vendredi 26 janvier 2024

Jacques halbronn Comment Patrice Guinatd est passé à coté de l'Epitre de Nosradamus au Pape Pie IV

Jacques Halbronn Comment Patrice Guinard est passé à côté de l’Epitre de Nostradamus au pape Pie IV En 1991, nous avons signalé un document (conservé à la Bibliothèque Nationale mais fort mal signalé alors (avant l’informatisation des collections) au fichier des anonymes) resté totalement ignoré des chercheurs dans le champ centurique et le Bulletin de l’Association d’études sur l’humanisme, la réforme et la renaissance, année 1991, volume 33, numéro 33, p. 43-72.s’empressa de publier notre étude (reprise sur Persée)sous le titre »Une attaque réformée oubliée contre Nostradamus (1561) ». Il était fortement question du pape Pie IV dans ce « Cantique Spirituel et consolatif A Monseigneur le Prince de Condé. Avec un écho sur l’adieu du Card. de Lor. Plus la déclination des Papes, contre pronostication à celle de Nostradamus » Publication : Reims, 1561 : ark:/12148/cb332787384 Notice n° : FRBNF33278738 Nous résumions ainsi notre étude « Les relations entre Nostradamus et Pie IV (1559-1565) n’ont pas fait l’objet d’une monographie, si bien que l’on a généralement privilégié ses Epîtres au pouvoir temporel. C’est ainsi qu’en 1556, Nostradamus s’adressa coup sur coup à Catherine de Médicis, à Henri II, et à Antoine de Navarre. La découverte de la Contrepronostication nous a amené à examiner la nature des relations entre Nostradamus et le Pape. Pourquoi y reprochait-on notamment à l’auteur des Prophéties d’être en quelque sorte à la solde du souverain pontife ? De fait, en cette année 1561, Nostradamus rédigea deux Epîtres au Pape et l’année précédente, il lui accorde un passage significatif de son Almanach pour ladite année 1561. »" Laissons la parole à Patrice Guinard ; CORPUS NOSTRADAMUS 179 — par Patrice Guinard Les faux Nostradamus italiens des années 66-67 : il vero Giuditio, il vero Pronostico, li Presagi et Pronostici Après la mort de Nostradamus en juillet 66, la belle vie commence vraiment pour les usurpateurs de tous poils, imposteurs et faussaires des oeuvres et du patronyme du prophète salonnais, dont un certain Michel Nostradamus le Jeune qui signe aussi Mi. de Nostradamus (cf. CN 180). Une floraison de pronostics divers, mis au nom de Nostradamus, commence à envahir les foires et les étals de libraires, à commencer par deux pronostications italiennes parues dans diverses éditions, Il vero et universale giudicio et Li Presagi et Pronostici. 179A Il vero et universale giudicio sopra le quattro stagioni, di M. Michele Nostradamo Astrologo Eccellentissimo, Et Medico di Salon di Craus [sic] di Provenza, Nel qual si vede brevemente quanto mostrano le stelle, & Pianeti di mese in mese, & di quarto in quarto, dell’anno 1566 … Tradotto fidelmente di Francese iu [sic] Italiano. Trino (Trento), [Giovanni Francesco et Giolito de Ferrari ?], « con licentia de Superiori », 1566, in-4, 4 ff. (vignette au frontispice) ° BC Trento: t-G 2-op f 60 Il vero et universale giudicio sopra le quattro stagioni Il vero, et universale Giuditio 179B Il vero, et universale Giuditio di M. Michiele Nostradamo, astrologo Eccell(entissimo) & Medico di Solon [sic] di Craus [sic] di Provenza, nel quale si vede brevemente quanto mostrano le stelle, & Pianeti di mese in mese, & di quarto in quarto dell’anno 1566 … Deo semper laus, & gloria Trino (Trento), [Giovanni Francesco Giolito de Ferrari], « con licentia delli Superiori » (A4v), [1566], in-4, 4 ff. (pas de vignette) ° BN Marciana Venise: MISC 1339. 