsticiale, marquée chaque fois par un certain repli identitaire. En fait, toutes proportions gardées, il n’y a pas structurellement de différence entre la période 1989-91 et la période actuelle. Dans les deux cas, Saturne se situe sur l’axe solsticial, il revient en fait au même endroit du ciel, en Capricorne. Que les conséquences n’aient pas été strictement identiques, nous permet de distinguer entre Sociologie et Histoire, cette dernière introduisant un élément conjoncturel qui échappe au déterminisme astrologique. Il importe de comprendre qu’en astrologie, tout est cyclique et en ce sens la notion de « guerre mondiale » n’est pas pertinente en ce qu’elle n’est pas inclusive car ce qui compte pour l’astrologie, c’est la récurrence et pas sur un ou deux coups mais sur un très grand nombre. ¨Pour l’astrologie, l’occupation allemande du continent européen ne se distingue pas de la création d’une Communauté Européenne, un demi cycle de Saturne plus loin. Certes, quand Gouchon établit son « indice » à la fin des années 40, il ignorait ce qui allait se jouer lors de la décennies suivante avec la mise en place du « Marché Commun ». En revanche, André Barbault, quand il reprend à son compte en 1967, le dit indice, était censé tenir compte de ce qui s’était joué à l’Ouest de l’Europe, ce qui correspondait d’ailleurs au passage de Saturne en phase équinoxiale en 1953 et qui ne pouvait aucunement se réduire aux enjeux soviétiques comme il l’avait cru avec son cycle Saturne Neptune de 36 ans qui n’est en fait qu’un sous produit du cycle de Saturne de 28 ans. Dès lors, il eut convenu de démystifier la notion de « Guerre Mondiale » et situer cette « Guerre » au sein d’une cyclicité de 15 ans en 15 ans, celle du semi cycle de Saturne. Par conséquent,au prisme de l’Astrologie EQSOLS, il serait bon de signaler l’entrée dans une nouvelle phase équinoxiale en 2025, ce qui devrait faciliter, pour le pire comme pour le meilleur, la création ou le renforcement de blocs supranationaux de façon à éviter des mesures radicales dues à un manque d’anticipation.

jeudi 25 novembre 2021

Jacques Halbronn La question des oppositions et des axes en astrologie

Jacques Halbronn La question des oppositions et des axes en astrologie Nous voudrions montrer dans la présente étude que l’astrologie ne saurait faire l’impasse sur l’aspect d’opposition car l’opposition est assimilable à une conjonction bis tout comme l’équinoxe d’automne l’est à l’équinoxe de printemps car l’astrologie est censée décanter et réduire, au sens alchimique du terme, les données astronomiques. L’opposition met ainsi en évidence l’idée de semi-cycle. Le semi cycle de Saturne est donc de 14 ans, soit deux fois sept ans, ce qui se retrouve dans le songe de Pharaon, dans le Livre de l’Exode avec les 7 années de vaches grasses suivies de 7 années de vaches maigres. En ce sens, quand on étudie, comme le fait André Barbault le cycle Saturne Neptune, l’opposition est tout autant à considérer que la conjonction, ce qui donne deux périodes de 18 ans chacune. Or, il semble que Barbault n’ait pas accordé à l’opposition Saturne Neptune – ce qui correspond à une sorte de syzygie au niveau soli-lunaire, à un alignement- suffisamment d’importance, si ce n’est pour l’échéance de 1971, avec l’opposition Saturne Neptune, 18 ans après la conjonction de 1953, ce qui lui permettait d’annoncer une échéance importante pour la dite année 1971 (cf la crise mondiale 1965 Ed Albin Michel) Comme ce que Barbault en attendait ne s’est pas produit, il aura préféré ne plus s’intéresser à l’opposition. Or, cette dégradation de l’aspect d’opposition se ressent dans les Astres et l’Histoire (Ed Pauvert 1967) où l’opposition n’est nullement placée au même niveau que la conjonction mais apparait comme une sorte d’anti-conjonction susceptible de faire remonter la courbe de l’indice cyclique. C »est dire que la dite courbe dépend pleinement du statut de l’opposition. Mais, le probléme de l’opposition ne se posait-il pas déjà chez Gouchon, avec son « indice de concentration planétaire »articulé sur les 2 « guerres mondiales »? Mais si l’on admet que l’opposition est le relais de la conjonction, la démonstration ne tient plus car le profil du graphique s’en trouve sensiblement changé. Mais refuser d’accorder à l’opposition l’importance qu’elle mérite, c’est se condamner à se servir de cycles planétaires trop longs comme 36 ans au lieu de 18 ans pour Saturne-Neptune (cf supra) et donc de disposer d’un nombre deux fois plus restreint d’échéances évenementielles, ce qui peut se révéler commode puis que cela limite d’autant le travail de corrélation. Un autre probléme « oppositionnel » se pose à la pensée astrologique : celui des axes saisonniers, ce qui permet de structurer un cycle planétaire non plus en associant deux planétes entre elles mais en suivant une planéte et les moments de conjonction avec les axes équinoxiaux et solsticiaux. Cette fois, on aura compris, qu’il n’est pas question pour nous d’opposer les deux équinoxes entre eux par delà les questions climatiques. Le temps qu’une planéte met pour aller d’un équinoxe à l’autre ou d’un solsiice à l’autre est à la base de l’idée de semi cycle exposée plus haut. Non seulement, nous n’accordons pas d’importance au découpage en 12 (Dodécaisme) mais nous nous contentons de deux temps (et non de quatre). Là encore, André Barbault semble bien ne pas avoir voulu accordé la moindre importance au passage d’une planéte sur les axes saisonniers, obnubile qu’il est par son idée de « cycle planétaire », exigeant la combinaison de deux astres, ce qui introduit des durées de cycles incompatibles avec les nombres propres aux révolutions sidérales, telles que reprises dans la Loi de Titius Bode sur les distances au sein du systéme solaire. On dira que le respect des oppositions et des axes permet de « plier » l’astronomie en deux volets. Nous ajouterons que cela permet de ne disposer que d’un seul vecteur planétaire au lieu de l’ensemble de 5 planétes, de Jupiter à Pluton, qui sert de socle à l’indice cyclique et l’on sait ce qu’il est advenu en 2006 de la « planéte » Pluton, désavouée par les astronomes. Nous avons montré que le cycle Saturne Neptune pouvait se réduire au cycle « saisonnier » de Saturne, les conjonctions Saturne Neptune ayant coincidé à plusieurs reprises avec la conjonction de Saturne avec les axes équinoxiaux ou solsticiaux, alternativement. Or, Barbault – et ceux qui ont emboité ses pas- se trouvent dans l’incapacité à distinguer deux conjonctions de Neptune entre elles, puisqu’ils ne distinguent pas entre une conjonction avec l’axe équinoxial et une conjonction avec l’axe solsticial. Celle de 1953 était équinoxiale, celle de 1989 solsticiale et la prochaine à nouveau équinoxiale. Si l’on admet que ces deux axes se complétent, au sein de cycles de 15 ans, il est clair qu’ils n’annoncent pas de situations comparables. Or, faire une prévision où l’on ne distingue pas entre les deux temps d’un cycle, c’est annoncer une chose et son contraire, indifféremment. JHB 25 11 21

Jacques Halbronn Théologie et Astrologie: le Ciel et la Terre. Un bi...

mercredi 24 novembre 2021

Jacques Halbronn La théologie "plus" : le 7 prolonge le 6

jacques HAlBRONN La théologie plus: le 7 prolonge le 6 La théologie "plus" est celle qui vient s'ajouter à la théologie première, celle des philosophes et des astrophysiciens. Le chapitre II du Livre de la Genése est le manifeste de la théologie plus. S'ajoute aux Six Jours de la Création du premier chapitre un septiéme jour, le Shabbat célébré par les Juifs en accord avec la théologie "plus". DE même, Saturne, la septième planéte, vient s'ajouter aux six premières (Soleil Lune, mercure, Vénus, Mars et Jupiter. Saturne est la planéte de l'astrologie laquelle est le fer de lance de la théologie plus..Les astrologues qui se servent des six premières planétes sont dans l'erreur. Seule la planéte appelée Saturne fait sens au regard de la théologie plus. Le nom de Saturne dans le Sefer Yetsira est Shabtay, ce qui renvoie évidemment au Shabbat/ Saturne est lié à la Nouvelle Alliance.(cf Jérémie XXXI). Le même chapitre II de la Genése traite de la "création" de la femme. On y dit qu'elle sera une aide (Ezer), donc une addition. La femme n'est pas réduite à la procréation comme chez les animaux où c'est l'homme, le mâle, qui permet à la femme d'enfanter. La femme aide l'homme à se réaliser en tant que créateur. Echange de bons procédés. Genèse - Chapitre 2 - בְּרֵאשִׁית א וַיְכֻלּוּ הַשָּׁמַיִם וְהָאָרֶץ, וְכָל-צְבָאָם. 1 Ainsi furent terminés les cieux et la terre, avec tout ce qu'ils renferment. ב וַיְכַל אֱלֹהִים בַּיּוֹם הַשְּׁבִיעִי, מְלַאכְתּוֹ אֲשֶׁר עָשָׂה; וַיִּשְׁבֹּת בַּיּוֹם הַשְּׁבִיעִי, מִכָּל-מְלַאכְתּוֹ אֲשֶׁר עָשָׂה. 2 Dieu mit fin, le septième jour, à l’œuvre faite par lui; et il se reposa, le septième jour, de toute l’œuvre qu'il avait faite. ג וַיְבָרֶךְ אֱלֹהִים אֶת-יוֹם הַשְּׁבִיעִי, וַיְקַדֵּשׁ אֹתוֹ: כִּי בוֹ שָׁבַת מִכָּל-מְלַאכְתּוֹ, אֲשֶׁר-בָּרָא אֱלֹהִים לַעֲשׂוֹת. {פ} 3 Dieu bénit le septième jour et le proclama saint, parce qu'en ce jour il se reposa de l’œuvre entière qu'il avait produite et organisée. ד אֵלֶּה תוֹלְדוֹת הַשָּׁמַיִם וְהָאָרֶץ, בְּהִבָּרְאָם: בְּיוֹם, עֲשׂוֹת יְהוָה אֱלֹהִים--אֶרֶץ וְשָׁמָיִ יח וַיֹּאמֶר יְהוָה אֱלֹהִים, לֹא-טוֹב הֱיוֹת הָאָדָם לְבַדּוֹ; אֶעֱשֶׂה-לּוֹ עֵזֶר, כְּנֶגְדּוֹ. 18 L’Éternel-Dieu dit: "Il n’est pas bon que l’homme soit isolé; je lui ferai une aide digne de lui." On nous dit parfois que l'astrologie est condamnée par la Bible. C'est la pire des contre vérités et nous renvoyons au Livre de l'Exode où l'on parle de deux périodes de 7 ans, l'une avec les vaches grasses, l'autre avec les vaches maigres (Songe de Pharaon interprété par Joseph), ce qui correspond à un demi-cycle de la planéte Saturne soit 28/2. C'est dans ce sens qu'il faut comprendre les premiers versets du Livre de la Genése: Dieu créa le Ciel et la Terre, en fait "'avec la Terre, car cela forme un binome. La théologie plus implique que le Ciel gouverna la Terre, par l'intermédiaire de Saturne, considérée traditionnellement comme la planète des Juifs. Et les Juifs sont le vecteur principal de l'ordre selon la théologie "plus". JHB 24 11 21

