dimanche 18 septembre 2022

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jacques halbronn Sociologie. Paradoxes de l'argument "khazar" à propos des Juifs Ashkénazes

Jacques Halbronn Sociologie: Paradoxes de l’argument « khazar » à propos des Juifs Ashkénazes Une forme de négationisme consiste à nier ka judéité des Juifs Ashkénazses, il s’agit notamment de la thèse d’une conversion en masse de la peuplade Khazar au judaisme, dont se fit l’écho un Yehouda Halévi, dans le « Kuzari » ( cf notre ouvrage. Le monde juif et l’ astrologie, Milan, Arcxhé, 1985) Ce courant vise à déjudaiser les Juifs de l’Europe du nord, germanique et slave. Paradoxalement, du moins en ce qui concerne les deux derniers siècles, la judéité ashkénaze aura connu nombre de confirmations et de validations. A preuve la Shoah, qui aura également fait l’objet d’un négationisme. A preuve, la révolution « bolchévique » en Russie. A preuve la remarque présence intellectuelle des Juifs ashkénazes comme Marx, Freud, ou Einstein, par delà la question de leur adhésion à la religion juive. En ce qui concerne le communisme, dont on sait qu’il aura été fortement porté par de Juifs -on pense, entre autres, à un Léon Trotzky alias Bronstein- nous avons montré récemment le lien qui existait entre le judaisme et une certaine idéologie communiste, autour de la notion d’équinoxialité (cf nos travaux en Astrologie EXOLS), c’est à dire d’une idéologie de la Lutte des Classes et du dépassement des Etats Nations. Quant au constat d’une prééminence juive dans différents domaines, notamment depuis le XVIIe siècle -on pense à Spinoza – mais particulièrement depuis le XIXe siècle, hors de proportion avec sa démographie, l’on peut y voir l’expression d’une certaine sorte d’élite. Mais il nous faut ajouter nos recherches d’ordre linguistique qui mettent en évidence la dimension duelle de la langue française, à la fois langue latine et langue germanique, par certains de ses traits, notamment en ce qui concerne les marqueurs de genre. En tout état de cause, la France incarne cette symbiose entre le nord et le sud. Certes, l’hébreu est-il, comme on dit, une langue « sémitique » (terme emprunté au Livre de la Genése) -et nous sommes bien conscients des rapprochements lexicaux et autres entre l’hébreu et l’arabe- mais de la même façon que l’usage de tel alphabet pour formuler l’écrit d’une langue peut varier, de même le recours à une certaine langue ne nous semble guère concluant, car il s’agit là d’outils pouvant servir de toutes sortes de façons. JHB 18 09 22