017 → Giuseppe Dondi & Marina Bersano Begey, Le cinquecentine piemontesi, vol. 3, Turin, 1966, p.241, n.1373 → Chomarat, 1989, n.78 La première pronostication existe en deux versions : l’une avec un vignette au frontispice et dite traduite du français, l’autre sans vignette et au titre et précisions modifiés au frontispice. Elle contient les quartiers lunaires sommairement commentés pour chacun des douze mois de l’année avec un faciebat controuvé de Nostradamus, et un commentaire de l’éclipse lunaire d’octobre 1566 dans un contexte italien. Les données des quartiers ne correspondent pas à celles de l’Almanach de Nostradamus pour l’année 1566. Il s’agit d’un faux, probablement concocté après la mort de Nostradamus, peut-être traduit d’une version française perdue. Le texte ne présente aucun intérêt.(sic) 179C Il vero Pronostico calcolato dall’eccell(entissi)mo astrologo, et filosofo M. Michel Nostradamo Francese. Il qual narra diligentemente tutte le perverse calamità, che deve incorrere l’Anno 1566 come per ragioni Astronomiche lo dimostra. Bologna, Alessandro Benatio, « Con licentia delli Superiori », 1566, in-4, 4 ff. ° BNF Paris: Rés V 1196 → Leoni, 1961, p.87 → Chomarat, 1989, n.77 → Benazra, 1990, p.77 → Brind’Amour, 1993, p.492 → CAT Ruzo-Swann, Avril 2007, n.9 (vendu 390 $ avec d’autres fac-similés) Cette seconde pronostication est à rattacher à la première par les données astrométriques similaires pour l’éclipse lunaire du 28 octobre 1566 : à 23 h 50 et 15° Taureau, durée 3 h 40 (Giuditio, A4v) vs 24 h 50, durée 3 h 40 (Pronostico, A2v). L’introduction sur un feuillet (incipit « Il divino Mosè nel Sesto del Genesi » ; explicit « o gli effetti nelle cose inferiori ») cite en seconde page une série d’autorités en matière astrologique : le chapitre 4 du second livre du Tetrabiblos de Ptolémée, Hali Rodoan, Albumasar, Messahalla, Almansor, et un astrologue du nom de Pierre Maynard (Pietro Mainardo). Suivent un aperçu de l’année 1566 (avec un faciebat controuvé de M. « Nostrodamus »), un descriptif de l’éclipse lunaire du 28 octobre 1566 (A2v), et des présages attribués à Nostradamus et adressés au duc d’Orléans (le futur Henry III). Il vero Pronostico calcolato Li Presagi et Pronostici di M. Michele Nostradamo Li Presagi et Pronostici di M. Michele Nostradamo Francese 179D Li Presagi et Pronostici di M. Michele Nostradamo, Quale principiando l’anno 1565 diligentemente discorrendo di Anno in Anno fino al 1570. Chiaramente ci dimostra tutto quello che gl’influssi Celesti dinotano, tanto di bene, quanto di male, si delli raccolti boni, quanto delli rei. Genova, S.n. [Antonio Bellone ?], « con licenza de superiori » (A4v), « 1564″ (A4v) [1567 ?], in-4, 4 ff. ° BNF Paris: Rés V 1195 ; BM Lyon: Rés A 508196 179E Li Presagi et Pronostici di M. Michele Nostradamo Francese. S.l. [Genova ?], S.n., S.d. [1567 ?], in-4, 4 ff. (vignette aux deux astrologues au titre) ° BNF Paris: Rés V 1194 (page de titre manquante) ; BN Marciana Venise: MISC 2636. 061 → Leoni, 1961, p.87 → Chomarat, 1989, n.62 (sous 1564) et n.67 (sous 1565) → Benazra, 1990, p.67-68 (les 2 versions, sous 1564) → Brind’Amour, 1993, p.491 → CAT Ruzo-Swann, Avril 2007, n.9 (vendu 390 $ avec d’autres fac-similés) Au moins deux autres éditions antidatées du précédent texte ont été imprimées vers 1567 (ou plus tardivement) avec un titre totalement remanié. Un exemplaire de la BNF précise la nationalité de l’auteur falsifié : « Francese ». Ces éditions ne précisent pas le nom de l’imprimeur, peut-être Antonio Bellone qui exerçait à Gênes à cette date, à supposer qu’il s’agisse bien d’impressions génoises (cf. Gedeon Borsa, Clavis typographorum librariorumque Italiae, Baden-Baden, 1980). Le texte est prétendument dit traduit d’un original français.