Jacques Halbronn André Barbault et son astrologie pandémique inclassable.

André Barbault et son astrologie pandémique inclassable par Jacques Halbronn Yves Lenoble dans son récent ouvrage écrit :’Il y a trente ans André Barbault annonçait une pandémie mondiale pour 2020 après avoir prédit, entre autres, dès 1955 la chute de l’Empire soviétique en 1989! !L’astrologie s’est en effet toujours voulu annonciatrice des grands événements de l’Histoire. Ainsi, le cardinal d’Ailly et Nostradamus avaient prévu très longtemps à l’avance la révolution de 1789. Et d’ores et déjà, les prochains rendez-vous planétaires du XXIè siècle sont annoncés… » Or, de tels propos font probléme et ne nous semblent pas servir la cause de l’astrologie et il ne nous semble pas qu’André Barbault (décédé en 2019) aurait souscrit à une telle présentation. On peut lire sous la plume de Fabrice Pascaud le texte suivant: André BARBAULT : APERÇU sur les PANDÉMIES « Je ne saurais que trop vous recommander la lecture de cet article intitulé « Aperçu sur les pandémies » d’André Barbault, rédigé en juin 2011. Dans cet article à la page 6, André Barbault annonce de façon claire, nette et précise la forte probabilité d’une pandémie en 2020/2021. Aucune ambiguïté dans les propos ! il précise de surcroît les conséquences économiques qui en découleraient » Il faudrait déjà que l’on se mette d’accord: C’était il y a 10 ans ou 30 ans, comme l’affirme Lenoble? Si Barbault n’avait pas produit, à 90 ans, cet article de juin 2011, quel serait donc son bilan? Est ce que l’astrologie, selon Barbault, dépend de ses interprétes ou bien de ses penseurs, de ses concepteurs? Or, il nous semble que pour Barbault, l’important, c’était le systéme et qu’un systéme qui ne fonctionnerait que par celui qui l’aurait élaboré n’aurait pas grand intérêt, d’où son graphique paru dès 1967 -(Les astres et l’Histoire) et qui est censé fonctionner bien au delà de sa personne! Qu’en serait-il si un autre que Barbault avait produit un tel pronostic à partir de ses travaux (cf notre étude La légende dorée du prophétisme, de Nostradamus à André Barb ault) Est ce qu’A. B. a annoncé comme le prétend Lenoble ’ ‘La chute de de l’empire soviétique pour 1989. »? D’abord, l’empire soviétique ne s’est pas effondré en 1989 mais à une date ultérieure et ensuite, il avait simplement annoncé un tournant important et si l’on en croit son ouvrage de 1963 « La crise mondiale. 1965′, parue donc bien après sa prévision pour 1989, parue au milieu des années cinquante, Barbault n’était pas disposé en 1955 à annoncer la fin de l’URSS lui qui annonçait en 1963 que l’URSS rejoindrait les USA lors de l’opposition Saturne-Neptune de 1971. Rappelons que l’Yonne Républicain où Barbault publia , fin 1953 sa première étude sur la Conjonction Saturne Neptune était d’obédience communiste affirmée. En réalité, tout indique que dans l’esprit de Barbault, du moins quand il écrit dans les années cinquante-soixante, 1989 aurait du renforcer la cause communiste et non l’inverse. Rappelons aussi que cette fameuse annonce pour 1989 n’aura trouvé aucun écho dans la revue L’Astrologue que Barbault dirigeait, tout au long de la dite année 1989, ce qui signifie qu’il n’aurait plus alors parié un kopeck sur la fameuse conjonction, lui qui s’était converti entre temps à l’indice de concentration planétaire, hérité de Gouchon et de Caslant et qui l’avait fait annoncer une troisiéme guerre mondiale pour le début des années 80 alors que le pic de la menace dans ce sens avait été 1961-62 qu’il n’avait pas vu venir: crise de Berlin, crise de Cuba. Quant à rappeler la prévision pour 1789, associée à la Révolution Française- seule référence rapportée par Lenoble outre l’exemple Barbault- elle date de 1414 et de la vogue de la théorie des conjonctions Jupiter Saturne, héritée d’Albumasar (vers 900). Elle est reprise dans l’Epitre à Henri II, qui est un faux posthume calqué sur une précédente épitre adressée au Roi de France. Or, l’on observe que Lenoble ne prend pas la peine d’exposer les techniques qui auront permis de formuler telle ou telle prévision et se contente de dire qu’Un tel avait prévu ceci ou cela alors que dans tous les cas, il y a un systéme qui sous-tend de telles annonces et c’est ce systéme qui importait à Barbault et non telle interprétation ponctuelle qui, à elle seule, ne saurait valider le dit système alors même que les autres applications du dit systéme sont décevantes. Une hirondelle ne fait pas le printemps. Par ailleurs, nous avons montré que l’idée de focaliser une configuration sur telle ou telle partie du globe n’était pas recevable en la circonstance car l’enjeu est justement de montrer que l’on retrouve les mêmes effets en plusieurs parties. D’ailleurs, Barbault aura fini par prendre le contre pied de cette méthode puisque par la suite, il a voulu annoncer des événements à un niveau mondial comme le rappelle Lenoble à propos de la pandémie! Il a changé son fusil d’épaule. Cela dit, André Barbault avait bel et bien exposé sa démarche dans la revue L’Astrologue. numéro 177. (Ier trimestre 2012) Voici un extrait de cet article: « Pour revenir aux pandémies et en remontant le siècle écoulé, les quatre crises de 1918, 1954, 1968 et 1982 sautent aux yeux, les deux considérables ayant été la première, la fameuse « grippe espagnole » qui a fait, dit-on, 25 millions de morts, et la dernière où s’est installé le Sida, lequel est encore plus dévastateur et continue d’être meurtrier. Depuis, il y eut aussi une faible poussée grippale en 2009, tout contre le dernier indice cyclique le plus bas (2010). Il se pourrait bien que nous soyons sérieusement menacés d’une nouvelle pandémie au cap de 2020-2021, à la pointe la plus basse de l’indice cyclique de tout ce XXIe siècle, avec le quintette des lentes rassemblées sur une centaine de degrés, une conjonction Jupiter-Saturne-Pluton pouvant plus particulièrement, et même spécifiquement, se prêter au « tissu » de ce déséquilibre. Il n’en demeure pas moins que cette configuration puisse aussi transférer son noyau de dissonances au terrain des catastrophes géophysiques, sans épargner en dernier lieu la scène des affaires internationales, Nature et Société étant indistinctement touchées. » On notera que cette prévision est sans rapport avec le cycle Saturne-Neptune et donc il semble problématique de rappeler ce qui s’est passé en 1989 car celle reléve d’une technique d’un tout autre ordre abandonnée par Barbault depuis le début des années soixante dix. Quid du repli stratégique de Barbault concernant son « indice cyclique » réduit à annoncer des pandémies? On est loin de l’exaltation politique de 1974 quand Barbault interpellait la presse, lors du Congrès de Paris de 1974 quant aux proches échéances à venir avec une « descente » de sa courbe. On nous explique à présent que c’était le SIDA qui était au rendez- vous en 1982. Rappelons que pour nous, une théorie astrologique doit comporter des phases égales, ce qui n’est pas le cas de l’indice cyclique. Sans un substrat numérique rigoureux, qui est propre à tout cycle astronomique, on déraille. Barbault en combinant les cycles tue la cyclicité car une addition de cycles ne donne pas de cycle cohérent d’un point de vue structurel. Observons la série concernée: « 1918, 1954, 1968 et 1982″ Entre 1918 et 1954, entre 1954 et 1968; entre 1968 et 1982, entre 1982 et 2020. Cela donne les intervalles suivants: 36 ans, 14 ans, 14 ans et encore 36 ans si l’on arrondit. ce qui donne un total de 100 ans environ entre 1918 et 2020. C’était en revanche le cas du cycle Saturne Neptune qui se reproduisait tous les 36 ans, sauf qu’il correspondait en fait, comme on l’a montré, au passage de Saturne, tous les 7 ans, alternativement, sur l’axe équinoxial et sur l’axe solsticial. A ce propos, l’on notera qu’en 1953, Saturne était sur l’axe équinoxial alors qu’en 1989 il passait sur l’axe solsticial. Or, il ne semble pas que Barbault ait pris la peine de distinguer entre les effets des deux « conjonctions », ce qui faisait que son pronostic pour 1989 pouvait vouloir dire une chose et son contraire, ce qui est un peu génant pour un pronostic! Resterait donc à l’actif de Barbault son étude « pandémique », produite in extremis. Il est possible que Barbault ait découvert un cycle de 100 ans(cf supra) ce qui expliquerait qu’un siècle après 1918, l’on arrive à 2020; de la grippe espagnole au COVID 19…. On pense à Michel Gauquelin découvrant une astrologie paralléle, liée à l’heure de naissance. Autant dire deux astrologies aux antipodes l’une del’autre et que nous serions tentés de qualifier de marginales et inclassables., l’une comme l’autre, s’articulant assez mal épistémologiquement avec les fondamentaux saisonniers de l’astrologie , Gauquelin ne se référant pas aux saisons et s’appuyant sur les seules maisons et Barbault, pas davantage, suivant en cela l’exemple de Kepler.