(…) Dans la dédicace, On remplace le duc d’Orléans par le pape Pie IV, ainsi que quelques formulations relatives au nouveau dédicataire et à l’année visée : on transforme par exemple l’expression « circa l’Anno 1566″ en « circa 1565 & 1566″, mais pas la suite du texte « che sarà l’anno il quale per la revolutione … » – ce qui contredit les propos du texte puisqu’il est toujours question de l’année 1566 alors que la pronostication concerne 1565 ! De même « 1566″ est remplacé par « 1565 tenendo per l’anno 1566″ (A3v). A la page précédente, l’expression « qualche grandissimo danno che non passeranno quelle annà [sic] de 1566 et 1567″ devient « qualche gran matrona che non passeranno quelli anni de 1566 et 1567″ (A3r). Dans l’édition non datée du même texte, la « gran matrona » est remplacée par « grande dame » (en français). La régente Catherine de Médicis semble visée, et la seconde mouture de 1565 pourrait avoir été concoctée dans les cercles de mécontents liés à François d’Anjou (cf. infra). Bien sûr c’est surtout le prestige de l’astrologue et conseiller royal qui est visé par la dédicace réorientée sur le pape Pie IV, décédé le 9 décembre 1565. » Ainsi pour Guinard, la dédicace au Duc d’Orléans aurait été remplacée par celle au pape alors que c’est l’inverse qui se produisit!: Robert Benazra en 2001 publiera sur le site du CURA de Guinard l’étude suivante dont nous extrayons la partie se référant à Pie IV; Les Pronostications et Almanachs de Michel Nostradamus par Robert Benazra »En 1561, Nostradamus publie son Almanach nouveau pour 1562. Composé par Maistre Michel Nostradamus, Docteur en Médecine, de Salon de Craux, en Provence… Il le fait imprimer à Paris, par Guillaume le Noir et Jehans Bonfons. [ Cet almanach est dédié, le 17 mars 1561, à « Pie IIII Pontifice Max ». [ Nostradamus a livré aux éditeurs un texte partiel, sans doute à cause des troubles civils et à l’éloignement de Salon qu’ils imposèrent à Nostradamus en avril, mai et juin 1561. [ La dédicace à Pie IV montre cependant que Nostradamus avait dans le haut clergé de puissants protecteurs. Nostradamus compose sa Prognostication nouvelle pour l’an MDLXII. Composée par maistre Michel Nostradamus, Docteur en Medicine, de Salon de Craux en Provence, qu’il fait imprimer à Lyon par Antoine Volant et Pierre Brotot. L’épître de Nostradamus est adressée à Jean de Vauzelles. Il existe une édition apocryphe de la Pronostication nouvelle pour l’an mil cinq cens soixante deux. Composée par Maistre Michel Nostradamus Docteur en Médecine, de Salon de Craux en Provence, imprimée à Paris chez la veuve Barbe Regnault. Le XVIe siècle nous a transmis un manuscrit en français comportant plusieurs passages autographes de Nostradamus Les Praedictions de l’almanach de l’an 1562, 1563 et 1564 par M. Michel de Nostre dame Docteur en medicine. Faciebat M. Nostradamus. Salonae petreae provinciae. XX Aprilis 1561. [ Cette copie manuscrite de 222 pages est restée inédite. Les Prédictions sont dédiées au Pape Pie IV dans une épître, datée de « Salon de Craux en Prouence, ce XX avril 1561″. Malgré son titre, l’ouvrage porte essentiellement sur l’année 1562, avec quelques anticipations pour les années suivantes. Il ne semble pas que ce manuscrit destiné au pape lui fut envoyé, car on remarque dans le texte de nombreux espaces blancs, prouvant que Nostradamus n’avait pas entièrement revu son texte. On sait effectivement que le secrétaire de Nostradamus laissait des espaces blancs, à remplir plus tard, quand il n’arrivait pas à lire le texte original. Les troubles du printemps 1561 à Salon et la fuite de Nostradamus à Avignon expliquent sans doute ces particularité Voici une pronostication italienne : Pronosticon del l’anno 1563 coposto et calculato par M. Michele Nostradamo dottore in medicina di Salon di Craux in Provenza. Cette pièce est dédiée au pape Pie IV avec privilège et contrôlée par le grand Inquisiteur. Nous disposons également d’une pronostication italienne : Pronostico et Lunario de l’Eccellentiss. Filosofo, Medico, et Astrologo M. Michele Nostrodamo…, imprimée à Padoue en 1563. [ On aura compris que l’original est bien dédié au pape et que la parution se référant au Duc d’Orléans est la contrefaçon. Guinard n’aura pas eu accés à une impression du début du siècle dernier qui met clairement en évidence que les traductions italiennes ont suivi strictement l’original français. (cf sur le site de Mario Gregorio propheties.it http://www.propheties.it › Researches21-30 ’Reproduction très fidèle d’un manuscrit inédit de M. de Nostredame. Dédié à S. S. le Pape Pie IV/ » Or, nous avons montré les liens existant entre la dite Epitre au pape et certains quatrains du début du second volet des Prophéties; Centurie VIII quatrains 77- 78 avec le mot « macelin », qui ne se comprend que par rapport à la Saint Marcelin dont il est question dans la dite Epitre au Pape. Mais le texte en question sera remplacé en tête du second volet par une pseudo Epitre à Henri II qui ne constitue pas une clef pour comprendre « Macelin »! JHB 26 °1 24

jacques halbronn Aucune interdiction ne saurait être universelle. Le Shabbes goy. Une astrologie "prophétique" vs divinatoire

Jacques halbronn Aucune interdiction ne saurait être universelle. Le "Shabbes goy" . Une astrologie "prophétique" vs "divinatoire. Wikipedia Un Shabbes goy, Shabbat goy ou Shabbos goy (yiddish : שבת גוי ; hébreu moderne : גוי של שבת goy shel shabbat) est quelqu'un qui aide régulièrement une personne ou une organisation juive en exécutant pour elle certains actes que la loi juive lui interdit le jour du Shabbat. L'expression combine le mot « Shabbes » (שבת), qui se réfère au Shabbat, et le mot « goy » (גוי), qui désigne « l'étranger » ou « le non-juif ». Il importe de comprendre qu'un groupe se caractérise par ses interdits et par conséquence on ne saurait les imiter sans créer de confusion. Autrement dit, il est interdit à un groupe de s'intérdire ce qui est interdit dans un autre groupe. Que penser, par exemple, de l'interdit de manger du porc chez les Musulmans? Si un tel interdit est à l'imitation des Juifs, cela nous semble très problématique car on ne saurait épouser les interdits d'autrui! D'ailleurs, les Chrétiens n'ont pas adopté l'ensemble de préceptes du judaisme et notamment le tabou du porc. C'est ainsi qu'ils ne respectent pas le Shabbat, ce qui permet l'institution du Shabbat goy. Sur Internet Le chrétien doit-il observer le sabbat ? "Une simple lecture des épîtres du Nouveau Testament, montre que le Sabbat n'occupe pas une place primordiale dans la doctrine chrétienne, et qu'il ne convient pas que le croyant s'y attarde trop. L'expérience montre toutefois que celui qui a été mal enseigné sur ce sujet, éprouve beaucoup de difficultés à se libérer de l'obligation du sabbat. " Autrement dit, toute généralisation de quelque interdit que ce soit est à déconseiller et doit se limiter à une catégorie particulière. C'est ainsi que la dérogeance imposée aux nobles ne valait pas pour ceux qui ne l'étaient pas et un roturier ne devait pas, en principe, s'appliquer à lui même un tel principe. Sur Internet: Dérogeance "Perte de la qualité qui fait le noble, et donc retour à l'état de roture. La perte