Jacques Halbronn La théologie de la Sur Nature est celle de 'l'en su...

dimanche 21 novembre 2021

Jacques Halbronn Pour une émission astrologique le dimanche matin sur France Culture Nous écoutons le dimanche matin les émissions dites ‘religieuses » sur France Culture, comme « talmudiques » (un peu après 9 heures) de Marc Alain Ouaknine suivie de celle consacrée à la Maçonnerie etc et nous nous sommes dits récemment que l’astrologie aurait sa place au sein d’un tel panorama « spirituel » et notamment l’astrologie telle que nous l’avons développée en ses rapports avec la théologie. Nous faisons donc, par la présente, acte de candidature auprès de la direction de la programmation de la chaîne. Cela ouvre ipso facto un débat autour du statut présent de l’astrologie et nous avons eu plusieurs occasions, au cours de notre carrière, de porter les couleurs de l’astrologie. De 1976, avec Clefs pour l’Astrologie jusqu’en 1993 avec l’article ‘ »Astrologie » de l’Encyclopaedia Universalis et l’année suivante avec une exposition à la Bibliothèque Nationale (site Richelieu) « Astrologie et Prophétie ». Donc, il s’agirait de déterminer ce qui pourrait faire obstacle à une représentation, dans tous les sens du terme- de l’Astrologie dans le cadre en question. Pour nous, en effet, l’astrologie peut tout à fait être le socle d’une nouvelle théologie pour le XXIe siècle car c’est l’existence même d’un rapport entre les hommes et les astres qui renvoie à l’idée d’un créateur, d’une intervention « divine ». 21. 11 2

Jacques Halbronn Théologie; distinguer entre le "monde" et l'"univers"

Jacques Halbronn Théologie: distinguer entre le « monde » et l’ »univers ». Il importe, selon nous, de relier le mot « monde » à une certaine théologie et le mot « univers » à une autre, sous peine de générer bien des confusions. En hébreu, ‘Olam » signifie ‘monde mais il est souvent traduit, notamment dans la liturgie judaique par « univers », ce qui nous semble anachronique si on entend ce terme au prisme de note connaissance actuelle du « cosmos ». Le terme « monde » nous semble plus raisonnable. Nous l’avions employé en 1985 : Le monde juif et l’astrologie (Ed Arché, Milan). Ce terme peut aussi bien décrire un systéme fermé que renvoyer à la totalité du connu et de l’inconnu, ce que recouvre peu ou prou le mot « univers ». Or, il semble que la plupart des discours théologiques utilisent ces deux termes indifféremment, ce qui est tout à fait regrettable, à nos yeux. Pour nous, le monde renvoie à un ensemble relativement limité et circonscrit. Nous pensons que c’est dans ce sens qu’il convient de comprendre le premier verset du Pentateuque (Torah) Genése I א בְּרֵאשִׁית, בָּרָא אֱלֹהִים, אֵת הַשָּׁמַיִם, וְאֵת הָאָרֶץ. 1 Au commencement, Dieu créa le ciel et la terre. IL conviendrait, pour bien faire, dire « notre ciel » et « notre terre » plutôt que d’utiliser l’article défini et d’ailleurs ne parlait-on pas, avec Fontenelle, de « la pluralité des mondes ». Il nous semble bien plus raisonnable de considérer une « création » ayant une finalité dans le temps et dans l’espace qu’une création qui reléverait de l’in-fini. Cette « création » de notre monde implique une épistémologie distincte de celle d’une cosmologie s’attachant à l’universel. Pour nous, le « dieu » qui nous intéresse est celui qui s’est occupé de « notre » monde, à l’instar d’un sculpteur oeuvrant à partir d’une matière première qui sera transfigurée. On évitera donc la surenchère visant à faire de « notre » dieu, le dieu de l’univers « tout entier » comme on l’entend si souvent de nos jours, dans la sphère « monothéiste », toutes obédiences confondues. Ce dieu, architecte non pas de l’Univers -comme disent les francs maçons- mais de notre « monde », n’est en effet point réductible ni à une problématique d’un « premier mobile » voire d’un big bang ni aux diverses constructions humaines telles que les lois que nous édictons, que les monuments que nous édifions. Nous avons proposé de qualifier ce « monde » de ‘Surnature » car il s’agit d’un complément, d’un prolongement, d’un arrangement de la « Nature » et assimiler notre monde à l’univers, c’est nier l’apport du créateur de notre monde, c’est à dire de notre ciel et de notre terre. Le fait ,dans le premier verset du Pentateuque, de traiter de ce binome Ciel-Terre, renvoie à l’astrologie, laquelle associe la Terre à un certain Ciel chargé d’organiser, de régir notre Temps. Vouloir parler d’un dieu de l’univers s’occupant de notre Terre nous semble bien disproportionné alors que cela fait sens à une plus petite échelle. o

samedi 20 novembre 2021

Jacques Halbronn La crise politique est épistémologique. Quelle "science politique"?

Jacques Halbronn La crise politique est épistémologique. Quelle « science politique »? Selon nous, la « science politique » n’aura pas su fournir les outils appropriés, nécessaires à l’élaboration d’institutions viables, d’où la formule « crise épistémologique ». Elle s’est contentée de décrire en renonçant à prescrire et l’on ne saurait guère affirmer que cette « science » aura fait progresse en France, le passage du septennat au quinquennat, l’élection présidentielle précédant les législatives, ne nous semblent pas aller dans la bonne direction, sans parler du recours au suffrage universel pour l’élection « directe » du président de la République, depuis 1965.(du fait de la réforme constitutionnelle de 1962). Il est vrai que cette « science politique » n’aura pas cru bon d’explorer et d’exploiter les possibilités cyclologiques objectives, préférant enteriner et encourager de facto, de façon démagogique et finalement anarchiste, l’idée selon laquelle l’on pouvait structurer le temps politique de façon arbitraire, dans le culte subjectif de la République souveraine. On observe ainsi que l’on confond allégrement les causes et les conséquences quand il s’agit d’expliciter un phénoméne social. Tout au plus s’aventurera-t-on à parler de la question de l’âge des leaders. A ce propos, où en est la science du leadership? Pour notre part, nous avons récemment proposé de distinguer les leaders moyens et les arché-leaders, ces derniers ayant autorité sur les premiers. Pour nous, le peuple choisit entre les leaders moyens, ordinaires, lesquels se réunissent pour élire un super-arché-leader, ce qui était l’esprit de la Constitution de la Ve République avant la réforme de 62 déjà mentionnée. D’aucuns soutiennent que le suffrage universel « direct » confère toute sa légitimité au président ainsi élu.Or, selon nous, l’archi leader est le « primus inter pares » et doit être désigné par un collége de quelques milliers de membres, comprenant les parlementaires et autres élus..C’est sur cette base que De Gaulle devint le premier président de la Ve République et l’on ne saurait affirmer que son élection au suffrage universel, en 1965 lui ait conféré une plus grande légitimité, quand on connait la suite des événements en 1968 et 1969 (même s’il y eut le sursaut des legislatives du fait de la dissolution du mois de juin 68 (à peine un peu plus d’un an avant les précédentes de 1967) qui n’eurent aucun effet institutionnel sur la présidence puisque ce n’était plus le Parlement qui participait à l’élection du Président. Crise épistémologique tenant au refus de recourir à un quelconque modéle cyclique qui n’aurait pas été déterminé par les représentants des citoyens , dispositif considéré comme le « moins pire ». Il est vrai que de nos jours, il ne fait pas bon de parler, sous quelque forme que ce soit, de ce qui pourrait ressembler à de l’astrologie. Comment imaginer que le calendrier de nos institutions puisse être tributaire d’un savoir « paria »? On serait la risée du monde! Quel dilemme! Il nous faudrait donc nous résigner à un bricolage dérisoire qui n’aurait pour lui que d’avoir été fixé par « nous »! Vanité des vanités! On entre donc dans ce XXe siècle, voué à une technologie de plus en plus pesante avec ce pauvre instrument constitutionnel, datant dans son principe, de la fin du XVIIIe siècle, aux Etats Unis et en France, au lendemain de la Révolution. Et face à ce défi, nous ne disposons que d’une vision enfantine du découpage du temps qui ne repose sur rien d’autre que notre bon vouloir collectif, ce qui varie en outre d’un pays à l’autre, dans une extréme cacophonie. On joue aux apprentis sorciers! Etrangement, personne ne s’en offusque comme si cette question était secondaire. Ceux qui entendent changer la constitution n’ont pas de nouveaux critères à proposer. On est là face à un tabou sociétal. Pourtant, le cycle de 7 ans, en vigueur depuis le début de la IIIe République, au lendemain de la Commue, se justifié mieux cycliquement que celui de 5 ans qui a été adopté au début de ce nouveau siècle. Par quel miracle le temps de notre constitution s’ajusterait-il à quelque cyclicité « scientifique »? L’on peut certes douter de telle ou telle forme de cyclologie mais est ce une raison pour ne pas investir des fonds dans ce domaine de recherche, sous prétexte de l’existence de pratiques jugées superstitieuses? La cyclologie serait elle la dernière roue de la charrette, le parent pauvre des sciences sociales? JHB 20 11 21

Jacques Halbronn La problématique autour de la lettre "U" dans le milieu astrologique; universitaire ou Unifié?