de la noblesse et des privilèges qui y étaient attachés venait essentiellement de la non-observance du genre de vie noble convenant à la dignité de cet ordre. En France, il est interdit au noble d'Ancien Régime de se livrer au commerce — le maniement de l'argent est avilissant — ou d'exercer un métier manuel, particulièrement un métier mécanique, réputé ignoble. Mais il peut travailler la terre, si c'est la sienne ou celle du roi. Une ordonnance de 1560 fait défense « à tous gentilshommes ou officiers de justice le fait et trafic de marchandises, et de prendre ou de tenir ferme, par eux ou personne interposée, à peine [...] d'être privés des privilèges de noblesse et imposés à la taille ». Et c'est là la menace la plus grave pour un gentilhomme : être inscrit sur les rôles de la taille est la marque même de la roture." Dans le cas de l'astrologie, une mise au point s'avère nécessaire Quelle astrologie est interdite aux Juifs tout comme quelle nourriture leur est prohibée, sans que cela prenne aucunement une valeur universelle? De même, le prêt à intérêt était interdit aux Chrétiens mais point aux Juifs qui eurent un temps le monopole du métier d'usurier, ce qui est le pendant sociétal du Shabbat goy. Selon nous, il convient d'élaborer une autre astrologie pour les juifs que celle pratiquée chez les non juifs et c'est ce à quoi nous sommes parvenus avec l'astrologie EXOLS qui se refuse à dresser un thème natal, respectant ainsi l'interdit des arts divinatoires exposé dans le Livre du Deutéronome. (cf notre étude) Ajoutons que certaines traductions rendent par "astrologie" ce qui vise des pratiques divinatoires qui ne la visent pas, rendant par 'Astrologie tel terme hébraique qui ne s'y référe pas explicitement (cf notre ouvrage Le Monde juif et l'Astrologie. Ed Arché, 1985). Comparons deux traductions du même passage: dans la traduction courante chez les Juifs, le mot Astrologue ne figure pas! Deutéronome 18:10-12 "Qu'on ne trouve chez toi personne qui fasse passer son fils ou sa fille par le feu, personne qui exerce le métier de devin, d'astrologue, d'augure, de sorcier, de magicien, personne qui consulte les esprits ou les spirites, personne qui interroge les morts. En effet, celui qui fait cela fait horreur à l'Eternel et c'est à cause de ces pratiques abominables que l'Eternel, ton Dieu, va chasser ces nations devant toi". et לֹא-יִמָּצֵא בְךָ, מַעֲבִיר בְּנוֹ-וּבִתּוֹ בָּאֵשׁ, קֹסֵם קְסָמִים, מְעוֹנֵן וּמְנַחֵשׁ וּמְכַשֵּׁף. 10 Qu'il ne se trouve personne, chez toi, qui fasse passer par le feu son fils ou sa fille; qui pratique des enchantements, qui s'adonne aux augures, à la divination, à la magie; יא וְחֹבֵר, חָבֶר; וְשֹׁאֵל אוֹב וְיִדְּעֹנִי, וְדֹרֵשׁ אֶל-הַמֵּתִים. 11 qui emploie des charmes, qui ait recours aux évocations ou aux sortilèges ou qui interroge les morts. Il conviendrait donc désormais de distinguer très nettement deux astrologies, l'une, divinatoire, axée sur le destin individuel, personnel, liée au moment de la naissance et l'autre "prophétique", basée sur des périodes de 7 ans. L'une est interdite aux Juifs, car elle correspond à un état antérieur à l' Intervention" qui reformata notre Humanité, l'autre leur serait en quelque sorte réservée, correspondant peu ou prou à l'Astrologie Mondiale (avec les errements sur un millénaire d'Albumasar jusqu'à André Barbault). On trouve dans l'ouvrage de Nicole Edelman(histoire de la voyance et du paranormal du XVIIIe à nos jours, Ed Seul 2006 (pp 172 et seq), une bonne desciption de la première forme d'astrologie (autour de Michel Gauquelin, Elisabeth Teissier Françoise Hardy et Patrice Guinard) JHB 26 01 24