Jacques Halbronn La problématique autour de la lettre « U » dans le milieu astrologique : Universitaire ou Unifié.? Nous avions déjà réfléchi sur le ‘RA » présent dans le sigle de plusieurs associations astrologiques, depuis le GERAS (1974) jusqu’au CEDRA (1986) et au CURA.(1999), le RA du RAO signifiant en revanche Rassemblement des Astrologues. Ce RA renvoyait à « Recherche en Astrologie » et il faudrait d’ailleurs se demander en quoi aura consisté un tel programme. Signalons aussi la revue de Denis Labouré (Saint Etienne), « La Recherche Astrologique »/ Penchons-nous, cette fois, sur la portée du « U’ dans des associations comme le MAU (1975) et le CURA(1999) De fait, si en 1975, le U de MAU signifiait Universitaire, ce U allait assez vite changer de sens en indiquant « Unifié » au lieu d’Universitaire. En 1999, Patrice Guinard, décédé en septembre dernier, reprendra le U au sens d’universitaire pour son Centre Universitaire de Recherche Astrologique. Ce changement que nous avions décidé tenait au fait que le MAU avait gagné en peu de temps une position centrale, fédérative, dans le milieu astrologique, ce qui correspond en Astrologie EQSOLS à une phase équinoxiale alors que le U pour Universitaire correspondrait plutôt à une phase dite solsticiale.* Or, il semble bien que depuis quelque temps, au regard du U la tendance » universitaire » tende à l’emporter sur la tendance « unificatrice », ce qui nous éloigne du milieu astrologique dont nous ne sommes plus d’humeur à sauvegarder l’unité, comme cela avait été encore le cas, au précédent passage solsticial de Saturne, il y a une quinzaine d’années.(cf le Colloque de novembre 2004 et la création de notre chaine Teleprovidence, actuellement sur You Tube) en 2008) Certes, le milieu astrologique nous intéresse-t-il encore mais d’un point de vue historique et ethnologique et plus encore peut être d’un point de vue cyclologique au prisme de l’alternance des phases de 7 ans. D’où la création de la BINA, la Bibliothèque Internationale de Numérisation Astrologique, engagée par Dominique T. et l’exploitation des fonds de la Bibliotheca Astrologica, rebaptisée BURA, ce qui fait réapparaitre le U d’Universitaire: la Bibliothèque Universitaire de Recherche Astroloiogiques dont nous assurons désormais une série de « Publications ». On aura compris que pour nous l’heure n’est plus à une gestion paresseuse du milieu astrologique mais bien à une entreprise vigoureuse de nouveaux paradigmes, déjà mise en oeuvre dans ce Manifeste que furent nos « Clefs pour l’Astrologie » (Paris, Seghers 1976, Claves de la Astrologia, Madrid, EDAF,1978) vingt ans avant le « Manifeste » (1999) du regretté Patrice Hervé Guinard, décédé 30 ans après Michel Gauquelin. Nous pu observer, en effet, que les idées mise en avant en 1976 n’ avaient pas connu qu’elles eussent mérité, il y a donc plus de 40 ans, notamment dans la place accordée aux axes équinoxiaux et solsticiaux au niveau cyclologique. L’exemple de Serge Bret Morel est assez édifiant, lui qui fut le lieutenant d’Alain de Chivré, à la FDAF, passé, avec un certain succés, dans le camp des « astrosceptiques ». Quant à nous, rappelons que nous nous sommes orientés dès les années 80 vers le prophétisme, ayant soutenu en 1999 et 2007 deux thèses universitaires »’cf Article Wikipedia) Par ailleurs, nous avons mené des recherches en linguistique et en critique biblique (étant par ailleurs docteur en Etudes Orientales, 1979), couvrant ainsi un spectre où l’astrologie trouvait de nouvelles perspectives interdisciplinaires.(cf le Colloque sur la Dualité, Paris, mai 2000, Cahiers du CERIJ, association que nous avons fondée en 1978, Cercle d’etudes et de Recherche sur l’Identité Juive). Pour nous, astrologie et théologie sont devenues indissociables, d’où le nouveau concept de ‘Surnature » que nous avons décliné depuis peu. Si nous devons organiser à l’avenir des colloques, ce sera sur les bases de notre modéle cyclologique (EQSOLS) et de la théologie de la Surnature.

jeudi 18 novembre 2021

Jacques Halbronn L'anachronisme sur Radio Notre Dame sur le Royaume d...

Jacques Halbronn Alain de Chivré et le Mouvement Astrologique

Jacques Halbronn Alain de Chivré et le Mouvement Astrologique Poursuivant notre enquete, à partir de nos archives sur les moeurs du milieu astrologique français, nous ouvrons ici le dossier d’Alain de Chivré(né en 1946)/ Nous avions déjà évoqué son rôle dans différente études mais cette fois nous puisons dans une documentation plus matérielle et plus datée, toit en précisant que nous n’avons pas encore épuisé et exploité totalement le contenu de nos archives. Nous voudrions ici rétablir les conditions qui auront conduit de Chivré à fonder e février 1996 la FDAF, à la suite d’un parcours assez remarquable dans son genre, puisqu’il passa du MAU, à FEA, de la FEA au RAO avant de fonder, à 50 ans, cette Fédération, l’histoire du processus fédéral en France étant elle-même assez complexe dont nous avons traité ailleurs. Ce qui nous frappe, c’est le rapport au passé toujours plus ou moins occulté. Heureusement que nos Guides permettent de mettre les choses en perspective (Guide de la vie astrologique 1984, guide astrologique 1997). Le décés en 2017 de Denise Daprey, qui fut présidente fondatrice de la Fédération des Enseignants en Astrologie (FEA) laisse certains points obscurs quant à la place d’Alain de Chivré au sein de la direction de la FEA en 1984-85, car nous n’avons pas accés pour l’heure aux documents administratifs de cette structuré que pourtant nous avions contribué à mettre en orbite (cf nos études à ce sujet). Nous ignorons s’il y a eu une déclaration à la Préfecture ou un affichage au Journal Officiel. De même nous ignorons quelles sont les personnes qui suivirent Alain de Chivré lors de la scission au sein du RAO lyonnais(Rassemblement des Astrologues Occidentaux) durant l’hiver 1994-1995, fondé par Robert Jourda, sans que l’on puisse non plus préciser ses rapports avec le CEDRA lyonnais de Maurice Charvet(fondé en 1986). Cela, étant dit, une chose est certaine, c’est le fait qu’Alain de Chivré aura été fortement marqué par la dynamique du MAU entre 1979 et 1983, date à laquelle il fonde l’Institut d’Etudes Astrologiques. Le fait qu’il ait rejoint la FEA n’est pas sans rapport avec ses liens avec le MAU ni d’ailleurs de ses contacts( non aboutis) avec le GERASH , dans le cadre de ses « cercles locaux dont Denise Daprey était devenue une des animatrices pour Orléans, à la suite du Congrès MAU de Lyon de 1984. C’est dire que la généalogie, -pour reprendre une expression d’Yves Lenoble -est une affaire exigeant une certaine expertise! » On en restera donc à la question du Congrès MAU de Nantes de 1983 dont nous possédons l’ensemble des pièces à conviction. Or, il semble bien que de Chivré ait affirmé qu’il en avait été l’organisateur sans daigner signaler le rôle absolument déterminant du MAU, lequel menait à l’époque une campagne intensive au niveau de la province, à Toulouse, à Metz, à Tournai, à Lyon, à Amiens, à Athènes., à Nice, à Genéve,à Strasbourg, à Orléans, à Bruxellles, à Londres entre 1980 et 1986. (cf L’Astrologie à travers vingt ans de congrès MAU, Ed de la Grande Conjonction 1995, Bulletin de la Société Astrologique de France n°10) On aura compris que le cas nantais est exemplaire du modus operandi du MAU dans ces différntes villes, bien avant l’émergence d’Yves Lenoble, à partir de 1990. Or, Lenoble est loin d’avoir réussi à restitué, dans ses textes sur le milieu astrologique, toute cette effervescence qui n’était pas nouvelle d’ailleurs car l’on pourrait aussi bien remonter aux années soixante dix qu’aux années 90 avec les Congrès de Montluçon, d’Angouléme et de Dijon. sans oublier dans les années 2010 les rencontres de Renne, de Lille, du HAvre et même de Nantes. Autrement dit, le cas de Nantes ne sera jamais qu’un maillon d’une chaîne élaborée par le MAU sur tout l’hexagone. I Le précédent nantais de 1979 Une première tentative avait eu lieu en 1979, fin juin-début Juillet. avec la Librairie de l’Irrationnel et le Gay Scavoir. Jean Charles Pichon et Jean marie Lepeltier ainsi qu’Olivier Brochard étaient alors nos contacts et nos relais. Pour une raison qui nous échappe , cet événement avait avorté, après avoir été reportée en septembre de la même année. Il devait se tenir au Chateau de la Perbenchière. sous le titre de Journées d’échange en astrologie. Rencontre internationale,organisées par le Mouvement Astrologique Universitaire, Paris et le Gay Scavoir, 7, Chaussée de la Madeleine. Nantes. Pas de mention à l’époque d’Alain de Chivré dans le programme prévu II La préparation du congrès de 1983 On s’en tiendra à la correspondance que nous avions reçue de M. de Chivré et de son association l’ADREA, l’Association pour le Développement et la recherche des Etudes Astrologiques. « Premier Congrès Astrologique de l’Ouest de la France » Thème central: interdisciplinarité de l’astrologie. « L’astrologie déborde…. » 2 juillet 83 « Je souhaite que le MAU prenne l’initiative de l’organisation générale ainsi que la responsabilité financière de l’opération. (…) L’Association nantaise se contenterait donc d’assurer le soutien local du Congrès avec une diffusion des affiches (..) D’ores et déjà, je vous serais reconnaissant de bien vouloir me donner votre accord officiel et écrit pour la réservation de la salle du Centre Neptune » On trouvera la liste de intervenants dans le guide de la Vie Astrologique et dans l’Astrologie à traveers 20 ans de congrès MAU. Ces échanges nous font penser à ceux qui existèrent en 1974 lorsque l’ISAR organisa un Congrès à Paris avec l’aide du CIA. 6 juillet ADREA » Je vous informe qu’un imprévu de dernière heure oblige à modifier les dates du Colloque d’astrologie prévu les 30 septembre. ». Date avancée d’une semaine 28 Juillet 1983 ADREA D’après les documents que vous m’avez adressés, la liste des conférenciers semble déjà importante » 15 aout 1983 ADREA « Je ne souhaite pas intervenir dans un débat particulier (..) et préfére rester au stade de l’intendance et de l’organisation technique. » Note! à plusieurs reprises, De Chivré nous demanda d’avancer ou de couvrir diverses dépenses. Par la suite, comme on pouvait s’y attendre, se mettra en avant. A la fin de cette même année 1983, Alain de Chivré va fonder l’IEA, l’Institut d’Etudes Astrologiques. Nous avons voulu montrer que le dit Colloque de Nantes s’inscrivait dans un programme bien plus vaste sous l’égide du MAU, ce qui relativise nécessairement le rôle des synergies locales et l’on peut raisonnablement se demander si tous ces colloques auraient eu lieu sans l’impulsion du MAU en amont. En ce sens, le MAU aura engagé une véritable dynamique fédérative dont la FDAF recueillera en 1996 le fruits. En 2003, Anne Marie Louis interviewait Alain de Chivré quant au bilan de la FDAF. Ironie du sort, un an plus tard, le MAU organisera un Congrès National de grande envergure auquel ne participa de Chivré, qui se fit remarquer par son absence. C’est l’occasion de rappeler que le bilan « congrès de la FDAF était déjà à l’époque des plus médiocres et que de Chivré était plus à l’aise avec le bas de gamme du milieu astrologique en quéte de reconnaissance qu’avec le « gratin » et l’élite. Peut-on alors parler d’une Fédération laquelle est censée réunir un maximium de responsables et de dirigeants? Rappelons aussi que de Chivré fut recruté en 1984-85, juste après le Congrès de Nantes, dans le cadre de la FEA, la Fédération des Enseignants en Astrologie, cette FEA réunissant notamment des relais régionaux du MAU? A l’occasion du décés de patrice Guinard, nous signalerons que c’est probablement à Nantes, lors de notre congrès que celui-ci se fit connaitre de ses pairs du milieu astrologique.(cf L’astrologie à travers 20 ans de congrès MAU, op. cit. pp. 79-81) JHB 18 11 21

Jacques Halbronn Les décés paralléles de Michel Guquelin te de Patrice Guinard

Jacques Halbronn: 1991-2021 A trente ans d’intervalle: décés de Michel Gauquelin et Hervé Patrice Guinard,nés à 29 ans d’écart: 1928 et 1957 . Leurs deux noms commencent par la lettre G. Jolie synchronie! Deux annonces surprenantes à quasiment 30 ans d’intervalle, l’une survenue le 29 mai 1921 et l’autre le 9 septembre 2021 avec des naissances quasiment, elles aussi, à 30 ans d’intervalle, respectivement le 13 novembre 1928 et le 4 novembre 1957, donc avec des soleils presque conjoints en scorpion. Nous avons bien connu l’un et l’autre lesquels ont participé à nos colloques. Pour Michel Gauquelin, ce fut en 1987 et 1988, Pour Hervé (plus tard Patrice) Guinard, dès 1983, à Nantes, puis à Angouléme (1992) et à Dijon (1993), sans parler de Paris et Toulouse. Dans les deux cas, on trouvera des vidéos sur notre chaîne de la Subconscience-Téléprovidence. En décembre 2000 un important congrès CURA-MAU s’était tenu à Paris: Frontières de l’astrologie. Nous avions assisté à sa soutenance de doctorat en 1993, à la Sorbonne. Guinard avait beaucoup fréquenté notre bibliothèque de la rue de la Providence dans les années qui précédèrent la dite soutenance et nous avons le reléve de sa main des ouvrages empruntés. Guinard avait notamment exploité nos recherches concernant Eustache Lenoble, dont l’Uranie était parue en 1697 (cf un premier article dès 1987, dans la revue Astralis reprise par Maurice Charvet dans les conditions que l’on connait. Cela dit, par la suite, Guinard se consacrera essentiellement au « Corpus Nostradamus », domaine où nous l’avions précédé sinon initié et il aura publié surtout dans ce domaine. Au niveau astrologique, il était passé par l’Astrologie Conditionaliste de Jean-Pierre Nicola dont il entendait prolonger la recherche et la réflexion (cf son « Manifeste ») I Michel Gauquelin Lorsque Gauquelin décéde, au printemps 1991, un de ses livres doit être publié par nos soins, ce sera en 1992 les Personnalités planétaires. On lira son compte rendud(dans « Aspects de l’Astrologie »)de notre essai « La pensée astrologique » (in Histoire de l’Astrologie de Serge Hutin, Artefact 1986) où Gauquelin reconnait notre travail d’explication de ses résultats statistiques. D’où une publication posthume qui nous valut des déboires avec son fils Daniel et sa famille (dont nous avons traité ailleurs) II Patrice Guinard décéde au même âge que Gauquelin, à peu de choses près, dans des conditions que nous ignorons encore à l’heure où nous écrivons. Nous avons été le premier en France à signaler sa mort (laquelle fut d »abord signalée en anglais: AFAN | Association for Astrological Networking a retweeté Jacques Halbronn: 1991-2021 A trente ans d'intervalle: décés de Michel Gauquelin et Hervé Patrice Guinard,nés à 29 ans d'écart: 1928 et 1957 dans ASTROLOGIE _oLkrFtz_normal Chris Brennan @chrisbrennan7 · 4 nov. I just learned that the French astrologer Patrice Guinard passed away in September, and his ashes were laid at the cemetery today on his birthday. His CURA website has been an important archive and international resource for astrologers for years: http://cura.free.fr Curieusement, à la date où nous écrivons, son décés n’est pas encore signalé sur son site cura.free.fr. Ce décés pose le probléme des archives qui avaient été confiées à Guinard en 2010, à savoir la collection de documents photocopiés de la Bibliotheca Astrologica et nous ignorons ce qu’il va en advenir, ce qui risque de poser probléme avec les héritiers. Il serait en tout cas facheux que ces milliers de pages soient perdues, égarées ou détruites et pour notre part, nous considérons qu’il serait bon que nous les récupérions dans les meilleurs délais ou que ce fonds « Halbronn » soit pris en charge par une structure compétente, en mesure de les mettre à la disposition des chercheurs. Guinard avait notamment mis en ligne en 1999 lors de la création du CURA notre CATAF, Catalogue Alphabétique des Textes Astrologiques Français. JH 18 11 21B

samedi 13 novembre 2021

jacques Halbronn Astrologie. Comprendre le contraste entre les équinoxiaux et les solsticiaux.

jacques Halbronn Astrologie . Comprendre le contraste entre les équinoxiaux et les solsticiaux. Pour celui qui observe la marche du monde, il est évident qu'il existe deux temps en alternance. Très tôt, nous avions été frappés par le fait que les empires se font et se défont et par la suite, nous avons remarqué qu'il existait des phases de sept ans et enfin que Saturne correspondait à ces phases si l'on découpait son cycle en 4. Le probléme qui se posa alors pour nous était celui du modéle astronomique car dès que l'on associait Saturne à une autre planéte, le nombre sept disparaissait, son cycle passait à 20 ans avec Jupiter ou à 36 ans avec Neptune et ainsi de suite. Mais, il ne nous fallut pas longtemps pour déterminer que le découpage du cycle de Saturne n'impliquait pas qu'on le combinât avec une autre planéte, elle même mobile mais bien plutôt avec un point fixe. Parmi les points fixes, trois possibilités: les planétes dans le thème natal, les étoiles fixes et les axes équinoxiaux et solsticiaux et nous envisageâmes ces différentes options tour à tour, encore et encore tant au niveau théorique que pratique. Il nous fallut approfondir par ailleurs la signification accordée à la notion d'équinoxialité et de solsticialité. Quant aux astrologue que nous avions l'occasion d'observer en société, force était de constater qu'ils n'étaient pas du tout à l'aise avec les diverses méthodes existantes au point de renoncer à s'y référer entre eux, réservant l'astrologie à leurs éléves et à leurs patients, ce qui relevait d'une forme de contre transfert, se prenant au jeu. Ci -dessous quelques pistes pour prendre la mesure de la dualité en question et paradoxalement, il est peut être plus difficile de penser de façon binaire que sur une base 4 ou 12 car notre cerveau sature au delà du 2 lequel lui correspond idéalement. Nous dirons que la phase solsticiale respecte et reconnait les clivages de temps et d'espace alors que la phase équinoxiale se permet de les établir, de les fixer, et d'en changer à volonté. En ce sens, l'équinoxialité n'adhère pas à l'idée de transcendance et n'accepte que ce qu'elle a elle même inventé alors que la solsticialité serait plutôt dans la découverte. L'on retrouve ainsi le conflit entre les "lois" qui viennent d'en haut et celles qui viennent d'en bas. Pour les solsticiaux, il importe de donner, de trouver du sens, à des structures préétablies alors que pour les équinoxiaux, l'on instaure des structures correspondant à un certain contexte ici et maintenant. Nous dirons que l'équinoxialité entend dépasser les clivages de temps, de sexe, de race, d'astre en recourant au Droit alors que la solsticialité s'efforce de donner du sens à de tels clivages, une raison d'être. Le solsticial n'est pas dans le déni des différences, le temps n'est pas uniforme pas plus que l'espace et on ne joue pas impunément avec le temps ni avec l'espace, lesquels ne sont pas malléables à merci, à notre guise. JHB 13 11 21

Jacques Halbronn Sur son rôle dans la préparation des Cahiers Astrologiques de Volguine en 1975

Publications de la BURA (Bibliothèque Universitaire de Recherche Astrologique) Jacques Halbronn sur son rôle dans la préparation des Cahiers Astrologiques de Volguine en 1975. L’ année 1975 fut celle de la fondation du MAU (Mouvement Astrologique Unifié) mais elle fut également marquée par l’appel de Volguine concernant sa revue. Rappelons qu’en 1958, les Cahiers avaient conclu une alliance qui devait durer dix ans avec le Centre International d’astrologie et dans les deux cas, on était en début de phase solsticiale de Saturne. Nos archives nous permettent de restituer cette période au prisme d’un certain nombre de correspondances. qui nous furent adressées à l’époque. Il ne fait donc guère de doute que nous avions été désigné comme rédacteur en chef des Cahiers au 4e trimestre 1975 même si Paul Rogel a contesté ce fait dans une lettre en date du 15 mai 1977 adressée à André Barbault, bien après le décés de Volguine. Germaine Holley 12 novembre 1975 A Monsieur Jacques Halbronn. Voici comme vous me l’avez demandé un article pour les Cahiers Astrologiques, destiné à être suivi d’autres Jacques Berthon: 10 octobre 1975 Cher ami Je peux vous faire pour les Cahiers Astrologiques soit un article sur la Lune Noire, soit une étude sur (…) la vie et l’oeuvre de Camille Flammarion (…) Dès que vous aurez fait votre choix, dites le moi, je me mettrai au travail » Lisa Morpurgo 16 octobre 1975 Je vous remercie infiniment pour votre lettre (..) L’idée d’écrire pour les Cahiers me plait beaucoup (..)Je peux vous envoyer en quelques jours un papier préliminaire « Alexandre Volguine 14 novembre 1974 cher monsieur Halbronn « Je m’empresse de vous transmettre la copie de ma lettre à Gouiran postée hier (..) car son papier est impubliable à mon avis (..) Si vous voulez paraitre dans un mois, vous ne pouvez soumettre les épreuves aux auteurs » Alexandre Volguine, 30 décembre 1975 « Je voulais voir le premier numéro des C.A qui devait sortir avant votre Congrès. (..) J’étais littéralement catastrophé à la lecture de votre poulain Lenoble »

vendredi 12 novembre 2021

Jacques Halbronn Une astrologie articulée sur les archi-maxi- leaders

Jacques Halbronn Une astrologie articulée sur les archi (maxi)-leaders Nous avons toujours opté pour l’économie de moyens en astrologie. C’est pourquoi nous nous méfions d’une astrologie purement individuelle terriblement dépensière et préférons une astrologie charismatique, élitique, sachant que le destin des chefs affecte leurs troupes, d’une façon ou d’une autre, autant par la présence que par l’absence. En ce qui concerne le rapport des hommes aux astres, il est fort possible qu’il soit le plus souvent indirect et que lien se situe principalement sinon exclusivement par le truchement des archi-leaders, à savoir un fort petit nombre seul capable de décoder les configurations astrales et par voie de conséquence de les relayer de proche en proche sur toute une société. Autrement dit, l’erreur stratégique des astrologues pourrait avoir été de laisser entendre que tout un chacun entretient un rapport avec le cosmos. ¨Pourtant, Michel Gauquelin avait insisté sur le fait que seule l’élite d’une profession semblait être en phase avec le cours des astres, à la naissance. Que l’on nous comprenne bien, notre position n’est pas celle d’un André Barbault quand son astrologie mondiale ne prend pas en considération les relais humains que sont les archi-leaders, ce qui la rend ‘hors sol » car dans ce cas, l’on va trop loin dans une sorte de déshumanisation. Bien au contraire, la présence d’un archi-leader nous apparait comme une condition sine qua non pour que l’impact d’une configuration puisse s’exercer pleinement sur toute communauté et il est clair qu’une communauté qui n’a pas su se doter d’un archi-leader est condamnée à une certaine sclérose. Rappelons que l’archi-leader – à ne pas confondre avec le « petit chef » incapable de rassembler autour de lui des personnalités de poids et préférant avoir affaire à un public d’anonymes, dont on a pas besoin de respecter la spécificité- passe par deux phases en alternance et que la moitié du temps, il ne se met pas au premier plan mais délégue : c’est la phase équinoxiale pour reprendre le plein controle de la situation à la phase solsticiale qui fait suite. Au fond la phase équinoxiale est celle de l’héritage, de la transmission et d’une certaine façon, au propre comme au figuré, de la mort. On connait ce type de dualité comme lorsque Demeter s’arrange avec Hadés au sujet de Perséphone. On coupe la poire en deux. Il faut comprendre que l’équinoxialité est un retour à l’Ancienne Alliance, qui correspond à une certaine idée « républicaine » alors que la solsticialité serait le fait de la Nouvelle Alliance, laquelle rejetterait les protocoles démocratiques et instaurerait un ordre sous jacent qui s’imposerait aux hommes. JHB 12 11 21

Jacques Halbronn Décés de Patrice Guinard alias Hervé il y a 2 mois....

Jacques Halbronn A quoi servent les planétes, à quoi servent les races? Quelle valeur ajoutée à l'état de nature?

Jacques Halbronn A quoi servent les planétes, à quoi servent les races? Quelle valeur ajoutée à l'état de nature? Pour appréhender la notion de Surnature, il importe de se poser deux types de questions: quelle est la raison d'être de certaines données de notre environnement et en quoi certaines données ont pu être transformées? C'est ainsi qu'un des arguments en faveur de l'astrologie serait le suivant: les planétes pour quoi faire? Par rapport au Livre de la Genése, que peut bien signifier ainsi ce verset : 'Dieu créa le ciel et la terre"? Est ce là de la simple décoration? Une autre question plus insidieuse consiste à se demander quelle est la raison d'être des différences de couleur au sein de l'espèce humaine? A quoi est ce censé servir? On a donc ici deux types d'observations, l'un qui serait plus de l'ordre du temps cyclique et l'autre de l'ordre de l'espace géographique, l'un au Ciel, l'autre sur Terre. Or, ce qui est remarquable, c'est que dans ces deux domaines, on se heurte assez vite à l'argument "scientiste", se référant à la "Nature" et l'on s'autorise ainsi à rejeter tout ce qui a trait à l'astrologie ou à la question des "races". Circulez, il n'y a rien à voir. Cette attitude correspond à une démarche hostile à la Surnature laquelle, selon nous, est le domaine correspondant à l'idée la plus authentique de Dieu, à une guerre épistémologique contre les "signes" Selon nous, ce n'est pas en vain que de tels dispositifs auront été mis en place à un certain stade de l'évolution de notre Humanité.. Force est de constater qu'entre la Nature, représentée par la Science (dure) et la Société, la République, il y a un champ que nous qualifions de Surnature et qui n'est réductible ni à l'une ni à l'autre. Trois "religions" se feraient ainsi face et il s'agit bien d'une "guerre de religion". Il y a un véritable culte de la République qui entend effacer le régne de la Nature et rappelons que pour Spinoza, la Nature c'est Dieu. (Deus sive Natura) Selon les tenants de la République, tout peut et doit se régler par des "lois" lesquelles il importerait de respecter, lois qui émaneront du peuple. Vox populi Vox Dei. En ce qui concerne l'idée de Nouvelle Alliance ( Livre de Jérémie XXXI, 31), importe d'y voir clair: l'ancienne alliance est celle de la Loi des hommes et la nouvelle, celle de la loi des dieux. Mais ces deux lois ne fonctionnent pas pareillement, l'une est au niveau de la conscience et l'autre à celui de la Subconscience. ל הִנֵּה יָמִים בָּאִים, נְאֻם-יְהוָה; וְכָרַתִּי, אֶת-בֵּית יִשְׂרָאֵל וְאֶת-בֵּית יְהוּדָה--בְּרִית חֲדָשָׁה. 30 Voici, des jours vont venir, dit le Seigneur, où je conclurai avec la maison d'Israël et la maison de Juda une alliance nouvelle, לא לֹא כַבְּרִית, אֲשֶׁר כָּרַתִּי אֶת-אֲבוֹתָם, בְּיוֹם הֶחֱזִיקִי בְיָדָם, לְהוֹצִיאָם מֵאֶרֶץ מִצְרָיִם: אֲשֶׁר-הֵמָּה הֵפֵרוּ אֶת-בְּרִיתִי, וְאָנֹכִי בָּעַלְתִּי בָם--נְאֻם-יְהוָה. 31 qui ne sera pas comme l'alliance que j'ai conclue avec leurs pères le jour où je les ai pris par la main pour les tirer du pays d'Egypte, alliance qu'ils ont rompue, eux, alors que je les avais étroitement unis à moi, dit le Seigneur. לב כִּי זֹאת הַבְּרִית אֲשֶׁר אֶכְרֹת אֶת-בֵּית יִשְׂרָאֵל אַחֲרֵי הַיָּמִים הָהֵם, נְאֻם-יְהוָה, נָתַתִּי אֶת-תּוֹרָתִי בְּקִרְבָּם, וְעַל-לִבָּם אֶכְתְּבֶנָּה; וְהָיִיתִי לָהֶם לֵאלֹהִים, וְהֵמָּה יִהְיוּ-לִי לְעָם. 32 Mais voici quelle alliance je conclurai avec la maison d'Israël, au terme de cette époque, dit l'Eternel: Je ferai pénétrer ma loi en eux, c'est dans leur coeur que je l'inscrirai; je serai leur Dieu et ils seront mon peuple. לג וְלֹא יְלַמְּדוּ עוֹד, אִישׁ אֶת-רֵעֵהוּ וְאִישׁ אֶת-אָחִיו לֵאמֹר, דְּעוּ, אֶת-יְהוָה: כִּי-כוּלָּם יֵדְעוּ אוֹתִי לְמִקְּטַנָּם וְעַד-גְּדוֹלָם, נְאֻם-יְהוָה--כִּי אֶסְלַח לַעֲוֺנָם, וּלְחַטָּאתָם לֹא אֶזְכָּר-עוֹד. {ס} 33 Et ils n'auront plus besoin ni les uns ni les autres de s'instruire mutuellement en disant: "Reconnaissez l'Eternel!" Car tous, ils me connaîtront, du plus petit au plus grand, dit l'Eternel, quand j'aurai pardonné leurs fautes et effacé jusqu'au souvenir de leurs péchés. En ce sens, l'Ancienne Alliance est celle de la Loi édictée, votée, comme dans le cas des Dix Commandements. L'astrologie correspond à la Nouvelle Alliance,à savoir que c'est une contrainte qui ne dépend pas des hommes mais des astres. La phase d 'équinoxialité est celle de l'Ancienne Alliance et la phase de solsticialité celle de la Nouvelle Alliance. En ce qui concerne la question des races, au prisme des couleurs, on est en droit de se demander si les hommes peuvent se permettre de ne pas en tenir compte car c'est quand même bien un marqueur chromatique assez prégnant qui n'échappe à personne. On se retrouve de nos jours avec une Humanité puissamment marquée par un culte de la République, censé dépasser le plan des astres, celui des races, voire celui des sexes: un culte qui peut être qualifié d'athée, au sens de rejet de toute transcendance, de tout ordre préétabli. Cela pose aussi la question du "peuple élu", dont la raison d'être devrait interpeller, notamment au sein de la diaspora. Qui ne voit que certains individus Juifs ont été conduits à guider l'Humanité par delà toute forme de pratique religieuse au sens de l'Ancienne Alliance? Mais les Juifs eux mêmes ont bien du mal à se positionner.Paradoxalement, la modernité actuelle depuis quelques siècles, leur aura permis de revenir à leur mission première. Malheureusement, les textes sur lesquels ils s'appuient sont souvent altérés, auront subi des additions qui les dénaturent. Il est temps notamment qu'ils comprennent que l'astrologie doit se retrouver au coeur de leur théologie, dans le sens de cette Nouvelle Alliance dont les Chrétiens ont voulu se doter. Le texte de l'Ecclésiaste comme celui du Songe de Pharaon (cf notre ouvrage Le monde juif et l"'astrologie.Histoire d'un vieux couple, Milan, Ed Arché 1985) ne vont ils pas pleinement dans le sens de l'astrologie tout comme le premier verset du Livre de la Genése? Ce dieu des Juifs n'est celui de la Nature, ni celui de la République, il est dans la Surnature. Quant à la question de la femme, il convient de se référer au texte de la Genése: יח וַיֹּאמֶר יְהוָה אֱלֹהִים, לֹא-טוֹב הֱיוֹת הָאָדָם לְבַדּוֹ; אֶעֱשֶׂה-לּוֹ עֵזֶר, כְּנֶגְדּוֹ. 18 L’Éternel-Dieu dit: "Il n’est pas bon que l’homme soit isolé; je lui ferai une aide digne de lui." Ici, il importe de repenser le rôle de la femme comme accoucheuse de l'homme, ce qui va bien au delà de ce que nous en dit la Nature puisque cela inverse carrément les rôles par rapport à la procréation.. JHB 12 11 21

Décés de Patrice Guinard né le 4 novembre 1957, CURA.

Avis de décès PARIS 16E ARRONDISSEMENT TOULOUSE Nous avons la tristesse d'annoncer le décès de Monsieur Herve GUINARD survenu le 9 septembre 2021 à l'âge de 63 ans Avis de décès issu du fichier des personnes décédées de l’INSEE

Jacques Halbronn Café philo Mcdo avec René Louis, Christophe. Le tra...

Jacques Halbronn Café philo Mcdo avec Jean Paul, Christophe, René Loui...

jeudi 11 novembre 2021

Jacques Halbronn L'astrologie doit travailler sur les demi-cycles planétaires. La Gauche et les équinoxes

Jacques Halbronn L’astrologie doit travailler sur les demi-cycles planétaires. La gauche et les équinoxes Quand nous avons publié en 1994 L’Astrologie selon Saturne, nous nous étions centrés sur un cycle astronomique « complet » d’environ 29 ans Nous n’avions pas alors encore découvert que l’astrologie devait « couper » les cycles en deux parties égales, ce qui donnait une astrologie semi-cyclique. Il est clair que ne pas prendre la véritable dimension du « bon » cycle astrologique risque fort d’hypothéquer la qualité de la recherche astrologique en ce que cela manque les chainons intermédiaires et donc dégrade la qualité de l’approche statistique en limitant d’autant le nombre de données à traiter et donc diminue les possibilités de mettre un systéme en défaut (cf la falsifiabilité selon Popper) Le cas d’André Barbault est caractéristique avec son cycle de la conjonction Saturne Neptune qui n’a lieu que tous les 36 ans soit moins de trois fois par siècle alors que le cycle de Saturne passant sur les axes équinoxiaux et solsticiaux, fonctionne de 7 ans en 7 ans! Ajoutons que l’intérêt spécifique de l’astrologie semi-cyclique est de désamorcer l’argument des deux hémisphères selon lequel les configurations n’auraient pas le même impact dans l’hémisphère nord et dans l’ »hémisphère sud, argument cher aux astrologue sidéralistes. Or, pour l’astrologie semi-cyclique, les deux équinoxes s’équivalent comme les deux solstices. Il y a un temps équinoxial et un temps solsticial sans qu’il soit aucunement besoin de distinguer le bélier et la balance, le cancer et le capricorne, le Zodiaque se réduisant en fait à ces deux temps, la question des 12 « signes » ne faissant finalement sens que pour une astrologie des constellations, laquelle est déconnectée par rapport au cycle des saisons. Mais l’astrologie tropicaliste, on l’aura compris, ne doit pas fonctionner sur une base 4 mais sur une base deux. Cette démarche réductrice que nous proposons rejoint peu ou prou les recherches de la Kosmobiologie allemande (Ebertin) avec son systéme des 90° quand elle considére que les quatre signes cardinaux ne font qu’un, comme les 4 signes fixes et les 4 signe mutables en ce sens qu’elle comprend la nécessité de « plier » l’astronomie. Pour notre part, nous avions été marqués en 1971, il y a cinquante ans, par notre rencontre avec Reinhold Ebertin (le père de Baldur) à Aalen. Pour illustrer notre propos(cf Jacques Halbronn Le cycle de 15 ans chez Roger Hequet https:// www.youtube.com › watch), nous reviendrons qur les moments forts de la Gauche en France entre 1920 et de la Terre. Rappelons que pour nous, chaque phase dur 7 ans et ne se réduit pas au moment d’une conjonction pas plus qu’une saison ne se limite au moment de l’équinoxe ou du solstice. 1920 Congrès de Tours. Les communiste français »rejoignent la IIIème Internationale proposée par Lénine au risque de la sujétion au Kremlin’ 1936 Front Populaire 1953 Le bloc communiste réprime ses dissensions (Berlin) et les conséquences en France après Budapest en 1956. Concernant l’année 1953, l’important n’est pas, comme voulut le croire Barbault la mort de Staline mais l’insurrection berlinoise Wikipedia « L’insurrection en Allemagne de l’Est est un soulèvement populaire qui éclate à Berlin-Est et dans le reste de la République démocratique allemande (RDA) le 16 juin 1953, et se prolonge les jours et semaines suivantes. Le motif immédiat en est le refus d’une hausse des cadences de travail. L’insurrection, la première de grande ampleur dans le bloc soviétique, s’est terminée par la complète déroute des manifestants et une sévère répression au sein de la société est-allemande. L’échec de ce que les autorités est-allemandes appellent « tentative de putsch, soutenue par des agents occidentaux, en vue de modifier le régime en République démocratique allemande »1 a contribué à fixer la partition de Berlin et de l’Allemagne ». « cf .https://www.envieabeziers. info/societe/une-autre-histoire-17-juin-1953-insurrection-ouvriere-a-berlin-est « Cette insurrection de juin 1953 en Allemagne de l’Est est le premier soulèvement de masse dirigé contre le système mis en place en Europe centrale et orientale dans les pays placés sous le contrôle de l’Union Soviétique. Jusqu’à la réunification de l’Allemagne intervenue le 3 octobre 1990, le 17 juin sera commémoré en République Fédérale d’Allemagne sous le nom de « Jour de l’Unité Allemande ». D’autres pays de l’Europe de l’Est se soulèveront contre le joug soviétique en particulier la Hongrie en 1956 ou encore la Tchécoslovaquie en 1968 mais c’est une autre histoire ! » (cf aussi article Wikipedia « Soulèvement de Poznań en 1956″ en Pologne) 1968 Mai 68. Chute de De Gaullle en 69. Ecrasement du « printemps de Prague » 1981 François Miterrand président de la République 1997 Jospin Premier Ministre pour 5 ans 2012 François Hollande, président de la République

mardi 9 novembre 2021

Jacques Halbronn Sociologie des archi-leaders au regard de l’anthropocosmologie Il ne faudrait pas confondre les simples leaders avec les archi-leaders comme les anges avec les archanges, les évéques avec les archeveques etc. Qu’est ce qu’un archi-leader? C’est le leader des leaders, celui qui est capable de rassembler autour de lui toute une pléiade de leaders, ce qui conduit à former une société de chefs, de responsables de groupes, de communautés. Sans la présence d’ un archi leader, les forces centrifuges risquent de peser lourdement. Il importera donc de ne pas confondre qualité et quantité. Un rassemblement de leaders, cela signifie que chaque participant est lui même un leader et un tel événement ne saurait englober des non-leaders. Dans le cas des Colloques astrologiques, l’on distinguera les vrais rassemblements de leaders et les pseudo rassemblements où les 3/4 des participants ne sauraient être qualifiés de leaders dans le domaine en question mais ne sont que des amateurs éléves ou clients. La question financière joue ici car les leaders ne sont pas censés payer alors que les consommateurs d’astrologie, si. Quand on examine les Colloques organisés par l’ARRC d’Yves Lenoble, c’est le Salon qui leur était adjoint qui rassemblait des responsables mais non le public assistant aux « conférences », pour l’excellente raison que les leaders n’ont aucun intérêt à écouter des cours magistraux! Il faut leur proposer des débats lesquels seraient susceptibles de perturber l’esprit des dits consommateurs. C est dire à quel points ces genres sont incompatibles entre eux! En 2020, la FDAF (Fédération des Astrologues Francophones, Dir. Marc Brun) a organisé sur Paris un Colloque qui ne correspondait pas à notre définition d’un rassemblement de leaders avec un public d’anonymes et une brochette d’une demi-douzaine d’intervenants avec des temps de parole étendus donc chronophages. Il est clair qu’une Fédération exige la présence d’un archi-leader pour être crédible et c’est ce qui la distingue d’une association laquelle s’articule autour d’un simple leader. En principe, l’archi leader doit rassembler largement et aussi exhaustivement que possible et cela n’est certainement pas à la portée du premier venu. Combien d’archi leaders aura connu le milieu astrologique francophone depuis la fin de la Seconde Guerre Mondiale en ajoutant qu’un archi-leader est censé jouer ce rôle à plusieurs reprises au cours de sa carrière et doit confirmer avec le temps qui passe qu’il n’y a pas eu confusion sur la « marchandise ». A notre connaissance et sans fausse modestie – et jusqu’à preuve du contraire, nous avons été le seul archi-leader ayant fait carrière dans ce créneau entre les années 70 et le début du XXIe siècle. Nous avons récemment explorer nos archives et très franchement, ce que nous avons pu observer nous aura surpris nous mêmes tant la fièvre du rassemblement non seulement au niveau francophone mais à l’international était remarquable et suivait une stratégie systématique, de Lille à Nice, de Genéve à La Rochelle, impliquant l’Espagne, l’Italie, la Belgique, la Suisse, (Trédaniel, 1984) recensant l’ensemble de nos activités. On est là face à une succession de cycles de 15 ans (une demi-révolution de Saturne, autour de deux axes, l’équinoxial et le solsticial). En effet,à partir de 1988, un nouveau cycle va s’amorcer qui nous conduira au supercongrès de novembre 2004, à Paris, un rassemblement réservé aux leaders. En 1994, un Nouveau Guide de la Vie Astrologique proposera un nouveau bilan prenant le relais du précédent guide. Et 14 ans après le Guide de 1994, nous arrivons à la création en 2008 de la chaine Teléprovidence. Ainsi, notre statut d’archileader semble bien avoir été validé à trois reprises, sur la base de cycles de 15 ans environ et voilà pourquoi nous pensons que le cycle de 15 ans structuré par le passage de Saturne d’un bout à l’autre d’un axe saisonnier doit être au coeur de la pratique astrologique, car ce cycle ruisselle par ricochet, à tous les niveaux, ce qui permet de rendre compte de toute une période à partir d’un seul et unique paramétre au lieu de multiplier à l’infini le nombre de « thèmes ». JHB 09 11 21

Jacques Halbronn Le cycle de 15 ans des archi-leaders / Sur ses t...

Jacques Halbronn L'astrogie est la science des Archi-leaders et non d...

Jacques Halbronn L'astrologie et le temps social.

lundi 8 novembre 2021

Jacques Hamlbronn Phénoménologie de la Surnature et idée de Dieu

Jacques Halbronn. Phénoménologie de la Surnature et idée de Dieu. On a tendance à vouloir réduire la Surnature soit à la Nature soit à l'industrie des hommes. On est dans le binaire au lieu d'assumer le ternaire. Mais comment discerner, distinguer ce qui reléve de la Surnature? Quelle est la "valeur ajoutée" propre à la Surnature? Prenons le cas du masculin et du féminin, qui n'est nullement spécifique à l'Humanité mais est attesté d'innombrables fois dans le régne animal comme végétal. Peut-on réduire à la femme telle qu'elle se présente au sein de notre Humanité à un statut "naturel", celui qui se retrouve un peu partout dans la 'Nature"? Mais inversement, croit-on pouvoir changer la condition féminine en décrétant, en faisant voter telle ou telle loi? C'est alors que l'on se heurte précisément à la question de la Surnature laquelle n'est ni réductible à la Nature ni à quelque forme d'impératif, de régle morale au sens d'un Emmanuel Kant. La Surnature introduit l'idée d'un Su(pe)rpouvoir de transformer, de remodeler, de reformater la Nature. Et c'est se nourrir d'illusions que de croire que notre Humanité serait capable de se reprogrammer, malgré les tentations du Droit et notamment du Droit Constitutionnel censé organiser la Cité. C'est toute la fonction, la mission du religieux que de s'interposer entre notre Humanité et la Nature en introduisant l'idée de "Dieu". Car croire en Dieu serait justement admettre qu'il existe une Surnature et les deux concepts rencontrent les mêmes problématiques. L'athée est celui qui n'accepte pas l'idée de Surnature. Il croit qu'il est lui même dans l'ordre de la Surnature. Il nie qu'un dieu ait pu intervenir pour aménager notre monde (cf le film The Eternals et 'Arishem" série Marvel). Il faut un don particulier pour distinguer le niveau de la Surnature en ne le confondant pas avec les deux autres niveaux, celui de la Nature et celui de notre Humanité qui ne serait pas ce qu'elle est si elle ne relevait pas de l'intervention de la Surnature. Cela dit, quand certains êtres ont des pouvoirs particuliers, c'est un signe qu'ils sont marqués par la Surnature et l'on parle d'ailleurs couramment de pouvoirs "surnaturels", et les leaders, capables de rassembler les humains sont déterminés par la Surnature. En astrologie, la phase équinoxiale est celle du stade "humain" et la phase solsticiale, celle de la Surnature, sept ans pour l'une, sept ans pour l'autre, alternativement (cf le songe des vaches grasses/maigres, interprété par Joseph (Livre de l'Exode)

Jacques Halbronn Epistémologie de l'astrologie : pour une alliance avec la sociologie et avec la psychologie des leaders.

Jacques Halbronn Epistémologie de l'astrologie: pour une alliance avec la Sociologie et avec la psychologie des leaders. Selon nous, l'astrologie aura souffert de la décomposition des groupes. Paradoxalement, l'individualisme est fatal à la présence de l'astrologie et ce, en dépit de l'affirmation de la vocation de l'astrologie à appréhender la "personnalité" comme le prétend un Dane Rudhyar (Astrology of personality). La seule personnalité qui entre dans le champ de l'astrologie est en effet celle des leaders lesquels n'existent que dans la mesure où des groupes se constituent et se défont cycliquement. Avec de la Psychanalyse à l'astrologie, André Barbault faisait fausse route tout comme d'ailleurs avec les Astres et l'HIstoire car ce qui intéresse l'Astrologie, ce n'est pas l'Histoire mais la Sociologie, ce qui n'est pas du tout la même chose car la sociologie met en évidence des constantes, des récurrences lorsque l'Histoire se perd dans l'aléatoire à moins qu'elle ne fasse justement appel à la sociologie. La prévision astrologique ne peut que s'articuler que sur du "déjà vu" et l'effet de surprise ne peut venir que d'un retour, d'un recommencement et certainement pas d'une fin des temps, d'un aboutissement car avec l'astrologie, rien n'est jamais terminé. L'Ecclésiaste nous enseigne qu'il n'y a rien de nouveau sous le Soleil et qu'il y a un temps pour chaque chose. Il suffit d'attendre que la roue ait tourné. Rien ne s'arrête, ne se fixe, ne se fige une fois pour toutes. Résumons- nous: seule la personnalité des "Grands" ne fait sens pour l'astrologie car celle-ci impacte tout le monde car les membres de toute communauté dépendent du "destin" de ceux qui en prennent la "tête", le "chef" comme dans "couvre chef". Une fois qu'une personne a montré sa capacité de chef, l'astrologue est en mesure de le conseiller mais il faut déjà que la personne soit "née" comme leader, que son leadership se soit révélé à elle, c'est à dire par ceux qui ont accepté de le suivre.